Gaz lacrymogènes, eau acidulée, coups de crosse de fusil, arrestations, quadrillage de la zone industrielle, etc. : la police nationale a déployé tout son arsenal répressif pour tenter d’écraser le mouvement ouvrier. En vain.
Les manifestants ont arraché 50 gourdes des griffes des patrons et de leurs valets au gouvernement, mais cet ajustement ne sera pas pris en compte par les patrons sans l’intervention des ouvriers. En outre, les travailleurs, dans la grande majorité, restent insatisfaits parce qu’ils se sont battus pour 800 gourdes et non pour 350 gourdes, qui ne représentent même pas la moitié du salaire de base exigé.
Gaz lacrymogènes, eau acidulée, coups de crosse de fusil, arrestations, quadrillage de la zone industrielle, etc. : la police nationale a déployé tout son arsenal répressif pour tenter d’écraser le mouvement ouvrier. En vain.
Les manifestants ont arraché 50 gourdes des griffes des patrons et de leurs valets au gouvernement, mais cet ajustement ne sera pas pris en compte par les patrons sans l’intervention des ouvriers. En outre, les travailleurs, dans la grande majorité, restent insatisfaits parce qu’ils se sont battus pour 800 gourdes et non pour 350 gourdes, qui ne représentent même pas la moitié du salaire de base exigé.