Face à des manifestants pacifiques qualifiés par le régime d’émeutiers ou de séparatistes, le pouvoir marocain a déployé ses meilleurs moyens répressifs : gendarmerie, police antiémeutes, forces auxiliaires, sans oublier policiers en civil et supplétifs du désordre, les jeunesses royalistes. Ces derniers instrumentalisés comme voyous et casseurs avaient pour but de donner du crédit à la répression sauvage qui s’est alors abattue sur les véritables patriotes, manifestant la détresse du peuple marocain, face à la misère et au dénuement.
Face à des manifestants pacifiques qualifiés par le régime d’émeutiers ou de séparatistes, le pouvoir marocain a déployé ses meilleurs moyens répressifs : gendarmerie, police antiémeutes, forces auxiliaires, sans oublier policiers en civil et supplétifs du désordre, les jeunesses royalistes. Ces derniers instrumentalisés comme voyous et casseurs avaient pour but de donner du crédit à la répression sauvage qui s’est alors abattue sur les véritables patriotes, manifestant la détresse du peuple marocain, face à la misère et au dénuement.