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Quel lien entre espace, temps, matière, lumière et vide quantique ?

vendredi 6 août 2010, par Robert Paris

On a longtemps cru que la masse était une caractéristique fondamentale de la matière.

Mais on constate que la masse n’est pas constante et qu’elle n’est qu’une propriété qui saute d’une particule à une autre, d’une particule virtuelle du vide à l’autre.

Qu’est-ce qui est fondamental et ne change pas ?

La charge !

Voici ce qu’en dit le physicien quantique Mark Silverman dans "And Yet it moves" (et pourtant elle bouge)

"La conservation de la charge électrique est l’une des lois de conservation les plus strictement observée. A ma connaissance, aucune violation de cette loi n’a été observée. (...) La conservation de la charge est un phénomène local."


Quel lien ?

On pourrait se contenter valablement de répondre : on ne sait pas. Et ce serait vrai. Mais on doit également reconnaître que les réflexions de la science ont avancé dans ce domaine et porter à la connaissance de tout le monde les réflexions que l’on peut faire, c’est cela qui permet de philosopher sur la nature…

Quelles idées sont déterminantes sur la question posée ?

Nous estimons que ce sont les idées dialectiques d’ordre issu du désordre, de rupture de symétrie (ou symétrie brisée), de réel-virtuel et de virtuel-réel et de couplage matière-antimatière.

Que veut-on dire par là ?

Que le fondement d’un monde est dans ses contradictions et dans la lutte entre ses opposés menant à une rupture où l’un l’emporte finalement.

Lorsque l’on vit dans un monde où une rupture de symétrie a été opérée, on ne voit plus qu’un seul côté des choses qui autrefois s’opposaient. Du coup, on a du mal à comprendre d’où elle sont issues.

Ainsi, le monde matériel semble dirigé par des caractéristiques positives : énergie positive de la matière, écoulement positif du temps, distances positives d’espace et quantités positives des masses. Connaissons-nous des espaces, des temps, des masses, des énergies négatives à notre échelle dite macroscopique ? Non.

C’est un effort intellectuel important d’imaginer que notre univers aurait une base fondée sur une contradiction dans laquelle cette positivité ne serait pas à la racine des choses…

Mais la physique a été contrainte d’aller dans ce sens car elle a échoué à construire une interprétation de la réalité fondée sur le déplacement de masses dans l’espace et le temps. Elle a été contrainte de fonder, au contraire, ces quantités positives sur un univers dans lequel le positif et le négatif se contredisaient et se répondaient sans cesse : le vide quantique.

On a longtemps cru trouver le fondement dans la particule de masse du type électron ou proton caractérisée par une masse au repos fixe et positive.

Mais la quantité fondamentale de la matière ne s’est pas trouvée être la masse, le temps, l’espace ou l’énergie positive mais la charge de la particule.

Dialectiquement, ce n’est pas étonnant que le fondement vienne d’un domaine où deux contraires sont face à face et se combattent sans cesse : charge positive et négative. Dialectiquement, il n’est pas étonnant qu’un monde où un des pôles s’impose soit issu d’un autre où les deux se contestent sans cesse la primauté. Que l’ordre de la matière soit fondée par le désordre des interactions. Que la matière soit fondée sur le vide. Et que le vide soit, en un certain sens, matériel.

D’autre part, il y a bien des raisons de fonder la réalité sur la charge plutôt que sur les autres quantités précédemment citées. C’est que leur constance n’est pas vérifiée. La masse se modifie du fait du mouvement, l’espace et le temps aussi sont modifiés par la présence ou non des masses. De l’énergie peut apparaître et disparaître.
Par contre, la quantité de charge est constante et localement définie. Aucune expérience n’a souligné une rupture dans cette loi de conservation de la charge.

Elle est vérifiée dans le vide comme dans la matière, et à toutes les échelles.

Voilà quelques première raisons d’en faire le fondement qui relie matière, lumière, vide, espace, temps.

Commençons par le vide.

On sait que la question que nous posons ici est du domaine de la physique quantique relativiste. Cela signifie que le vide est plein de particules et d’antiparticules fugitives dont le temps d’existence est trop bref pour être directement perçues par une expérience fondée à notre échelle, macroscopique. Cependant ces particules existent bel et bien. Ce ne sont pas des artifices de calcul. On ne voit pas le virtuel mais on ne voit pas non plus l’atome et encore moins, si l’on peut dire, les quanta d’action. Mais ils existent. Ce que l’on voit est surtout une illusion d’optique…

Or, dans le vide quantique, nous sommes amenés par les expériences à conclure qu’on trouve des couples de particule et d’antiparticule, c’est-à-dire des quantités de charge égales et opposées sans cesse couplées. Ces couples apparaissent et disparaissent ensemble. Pas de particule qui apparaisse sans son anti-particule. Ils définissent des temps qui sont des grains égaux et opposés. Le temps n’apparaît pas, dans le vide, comme un écoulement continu positif – celui que l’on appelle « la flèche du temps- mais comme des quanta à la fois positifs et négatifs désordonnés parce qu’ils apparaissent et disparaissent.
Du coup, d’où va venir le monde matériel que nous connaissons, avec ses masses positives, ses énergies positives, ses espaces et écoulements de temps, toujours positifs, avec son ordre ? Eh bien, il n’est pas à l’origine du monde ! C’est le désordre de l’opposition du positif et du négatif qui l’a fait émerger… C’est le vide qui oppose sans cesse les contraires du virtuel – les couples particule et antiparticule – qui va produire et reproduire la matière, l’espace, le temps, l’énergie.
Ce sont des éléments virtuels qui fondent le réel. Les couples virtuels fondent des photons ou particules d’interaction. La particule dite réelle est entourée par un nuage de particules et d’antiparticules virtuelle en pleine agitation fondée sur les interactions de charges positives et négatives de ces couples. Elles lui donnent sa position : qui saute sans cesse d’une particule à une autre du nuage de polarisation. Elles lui déterminent la direction de son mouvement et ce que l’on appelle la vitesse (à ne pas concevoir comme mouvement cinématique) en définissant des distances par des photons et des temps par des photons virtuels.

Mark Silverman dans « And yet it moves » (Et pourtant il bouge) :

« Does an atomic electron move ? How would one know ? Would an anti-atom fall upward ? Is the vacuum really empty ? (...) Can a particle be influenced by an electric or magnetic field that isn’t there – that is, through which it does not pass ? How is it possible for randomly emitted particles to arrive preferentially in pairs at a detector – or, conversely, to avoid one another altogether ? Could watching atoms emit light in London have an effect on the corresponding radiative decay in New York ? Does a “right-handed” light beam interact differentlywith matter than a “left-handed” light beam ? How can light get brighter by rebounding from a surface (without violating the conservation of energy) ? Is a basketball changed for having been turned 360° ? Perhaps not, but what about an electron ? Could one tell the difference between an electron that has never jumped out of a quantum state and then back again and an electron that has never jumped at all ? Is there really such a thing as a “Maxwell demon” ? No ? – then how is one to account for a simple hollow tube that blows hot air out one end and cold air out the other ? »

« Est-ce que l’électron est en mouvement ? Comment le savoir ? Est-ce qu’un anti-atome tombe vers le haut ? Est-ce que le vide est réellement vide ? (…) Une particule peut-elle être influencée par un champ électrique ou magnétique – qui n’est pas présent – c’est-à-dire qu’elle ne traverse pas ? Comment est-il possible que des particules émises aléatoirement arrivent préférentiellement par pairs sur un détecteur – ou, au contraire, parviennent à s’éviter ? Se peut-il qu’en observant de la lumière à Londres, cela ait un effet sur la radiation correspondante à New York ? Est-ce que le rayonnement polarisé à gauche interagit différemment sur la matière que le rayonnement polarisé à droite ? Comment la lumière peut-elle être plus brillante en rebondissant sur une surface (sans violation de la loi de conservation de l’énergie) ? Est-ce qu’une balle de basket change en tournant de 360° ? Probablement que non, mais que dire de l’électron ? Quelqu’un peut-il nous dire la différence entre un électron qui a subi un saut quantique avant de revenir à son état d’origine et celui qui n’a pas subi un tel saut quantique ? Y a-t-il réellement quelque chose comme un « démon de Maxwell » ? Non ? – alors comment expliquer qu’un tube puisse souffler d’un côté de l’air chaud et de l’autre de l’air froid. »

Que signifie le phénomène des deux fentes de Young, cette fameuse expérience fondatrice de la physique quantique et qui a particulièrement justifié la notion de dualité onde/corpuscule ? Supposons que du sable coule par un trou dans une plaque et s’entasse en dessous, que trouvera-t-on ? Un petit tas et de moins en moins de sable quand on s’éloigne de la verticale du trou. Et si le sable passe par deux trous ? Eh bien, il s’il y a deux trous, il y aura deux petits tas. S’il ne s’agit pas de sable mais d’électrons ou d’autres particules de matière ou de lumière, il n’en va pas du tout de même. Au lieu de deux tas, il y en a toute une série de tas séparés par des zones où aucune particule n’est arrivée. Cela forme des bandes successives pleines suivies de bandes vides, d’où des figures appelées franges d’interférence. On a d’abord pensé que les électrons (ou les particules émises) interféraient entre eux. Mais on a effectué l’expérience en envoyant les électrons (ou d’autres particules) un par un. Or, les particules qui arrivent sur l’écran une par une construisent progressivement les mêmes figures d’interférence. Les scientifiques ont été amenés à en déduire que chaque particule interfère avec elle-même, comme si elle était passée à la fois par les deux trous… C’est difficile (voire impossible) pour un corpuscule comme l’électron ou le photon …
Les diverses expériences du type de Young ont amené les scientifiques à rejeter successivement toutes les interprétations sur la particule, qu’elles soient de type corpusculaire (comme des corpuscules ponctuels et localisés) ou ondulatoire (comme des objets non localisés produisant des interférences). Cela signifie qu’il faut aller plus loin dans la remise en question des idées reçues sur la matière et … le vide.

Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul : le vide. Mais ce vide est-il si vide ?
Non, il est plein de particules et antiparticules virtuelles (fugitives qui ne durent que des temps très brefs).

Qu’entend-on par brefs ? Cela dépend de l’énergie qu’ils portent. Des paires électron - positron peuvent exister, de l’ordre de six fois dix puissance moins 22 seconde. Par contre, des photons virtuels peuvent très bien avoir une durée de vie relativement grande pourvu que leur énergie (leur fréquence) soit très faible.

Et ces particules (et antiparticules) entourent le corpuscule d’un nuage. Elles guident son déplacement. Mais ce n’est pas aussi simple, en fait, qu’un déplacement, c’est-à-dire un mouvement d’un objet qui change seulement de place mais reste la même.
Mais d’abord qu’est-ce que le vide ? C’est le milieu le plus symétrique de la nature. Dans ce milieu, dès qu’apparaît une particule, une antiparticule apparaît avec elle et elles restent couplées. Leurs caractéristiques sont égales et opposées et elles disparaissent en même temps dans un intervalle trop court pour être mesuré à notre échelle, celle de la matière dite durable.
Il y a effectivement plusieurs niveaux de la matière qui se différencient par bien d’autres choses que la durée. Il y a le niveau des relations interstellaires. Il y a celui de la matière que nous examinons tous les jours, appelé le niveau macroscopique. Il y a encore le niveau de l’électron par exemple appelé niveau microscopique ou quantique. Il y a enfin le (ou les) niveau du vide….

Et, à chaque niveau qui est en interaction avec les autres, il y a des lois différentes. Par exemple, on ne constate pas, au niveau interstellaire, les mêmes lois de la matière, ce qui explique que, pour expliquer les galaxies et les amas de galaxies, on soit à la recherche de « matière noire » et d’ »énergie noire » ou encore que l’on observe à ce niveau l’existence de « trous noirs » que nous ne constatons jamais à notre échelle. La physique quantique a découvert, elle, le saut entre la physique de la matière à notre échelle (dite macroscopique) et celle des particules (échelle dite microscopique). Par exemple, si on essaie de suivre un électron, on constate qu’il ne suit pas une trajectoire, une courbe continue, contrairement à un objet comme une balle. On constate également d’autres sauts dits quantiques entre les états, sans passage par des états intermédiaires, ce auquel nous ne sommes pas habitués à notre échelle.
Au niveau du vide quantique, il y a également des lois qui diffèrent. Le temps y est désordonné. Les particules ne sont pas durables. La conservation de l’énergie n’est plus vérifiée, comme, au niveau microscopique les lois de la matière ne permettent plus de définir une position et une vitesse.
Le vide est, lui aussi, fondé sur des quanta. Au niveau macroscopique, on pouvait penser que la matière était fondée sur une organisation des masses (un objet étant une somme de molécules, une molécule une somme d’atomes et un atome étant constitué par l’addition de particules de masses fixes : neutrons, protons et électrons). La loi semblait celle de la conservation de la masse. Au niveau microscopique, on constate que les masses peuvent se transformer en énergie et inversement. La loi semble celle de la conservation de l’énergie. Au niveau du vide quantique, la loi n’est plus celle de la conservation de l’énergie puisque de l’énergie en grande quantité peut sans cesse apparaître et disparaître. Le temps du vide existe aussi dans les deux sens (un quanta de temps dans un sens pour la particule et un, égal et opposé, dans l’autre sens pour l’antiparticule, alors que le temps semblait s’écouler dans un seul sens au niveau macroscopique et dans aucun sens au niveau microscopique.

L’unité du monde semble bel et bien compromise. Mais, en fait, chaque niveau, est sans cesse en interaction avec les autres et les uns ont émergé des autres. Chaque niveau agit comme un contraire dialectique d’un autre, ce qui n’est nullement inattendu en physique. La matière manifeste, en effet, de nombreux effets de dualité des contraires inséparables. Mis à part le plus fameux de la physique quantique, la dualité onde/particule, celle entre matière et lumière, entre particule et antiparticule, il y a encore celle entre effet électrique et magnétique, ou encore, dans le domaine de l’optique la dualité réfraction/réflexion.
Nous en venons donc à la dualité entre matière durable et fugitive, encore des contraires qui existent dans des situations où ils sont inséparables et interpénétrés.
Une particule dite réelle (c’est-à-dire durable) ne peut exister que si elle est entourée de particules et antiparticules virtuelles (le nuage de polarisation) qui lui servent à s’orienter dans l’espace-temps (elles sont plus exactement son espace-temps) et elles-mêmes sont en relation avec le vide qui entoure le nuage. La particule n’est pas seulement le corpuscule mais aussi toutes ces couches en oignon successivement chargées positivement et négativement. Le caractère organisé de la matière commence dans le nuage de polarisation alors que le vide est désordonné (donc symétrique). Mais un des points essentiels à souligner c’est que la particule reçoit ainsi sans cesse de l’énergie du vide.

D’autre part, on a remarqué qu’elle n’est pas un objet mais une structure émergente. La particule réelle n’est pas toujours la même. Elle est une propriété qui saute d’une particule virtuelle à une autre, la rendant ainsi réelle provisoirement.

Structure émergente qui se conserve grâce à un apport permanent d’énergie extérieure, la particule de matière comme l’électron, le muon ou le quark, est une structure dissipative au sens de Prigogine. Ordre issu du désordre du vide, ka matière est un chaos déterministe.

Comment sont fondés ces différents niveaux de la matière et de l’univers : interstellaire, macroscopique, microscopique et les différents niveaux du vide ?

La réponse réside dans le niveau de relation entre énergie et temps. On se souvient qu’une telle relation définit un quanta égale à une énergie fois un temps. Qu’est-ce qui fonde la différence une particule dite réelle par rapport à une particule dite virtuelle (ayant un court temps d’existence) ? C’est la quantité d’énergie reçue par rapport au temps de cette réception. Si cette quantité est suffisante, alors la particule virtuelle devient réelle. Il n’y a donc pas d’opposition ou de différence de nature fondamentale entre les deux. Le virtuel peut devenir réel et le réel peut devenir virtuel. Les niveaux macroscopique, microscopique et vide sont séparés par la valeur du produit énergie et temps comparé à la constante de Planck. Dans le macroscopique, le produit énergie et temps est très inférieur à cette constante h. C’est ce que l’on appelle les inégalités d’Heisenberg. Il ne s’agit pas d’une incertitude du réel mais d’une loi fondant un niveau hiérarchique de la nature.

Si le produit d’une énergie et d’un temps est inférieur à un quanta h de Planck, on est au niveau virtuel. C’est un domaine où on peut accéder à une très grande énergie à condition que ce soit dans un temps très court, dit virtuel. Si ce produit est un petit nombre de quanta h de Planck, on est au niveau microscopique. Si c’est un grand nombre par rapport à la constante h de Planck, on est au niveau macroscopique. Mais, comme on l’a dit, ces domaines ne sont pas indépendants et séparés. Au contraire, le réel n’existe qu’entouré de virtuel en interaction constante avec le vide qui l’entoure.

Quant au niveau interstellaire, il interagit aussi de manière fondamentale. En effet, c’est aux limites des bulles géantes du vide interstellaire que naît la matière, de la pression entre deux bulles de vide en expansion. L’expansion n’est pas une propriété qui a trait à l’univers comme un tout. Elle concerne chaque bulle. Les différents niveaux de la matière interagissent ainsi sans cesse.

Mais revenons d’abord aux relations du virtuel et du réel. Car c’est bel et bien le vide (le fugitif dit virtuel) qui fonde la matière (le durable dit réel).
Le nuage de polarisation qui entoure l’électron est constitué d’éléments d’un monde inférieur, celui issu du vide qui est le monde des particules virtuelles caractérisées par deux propriétés liées entre elles : pas de masse et pas d’espace-temps tel que nous le connaissons à notre échelle macroscopique ni tel qu’il existe (localement) dans l’environnement d’une masse. Ces particules sont électrisées positivement ou négativement et s’ordonnent dynamiquement autour de l’électron par couches positives et négatives alternativement, écrantant ainsi le champ de la charge électrique à proximité de l’électron. Cela explique qu’aucune charge électrique ne peut s’approcher au point de toucher l’électron. Il y a toujours des couches de particules virtuelles entre deux particules « réelles ». Rappelons une fois de plus que les particules dites virtuelles sont tout aussi réelles que celles dites réelles mais sont situées à un autre niveau de réalité. Elles ne sont pas les seules puisqu’existent à un niveau encore inférieur le « virtuel de virtuel ». Ainsi deux particules virtuelles sont elles-mêmes entourées, à un niveau hiérarchique inférieur, de particules électrisées. Ces mondes ne sont pas seulement emboités. Les niveaux sont interactifs. Et même plus puisque chaque niveau émerge du niveau inférieur. Les particules « réelles » sont des structures portées par des particules virtuelles qui reçoivent un boson de Higgs. Lorsque la particule virtuelle devient porteuse de masse, elle construit autour d’elle un champ d’espace-temps, elle structure l’espace-temps désordonné du niveau virtuel.

Le nuage de polarisation tourne du fait du magnétisme par l’action du mouvement de l’électron. C’est ce que l’on appelle le spin de l’électron. Mais les couches positives et négatives ne tournent pas de la même manière, car l’électron est chargé négativement. Cela explique qu’il faille de tour pour revenir à la situation de départ, ce que l’on appelle un spin ½.

Le spin est lié à une rotation mais laquelle ? Il ne s’agit pas de celle du corpuscule, ni d’un moment de rotation mécanique. Cela ne permettrait pas la stabilité de la particule ou bien il s’agirait de vitesses supérieures à celle de la lumière. La meilleure preuve qu’il s’agit bien d’un phénomène virtuel du vide, qu’il implique des dipôles particule/antiparticule, est que ce moment angulaire a un coefficient de proportionnalité double de celui de la mécanique classique. Ce que l’on exprime par un spin ½ et pas 1 contrairement au photon.

Comment comprendre une rotation qui serait un mouvement mécanique qui serait quantifié ? Il ne peut s’agir à proprement parler d’un mouvement, pas plus que pour les autres types de sauts quantiques. Par exemple, quand la particule passe d’une couche à une autre sans passer par des étapes intermédiaires. Ces états discontinus ne peuvent être parcourus comme un simple mouvement. Il s’agit encore une fois du déplacement d’une propriété et non d’un objet. Le caractère extrêmement rapide du changement en atteste également. Un phénomène émergeant du vide et non un objet peut parfaitement se déplacer plus vite que la lumière, de manière quasi instantanée même.

La charge de l’électron est ponctuelle. Sa masse est ponctuelle. Pourtant, les expériences montrent également qu’elles ne sont jamais exactement au même endroit, d’où des propriétés de rotations internes de la structure électron. Cette différence provient du fait que le saut de l’électron ne produit pas la même réaction aux diverses échelles d’espace-temps. La masse bouge plus lentement que les bosons. Elle met plus de temps pour se déplacer. Elle va donc moins loin. Cela produit plusieurs mouvements différents. Le nuage de positions de la charge est beaucoup plus ample que celui de la masse : le rapport appelé « constante de structure fine » est le rapport d’échelle des différents mondes hiérarchiques emboîtés est donc aussi le rapport entre les temps ou les distances. C’est donc aussi le rapport entre les différents « rayons de l’électron ». Alors que la masse semble trembloter autour de positions, la charge s’étend sur toute une zone.

Le vide est agité et n’atteint jamais un équilibre malgré les interactions électromagnétiques entre particules et antiparticules car celles-ci apparaissent et disparaissent changeant sans cesse la configuration du vide. C’est cette agitation permanente qui explique que la matière à un niveau inférieur présente un caractère probabiliste et non prédictible. Le fait que la particule (cette propriété structurelle et non un objet) saute sans cesse d’une particule virtuelle à une autre donne aussi ce caractère flou à la description de la particule, ce caractère tremblé de la position de l’électron par exemple.

Revenons maintenant à notre point de départ : à l’interprétation de l’expérience des deux fentes de Young qui a perturbé tout le monde des physiciens à plus d’un titre mais d’abord du fait que les électrons qui passaient par l’une des deux fentes étaient captés par des écrans comme des corpuscules et que les positions où on les trouvait étaient réparties sur des bandes d’interférence, c’est-à-dire qui se comportaient en même temps comme des ondes qui interfèrent tantôt constructivement, tantôt destructivement… Et, pire, ces interférences avaient lieu même si les particules, par exemple des électrons, étaient émis un par un par la source. Ils reconstruisaient progressivement les franges d’interférence ! Comment un seul électron pouvait-il avoir interféré comme s’il était passé à la fois par les deux fentes ?
Voyons si nous comprenons mieux cette étrangeté du phénomène.
Un électron est émis par une source. Il est entouré dans son parcours dans le vide par son nuage de polarisation. Mais qui est-il ? Cela dépend des instants. Parfois il est une particule virtuelle et parfois une autre. Si les fentes sont suffisamment proches, le nuage de polarisation va passer par les deux fentes et retrouver la particule à la sortie des fentes. Il y aura ainsi interférence du nuage avec lui-même. La taille du nuage de polarisation est de l’ordre de celle de la longueur d’onde de la particule. Le nuage de polarisation interagit avec lui-même. Il forme des figures d’interférences qui sont des structurations de l’espace de probabilité de présence de l’électron. On peut dire que le nuage de polarisation « guide » l’électron (ou la particule). C’est ainsi que vont se constituer des bandes d’interférence.

Est-ce que cela permet de comprendre les diverses expériences fondées sur l’idée de Young et notamment la destruction des interférences si on éclaire une des fentes pour savoir si l’électron y est passé ? Eclairer une des fentes, c’est faire perdre sa phase à la partie du nuage de polarisation qui y passe. Conséquence les deux parties ne sont plus successivement en phase ou en opposition de phase suivant les différences de longueur de chemin des deux parcours. Ils ont seulement des phases différentes.
Est-ce que cette interprétation du vide quantique permet de comprendre aussi les expériences du type Aspect où deux corpuscules émis en même temps semblent interagir instantanément à grande distance, où toute mesure sur l’un interagit sur l’autre semblant même violer la limite de la vitesse de la lumière. Ou encore, est-ce qu’elle permet d’interpréter des expériences du type effet tunnel comme l’effet Josephson dans lequel un saut de potentiel peut se faire quasi instantanément, violant apparemment là aussi la limite de la vitesse de la lumière.

L’essentiel dans cette question est de comprendre que le vide quantique est un autre monde que le monde des particules ou le monde macroscopique en termes d’espace et de temps.

Un phénomène qui se déroule à notre échelle macroscopique obéit à un temps qui subit une flèche, c’est-à-dire que le phénomène est généralement irréversible. Au niveau des particules, on constate au contraire une apparente réversibilité des phénomènes. Au niveau du vide, le temps est désordonné. Il apparaît par couples de quantités égales et opposées. Au total, le temps local apparaît comme inchangé : aucune flèche et même aucun temps.

Tout phénomène qui est fondé sur une interaction virtuel/virtuel peut parfaitement être instantanée car le temps ne s’écoule pas dans le vide. C’est le cas pour tout ce qui concerne le spin de l’électron (ou de la particule) puisqu’on a vu précedemment que le spin est entièrement fondé sur un mécanisme du vide quantique. D’une manière générale la phase d’une particule est un phénomène virtuel. Cela explique que des particules en phase ou en opposition de phase au départ, par exemple à l’émission ou après interaction, le restent même à distance (électrons corrélés, par exemple). Le vide quantique n’obéit pas à la localité (ni du temps, ni de l’espace).

L’espace-temps que l’on constate au niveau de la matière est produit par les masses. Il est fondé sur l’espace-temps local dû au nuage de polarisation. Les couples particule/antiparticule en s’organisant autour de la particule durable construisent cette structuration de l’espace-temps. La matière durable est bel et bien un processus d’auto-organisation de l’espace-temps. L’un des éléments de ce processus est le fait que les relations particule/antiparticule nécessitent un certain rapport entre espace et temps qui est appelé « la vitesse de la lumière » qu’il ne faut pas concevoir comme une vitesse cinématique mais comme un rapport seuil d’un phénomène.
On a longtemps considéré que le mouvement était ce qu’il apparaît à notre échelle, c’est-à-dire un simple déplacement sans modification d’un même objet dans un espace avec lequel il ne rétroagit pas. C’est une approximation valable pour des objets macroscopiques car les changements à petites échelles sont négligeables dans ce cas et se compensent entre eux pour un objet à notre échelle (macroscopique). Il y a des cas où ce n’est pas vrai parce que le phénomène obéit à des effets quantiques qui sont visibles à grande échelle (par exemple superfluidité ou supraconductivité). Ce n’est plus vrai du tout pour la particule (niveau microscopique dit quantique). Il n’est plus question de déplacement de type cinématique avec, à chaque instant, une position et une vitesse. Et une continuité de l’évolution point par point des uns et des autres.
En fait, avec la particule, il n’y a pas déplacement d’un même objet dans un espace qui n’interagit pas avec lui. Au contraire, l’espace construit sans cesse le phénomène qu’il s’agisse d’une « particule matérielle » ou de la « lumière ». On l’a déjà vu pour la particule qui saute d’une particule virtuelle à une autre et est entourée du nuage de polarisation constituée des particules et antiparticules virtuelles. La vitesse de la lumière, aussi, n’est pas une vitesse cinématique de déplacement. Le photon, lui aussi, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent. Le photon est un phénomène périodique dans lequel le cycle consiste dans la transformation : couple virtuel donne photon, puis redonne couple virtuel. Ce phénomène n’est durable que s’il correspond à un certain rapport entre espace et temps. C’est cela qui est appelé « vitesse de la lumière ». La signification de ce rapport distance sur temps est qu’il faut une certaine quantité de vide autour pour effectuer la transformation du cycle entre virtuel et photon avec suffisamment d’énergie. Dans ce sens, la lumière est, comme la matière, une forme d’organisation du vide inorganisé (ou moins organisé), qui permet une transmission durable de l’énergie alors qu’à la base les couples virtuels ne sont pas durables.
La différence avec la durabilité de la matière (des particules), c’est que l’énergie est utilisée pour séparer durablement la particule de son antiparticule à laquelle elle restait attachée dans le vide. Cela se réalise par le fait que la particule réelle s’apparie avec une antiparticule proche au sein de son nuage (et devient ainsi virtuelle) et libère ainsi une autre particule qui passe ainsi de virtuelle à réelle. Le dipôle a été cassé par l’apport d’énergie appelé boson de Higgs.

Les corpuscules réels, qu’il s’agisse de photons ou de particules de masse, ne sont justement pas des objets vraiment réels, des « choses ». Ce qui est durable, c’est une structure, un phénomène et ses caractéristiques. Ce n’est pas le même corpuscule qui se contenterait de se déplacer. Le déplacement provient du fait que la propriété (et non un objet) saute d’une particule virtuelle à une autre ou d’un couple virtuel à un autre.
Le fait que le phénomène dit « réel » (matière et lumière durables) soit modifié à petite échelle par les interférences du vide explique l’essentiel des étrangetés de la physique quantique.

L’une des plus remarquables étrangetés quantiques est l’effet dit Aharonov-Bohm, dans lequel un champ électromagnétique agit sur un électron qui ne traverse pas ce champ. Cela est non seulement contradictoire avec la physique classique, ce qui est quasi général aux phénomènes quantiques, mais c’est aussi parfaitement étrange pour la physique quantique, comme l’a longuement exposé Mark Silverman dans « And yet it moves » (et pourtant elle bouge). Il s’agit d’un raffinement de l’expérience des deux fentes de Young dans laquelle on place à la sortie des fentes un solénoïde. Ce dernier produit un champ magnétique à l’intérieur du solénoïde mais pas à l’extérieur. Les franges d’interférences produites par les fentes sont alors déplacées en fonction du sens de rotation du champ magnétique. Normalement, ce champ ne devrait avoir aucune action sur les électrons qui passent à côté de lui. Cela signifie que les interférences sont le produit d’effets qui n’agissent pas directement sur le corpuscule lui-même mais sur l’espace vide qui l’entoure. C’est donc bel et bien une manifestation de l’interaction du vide quantique et de l’électron. Car le vide, lui, passe parfaitement à l’intérieur du solénoïde. L’interférence a bien lieu sur le vide qui entoure l’électron.

Les manifestations des effets du virtuel qui entoure la particule sont nombreuses. Le nuage de polarisation permet d’interpréter l’écrantage de la charge électrique de la particule qui évite notamment que l’interaction de l’électron et de son champ ne soit infinie. Il permet également de comprendre que la matière ne s’entasse pas. Par exemple, deux particules de charge opposée s’attirent mais ne s’écrasent jamais une sur l’autre car les couches successives de particules et d’antiparticules virtuelles l’en empêchent. Plus deux particules se rapprochent, plus elles se repoussent. C’est également une interprétation des relations d’inégalités d’Heisenberg. Plus on agit pour cantonner une particule dans un espace restreint plus l’énergie de sortie de la particule de cet espace augmente car les particules et antiparticules virtuelles exercent un effet inverse à l’action de cantonnement.

Tout le fonctionnement des particules, et particulièrement l’interaction matière/lumière, est piloté par les interactions avec le vide quantique. Matière et lumière ont en commun d’être des formes d’organisation du vide quantique. Ils échangent des particules et antiparticules virtuelles lors des absorptions et émissions de lumière par la matière. Les étrangetés quantiques des absorptions/émissions sont liées aux étranges propriétés du virtuel.

Parmi les phénomènes dits « réels » qui sont déterminés par l’interaction avec le vide, on peut citer :
  l’émission spontanée de lumière par la matière
  la polarisation du vide par la particule
  les structures fines des bandes d’énergie des atomes
  l’émission d’une paire électron/positon par un noyau

On remarquera que ce qui se conserve sans cesse dans le vide est également ce qui se conserve à toutes les échelles de la matière, globalement comme localement. Ce n’est ni la masse, ni l’énergie, ni l’espace, ni le temps. C’est la charge électrique qui en se manifeste que dans une seule quantité, soit positive soit négative et dans ses multiples. Or la charge est une caractéristique des particules et antiparticules virtuelles qui, dans le vide quantique, apparaissent et disparaissent toujours en même quantité de charge. Et, à tous les niveaux, la charge est fixe, indépendante y compris de la vitesse, ce qui n’est pas le cas des autres variables. Cela souligne son caractère fondamental.

On a longtemps cherché le fondement de la matière dans des constances de particules durables dites élémentaires. Il n’y est probablement pas. On le trouve plutôt dans le désordre du chaos du virtuel. Le monde que nous connaissons (matière, lumière, espace, temps, masses, énergie) n’est qu’un épiphénomène d’un monde invisible qui n’est pas directement perceptible : celui du virtuel. L’ordre du vide (ses dipôles de particule et antiparticule) est sans cesse construit et détruit de manière aléatoire, empêchant toute tendance vers un équilibre. Mis à part la charge électrique, la constance n’est pas une caractéristique du vide.

La matière n’est pas fondée sur des objets fondamentaux, dits élémentaires, mais sur l’émergence de phénomènes et de seuils de leur émergence (les fameuses constantes comme la « vitesse » c, la constante d’action h ou la « masse » des particules). Ce qu’on appelle généralement mouvement n’est autre que le mode de conservation du phénomène qui se fait par sa propagation (par sauts) dans le vide.

De là, découle l’importance de l’aléatoire en physique. Il n’est pas nécessaire d’examiner des expériences d’une grande complexité pour le constater. Les simples décharges de lumière dans un néon sont aléatoires, tout autant que l’instabilité d’un noyau atomique qui émet de la radioactivité, ou encore l’émission de lumière par une source thermique, par exemple une résistance électrique. L’instant d’émission est aléatoire. En physique quantique, l’émission ou l’absorption de lumière par la matière est également aléatoire. Tous ces phénomènes font appel à l’agitation du vide – l’apparition et la disparition de couples particule/antiparticule virtuels. Dès qu’il y a interaction concernant le virtuel, l’agitation est le fondement de l’ordre.

Comme on l’a dit, le seul phénomène « particule », électron par exemple ou encore photon, est un phénomène du domaine du chaos déterministe : une structure dissipative qui émerge du désordre et est sans cesse détruite et reconstruite dans des temps très brefs. Ce temps est inversement proportionnel à l’énergie fournie. Le rapport de proportionnalité est la constante de Planck h.

Le spin de la particule est un exemple de phénomène matériel fondé sur le vide quantique et dans lequel le vide intervient avec lui-même. Des propriétés du vide découlent les multiples étrangetés des phénomènes quantiques. On a déjà cité l’expérience des spins de deux particules corrélées, du type de l’expérience d’Aspect. C’est loin d’être le seul exemple. Comment une expérience sur une deux particules peut-elle se propager en influençant à distance une expérience sur l’autre, en violant la limite de la vitesse de la lumière ? Parce que le spin concerne le virtuel qui ne connaît pas la limite c, seuil émergeant de l’organisation au sein du vide mais qui n’est pas une limite du vide. Les particules et antiparticules qui disparaissent et apparaissent dans des temps très courts amènent un temps (à la fois positif et négatif) très changeant permettent des mouvements ultra-rapides à la fois vers le « futur » et le « passé »…

L’antiparticule correspond à un quanta de temps à rebours. La symétrie du vide entraîne un désordre chaotique. Le temps et l’espace du vide sont également désordonnés. C’est sur cet espace et ce temps désordonnés (ceux issu des dipôles virtuels) que se construit l’espace, le temps, la masse et l’énergie du phénomène « particule durable » de matière ou de lumière.

Pour le comprendre, il faut examiner les phénomènes qui concernent les couples virtuels, phénomènes liés à la charge électrique. Les couples subissent l’attraction électromagnétique. Ils se comportent aussi comme des dipôles : tournent, subissent une précession, produisent un champ. D’autre part, ils interagissent avec les autres dipôles de manière électromagnétique mais aussi d’une autre manière : en interchangeant leurs partenaires. Ce saut d’un dipôle à un autre permet aux dipôles d’échanger aussi des espaces. Le phénomène « photon » est fondé sur un tel échange. C’est le rythme du cycle d’accroche-décroche des couples qui détermine la fréquence du photon. Le phénomène est justement de l’auto-organisation des rythmes de construction/destruction des couples. C’est ce qui amène les couples fugitifs du virtuel à devenir un photon durable dont le cycle oscille entre une phase éloignée et une phase proche. Quand particule et antiparticule sont proches, le couple se comporte comme un seul objet de charge nulle, qui n’interagit plus électromagnétiquement avec les couples virtuels.

L’ensemble des cycles des états de la particule de matière sont décrits par les processus de Feynman de décomposition et recomposition de couples de particules et antiparticules virtuelles. Il ne s’agit pas de simples artifices de calcul mais du processus de la nature.

C’est également ce phénomène qui va permettre à une particule n’appartenant pas à un couple de produire un autre phénomène durable : la particule. C’est également la formation d’un cycle durable dont les éléments ne le sont pas. Il s’agit aussi d’une série de sauts d’un état à un autre. La particule libre s’associe à une antiparticule d’un dipôle proche et libère une autre particule et ainsi de suite… La « stabilité » d’une particule n’est qu’une apparence fondée sur ces cycles.
Cette apparence est fondée sur le rapport des temps. Les temps de la matière sont beaucoup plus longs que le temps d’un cycle. Et c’est aussi pourquoi la particule est assimilable, pour toute expérience macroscopique, à une superposition d’états. Et c’est ce qui explique qu’une mesure, très rapide, ne mesure, elle, qu’un seul état. C’est l’une des énigmes quantiques appelée « réduction du paquet d’ondes » et qui posait le problème : comment ce qui se manifeste comme un phénomène étendu dans l’espace peut-il en un temps très bref se ramener à un phénomène corpusculaire.
Le temps défini par la matière est conçu de la manière suivante : un fermion associé à une antiparticule du vide donne un quantum de temps.
La « masse » de la particule provient du temps nécessaire au vide pour reconstruire sans cesse la structure « matière » (durable). Il en découle l’apparence de résistance au déplacement du phénomène. Pourquoi y aurait-il une résistance de la particule au mouvement – une masse -, s’il n’y a pas de vrai mouvement ? La propriété du phénomène de la masse durable se déplace réellement en passant d’une particule virtuelle à une autre. Elle ne se déplace pas instantanément mais elle le fait à la vitesse de la lumière. Ce n’est donc pas d’elle que vient la vitesse limitée de déplacement de la particule. Mais, pour exister, la particule doit casser une liaison particule/antiparticule virtuelle en se rapprochant d’une antiparticule. Cela met du temps. Et ce temps doit être comparé au temps précédemment cité : le déplacement de la propriété de masse d’une particule virtuelle à une autre.
En effet, pourquoi l’effort serait-il de plus en plus grand lorsque la particule réelle se déplace à plus grande vitesse, comme le prévoit la relativité ? Pourquoi la masse serait-elle infinie à la « vitesse de la lumière » ? Parce que le temps de parcours du phénomène approche du temps de déplacement du phénomène, alors qu’ordinairement il est bien plus petit. Un temps court supposant une plus grande énergie, il faudrait une énergie infinie pour qu’une particule se déplace à vitesse proche de la vitesse de la lumière. Plus la matière contient d’énergie, c’est-à-dire de couples virtuels contenant plus de quanta de temps, plus elle se déplace lentement parce que le temps s’écoule plus vite.

Et les quanta du vide, ces particules et antiparticules virtuelles, comment se déplacent-elles ? S’agit-il d’un déplacement mécanique ou encore une fois de la conservation d’une structure par saut ? La dernière réponse semble encore une fois la bonne, fondée sur un nouvelle agitation, du domaine appelé le « virtuel de virtuel »…Inutile de demander si cela continue à l’infini, on l’ignore…

Que conclure d’un tel amoncellement d’idées contre-intuitives, sinon que la science n’est pas du domaine « je ne crois que ce que je vois », mais plutôt je raisonne sur ce que je vois et même je dois imaginer ce que je n’espère même pas voir.

Ensuite, on peut en conclure que la philosophie est au moins aussi importante que l’expérience.

Enfin, on peut trouver que la nature s’engage en termes philosophiques, mais il est loin d’être simple de déduire une philosophie de l’examen de la nature. C’est à l’homme de choisir une philosophie et, si ce choix est heureux, la nature n’ira pas jusqu’à rendre sa réflexion inutile. On ne peut pas en attendre davantage et c’est déjà beaucoup….

Et quelle conclusion philosophique, alors ?
Le monde n’est pas construit une fois pour toutes, mais sans cesse reconstruit et détruit. Il ne l’est pas en fonction d’un plan préétabli prévoyant une structure finale, mais obéissant à des rétroactions (actions et réactions emboîtées et enchaînées). Mais, au lieu de s’annuler les rétroactions construisent une dynamique qui bâtit des structures dissipatives émergentes étonnamment imaginatives au point qu’elles ont fini par construire l’homme et sa conscience… Et nul ne sait de quels sauts l’être humain et social nous réserve encore… Mais, là, ce n’est pas l’atome ni l’électron qui peuvent nous répondre. La philosophie peut-être…

Messages

  • On a longtemps cru que la masse était une caractéristique fondamentale de la matière.
    Mais on constate que la masse n’est pas constante et qu’elle n’est qu’une propriété qui saute d’une particule à une autre, d’une particule virtuelle du vide à l’autre.

    Qu’est-ce qui est fondamental et ne change pas ?

    La charge !

    Voici ce qu’en dit le physicien quantique Mark Silverman dans "And Yet it moves" (et pourtant elle bouge)

    "La conservation de la charge électrique est l’une des lois de conservation les plus strictement observée. A ma connaissance, aucune violation de cette loi n’a été observée. (...) La conservation de la charge est un phénomène local."

    Quel lien ?

    On pourrait se contenter valablement de répondre : on ne sait pas. Et ce serait vrai. Mais on doit également reconnaître que les réflexions de la science ont avancé dans ce domaine et porter à la connaissance de tout le monde les réflexions que l’on peut faire, c’est cela qui permet de philosopher sur la nature…

    Quelles idées sont déterminantes sur la question posée ?

    Nous estimons que ce sont les idées dialectiques d’ordre issu du désordre, de rupture de symétrie (ou symétrie brisée), de réel-virtuel et de virtuel-réel et de couplage matière-antimatière.

    Que veut-on dire par là ?

    Que le fondement d’un monde est dans ses contradictions et dans la lutte entre ses opposés menant à une rupture où l’un l’emporte finalement.

    Lorsque l’on vit dans un monde où une rupture de symétrie a été opérée, on ne voit plus qu’un seul côté des choses qui autrefois s’opposaient. Du coup, on a du mal à comprendre d’où elle sont issues.

    Ainsi, le monde matériel semble dirigé par des caractéristiques positives : énergie positive de la matière, écoulement positif du temps, distances positives d’espace et quantités positives des masses. Connaissons-nous des espaces, des temps, des masses, des énergies négatives à notre échelle dite macroscopique ? Non.

    C’est un effort intellectuel important d’imaginer que notre univers aurait une base fondée sur une contradiction dans laquelle cette positivité ne serait pas à la racine des choses…

    Mais la physique a été contrainte d’aller dans ce sens car elle a échoué à construire une interprétation de la réalité fondée sur le déplacement de masses dans l’espace et le temps. Elle a été contrainte de fonder, au contraire, ces quantités positives sur un univers dans lequel le positif et le négatif se contredisaient et se répondaient sans cesse : le vide quantique.

    On a longtemps cru trouver le fondement dans la particule de masse du type électron ou proton caractérisée par une masse au repos fixe et positive.

    Mais la quantité fondamentale de la matière ne s’est pas trouvée être la masse, le temps, l’espace ou l’énergie positive mais la charge de la particule.

    Dialectiquement, ce n’est pas étonnant que le fondement vienne d’un domaine où deux contraires sont face à face et se combattent sans cesse : charge positive et négative. Dialectiquement, il n’est pas étonnant qu’un monde où un des pôles s’impose soit issu d’un autre où les deux se contestent sans cesse la primauté. Que l’ordre de la matière soit fondée par le désordre des interactions. Que la matière soit fondée sur le vide. Et que le vide soit, en un certain sens, matériel.

    D’autre part, il y a bien des raisons de fonder la réalité sur la charge plutôt que sur les autres quantités précédemment citées. C’est que leur constance n’est pas vérifiée. La masse se modifie du fait du mouvement, l’espace et le temps aussi sont modifiés par la présence ou non des masses. De l’énergie peut apparaître et disparaître. Par contre, la quantité de charge est constante et localement définie. Aucune expérience n’a souligné une rupture dans cette loi de conservation de la charge.

    Elle est vérifiée dans le vide comme dans la matière, et à toutes les échelles.

    Voilà quelques première raisons d’en faire le fondement qui relie matière, lumière, vide, espace, temps.

    Commençons par le vide.

    On sait que la question que nous posons ici est du domaine de la physique quantique relativiste. Cela signifie que le vide est plein de particules et d’antiparticules fugitives dont le temps d’existence est trop bref pour être directement perçues par une expérience fondée à notre échelle, macroscopique. Cependant ces particules existent bel et bien. Ce ne sont pas des artifices de calcul. On ne voit pas le virtuel mais on ne voit pas non plus l’atome et encore moins, si l’on peut dire, les quanta d’action. Mais ils existent. Ce que l’on voit est surtout une illusion d’optique…

    Or, dans le vide quantique, nous sommes amenés par les expériences à conclure qu’on trouve des couples de particule et d’antiparticule, c’est-à-dire des quantités de charge égales et opposées sans cesse couplées. Ces couples apparaissent et disparaissent ensemble. Pas de particule qui apparaisse sans son anti-particule. Ils définissent des temps qui sont des grains égaux et opposés. Le temps n’apparaît pas, dans le vide, comme un écoulement continu positif – celui que l’on appelle « la flèche du temps- mais comme des quanta à la fois positifs et négatifs désordonnés parce qu’ils apparaissent et disparaissent. Du coup, d’où va venir le monde matériel que nous connaissons, avec ses masses positives, ses énergies positives, ses espaces et écoulements de temps, toujours positifs, avec son ordre ? Eh bien, il n’est pas à l’origine du monde ! C’est le désordre de l’opposition du positif et du négatif qui l’a fait émerger… C’est le vide qui oppose sans cesse les contraires du virtuel – les couples particule et antiparticule – qui va produire et reproduire la matière, l’espace, le temps, l’énergie. Ce sont des éléments virtuels qui fondent le réel. Les couples virtuels fondent des photons ou particules d’interaction. La particule dite réelle est entourée par un nuage de particules et d’antiparticules virtuelle en pleine agitation fondée sur les interactions de charges positives et négatives de ces couples. Elles lui donnent sa position : qui saute sans cesse d’une particule à une autre du nuage de polarisation. Elles lui déterminent la direction de son mouvement et ce que l’on appelle la vitesse (à ne pas concevoir comme mouvement cinématique) en définissant des distances par des photons et des temps par des photons virtuels.

    • Quel lien entre espace, temps, matière, lumière et vide quantique ?

      On a longtemps cru que la masse était une caractéristique fondamentale de la matière.
      Mais on constate que la masse n’est pas constante et qu’elle n’est qu’une propriété qui saute d’une particule à une autre, d’une particule virtuelle du vide à l’autre.

      Qu’est-ce qui est fondamental et ne change pas ?

      La charge !

      Voici ce qu’en dit le physicien quantique Mark Silverman dans "And Yet it moves" (et pourtant elle bouge)

      "La conservation de la charge électrique est l’une des lois de conservation les plus strictement observée. A ma connaissance, aucune violation de cette loi n’a été observée. (...) La conservation de la charge est un phénomène local."


      Quel lien ?
      On pourrait se contenter valablement de répondre : on ne sait pas. Et ce serait vrai. Mais on doit également reconnaître que les réflexions de la science ont avancé dans ce domaine et porter à la connaissance de tout le monde les réflexions que l’on peut faire, c’est cela qui permet de philosopher sur la nature…

      Quelles idées sont déterminantes sur la question posée ?

      Nous estimons que ce sont les idées dialectiques d’ordre issu du désordre, de rupture de symétrie (ou symétrie brisée), de réel-virtuel et de virtuel-réel et de couplage matière-antimatière.

      Que veut-on dire par là ?

      Que le fondement d’un monde est dans ses contradictions et dans la lutte entre ses opposés menant à une rupture où l’un l’emporte finalement.

      Lorsque l’on vit dans un monde où une rupture de symétrie a été opérée, on ne voit plus qu’un seul côté des choses qui autrefois s’opposaient. Du coup, on a du mal à comprendre d’où elle sont issues.

      Ainsi, le monde matériel semble dirigé par des caractéristiques positives : énergie positive de la matière, écoulement positif du temps, distances positives d’espace et quantités positives des masses. Connaissons-nous des espaces, des temps, des masses, des énergies négatives à notre échelle dite macroscopique ? Non.

      C’est un effort intellectuel important d’imaginer que notre univers aurait une base fondée sur une contradiction dans laquelle cette positivité ne serait pas à la racine des choses…

      Mais la physique a été contrainte d’aller dans ce sens car elle a échoué à construire une interprétation de la réalité fondée sur le déplacement de masses dans l’espace et le temps. Elle a été contrainte de fonder, au contraire, ces quantités positives sur un univers dans lequel le positif et le négatif se contredisaient et se répondaient sans cesse : le vide quantique.

      On a longtemps cru trouver le fondement dans la particule de masse du type électron ou proton caractérisée par une masse au repos fixe et positive.

      Mais la quantité fondamentale de la matière ne s’est pas trouvée être la masse, le temps, l’espace ou l’énergie positive mais la charge de la particule.

      Dialectiquement, ce n’est pas étonnant que le fondement vienne d’un domaine où deux contraires sont face à face et se combattent sans cesse : charge positive et négative. Dialectiquement, il n’est pas étonnant qu’un monde où un des pôles s’impose soit issu d’un autre où les deux se contestent sans cesse la primauté. Que l’ordre de la matière soit fondée par le désordre des interactions. Que la matière soit fondée sur le vide. Et que le vide soit, en un certain sens, matériel.

    • La masse n’est plus une propriété intrinsèque,mais la mesure de l"interaction de la particule avec le champs de Higgs.

  • Seule l’expansodynamique peut répondre à tous les questionnements concernant le vide expansif (que j’appelle particulex) et le vide résultant en expansion (que j’appelle expanso).

    Les questionnements de ce site sont certes très interessant mais les réponses sont malheureusement souvent des idées reçues qu’il sera ensuite difficile pour l’expansodynamique (par formatage) de combattre et de rectifier, ce qui retardera d’autant son émergence (desormais quasi impossible).

    Je rappelle à tout hasard que l’expansodynamique est une nouvelle science de l’univers et donc une nouvelle physique, une nouvelle astronomie, une nouvelle cosmologie, une nouvelle astrophysique.

    Mais elle a un défaut rédhibitoire : elle est quasi impubliable.

    • Avant toute chose, il doit être parfaitement clair que lorsqu’un scientifique émet une supposition sur l’état de l’univers voici quelques milliards d’années, la chance qu’elle soit réellement exacte est infime. S’il prend cette idée comme point de départ d’une théorie, il est peu probable que cela soit une théorie scientifique, mais très vraisemblable que cela devienne un mythe.

      La raison pour laquelle tant de tentatives ont été faites pour imaginer dans quel état était l’univers il y a plusieurs milliards d’années tient probablement à la croyance répandue selon laquelle l’univers devait être, il y a bien longtemps, dans un état beaucoup plus simple, beaucoup plus régulier qu’aujourd’hui ; si simple, en vérité, qu’il pourrait être représenté par un modèle mathématique dérivé de quelques principes fondamentaux grâce à une réflexion très ingénieuse. A l’exception de quelques références vagues et impropres à la seconde loi de la thermodynamique, aucune motivation scientifique sérieuse ne semble avoir été donnée à cette croyance. Elle émane probablement des vieux mythes de la création. Dieu a établi l’ordre parfait et « l’harmonie », et il doit être possible de trouver quels principes il a suivi lorsqu’il a agi ainsi... Il était probablement assez intelligent pour comprendre la théorie de la relativité générale : dans l’affirmative, pourquoi n’aurait-il pas créé l’univers en accord avec ses merveilleux principes ?

    • Il me semble que la thèse qui ressort soit celle de Verlinde, ou théorie des champs quantiques topologiques.

      Il explique que la gravitation n’est pas une force (pas de quanta de gravitation) mais une émergence de propriétés au sein du vide issues des propriétés entropiques de la molécule.

      Lors d’un symposium tenu au Spinoza-instituut le 8 décembre 2009, il a introduit une théorie d’où découlent les formules « classiques » de la mécanique newtonienne. Le 6 janvier 2010, il a publié On the Origin of Gravity and the Laws of Newton. Selon cette théorie, la gravité est la conséquence d’une différence de quantité d’informations holographiquea dans le vide entre deux masses. Il extrapole cette conclusion à la relativité générale et à la mécanique quantique. Il refuse de considérer la gravité comme une force fondamentale : il la voit comme un phénomène émergent qui provient d’interactions microscopiques. Lors d’une entrevue avec le magazine de Volkskrant, il a affirmé qu’ « [au] niveau microscopique, les lois de Newton ne s’appliquent pas, mais elles s’appliquent aux pommes et aux planètes. Vous pouvez comparer ceci à la pression des gaz. Les molécules n’ont pas de pression par elles-mêmes, mais un baril de gaz oui.]. »

      Son approche à propos de la gravité expliquerait correctement la manifestation de l’énergie sombre[3]. Les échecs des autres théories à expliquer la faible amplitude de cette énergie constitue un important embarras en physique théorique.

  • Pouvez-vous résumer votre point de vue sur ce qu’est le vide quantique ?

  • Le vide quantique semble bien le véritable monde matériel, la base réelle en termes de particules et d’antiparticules de tous les phénomènes y compris la matière à notre échelle. Cependant, les particules et antiparticules du vide quantique ont la propriété de ne pas être durables mais fugitives. La base du monde est donc un univers sans cesse agité et changeant…

    • JFP¦¦02112019¦¦Nous sommes ébahit sur la clarté et de la richesse de mécanismes de cet article, qui sont vos concepts en mécanique quantique. Nous regrettons de ne pas avoir commencé à vous lire par ce type d’article, car que des tas de choses très intéressantes et sans citation. Nous avons lu, mais nous relirons plusieurs fois tant il il y a de concepts et d’explications très claires.
      ▬Notre remarque est que les anti-choses ne définissent en rien une charge négative, ainsi anti-matière comme anti-particule ne définissent pas une charge MOINS. Le modèle de la matière comme celui de l’anti-matière utilisent les deux charges opposées. Pour l’atome de matière c’est d’avoir un centre de charge PLUS et un externe MOINS, et l’atome de l’anti-matière est l’inverse avec un centre MOINS et un externe PLUS. Donc parler de couple de particule virtuelle possédant une particule et une anti-particule, prête à confusion car on devrait comprendre un couple de particules virtuelles de charges PLUS et MOINS. L’anti n’est pas plus le MOINS que le PLUS, et donc nous interprétons, mais c’est dommage.

  • JFP¦¦04112019¦¦Merci de vos retours et des possibilités de lire plus logiquement vos articles sur des thèmes spécifiques,
    ▬Dans toutes vos explications nous comprenons et concluons qu’il y ait deux types de particules virtuelles bien distinctes, qui sont celles que l’on pourrait dire de base ou simples qui sont les particules virtuelles couplées de charge MOINS et PLUS et les particules virtuelles complexes qui sont une copie des particules dit du réel et où c’est ce boson de Higgs qui saute d’une particule virtuelle complexe à une autre, donnant une propriété de masse éphémère, et où il faut comprendre qu’en fait c’est cette propriété de masse qui saute d’une particule virtuelle complexe à une autre donnant l’illusion d’une masse continue de ce monde macroscopique. Ces deux types de particules simples et complexes apparaissent et disparaissent spontanément sans que l’on sache pourquoi ni comment, et donc qu’il y a bien quelque chose qui déclenche ces états de faits, mais qui n’est pas abordés et encore moins expliqués. C’est comme si on avait une guirlande de noël qui clignotait et quand cela est éteint toutes les particules virtuelles sont absentes et quand c’est allumé toutes ces particules virtuelles existent très brièvement. Nous ne savons pas d’ailleurs si cette représentation imagée de guirlande de noël clignotante correspond à vos descriptions, car cette même guirlande pourrait être vu différemment où cela n’est pas l’ensemble qui s’allume et qui s’éteint, mais par une non simultanéité. Nous n’avons pas trouvé d’explication sur cette simultanéité ou son contraire pour ces particules virtuelles qui apparaissent et disparaissent, et on est en droit de se poser simplement la question.
    ▬[distances par des photons et des temps par des photons virtuels.]
    ▬Pourquoi les photons réels ne définiraient que les distances, et les photons virtuels que le temps Ɂ
    ▬[Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul :]
    ▬Pourquoi vouloir considérer que l’électron soit un corpuscule avant le passage des fentes de Young Ɂ Pour nous un électron est toujours dans ce mode ou état particulier d’onde stationnaire, malgré que l’on n’aime pas du tout cette expression, et considérer donc que cet électron soit toujours un non corpuscule, et que c’est seulement quand cet électron s’écrase sur une plaque de détection, qu’il devienne corpuscule. Si cet électron se déforme constamment et même changeant de volume très variable, il ne peut pas être un corpuscule compressé mais justement une structure non figée et molle qui s’étale dans l’espace changeant sans cesse de forme. Ainsi avant, pendant et après passage des fentes de Young l’électron reste une structure molle, où après passage sa géométrie définie une nouvelle forme particulière correspondant à deux géométries temporaires donnant du coup une sorte de résonance que l’on appelle interférence, et c’est seulement quand il arrive sur une plaque de détection, qu’il se construit en corpuscule, rassemblant du coup ses géométries. Si la plaque de détection était placée beaucoup plus loin des fentes de Young, nous pensons que les franges disparaîtraient, mais nous ne savons pas si ce type d’expérience à été réalisée. Cette façon de voir les choses en deux géométries ne va pas à l’encontre de vos concepts de disparition et de réapparition sur d’autres particules virtuelles complexes, mais cela sous-entend déjà que ces particules virtuelles complexes donnent encore plus de possibilité, et on peut même se demander si ce n’est pas ce boson de Higgs qui saute ne regroupe pas lui-même un ensemble de particules virtuelles couplé de base pour en faire l’équivalent de cet électron ou d’une partie de cet électron. On peut avoir cette vision où ces particules virtuelles complexes ne pré-existent pas, mais sont créées par regroupement via ce boson de Higgs. Ainsi la panoplie de toutes ces particules réelles ne se retrouvent pas directement dans ce vide en tant que particules virtuelles complexes, mais ce sont les bosons de Higgs qui font ce travail de regroupement à partir de particules virtuelles de base ou simples qui sont couplées, et cette façon de voir est beaucoup plus simple que d’avoir toute la panoplie des particules dites réelles en virtuelles. La complexité du virtuel pourrait ne plus pré-exister, il se créer suivant les besoins, et cela enlève du coup cette répartition inconnue de ces particules virtuelles complexes pré-existantes. Dans le cas de cette division de géométrie initiale de l’électron passant par deux fentes de Young, ce qui est important de souligner, c’est que la charge totale initiale est négative, ne peut pas être conservée en deux charges négatives, mais qu’une division de l’électron aura une charge négative et l’autre division sera obligatoirement neutre, exactement comme les particules virtuelles couplées. De là on peut même dire que l’électron est un assemblage de ces particules virtuelles de base, où un grain positif est absent, et rendant cet électron en charge négative, et que pour le positron qui est son anti, ce simple grain de déséquilibre est lui de charge positive. Avec cette façon de voir les choses nous retombons sur ce que nous avions déjà exposé, à savoir que tout est grains de base, où vos particules virtuelles de base ou simples, sont en réalité deux grains de charge opposées. Ce n’est pas que nous refusons vos concepts de particules réelles en virtuelles, mais cela oblige d’avoir toute la panoplie de toutes les particules virtuelles complexe sous la main et en permanence. Il nous sommes plus simple d’avoir une base très simple de ces particules virtuelles couplées disponible presque tout le temps et prêtent à l’emploi, et que c’est ce boson qui oblige en sautant, à regrouper cette base pour en faire une virtualité plus complexe. Nous ne voulons absolument pas imposer nos idées, mais nous émettons seulement des possibilités non données. Ce nuage de polarisation autour de particules au moment où elles sont dites réelles, est en fait un nuage constitué que de particules virtuelles couplées simples et c’est seulement quand ce boson saute qu’il regroupe lui même les bases nécessaires pour en faire une notion plus complexe. Même si cette façon de voir est fausse, elle est pour autant beaucoup plus simple en compréhension, et nous pensons que pour d’autres personnes, la nature est aussi plus simple. Cela permet aussi de comprendre que ce neutron totalement instable quand il est isolé, ne l’est plus quand il fait partie du noyau atomique, et ceci pourrait s’expliquer qu’une particule virtuelle la plus simple possible sans être couplée par paire avec son opposée en charge, passe du neutron au proton, trans formant du coup ce neutron en proton, et le proton récepteur en neutron, et où ce jeux est un va-et-vient sans cesse donnant du coup un équilibre constant de vie à ces particules, et non d’une durée de vie courte. La règle serait que la stabilité en durée de vie des particules n’est liée qu’à un déséquilibre en charge, rendant soit une particule positive ou alors soit négative, c’est à dire que les charges neutres ne sont que des apparences et sont instables, et que cette neutralité soit un équilibre en charge négative et positive.
    ▬Nous avons d’autres remarques sur votre article, mais pour ne pas tout mélanger, une première remarque sur cet électron qui pour nous est toujours en mode non corpusculaire remettant en cause cette dualité, où celle-ci n’existe que quand l’électron meurt et donc qu’il s’écrase rendant au vide sa constitution. Et la deuxième remarque est que la pré-existence de particules virtuelles complexes n’existe pas vraiment mais se construit suivant les besoins, et c’est donc ce boson qui rassemble le nécessaire à partir de particules virtuelles couplées de base, pour pouvoir donner une masse temporaire à un ensemble de particules virtuelles de base, mais tout ceci ne sont que des suggestions, mais néanmoins cela permet de rendre plus simple cette virtualité du vide quantique. Quand ce boson quitte la particules devenue réelle, celle-ci devient virtuelle complexe, mais cela se décompose alors en particules virtuelles couplées de base rendant au vide ce qu’il est à l’origine. Ces particules virtuelles complexes existent bien mais sont encore plus qu’éphémère quand ce boson quitte ces ensembles et que ces mêmes ensembles se décomposeront à nouveau en particules virtuelles couplées de base, qui est donc la base de se vide quantique. En espérant que vous ne prendrez pas mal nos idées qui ne sont que des suggestions, mais qui peuvent néanmoins fonctionner. Votre site est bien pour ce fait d’avoir des confrontations d’idées différentes et pouvoir exprimer d’autres façons de voir les choses. Nous continuons sur ce même article très riche en concepts et en explications...
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • « Pourquoi vouloir considérer que l’électron soit un corpuscule avant le passage des fentes de Young Ɂ » dites-vous.

      En fait, il n’existe pas de corpuscule isolé. Un corpuscule est l’une des particules virtuelle du vide qui a momentanément reçu le boson de Higgs et peu après ce corpuscule n’est plus réel mais virtuel à nouveau. Il est toujours entouré de particules et d’antiparticules du vide. Autour du corpuscule momentanément réel, il y a une forme d’organisation spéciale du vide qui place les particules et antiparticules en sphères concentriques orientées par la charge, avec des couches successives que l’on appelle écrantage de la charge du corpuscule momentanément réel...

      Donc par les fentes et avant les fentes il y a le corpuscule entouré et le corpuscule passe par une seule fente et l’entourage organisé par les deux !!!

  • JFP¦¦05112019¦¦Suivant votre retour, le nuage de polarisation entourant une particule quelconque, peut très bien entourer une forme qui n’est pas forcément sphérique. Si la particule est une sorte de disque incurvé, le nuage de polarisation s’adapte alors à cette forme et d’ailleurs ce nuage s’adapte à toutes les formes possibles, car pourquoi vouloir considérer qu’une particule soit de forme sphérique Ɂ Il est vrai que cela casse l’habitude de voir les choses.
    ▬Vous n’avez pas émis d’opinion sur le sujet exposé qui est de voir comme une représentation imagée, toutes les particules virtuelles simples ou complexes comme des guirlandes clignotantes d’un sapin de noël, et où celles-ci apparaissent en même temps et disparaissent en même temps ou justement son contraire comme non synchronisées. Pour le dire autrement les particules virtuelles de tous genres apparaissent t-elles en même temps, et disparaissent t-elles en même temps ou alors il n’y a pas de simultanéité de ces apparitions et de ces disparitions Ɂ
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦05112019¦¦Pour essayer de départager si l’électron passe par une seule fente ou par plusieurs fentes de Young, voici une expérience de pensée, qui n’a peut être as pas été réalisée. Si on met des plaques successives avec les mêmes fentes de Young en profondeur, par exemple 8 plaques, cela nous donne 2 puissance 8 donc 256 divisions. Votre nuage de polarisation guidant le corpuscule d’électron, se trouverai donc divisé par 256, ce qui devrait énormément l’affaiblir, ne pouvant normalement plus guider cet électron. Le résultat serait sans doute que les franges d’interférences disparaissent complètement. Si au contraire l’électron passe par toutes ces fentes de Young successives, l’interférence devrait être gardée mais cette interférence serait multipliée et divisée et donc d’avoir des franges plus resserrées. Comme vous nous aviez dit que vous connaissez des scientifiques, pourquoi pas leur présenter cette expérience.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦05112019¦¦Vous répondez souvent qu’à une seule question à la fois. Nous réitérons donc une seule question restée sans réponse portant sur l’apparition et la disparition des particules virtuelles¦¦ Avez vous une opinion sur le sujet de voir comme une représentation imagée, toutes les particules virtuelles simples ou complexes comme des lumières des guirlandes clignotantes d’un sapin de noël, et où celles-ci apparaissent en même temps et disparaissent aussi en même temps. Pour le dire autrement les particules virtuelles de tous genres apparaissent t-elles en même temps, et disparaissent t-elles en même temps Ɂ Pouvez vous nous donner votre opinion Ɂ
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • En fait, aucune particule ou antiparticule ne disparaît à proprement parler. Certaines particules perdent un boson de Higgs et passent de réelles à virtuelles, d’autres se couplent pour donner des photons (ou bosons), d’autres passent ensuite à virtuelles de virtuelles. Ce que l’on appelle disparition et apparition, ce sont seulement des changement d’états de la matière.

  • JFP¦¦06112019¦¦Nous ne savons pas si vous avez bien interprété notre question sur les fentes fentes de Young, car dans votre réponse " fentes très peu distantes" peut définir que sur une seule plaque il puisse y avoir plus de deux fentes. Notre question ne portait pas sur plus de deux fentes sur une même plaque, mais chaque plaque possède deux fentes et où le nombre de plaques est de 8 donnant du coup 256 divisions. Il faut donc voir des plaques assez rapprochées l’une de l’autre et intercalées, mais chaque plaque possède que deux fentes et le nombre de plaques est de huit. Si à la première plaque le nuage de polarisation se divise plus ou moins en deux parties, à la deuxième plaque chaque division du nuage se divise encore en deux, et cela jusqu’à la huitième plaque. Avant que l’électron s’écrase sur la plaque réceptrice de détection, on devrait avoir 256 PORTIONS théoriques de ce même nuage de polarisation initial. Et nous nous demandions si cela pouvait avoir une incidence sur les franges d’interférences tracées sur la plaque de réception.
    L’expérience à faire est sûrement plus complexe que nos explications simples, car en fait en plus du nombre de plaques, le nombre de fentes doit aussi doubler, et intercaler les plaques les une aux autres demande un réglage très fin....
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦06112019¦¦Ces changements d’états pour toutes les matières sont-ils simultanés Ɂ Ceci pour reprendre vos explications et ne pas utiliser les mots "disparition" et "apparition" liés au message du [6 novembre 06:42]. Pour utiliser un vocabulaire encore plus pauvre¦¦Ces changements d’états se font-ils en même temps Ɂ
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦06112019¦¦Les questions de candides sont souvent très simples voir même trop simples, mais elles peuvent être aussi très difficiles et épineuses en même temps. A une question très simple attendant une affirmation ou son contraire, on ne peut pas toujours avoir une réponse directe comme un OUI ou comme un NON, car si il y avait une vraie réponse par un OUI ou par un NON, sans argument, cela serait de faire un choix sans vraiment savoir sur quels critères porte ce choix si on ne sait pas vraiment. Ces questions de candides sont des questions qui semblent ne pas être des questions élémentaires, comme fondamentales, mais sembler n’est qu’une apparence. On peut répondre OUI comme encore NON ou encore je ne sais pas, je vais y réfléchir, mais dans ce dernier cas qui est une réponse anormale, la question simple devient alors compliquée, car le candide soulève un point sur lequel on ne sait pas répondre. Pour donner une autre forme de réponse à une seule question attendant un affirmation ou une infirmation, c’est encore de ne pas répondre. Dans vos réponses même à d’autres lecteurs, nous n’avons jamais vu ce genre de phrase, "je ne sais pas". Nous pensons que les sciences sont aussi cela, à ne pas dire "nous ne savons pas". Est-ce que d’apparaître est une état de la matière, est-ce que de disparaître est un autre état de la matière Ɂ Pour nous cela ne sont pas des états mais des changements de positions différentes, ainsi ce qui disparaît se trouvera ailleurs, et ce qui apparaît est venu d’ailleurs. La chose apparue ou disparue est exactement la même chose, mais à simplement changée d’endroit, et dire que cela devient un état de la chose nous parait inadéquat. Vos sauts quantiques sont parfait pour justement ces apparitions et ces disparitions, et nous ne comprenons pas pourquoi inventer un état de l’entité. Un état d’être ici plutôt qu’ailleurs, ou un état de ne pas être ici mais ailleurs, nous semble pas être des états particuliers à l’entité, mais simplement des changements de positions même brusques. Maintenant est-ce que ces changements de positions de ces entités, se font tous en même temps, qui est la vraie question d’origine et demandée et qui est restée sans réponse, et bien nous pensons qu’il n’y aura jamais de réponse, ce qui veut dire "je ne sais pas". Mais néanmoins nous vous remercions énormément sur les questions auxquelles vous savez très bien répondre et qui de plus ont toujours des retours en y répondant.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦07112019¦¦Très heureux que vous ayez publié nos deux messages, car ils auraient pu être censurés. Nous ne dénonçons rien, et nous apprécions énormément vos retours qui réenclenchent sur des articles pouvant nous donner des réponses. Vous êtes modeste, car en plus de savoir des tas de choses, vous avez vous-même des concepts innovants. Il n’y a pas de combats entre vous et nous, mais seulement une confrontation d’idées et de concepts. Quand nous vous proposons quelques de nos idées, c’est simplement pour ouvrir un champ plus grand de possibilités éventuelles. Ce domaine du quantique nous l’avons découvert par vos articles, mais nous pensons que l’on peut interpréter ce qui est déjà dit et remettre en cause même ce qui n’est pas de vous, car après tout, ces scientifiques ne font que des propositions et ont des regards inventifs qui ne sont peut être pas LA vérité. Notre but n’est pas de combattre cette communauté scientifique, mais simplement de pouvoir remettre en cause ce que l’ensemble de ces scientifiques ont pu imaginer et allant toujours dans le même sens. Nos vraies idées et concepts initiaux, viennent de cet infiniment grand, et comme tout est lié nous avons découvert cette physique quantique par le biais de vos articles, et nous essayons d’émettre quelques idées venant de ces lectures et de vos réponses. Nous ne sommes absolument pas buté, car nous pouvons remettre en cause nos interprétations, car la vérité se trouve partout suivants des regards différents. Nous sommes très heureux de pouvoir échanger avec votre site, où nous nous sommes embarqué que sur un thème donné.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦07112019¦¦Suite à vos retours désobligeants, froissants, blessants et même choquants¦¦
    ▬Nous ne nous démontons pas Monsieur Paris, malgré vos retours très agressifs. Même si il y a eu des erreurs de notre part en supposant que. Cela date déjà presque d’un an. Nous ne comprenons pas que cela surgisse en bloc. Nous vous dérangeons sûrement avec nos écrits et nos petites idées, mais ce que vous venez de décrire est largement grossit et trop concentré. De dire que vous êtes plusieurs, mais en vous, car d’être aussi variable donne bien cette impression que vous avez plusieurs langages et plusieurs façons de réagir. Votre calme n’est peut être qu’une façade, et pour preuve avec votre dernier retour. Gardez vos sauts d’humeur sans raison, nous gardons vos sauts quantiques moins impulsifs. Nous continuerons nos messages en les réduisant même si il n’y a pas de lecture de votre part et pas d’édition. Si vous pensez que [Cher Monsieur ! Rescapé des camps communistes pour cause de mon approche logique du virtuel et du réel] d’un de vos lecteur, soit moins agressif que nos écrits, et bien nous ne vous comprenons rien à vos réactions.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Mr Pouliquen, je ne prétends pas détenir la pierre philosophale ni le mécanisme universel de la matière (ce qui suppose aussi de la lumière et du vide puisque ce sont des inséparables). Je me contente de donner, à ma manière parfois plus abrupte ou affirmative que je ne le souhaiterais, mon point de vue ou celui des scientifiques qui me convient, celui d’un vide quantique formé de particules et antiparticules virtuelles qui fonde les mécanismes de la matière-lumière. Je me contente d’affirmer que la notion particule de matière (dite réelle) considérée comme inséparable de son « nuage virtuel » fait de couples particule/antiparticule virtuels, la particule matérielle étant une propriété qui saute d’une particule virtuelle à une autre, cette image nous semble donc répondre à peu près à toutes les demandes de la physique quantique, à savoir les expériences quantiques de relation matière-lumière, type fentes de Young, incertitudes d’Heisenberg, écrantage de la charge de la particule, complémentarité de Bohr, onde de Broglie, effet tunnel, spin de la particule, onde de probabilité de présence, équation de Schrödinger, inséparabilité quantique, réduction du paquet d’ondes, gravitation quantique, diffraction quantique, chat de Schrödinger, paradoxe EPR, inertie de la matière due au vide, émissions de l’atome, diffraction des particules, caractère pulsation-énergie des la particule, propriétés gravitationnelles, électromagnétiques et inertielles du vide quantique et autres « bizarreries » quantiques !

      Je ne vous contredis pas pour le plaisir de vous contredire mais parce que je me contente de développer ce point de vue, d’ailleurs largement exposé dans ce site, accessible à tous et discutable par tous. Je ne vous demande pas de le partager ni de ne pas le critiquer. Seulement de ne pas me faire de morale et de discuter de science et de philosophie, tant que vous le voulez… Sur vos suggestions et propositions, je ne récuse rien, je ne reproche rien, cer elles partent d’autres présupposés que moi : je me contente de vous donner mes réponses. Comme vous pouvez le constater en lisant de nombreux articles : il ne s’agit pas d’un point de vue détaché du reste mais d’un ensemble où tout est lié. Ce n’est pas cependant à prendre ou à laisser (vous pouvez être d’accord avec une petite partie, voire avec un seul article), mais ce n’est pas non plus négociable ni amendable en tranches (examinez-le comme un tout si vous voulez en comprendre le sens et n’essayez pas de le transformer détail par détail, au risque de ne plus vous retrouver nulle part) ! Il vaut bien mieux développer, indépendamment de mon point de vue, les idées du vôtre et vous comprendrez nettement mieux où vous en êtes. Pour le reste, il me semble que des petites questions précises et pointues feraient tout à fait avancer la chose… Mais, encore une fois, mis à part des attaques gratuites, vous êtes parfaitement maître de vos écrits, y compris de vos commentaires sur ce site, je ne vous donne ces conseils, que vous avez parfaitement le droit de trouver sans intérêt et de ne pas suivre, uniquement parce que vous protestez de mes réponses insuffisantes, ne suivant pas assez vos questions, dites-vous. Vous regrettez que je n’entre pas dans votre système de pensée, mais c’est très normal car je n’ai pas de raison de le faire.

  • Petite synthèse de vos explications sur le réel et le virtuel. Si on classe par niveau ce réel et ces virtuels, on peut considérer que le niveau N0 soit le niveau du réel et les N1 et N2 des niveaux du virtuel. Ce niveau N0 est le niveau macroscopique des objets vu en permanence, où les atomes semblent totalement fixes sans vibration, sans changement, mais ceci n’est qu’une apparence, car ce qui défini les atomes, sont les particules élémentaires qui sont en agitation permanente et sont d’un autre niveau dit microscopique sans être virtuel pour autant, mais c’est ce dernier qui change. ▬Le niveau N1 est celui des particules virtuelles complexes qui est une copie conforme à toutes les particules du réel microscopique, mais n’appartenant pas à notre réalité, et ce faute d’énergie insuffisante. C’est par ce boson de Higgs s’accolant à une particule N1 que se transforme une particule N1 en particule N0, passant du coup du virtuel au réel et où cette énergie est donnée. Ce boson de Higgs saute de particule N0 à une particule N1, rendant N1 en N0 et laissant cet ancienne N0 en N1. C’est donc ce boson en s’accouplant provisoirement par sauts successifs qui change l’état des particules, et c’est donc lui qui nous fait voir notre réalité, mais une réalité instable à ce niveau. C’est donc une réalité fugitive éphémère et instable que nous constatons et qui n’est qu’une illusion fixe des objets, car en fait, ces mêmes objets se renouvellent constamment par sauts successifs de ces bosons donnant cette illusion d’avoir des objets fixes et étant les mêmes objets. L’atome n’est donc qu’une apparence trompeuse de ce qui se passe en dessous. Ces bosons de Higgs sautant sans cesse de particules N0 à N1 nous donnent donc ces micro-touches de réalité qui ne sont jamais les mêmes particules, mais toujours les mêmes caractéristiques, comme la masse par exemple, et on peut considérer que ce sont les attributs du réel qui sont gardés mais jamais les mêmes particules portant ces attributs. Donc la vision de l’atome ou d’autres particules du réel N0, nous donnant des caractéristiques précises sont en fait des caractéristiques venant de ces bosons portées par des particules provisoires et éphémères et jamais les mêmes, constituant un ensemble comme l’atome. Les photons donc les bosons font de même, mais ne s’adressent pas à ces particules complexes N1 mais d’un autre niveau. ▬Le niveau virtuel N2 est constitué de particules associées en couple ou paire et de charges opposées PLUS/MOINS. Ces particules du N2 dit virtuel du virtuel, constituent des nuages de polarisation, où ces mêmes nuages entourent les particules N0 comme N1. Chaque nuage accompagne une particule N0 ou N1 comme encore les photons qui sont des bosons. Donc particules N0 (réel) et particules N1 (virtuel) comme encore les bosons sont toujours accompagnés d’un nuage de polarisation constitué par ces couples de particules N2 de charges opposées PLUS/MOINS. Chaque photon réel est un couple de particules N2 de charges opposées ayant reçu une énergie suffisante pour ne plus rester virtuel et garder cette énergie constamment. On pourrait même dire que ces photons réels ont reçu un autre type de boson de Higgs spécial, au même titre que les particules N0 qui étaient des particules N1, car il y a une très grande similitude. Chaque nuage est organisé fonction de la charge de la particule N0/N1 centrale du nuage électrisé, ainsi ce sont les couples qui s’orientent et se placent dans le sens de la particule centrale où il y aura opposition de charge, ainsi si la particule centrale est de charge négative, les couples s’orientent de telle façon que le PLUS soit plus proche de ce centre négatif, et que l’autre particule du couple N2 soit à l’opposé et donc externe. Cet arrangement fait que la particule centrale N0 ou N1 définit des couches électrisées successives négatives/positives donnant une structure d’oignon avec des couches de charge PLUS et des couches de charge MOINS. Dans le cas du photon réel nous ne savons pas comment se fait cette organisation du nuage de ces particules N2 du nuage de polarisation, si toutes fois il y a une vraie organisation. On peut donc supposer que les couches de charge deviennent des demies couches car une partie de demie-couche négative et l’autre demie-couche positive, et ce sans savoir si ce couple N2 central du photon soit toujours orienté de la même façon dans l’espace. Il est dit aussi que ce nuage forme un champ électromagnétique, et donc qu’entre deux couples N2 du nuage de polarisation ce champ existe. Ce nuage de polarisation suit aussi bien les particules N0 ou N1 et même photon réels de couples N2, mais ces mouvements sont en réalité des successions de sauts du boson de Higgs pour les fermions avec passage de N0 à N1, et aussi les mêmes successions de sauts pour les photons où la transmission des caractéristiques du photon utilise directement les particules N2 et non N1 comme les fermions. Dans les deux cas il y a transfert d’énergie, et la particule support de notre réalité n’est jamais la même où est portée cette énergie. Ces particules virtuelles N1 comme N2 suivent la particule en mouvement, mais ce qu’il faut comprendre c’est que le mouvement ce fait en réalité par sauts via les transferts de caractéristiques d’une particule à une autre, où ce n’est pas l’objet qui se déplace mais ses caractéristiques. La fréquence du photon, toujours d’après les explications, est la fréquence du cycle de l’éloignement et de rapprochement des deux particules N2 constituant le photon. On peut donc dire que ce couple de particules N2 vibre ou oscille, et donc plus la fréquence du photon est grande, plus le cycle de vibration est court en temps, et forcément inversement plus la fréquence du photon est faible plus la durée du cycle de vibration est longue. Dans cette approche de concept, il y a deux formes d’énergie, car cette énergie donnant le mouvement qui est celle de la vitesse de la lumière indépendamment de la fréquence du photon, et la deuxième énergie est celle de la vibration ou oscillation du photon par ses deux particules vibrantes et oscillantes du couple N2, et ceci fait que tous les photons sont constitués de la même façon, et seule la fréquence change. ▬Pour synthétiser, le réel n’est qu’une succession de transmissions d’énergie passant par des particules N1 pour les fermions et N2 pour les bosons où en fait les particules du réel ne sont jamais les mêmes, mais où les caractéristiques de ce réel sont transmises par sauts par les particules N1 ou N2 réceptrices, et comme il y a transmission la particule émettrice perd ses facultés d’être réelle pour les fermions et redevient une particule N1, et pour les photons N2. Ceci est donc un petite synthèse pensant avoir compris vos explications sur les différents niveaux du virtuel N1 et N2 et sur ce réel N0 qui n’est qu’une illusion ou apparence fixe à notre échelle du macroscopique où on peut voir les objets, mais non fixe au niveau inférieur qui est celui du microscopique et où il y a des changements permanents utilisant les N1/N2. ▬RÉFLEXIONS¦¦ C’est ce boson de Higgs qui défini notre réalité, et si ce boson de Higgs était absent, il n’y aurait pas de réalité ni matière comme on la connaît, et par opposition si il y avait plus de boson de Higgs il y aurait forcément plus de matière, car les particule N1 sont là en attente d’être bien réelles, et on peut largement se poser des questions philosophiques sur des surplus de matière à n’en plus finir, et même de ne plus avoir ces particules éphémères N1 du virtuel ne pouvant plus être utilisées comme transfert de caractéristiques de support... Il y a bien matière à philosopher à avoir moins ou plus de matière dans ces extrêmes de possibilités, et donc que ces bosons de Higgs sont une clé. Une autre réflexion moins philosophique est qu’il existe un champ quantique entre deux couples de particule N2, et cela sous-entend qu’il puisse y avoir un troisième type de virtuel qui serait un niveau encore inférieur comme étant N3. Et ce champs quantique n’est pas la seule raison à concevoir ce nouveau niveau N3 du virtuel, car si ce nuage de polarisation est organisé c’est qu’il y a échange entre ces mêmes particules N2 qui sont des couples de charges opposées, car pour que ces couples s’organisent et s’orientent, il faut bien des particules d’interactions ou faisant des liens et donc communiquant avec ces particules N2 de ce nuage de polarisation. Pour le dire autrement un nuage de polarisation ne s’organise pas tout seul car il faut des liens entre ces couples de particules N2, et ce n’est pas le vrai vide sans strictement rien correspondant au néant qui puisse être ce lien entre couples de particules N2, car il y a forcément quelque chose qui permet cette organisation et ces directions et orientations de ces couples de particules N2. Il y a donc comme un niveau supplémentaire de virtuel implicite, encore plus petit que le niveau N2 que sont les couples de charges opposées de ce virtuel de virtuel, car ces mêmes couples communiquent forcément entre eux par quelque chose de non défini dans l’exposé de cet article. Nous ne cherchons pas la petite bête, mais elle manque forcément. ▬Une autre réflexion est de dire que ces particules virtuelles complexes N1 n’existent que où existe la matière, ainsi ces particules complexes de niveau N1 n’existent pas dans ces espaces interstellaires ou intergalactiques et la raison que nous avions émise est que les photons venant de galaxies lointaines seraient forcément déviés par ces particules N1. Comme la mécanique de propagation des photons est décrite comme étant aussi une succession de sauts passant de N2 à d’autres N2, cela ne gène en rien à notre réflexion, car ces particule complexes N1 sont des obstacles à ces N2 se propageant avec l’énergie des photons. On voit mal dans cette représentation imagée que les particules complexes N1 s’écartent du passage du nuage de polarisation des photons. Et puis comme ces particules complexes N1 pourraient apparaître dans les nuages de polarisation accompagnant les photons car ces particules N1 apparaissent et disparaissent sans prévenir, et que forcément si ces particules N1 sont éphémères elle ont une durée de vie pouvant faire obstacle à ces photons sautant de N2 à N2. ▬Comme vous considérez les photons comme étant initialement un couple de particule N2 ayant reçu une certaine énergie durable, on peut très bien imaginer que ces particules simples du niveau N2 soient constituées de particules de niveau N3, comme on peut aussi imaginer que les particules complexes N1 soit aussi constituées de particules N2. Il y a donc comme une même substance définissant différentes particules virtuelles, mais ceci est une réflexion qui n’apporte rien au niveau des mécanismes. En fait notre réflexion est fausse, car on peut considérer l’espace rempli de ce niveau N3 non plus virtuel, et que ces couples de particules N2 se créer suivant les besoins et utilisent cette fausse substance de N3. Il en va de même pour ces particules virtuelles complexes N1 qui elles aussi se créer suivant les besoins de ces bosons de Higgs utilisant du coup ces particules de niveau inférieur N2 pour se construire en N1. Il y a ainsi des emboîtements de constitution partant d’un même niveau de faux virtuel qui devient une réalité indétectable, car ce nouveau niveau N3 est permanent et ne se détruit pas et ne se reconstruit pas, et devient du coup une sorte de substance de l’espace servant à des constructions temporaires et éphémères de niveau supérieur.

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