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Y a-t-il des sciences exactes ?

vendredi 3 février 2012, par Robert Paris

Y a-t-il des sciences exactes ?

On entend souvent dire que tel ou tel domaine « n’est pas une science exacte ». Mais qu’entend-on par là ? Y a-t-il des sciences exactes et d’autres qui seraient quoi ? Inexactes ? Incertaines ? Imprédictibles ? Irrationnelles ? Hasardeuses ? Non mathématisables ? Aux fonctions mathématiques chaotiques ? Pas tout à fait scientifiques et en partie métaphysiques, religieuses, psychologiques, ou dépendant des conceptions individuelles ? Sans réponse scientifique ou d’un autre type de sciences ?

Et les sciences dites exactes ? Qui sont-elles ? Sont-elles prédictibles, pas du tout soumises au hasard, au désordre, à l’agitation, à la non-linéarité, à la discontinuité (temporelle, spatiale, matérielle, logique, causale, etc…) ?

En fait, ce sont surtout des écrivains et des journalistes et pas des scientifiques qui parlent de cette prétendue « exactitude » de la science. Celui qui a pratiquement réalisé des expériences de physique n’emploie jamais ce mot d’exactitude. Celui qui connaît l’état actuel des sciences, y compris celles dites « dures » comme la physique, ne l’emploie pas non plus.

Les non scientifiques se prémunissent ainsi d’incursions de scientifiques dans des domaines qu’ils protègent comme la philosophie, la psychologie, la sociologie, la politique, l’histoire, l’anthropologie, etc… Dans ces domaines, ils prétendent ainsi pouvoir penser et écrire sans référence scientifique, sans référence philosophique, et ne dépendre d’aucun critère dit objectif.

Le fondement de leur affirmation est que dans le domaine où l’homme est déterminant (collectivement et individuellement), il interfère avec les résultats de l’expérience. Mais ils se trompent sur la science : l’homme interfère aussi…

Déjà la science est humaine comme les autres domaines. La nature ne nous parle pas en direct et il nous faut une conception pour l’interpréter et cette interprétation est tellement sujette aussi à discussions humaines qu’il n’existe pas un domaine scientifique qui n’ait été fondamentalement bouleversé de multiples fois.
En suite, l’exactitude n’a rien de naturel.

En effet, aucune quantité mesurée dans la nature n’est figée, véritablement fixée et les prétendues « constantes naturelles » ne correspondent jamais exactement aux mesures. Prenons un exemple fameux : la quantité d’électricité élémentaire qui correspond à la charge de l’électron ou du proton, une mesure très précise, très reconnue qui fixe notamment la manière dont deux particules s’attirent ou se repoussent suivant qu’elles sont chargées positivement ou négativement. Il n’y a pas de quantité considérée comme plus exacte, plus reconnue, plus universelle. Et pourtant…

Pourtant, aucune expérience se rapprochant d’une particule ne donnera justement cette mesure. Pourtant, tout expérimentateur sait qu’on peut faire des milliers de fois l’expérience qui a mesuré cette charge et trouver autre chose et celui même qui l’a trouvée avait plus souvent trouvé autre chose que cette valeur. Ce n’était même pas la moyenne des valeurs qu’il avait trouvées !!!

Parce que, dans les expériences, jamais un seul phénomène n’agit de manière univoque, jamais une force n’agit dans un sens sans qu’existe aussi une force inverse souvent agissant à un niveau inférieur ou supérieur et qui la limite, s’oppose à elle et l’annule parfois. Dans un phénomène, ce n’est jamais à un seul niveau de la réalité que les choses se passent mais à plusieurs.

Si ce n’était pas le cas, la gravitation attirant les masses les amènerait à s’écraser les unes sur les autres, l’attraction ou la répulsion électromagnétique empêcherait la formation des atomes et des molécules en repoussant toute association des charges. L’attraction gravitationnelle ferait très rapidement s’écraser sur elle-même l’étoile, etc, etc…

Si la nature était exacte, le monde ne serait pas mouvant, bougeant, en agissant par transformations parfois brutales et discontinues.
Le modèle présenté comme l’exactitude est celui des mathématiques. Et, là aussi, journalistes et commentateurs non scientifiques sont ceux qui donnent le plus une place erronée aux mathématiques aux sein des sciences.

Tout d’abord examinons ce qu’est ce domaine soi disant absolument exact et indiscutable.

Les mathématiques sont loin d’être un domaine d’où l’intervention humaine et l’imaginaire de l’homme soient exclus. On peut très bien faire des mathématiques loin du réel et sans but de s’appliquer au réel. Ce qu’on demande aux mathématicien, c’est d’appliquer certains critères philosophiques (logiques) et opérationnels et faire en sorte que sa mathématique soit entièrement cohérente. Mis à part ces considérations, le mathématicien est en théorie parfaitement libre d’inventer toute mathématique qui lui chante, même parfaitement opposée à celles de ses prédécesseurs…

Puisque seule la cohérence interne est demandée à un nouveau domaine mathématique, il ne lui est nullement imposé d’être en accord avec les autres domaines. Toutes les mathématiques ne cherchent pas à se structurer en une seule grande théorie. Diverses théories mathématiques ont parfaitement le droit d’arriver en leur sein à des résultats qui, comparés, seraient parfaitement incompatibles. On se souvient que pour certaines mathématiques, il n’y pas de droites parallèles, pour d’autres les droites parallèles se rencontrent toujours, et pour d’autres encore, la droite n’existe pas… Et aucune n’est censée faire disparaître un jour les autres théories. Aucune expérience n’est censée trancher entre ces diverses théories et donner raison à l’une plutôt qu’à l’autre. La science de la nature ne fonctionne absolument pas ainsi. Il y a un seul monde matériel et tous les phénomènes interagissent entre eux. Ils ne peuvent pas être incompatibles. Une théorie dans laquelle ils le sont devra être revue et corrigée.

Bien sûr, un plus un égale exactement deux en mathématiques ! Mais, justement, cela prouve que ce n’est pas des sciences… Si la nature agissait ainsi, l’univers ne serait pas aussi riche en variétés, en évolutions diverses, en révolutions même… Il n’y aurait pas cette infinie variété de galaxies, d’étoiles, de planètes, cette quantité d’espèces vivantes. Il n’y aurait même pas la vie.

Ce n’est pas l’ordre seul, symbolisé par la loi mathématique, qui façonne le monde, mais aussi son contraire. Car toute loi physique est contredite à un niveau ou à l’autre. Tout ordre suppose une agitation à l’échelon inférieur et supérieur.

Les lois ne reflètent qu’une tranche de cette réalité qu’elles ont, momentanément et dans un but limité, prétendu extraire de l’ensemble imbriqué de toutes les interactions. Il n’est pas possible de trouver une loi agissant en même temps à tous les niveaux, à toutes les échelles, par exemple de la femtoseconde au milliard d’années. Il n’est pas possible de vérifier en même temps une loi à tous ces niveaux.

Entre les différents niveaux, il y a des ruptures avec des agitations créatives qui permettent de construire des mondes divergents…
Revenons, par exemple, sur la charge électrique élémentaire, celle de l’électron ou du proton. Rien de plus universel que cette quantité figurée par la lettre e. Et pourtant, la mesure de cette charge change considérablement quand on s’approche de l’électron ou du proton. On s’aperçoit alors que sa valeur est le produit de phénomènes se produisant à proximité du lieu du supposé électron et qui sont une agitation folle avec des apparitions et des disparitions de charges éphémères dans le vide. La constance prétendue était le résultat global d’un phénomène extraordinairement dynamique et désordonné et non le produit d’une constance de la conservation et d’une exactitude.

Les mathématiques et la physique sont considérées comme des sciences exactes et leurs contenus ne sont pas souvent mis en question lorsque la communauté scientifique les a acceptés. Et pourtant, les paradoxes ne cessent de nous montrer que des idées très anciennes n’ont pas forcément été dépassées par le progrès. Elles continuent à nous interroger.

Les questions que posent les paradoxes sur la nature de l’espace, du temps, de la matière, de la lumière, du vide, de la pensée, du raisonnement, de la réalité, de l’ordre, de la structure, de la conservation, de l’observation ne sont pas des questions qu’une seule expérience ou qu’une seule théorie va éteindre définitivement.
Le paradoxe, agitateur de questions au temps de Zénon, l’est toujours aujourd’hui pour ceux qui estiment que le monde ne doit pas seulement être mesuré et calculé mais pensé !

Paradoxe d’Achille, Paradoxe du boisseau, Paradoxe de la pluralité des lieux, Paradoxe de la pluralité des grandeurs, Paradoxe de la pluralité numérique, Paradoxe de la flèche en vol, Paradoxe du stade, Paradoxe des masses, Paradoxe de la dichotomie, Paradoxe de la pluralité des composants élémentaires, etc…, nous savons aujourd’hui que les paradoxes de Zénon ne sont pas de simples jeux de l’esprit ou des manifestations de l’absence de connaissance du calcul infinitésimal qui sera inventé ensuite par les mathématiques.
Bien sûr, en mathématiques, si on divise à l’infini on obtient un infiniment petit que l’on peut manipuler sans contradiction moyennant quelques précautions. On a alors ce que l’on appelle des séries dont la somme peut converger et effectivement les sommes des calculs de Zénon (par exemple, somme des distances à parcourir de plus en plus courtes) converge. Mais ce n’est pas réglé pour autant malgré ce qu’en pensent les mathématiciens… En effet, encore faut-il qu’existent physiquement ces fameux infiniment petits en matière, en distance ou en temps. Et ce n’est pas tout. Il faut aussi savoir si les infinis sont manipulables et ont un sens physiquement. C’est la question posée notamment par la physique quantique et elle est loin d’être définitivement résolue.

Cette question pose celle du temps en tant qu’écoulement par rapport au temps comme instant, de la divisibilité de la matière et des quanta soit celle de l’élémentarité, la question de l’objet par rapport à l’espace où il évolue (simple déplacement ou interaction ?), et du coup de la nature même de la matière et de l’espace ainsi que du mouvement. Des questions toujours en chantier...

Et surtout des questions dans lesquelles les contradictions ne sont pas un petit jeu de logique amusante mais sans intérêt mais le grand jeu de la découverte du monde et de ses lois ou de la contradiction réelle de ses lois...

On a longtemps cru ramener, par exemple, la physique à la mécanique dans laquelle on croyait que les objets dans un espace vide, indépendamment de cet espace en parcourant successivement des positions clairement établies à des vitesses aussi clairement établies. Cela s’est avéré faux. Il n’y a pas d’objet se déplaçant indépendamment de l’espace. Il n‘y a pas de position exacte d’un objet, ni de vitesse exacte.

Ne faudrait-il pas cependant maintenir la distinction entre études propre à l’homme (sciences dites humaines) et études relatives à l’univers matériel (sciences dites exactes) ? Le physicien Einstein, pour sa part, était persuadé que la démarche de la science n’avait de validité que si elle allait de la particule jusqu’à l’homme, ce que celui-ci perçoit du monde et ce qu’il y fait. Il écrivait ainsi avec Infeld dans « L’évolution des idées en physique » : « La science n’est pas une collection de lois, un catalogue de faits non reliés entre eux. (...) Les théories physiques essaient de former une image de la réalité et de la rattacher au vaste monde des impressions sensibles. Ainsi nos constructions mentales se justifient seulement si (et de quelle façon) nos théories forment un tel lien. »

L’idée que les sciences seraient exactes suppose qu’elles ne seraient pas philosophiques. C’est un préjugé très sérieux qui entrave considérablement la progression de la compréhension des sciences et de la société.

« Parmi toutes les sciences, les mathématiques jouissent d’un prestige particulier qui tient à une raison unique : leurs propositions ont un caractère de certitude absolue et incontestable, alors que celles de toutes les autres sciences sont discutables jusqu’à un certain point et risquent toujours d’être réfutées par la découverte de faits nouveaux. Le chercheur d’une autre discipline n’aurait pas lieu pour autant d’envier le mathématicien si les propositions de ce dernier ne portaient que sur de purs produits de notre imagination et non sur des objets réels. Il n’est pas étonnant en effet que l’on parvienne à des conclusions logiques concordantes, une fois que l’on s’est mis d’accord sur les propositions fondamentales (axiomes) ainsi que sur les méthodes à suivre pour déduire de ces propositions fondamentales d’autres propositions ; mais le prestiges de mathématiques tient, par ailleurs, au fait que ce sont également elles qui confèrent aux sciences exactes de la nature un certain degré de certitude, que celles-ci ne pourraient atteindre autrement.
Ici surgit une énigme qui, de tout temps, a fortement troublé les chercheurs. Comment est-il possible que les mathématiques, qui sont issues de la pensée humaine indépendamment de toute expérience, s’appliquent si parfaitement aux objets de la réalité ? La raison humaine ne peut-elle donc, sans l’aide de l’expérience, par sa seule activité pensante, découvrir les propriétés des choses réelles ?
Il me semble qu’à cela on ne peut répondre qu’une seule chose : pour autant que les propositions mathématiques se rapportent à la réalité, elles ne sont pas certaines, et, pour autant qu’elles sont certaines, elles ne se rapportent pas à la réalité. (…) Interprétation ancienne : tout le monde sait ce qu’est une droite et ce qu’est un point. (…) Interprétation nouvelle : la géométrie traite d’objets qui sont désignés au moyen de termes « droite », « point », etc. On ne présuppose pas une quelconque connaissance ou intuition de ces objets, mais seulement la validité d’axiomes (…) Ces axiomes sont des créations libres de l’esprit humain. (…) Ce sont les axiomes qui définissent en premier lieu les objets dont traite la géométrie. (…) Pourquoi Poincaré et d’autres chercheurs rejettent-ils l’équivalence naturelle entre le corps pratiquement rigide de l’expérience et le corps de la géométrie ? Tout simplement parce qu’un examen un peu précis révèle que les corps solides réels de la nature ne sont pas rigides, étant donné que leur comportement géométrique, c’est-à-dire les diverses positions relatives qu’ils peuvent occuper, est fonction de la température, des forces extérieures, etc. »

Einstein dans « La géométrie et l’expérience »

Einstein écrit :

« Les difficultés actuelles de la science forcent le physicien à se colleter avec des problèmes philosophiques beaucoup plus souvent que ce n’était le cas dans les générations précédentes. (…) Dans le processus d’évolution de la pensée philosophique à travers les siècles, il y a une question qui a joué un rôle essentiel : quel genre de connaissances la pensée pure permet-elle de fournir, indépendamment des impressions sensorielles ? (…) Quelles sont les relations entre notre connaissance et le matériau brut fourni par les impressions sensorielles ? Face à ces questions et à quelques autres qui leur sont intimement liées, on trouve un chaos presque indescriptible d’opinions philosophiques. (…) Selon moi, les concepts qui apparaissent dans notre pensée et notre discours sont tous – du point de vue logique – de libres créations de la pensée qu’on ne peut tirer inductivement des expériences sensorielles. Si cela ne se remarque pas facilement, c’est seulement parce que nous avons l’habitude d’associer si étroitement certains concepts ou chaînes de concepts (énoncés) à certaines expériences des sens que nous ne sommes plus conscients de l’abîme – logiquement infranchissable – qui sépare le monde des expériences sensorielles du monde des concepts et des énoncés. Ainsi, par exemple, la suite des nombres entiers est manifestement une invention de l’esprit humain, un outil qu’il s’est créé lui-même pour faciliter le classement de certaines expériences sensorielles. Mais il n’y a pas de voie pour extraire ce concept des expériences elles-mêmes. » affirme-t-il dans « Remarques sur la théorie de la connaissance de Bertrand Russel » (1944).

« Les résultats de la recherche scientifique nécessitent très souvent un changement dans la conception philosophique des problèmes qui s’étend au delà du domaine restreint de la science. (...) Les généralisations philosophiques doivent être fondées sur les résultats scientifiques. Une fois formées et largement acceptées, elles influencent très souvent le développement ultérieur de la pensée scientifique en indiquant, entre les nombreux procédés possibles, celui qu’il faut suivre. » expose le physicien Albert Einstein dans « L’évolution des idées en physique ».

Ce n’est pas la technique mathématique non plus. "Pour autant que les mathématiques se rapportent à la réalité, elles ne sont pas certaines, et pour autant qu’elles sont certaines, elles ne se rapportent pas à la réalité. La parfaite clarté sur le sujet n’a pu devenir bien commun que grâce à cette tendance en mathématique qui est l’axiomatique." affirme Einstein.
Et il rajoute : "Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément."

« On ne peut mathématiser le sourire de la Joconde. (…) Depuis Galilée, la physique s’intéresse aux propriétés qui peuvent être mesurées et représentées par des nombres. (…) Malgré Galilée, on ne mathématise pas les cerises, on ne mathématise que le poids des cerises. Dans ce sens, l’intérêt est faible. (....) C’est qu’il existe, dans le monde physique, des phénomènes de nature très différente qui sont décrits par des équations identiques. Dit autrement, les phénomènes ne s’identifient pas aux équations qui les régissent. (...) C’est la même équation, dite "équation de Laplace" qui régit la distribution du potentiel électrique dans un condensateur, qui détermine la distribution du potentiel électrique dans un milieu résistif parcouru par un courant ; c’est aussi elle qui régit la répartition stationnaire des températures entre une source chaude et une source froide dans un milieu qui conduit la chaleur. C’est encore elle qui fixe la distribution des concentrations de particules qui diffusent entre une source de particules et une membrane parfaitement absorbante, dite aussi "puits" de particules. (...) L’analogie entre diffusion et potentiel électrique, qui est une équivalence exacte, est assez fascinante : cette analogie rend apparemment identiques des phénomènes de nature profondément différente. »
Bernard Sapoval
Dans « Universalité et fractales »

Nous essayons de nous faire une idée aussi synthétique que possible du système de l’univers. (...) Le but idéal poursuivi par le physicien est donc la connaissance du monde réel et extérieur. (...) D’autre part, il ne faudrait pas s’imaginer que, même dans la plus exacte de toutes les science, on puisse faire des progrès en ses passant d’une conception générale de l’Univers, c’est-à-dire en définitive d’hypothèses indémontrables. (...) Ce que l’on ne voit pas, c’est à quel point la difficulté pour faire progresser la science, c’est que le savant ait la ténacité de maintenir son point de vue. (...) Bien plus, l’austère recherche de la science ne peut progresser que par le libre jeu de l’imagination. Qui ne peut, à l’occasion, ne serait-ce qu’une fois, concevoir des choses apparemment contraires à la loi causale, jamais n’enrichira la science d’une idée nouvelle. (...) La manifestation des phénomènes énergétiques, s’effectuant par sauts ou paliers, est essentiellement discontinue. (...) Par une interprétation assez libre, l’idée d’Aristote a été résumée dans l’adage « la nature ne fait pas de bonds » (...) Selon toute apparence, son règne est compté. La nature semble en effet effectuer des bonds et cela de façon singulière. (...) L’hypothèse des quanta conduit à admettre qu’il y a dans la nature des phénomènes n’ayant pas lieu d’une manière continue mais brusquement et, pour ainsi dire, explosivement. (...) Voici un atome d’uranium qui est resté absolument passif et invariable au milieu des atomes de la même espèce qui l’entourent pendant d’innombrables millions d’années ; tout à coup, sans aucune cause extérieure, dans un intervalle de temps dont la brièveté défie toute mesure, cet atome explose avec une violence auprès de laquelle la brisance de nos explosifs les plus formidables n’est qu’un jeu d’enfant. Ajoutez à cela qu’il en va de même pour un volcan éteint depuis des millions d’années, une espèce invariable depuis des millions d’années, une étoile stable depuis des millions d’années, etc… (...) Les postulats primitivement considérés comme la base évidente de toute théorie sérieuse furent remis en question plus tard (...) : le postulat de l’invariabilité des atomes, celui de l’indépendance réciproque du temps et de l’espace et celui de la continuité de toutes les actions dynamiques. (...) Il n’y a plus maintenant, sur le terrain scientifique, pour ainsi dire, aucun principe dont la validité n’ait été mise en doute (...). De la logique, telle que nous la voyons mise en œuvre sous la forme la plus pure, dans les mathématiques, nous ne saurions attendre aucun secours. (...) Ainsi donc, la physique considérée par la génération précédente comme une des plus vieilles et des plus solidement assises parmi les connaissances humaines, est entrée dans une période d’agitation révolutionnaire qui promet d’être une des plus intéressantes de son histoire. (...) Nous pourrions voir certaines idées aujourd’hui vieillies et tombées dans l’oubli, retrouver une importance nouvelle. Pour cette raison, il serait souhaitable que les idées et les intuitions de nos grands philosophes fussent étudiées avec attention. Le temps où la philosophie et les sciences positives se considéraient comme étrangères l’une à l’autre et se regardaient mutuellement avec méfiance doivent être considérés comme révolus. (...) A vrai dire, on pourrait objecter ici préalablement qu’un problème de philosophie ne saurait être résolu par les sciences particulières ; que la philosophie traite précisément les questions concernant les principes et les conditions d’existence des sciences particulières ; que l’activité de la philosophie doit ainsi précéder, dans tous les cas, celle de la science et que si les sciences particulières entreprenaient de dire leur mot sur les questions de philosophie générale, ce serait empiéter d’une façon illicite sur le domaine philosophique. Quiconque juge de la sorte méconnait à mon avis l’importance du travail que la science et la philosophie opèrent ensemble. Tout d’abord, il y a lieu de considérer que le point de départ et les moyens d’investigation sont, au fond, tout à fait les mêmes dans les deux domaines. Le philosophe, en effet, ne travaille nullement avec une espèce particulière d’intelligence. A certains égards même le savant lui est de beaucoup supérieur, car il dispose, dans son domaine spécial, d’un matériel de faits beaucoup plus riche, rassemblé par observation ou expérimentation et passé systématiquement au crible. En revanche, la philosophie a de meilleurs yeux pour contempler les ensembles universels qui n’intéressent pas immédiatement le savant et que, par suite, ce dernier omet plus aisément d’observer. (...) La science admet l’existence d’un monde extérieur subsistant en soi (indépendamment de l’observateur humain NDLR) et, tout aussitôt, elle y rattache la question de la causalité, c’est-à-dire des lois qui régissent tout ce qui se passe dans l’univers, en tant que concept tout à fait indépendant de nos perceptions sensibles ; et elle se fait un devoir de rechercher si, et jusqu’à quel point, la loi de causalité est applicable dans la nature et dans le monde de l’esprit aux divers faits qui s’y produisent. (...) S’il est vrai que la structure du monde de la physique s’éloigne toujours plus du monde des sens pour se rapprocher du monde réel inconnaissable par principe, il est évident que l’image du monde proposée par la physique doit être purifiée dans une mesure croissante de ses éléments anthropomorphiques. (….) Dans l’acoustique, l’optique, la thermodynamique modernes, les impressions sensorielles sont tout simplement éliminées. (...) Une mesure, prise en elle-même, est incapable de nous renseigner, tant sur l’image représentative physique de l’univers que sur le monde réel (...) Nous ne connaissons, de façon immédiate, le sens d’aucune mesure. (...) Dès lors que toute mesure est inévitablement liée avec une intervention causale, plus ou moins notable, dans le phénomène à mesurer, il est, par principe, absolument impossible de séparer complètement les lois des phénomènes physiques des méthodes par lesquelles on les mesure. (...) La recherche expérimentale et la recherche théorique sont donc inséparablement unies l’une à l’autre et aucun progrès de l’une n’est concevable sans un progrès correspondant de l’autre. (...) Le progrès de la physique n’est pas une évolution continue au cours de laquelle nos connaissances s’approfondiraient et s’affineraient peu à peu ; il a au contraire un caractère discontinu et, en quelque sorte, explosif. L’apparition de chaque hypothèse nouvelle provoque comme une éruption subite ; elle est un saut dans l’inconnu, inexplicable logiquement. (...) Contrairement à ce que l’on soutient volontiers dans certains milieux de physiciens, il n’est pas exact que l’on ne puisse utiliser, pour l’élaboration d’une hypothèse que des notions dont le sens puisse, a priori, être défini par des mesures, c’est-à-dire indépendamment de toute théorie. (...) Une mesure ne reçoit, au contraire, son sens physique qu’en vertu d’une interprétation qui est le fait de la théorie. (...) Jamais des mesures ne pourront confirmer ni infirmer directement une hypothèse, elles pourront seulement en faire ressortir la convenance plus ou moins grande. (...) tel est le point où les résultats des mesures doivent être complétés par la spéculation libre. "
Le physicien Max Planck dans "Initiations à la physique"
Erwin Schrödinger écrit dans « Physique quantique et représentation du monde » :
« En partant de nos expériences à grande échelle, en partant de notre conception de la géométrie et de notre conception de la mécanique – en particulier de la mécanique des corps célestes -, les physiciens en étaient arrivés à formuler très nettement l’exigence à laquelle doit répondre une description vraiment claire et complète de tout événement physique : elle doit nous informer de façon précise de ce qui se passe en chaque point de l’espace à chaque moment du temps – bien entendu à l’intérieur du domaine spatial et de la portion de temps couverts par les événements physiques que l’on désire décrire. Nous pouvons appeler cette exigence « le postulat de la continuité de la description ». C’est ce postulat de la continuité qui apparaît ne pas pouvoir être satisfait ! Il y a, pour ainsi dire, des lacunes dans notre représentation. (…) Si j’observe une particule ici et maintenant, et si j’observe une particule identique un instant plus tard et à un endroit qui est très proche de l’endroit précédent, non seulement je ne peux pas être assuré qu’il s’agit de « la même » particule, mais un énoncé de ce genre n’aurait aucune signification absolue. Ceci paraît être absurde. Car nous sommes habitués de penser que, à chaque instant, entre les deux observations, la première particule doit avoir été « quelque part », qu’elle doit avoir suivi une « trajectoire », que nous connaissions celle-ci ou non. Et de même nous sommes habitués de penser que la seconde particule doit être venue de quelque part, doit avoir « été » quelque part au moment de notre première observation. (…) En d’autres termes, nous supposons – en nous conformant à une habitude de pensée qui s’applique aux objets palpables (note de matière et révolution : c’est ce que croyait Schrödinger avant que l’on montre que nous ne voyons rien en continu, même à notre échelle) – que nous aurions pu maintenir notre particule sous une observation « continue » et affirmer ainsi son identité.
C’est cette habitude de pensée que nous devons rejeter. Nous ne devons pas admettre la possibilité d’une observation continue. Les observations doivent être considérées comme des événements discrets, disjoints les uns des autres. Entre elles il y a des lacunes que nous ne pouvons combler. Il y a des cas où nous bouleverserions tout si nous admettions la possibilité d’une observation continue. C’est pourquoi j’ai dit qu’il vaut mieux ne pas regarder une particule comme une entité permanente, mais plutôt comme un événement instantané. Parfois ces événements forment des chaînes qui donnent l’illusion d’être des objets permanents, mais cela n’arrive que dans des circonstances particulières et pendant une période de temps extrêmement courte dans chaque cas particulier. (…)
L’idée d’un « domaine continu », si familière aux mathématiques d’aujourd’hui, est tout à fait exorbitante, elle représente une extrapolation considérable de ce qui est réellement accessible. Prétendre que l’on puisse « réellement » indiquer les valeurs exactes de n’importe quelle grandeur physique – température, densité, potentiel, valeur d’un champ, ou n’importe quelle autre – pour « tous » les points d’un domaine continu, c’est là une extrapolation hardie. Nous ne faisons « jamais » rien d’autre que déterminer approximativement la valeur de la grandeur considérée pour un nombre très limité de points et ensuite « faire passer une courbe continue par ces points ».

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  • JFP¦¦24092019¦¦Suite à ton retour du 1809219 du même article, donnant des liens sur des sites et vidéos sur le sujet de comment mesure t-on la seconde à partir d’atomes de césium 133, qui est notre question initiale ?
    ▬Dans la première vidéo très courte, il est dit que l’on excite l’ atome, ce qui veut bien dire que l’atome n’est pas excité naturellement, et que cette excitation est provoquée par l’homme ou la nature. On peut donc dire que l’atome ne vibre pas naturellement, mais vibre par des moyens externes que sont des photons provoqués par l’homme ou naturellement. Nous en concluons que l’atome n’oscille pas et ne vibre pas naturellement, mais se met dans des états de vibrations quand il y a des répétitions d’échanges avec l’extérieur où des photons d’énergie calibrée viennent le perturber. De dire que l’atome vibre ou oscille est donc FAUX, car on peut très bien isoler tout atome quelconque de tous les photons, d’autant que ce ne sont que certains photons d’une certaine fréquence et donc d’une certaine énergie, qui sont absorbés par l’atome puis réémis par l’atome lui-même fonction d’une temporisation qui est sa résonance, car il faut pour que l’atome change ces niveaux de couche des électrons, une énergie calibrée correspondant exactement à l’énergie nécessaire pour qu’un électron change de couche pendant une fraction de seconde et revienne à son état stable initial. La conclusion et que l’atome par ses électrons ne vibre pas naturellement, car pour qu’il change d’état de sa stabilité il faut un apport d’énergie calibrée par le biais de photon donnant cette énergie. Quand on dit que l’atome vibre et oscille, c’est qu’en réalité il reçoit de l’énergie appropriée faisant changer son état stable pour le mettre dans un état supérieur d’énergie, et où cet état d’énergie supérieure ne dure qu’une fraction de seconde qui correspond en fait à sa résonance propre entre un état stable et un état excité, mais ces excitations ne peuvent qu’être calibrées et de plus et sans doute que ces changements de niveaux ne se cumulent pas. On en déduit qu’un atome quelconque à une résonance propre à lui-même, et une seule résonance ou fréquence qui correspond à un état stable et un état excité par l’un de ses électrons changeant de couche. On ne sait pas d’après les explications si un atome par l’un de ses électrons, peut cumuler différents niveaux successifs d’énergie. Comme il faut une certaine durée qui se compte en une toute petite fraction de seconde, pour que l’atome excité redevienne à son état normal, c’est cette durée très courte qui est répétée en excitation presque permanente pour dire alors que l’atome vibre, mais les vibrations ou oscillations de l’atome sont en réalité une manipulation externe et non un mécanisme interne de l’atome lui-même. Quand on est candide on ne connaît pas bien ces notions, et le peu d’avoir lu quelques lignes sur l’atome, on croit alors que l’atome est en perpétuel changement comme si il vibrait naturellement, mais en réalité l’atome ne vibre pas, car c’est l’extérieur et dans certaines conditions que des photons calibrés le fait vibrer. C’est ce que nous avions déjà dit, car l’atome temporise par l’absorption d’un ou plusieurs photons et relâche ce ou ces photons, et c’est c cette durée qui sert de résonance et donc de fréquence pour chaque type d’atome. Si on envoie répétitivement un photon calibré de l’énergie nécessaire pour qu’un électron change d’état suivant la résonance de l’atome, cela donne alors une fréquence de répétition du temps de la temporisation, on ne fait alors que de maintenir une vibration répétée, pour que croire que l’atome vibre.
    ▬Si un atome est dans l’état N1 qui est le niveau non excité, et si en le faisant passer à un niveau supérieur N2 par l’intermédiaire d’un photon d’une certaine fréquence et donc d’une certaine quantité d’énergie, ce nouvel état N2 correspond donc à une certaine quantité d’énergie supplémentaire et forcément calibrée, mais le fait de donner deux fois cette même énergie et d’un seul coup, est-ce que cet atome passera dans un niveau encore supérieur à N3 ? Pour résumer est-ce que on peut faire passer un électron d’un niveau bas N1 à un niveau N3 sans passer par un niveau N2 qui serait un niveau intermédiaire ? Si un électron passe à une couche supérieure et que cet électron est celui le plus externe, normalement l’atome grossit, car on est passé à une couche supérieure. On est en droit de se demander si il y a des limites en niveau de couche ? La mesure du temps par l’atome, ne touche que sur un seul niveau de changement de couche d’un électron, qui correspond à une certaine résonance de l’atome, mais c’est le système d’une horloge atomique qui est le système à impulsion de photons, qui s’adapte à la résonance de l’atome et qui est le vrai dispositif, car l’atome et sa résonance ne sert que d’étalon à calibrer le dispositif. En partant d’une question qui est comment on mesure le temps avec les atomes de césium 133 pour les horloges atomique, on s’aperçoit que l’atome ne vibre pas, mais on le fait vibrer par des procédés qui sont des émissions de photons calibrés en énergie et où la cadence des envoies est réglée sur la temporisation qu’absorbe et relâche le photon. Dans cette compréhension, l’électron ne bouge pas et on s’en moque d’ailleurs, car le principe et de détecter après envoi d’un photon calibré un retour prenant une certaine durée très courte. Maintenant on ne nous dit pas comment on détecte le retour du photon émis et absorbé, puis relâché. A une interrogation donnée sur la mécanique des horloges atomiques, on se pose alors d’autres questions comme ¦¦
    ▬Peut-on choisir une couche spécifique d’électrons parmi l’ensemble des couches d’électrons que compose un atome ?
    ▬Si on envoi N1 photons calibrés correspondant aux N1 électrons d’un atome, est-ce que les N1 électrons vont absorber ces N1 photons pour les réémettre en même temps, ou y a t-il une autre résonance de l’atome ?
    ▬Si on peut envoyé des paquets de photons calibrés pour être absorbés par les électrons d’un même atome, y a t-il alors une quantité limite d’absorptions et donc de photons et plus généralement d’énergie ?
    ▬Y a t-il des testes réalisés sur des électrons libres, ne correspondant plus à l’atome, et sur les durées d’absorptions de photons ? Et à ce sujet est-ce qu’un électron libre peut-il absorber un photon calibré et le réémettre ?
    ▬Le fait d’isoler un élément comme le proton ou l’électron change forcément leur structure, car il n’y a plus d’échange avec un environnement, et ce même si on pense que les caractéristiques de l’élément isolé sont les mêmes que si il est introduit dans l’atome. Ceci veut dire que les tests unitaires fausses notre conception de voir les choses.
    ▬Dans la deuxième vidéo très courte également, on nous dit d’emblée que l’atome de césium vibre à une fréquence de 9 milliards de pulsations par seconde, et la précision donnée de ces horloges atomiques est de l’ordre d’une erreur d’une seconde tous les 100 millions d’années. Si je multiplie 3600×24×365×100000000=3|153|600|000|000|000 soit 3,1536×10E15 qui est le nombre de secondes en 100 milliard d’années, la précision nous semble délirante, car comment savons nous que cette précision soit vraie et que telle rap ce rapport d’erreur soit vraie ?
    ▬Dans la troisième vidéo très longue c’est plus de la durée de temps dont on parle, et comment on calcule le temps et ▬Dans la quatrième vidéo très courte, l’enregistrement est très mauvais, et donc très difficile à comprendre.
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    ▬Faut-il croire plus à l’heure atomique que à l’heure astronomique ?Et bien pour nous cela sera ni l’un ni l’autre, car la seconde ou tout intervalle de temps est relatif aux référentiels mis en route ou que l’on subit. Si nous nous trouvons sur la surface d’un trou noir, et ce même si cela est impossible, en regardant notre système solaire, la terre tourne très très vite, de même que sa révolution autour du soleil est aussi très rapide, et pourtant notre montre qui est la même que celle où nous étions sur terre tourne toujours de la même façon !!! Cela est normal malgré une très grande difficulté de compréhension, car aux endroits où le temps est ralenti, la vision des mouvements sur le monde est forcément accéléré. Sans parler d’horloge atomique, notre montre nous semble donner l’heure de la même façon, car quand nous sommes sur terre, ou quand nous sommes sur la surface d’un trou noir, notre montre trotte de la même façon !!! Tout ceci n’est qu’une apparence et illusion, car justement notre montre ne tourne pas de la même façon où elle se trouve, ce qui fait que l’atome change de structure et de dimension, et donc que cette absorption d’une temporisation de l’atome de césium 133 d’un photon calibré et réémis au bout de 1/9|192|631|770 seconde n’a plus plus la même période ou la même fréquence dans un autre environnement !!! Ce qui veut dire simplement et qui est ÉNORME PHYSIQUEMENT comme conception, c’est simplement que LA SECONDE EST VARIABLE car la matière est VARIABLE !!! Se baser sur l’atome ne veut rien dire, et se baser sur les pulsations qu’un quasar n’est guère mieux, car sur l’environnement de la terre et en chronométrant tel quasar celui-ci aura tel battement, et sur l’environnement ou contexte d’un trou noir, le même quasar donnera une autre cadence !!! Et naturellement ce n’est pas le quasar qui change, mais de l’endroit où on l’observe. Plus nous nous approchons d’un environnement d’un trou noir, plus autour de nous tout s’accélère, et même les objets les plus lointains. Remettre la seconde en cause serait physiquement une très grosse erreur, alors on fait semblant pour dire que la seconde est immuable... Dire que la seconde est variable cela veut aussi dire aussi que le vitesse de la lumière est variable !!! Et pour aller encore plus loin, TOUTES NOS CONSTANTES SONT VARIABLES !!! En réalité on a déterminé la valeur de la seconde en fonction de la temporisation de photon absorbé et réémis par l’atome de césium 133, donnant ainsi une sorte de fréquence ou résonance, mais ce beau césium se trouve sur terre dans des conditions spéciales et non dans un autre référentiel que le notre. Si on devait mesurer la seconde dans des conditions proche d’un trou noir, cette seconde serait forcément différente, car la temporisation de l’absorption d’un photon calibré pour le césium 133 serait forcément différente que dans un contexte particulier sur terre. L’atome n’est donc pas plus fiable pour mesurer le temps, car l’atome change fonction des référentiels utilisés !!! Et pourtant nous avons la preuve de ces changements de comportement de l’atome, car avec ces horloges atomiques embarquées dans l’espace par des engins spéciaux allant à des vitesses conséquentes, aux retours ces horloges ont pris du retard, et ce n’est pas la mécanique des horloges qui à changée pendant le voyage, mais très simplement l’atome !!! Si l’atome change fonction du contexte, cela veut dire aussi que les forces fondamentales changent fonction du contexte. Nous sommes un peu candides sur cette physique quantique, mais cela est une évidence que l’atome et son contexte changent fonction des référentiels utilisés. Si en allant vite ou étant proche de masses très importantes, le temps se dilate et donc passe moins vite, cela veut bien dire que l’atome change et que cette belle valeur de 9|192|631|770 périodes par seconde pour le césium 133, correspondant au temps d’absorption et de relâchement d’un photon calibré disant qu’il vibre, n’est plus du tout la même fréquence, mais que ce nombre de pulsations de plus de 9 milliard se réduit où il y a dilatation u temps. La conclusion est que l’atome n’est pas une valeur sûr, et même l’or, car les phénomènes que l’on voit dans l’espace, et suivant où on se trouve, ne se voit pas de la même façon, et forcément ce n’est pas les phénomènes qui changent, mais obligatoirement notre regard suivant où on se trouve. C’est bien cela la relativité de ce Monsieur Einstein, mais fallait-il comprendre que la matière comme les constantes sont aussi relatives car rien est vrai, car pas de vraie référence !!!
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    ▬Nous ne comprenons pas les scientifiques et surtout pas ceux de la physique quantique, car essayer de comprendre ce qu’est l’atome et les particules élémentaires, comme encore les particules virtuelles, n’apporte strictement rien à la compréhension de ce qu’est la relativité d’Einstein et la gravitation. Si le temps se déforme, c’est que que l’espace se déforme, et si l’espace se déforme, la matière se déforme, car la matière est bourrée d’espace. Le plus simple des atomes qui est l’atome d’hydrogène se trouvant sur terre, n’est pas le même que celui proche d’un trou noir, et est aussi différent hors de toutes gravitations, comme dans ces bulles de vides sans matière que sont les plus grandes structures de l’Univers. Pourtant le raisonnement est très simple, car si l’espace change l’atome change, et on a la preuve de cette vérité par les horloges atomiques. Il n’y a donc pas UN vide au sens général, mais DES vides différents. Même le vide DANS l’atome ’entre noyau et électrons) est différent de celui à notre échelle sur terre, et le vide dans un noyau atomique sera encore différent !!!
    ▬Ces histoires de remonter le temps et donc d’aller dans le passé est une vraie fumisterie, et cela n’est bon que pour les films de sciences-fiction, car on ne peut pas remonter le temps, même si certains physiciens disent le contraire. Par contre d’aller dans le futur n’a rien d’extraordinaire, mais on ne peut pas en revenir. Pourquoi dire de telles choses. Et bien simplement que l’on peut réduire la cadence du temps en utilisant des contextes particuliers qui sont d’autres référentiels, mais on ne sait absolument pas accélérer le temps. Le temps le plus rapide est celui hors de toutes gravitation et sans mouvement. C’est bien ce temps physique et utile pour les calculs de physique que ce Mr Einstein nous parle, mais cette référence absolue de temps nous est complètement inaccessible. On a donc une seconde référence sur terre qui n’est liée qu’a notre environnement, et c’est avec cette fausse référence que nous faisons des calculs de durée aussi bien dans les deux infinis. Pour le redire différemment, la résonance du césium 133 est différente suivant où il se trouve, et donc sa fréquence change fonction du référentiel utilisé. Nous savons réduire cette fréquence par des vols dans l’espace et par une vitesse assez élevée, et c’est bien ce que nous constatons, quand ces horloges atomiques reviennent sur terre, car elles ont pris du retard. Ce retard n’est autre que la résonnante de l’atome s’est trouvée réduite. En technologie plus avancée que la notre, les horloges atomiques allant presque à la vitesse de la lumière comme les particules que l’on fait tournée dans ces accélérateurs, on s’apercevrait que le temps se réduirait énormément et ne serait plus des micros-secondes de décalage, mis des durées beaucoup plus longues...
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    ▬Pour résumer l’atome ne vibre pas ou n’oscille pas, mais on le fait vibrer. On a compris que d’envoyer des photons calibrés sur l’atome, permet que l’atome absorbe ces photons, et c’est la durée de temporisation où l’atome garde et relâche le ou les photons qui sert à faire vibrer l’atome régulièrement et donc de se servir de cette résonance régulière pour faite des horloges utilisant l’atome. Nous nous sommes embarqués à voir plus de vidéos sur l’atome et les électrons, mais la complexité de ces sciences, ne change en rien nos raisonnements simplistes. Le temps n’est pas un objet mais un mécanisme, et on pourrait même dire des mécanismes, dans la mesure où l’on trouve des fréquences très élevées pour mesurer le temps. Nous constatons que la seconde évaluée par l’atome n’est pas plus vraie que les fréquences régulières des quasars, car il y a toujours une relativité des référentiels où l’on perçoit et où on calcule les fréquences. A très grande échelle, le cosmos semble très lent presque fixe, car on ne voit rien bougé, et si nous étions au centre de l’une de ces bulles de vide sans matière, nous constaterions que les mouvements des objets lointains seraient encore plus ralentit, et la raison en est simple, c’est que notre temps propre, lui serait accéléré, et ce temps serait celui dont Einstein parle. Donc un vrai temps sans déformation. La plus grande déformation du temps et donc de l’espace, se trouve soit en vitesse très grande où notre temps se ralentit, ou encore quand on est proche très proche d’objets massifs comme les trous noirs. Dans ce deuxième cas on nous dit que le temps se dilate, mais en réalité ce n’est pas le temps qui se dilate, mais les fréquences de toutes entités qui se réduisent. C’est à partir de cette réduction de fréquence que nous considérons alors comme le vrai temps pour nous, et devient donc une référence, et nos regards qui se portent sur les objets lointains où il n’y a pas cette réduction de fréquence, nous voyons alors des accélérés portés par les objets. Quand on se trouve où le temps est freiné ou ralentit, forcement ce que l’on voit autour parait et est accéléré. Donc d’aller dans le futur, c’est simplement se mettre dans un référentiel où le temps est freiné pendant quelques temps puis revenir où le temps est dit normal. Forcément comme notre temps à été freiné pendant une durée, ce que nous constatons c’est que l’endroit qui est dit normal, à forcément vieillit plus vite que où nous étions dans un endroit où le temps était freiné. Il n’y a aucun paradoxe dans cette vision, mais c’est seulement la non compréhension que le temps ne s’écoule pas de la même façon suivant des référentiels différents. D’ailleurs les paradoxes sont souvent des exposés qui sont faux au niveau de la compréhension, et qui cachent des vérités que l’on ne connaît pas. Quand on admet que le temps peut ne pas s’écouler de la même façon suivants des contextes, alors les paradoxes s’envolent.
    ▬Nous te remercions beaucoup de tes retours de message, malgré que nous ayons beaucoup de difficultés sur ce tutoiement que tu nous proposes. Nous constatons qu’un certain Alain te vouvoie dans ces messages, et ce dernier est justement l’un des premiers à t’envoyer de la correspondance depuis longtemps...
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Essayons d’y voir clair dans ce qu’implique ce fonctionnement de l’horloge au césium pour notre compréhension du fonctionnement de la matière, de la lumière et du temps…

      Y voir clair est bien le terme adéquat car nous parlons ici de ce que l’on appelle l’interaction matière-lumière !

      Tu remarques que l’atome de césium n’émet à sa fréquence particulière que s’il a reçu de la lumière à cette même fréquence et tu en déduis que ce n’est pas la matière qui décide de la fréquence d’émission mais la lumière qu’il a reçu.

      C’est à la fois juste et faux. Juste parce qu’effectivement il n’émettrait pas de lumière s’il n’en avait pas reçue, mais faux parce que ce n’est pas la fréquence de la lumière qui décide à quelle fréquence tel ou tel atome peut ou pas émettre. Cette fréquence (ou ces fréquences d’émission) sont même une signature de l’atome particulier. Ainsi, si une étoile envoie de la lumière à cette fréquence particulière du césium on sait de manière sure qu’elle contient du césium. Il n’y a que l’atome de césium qui ait cette fréquence d’émission de lumière.

      Et si cette fréquence du césium est intéressante pour une horloge atomique, c’est qu’elle correspond à des vibrations très rapides et que sa période est donc très courte. Elle permet donc de mesurer des intervalles de temps particulièrement courts.

      Tu dis en somme que tout cela est artificiel et que l’atome n’émettrait pas si l’expérimentateur ne lui envoyait pas de la lumière et pas n’importe quel type de lumière.

      En fait, cela peut être artificiel comme naturel. Quand c’est artificiel on appelle cela l’émission stimulée mais il existe aussi une émission spontanée.

      Il faut en tout cas, dans l’émission stimulée comme spontanée, que l’atome ait été excité pour avoir ensuite besoin de se désexciter en émettant de la lumière.

      En fait, cela se produit tous les jours sous tes yeux avec la couleur des objets. Si un objet te parais rouge, c’est parce qu’il y avait du rouge dans la lumière qui l’a éclairé. Si tu retire le rouge de la lumière qui l’éclair (et qui excite sa matière), alors il n’émettra pas en rouge et te paraitra noir.

      La matière peut-elle être dans une zone où spontanément il ne puisse pas recevoir de lumière qui lui permette d’effectuer ces sauts de son état qui mènent à ces émissions spontanées ? La réponse est non. Il n’existe pas de zone de l’Univers qui ne baignent pas dans les photons lumineux de toutes sortes de fréquences.

      Si on examine plus précisément la raison de la relation matière-lumière, on constate qu’il y a des sauts entre des fréquences qui excitent l’atome et d’autres qui ne l’excitent pas. Toute lumière n’interagit pas avec un atome d’un élément particulier.

      Par exemple, la fameuse fréquence d’émission du césium fait appel à quelle structure particulière de cet élément ? Eh bien, il s’agit de la relation entre des électrons profonds de sa structure et le noyau de l’atome. Pour qu’un électron saute d’une couche atomique profonde à une autre moins profonde, il faut que le photon qu’il reçoit l’excite avec une énergie bien précise. Cela signifie que cet électron profond était relié au noyau par un mécanisme physique quantique. Quel est-il ?

      Ce mécanisme s’appelle une interaction spin-spin. Cela paraît bien compliqué mais cela ne l’est pas. Spin signifie qu’il s’agit d’un moment magnétique quantique. Qu’est-ce que c’est ? C’est un petit aimant qui tourne sans cesse autour d’un axe !

      Qui est l’aimant ? L’électron est un aimant et le noyau est un autre aimant et les deux tournent sur eux-mêmes. Ils interagissent ainsi. Cette interaction ne peut pas être affaiblie sans une nouvelle interaction, et c’est là que le photon va jouer son rôle.

      Il y aurait encore beaucoup à dire sans fin mais je m’arrête au risque d’écrire autant que vous, les jumeaux !!!

  • JFP¦¦24092019¦¦Dernière remarque sur cette notion de mesure temps. Le temps physique existe réellement, et n’est pas lié à l’atome, pas plus lié aux particules virtuelles, ni même aux photons. Et heureusement car si la matière est absente, comme les particules virtuelles, comme encore les photons, cela vaudrait dire que le temps n’existe pas !!! Les sciences nous trouvent des moyens de mesurer le temps, mais ce sont des moyens détournés d’une réalité. Bien sûr c’est mieux que rien, mais ce sont des moyens non vrais et discutables, car on part sur de l’existant possédant des fréquences très grandes, mais on a pas compris que ces fréquences changent fonction des contextes.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • La lumière crée-t-elle la fréquence du césium au moment où elle interagit, ou est-ce la matière qui la crée ? Les deux !

    « La destruction et la création sont enfermées dans la dialectique de l’interaction. » répond Stephen Jay Gould dans « Le sourire du flamand rose ».

  • Non, il y a pas de dichotomie matière/lumière. C’est un ensemble de contraires absolument inséparables. Il y en a de multiples preuves.

    Deux matières qui se choquent avec une énergie suffisante se transforment entièrement en lumière !

    Deux matière ne se connaissent mutuellement que par la lumière !!!

    De la lumière peut également se transformer en matière.

    Tous deux, ainsi que le vide, ne sont que des... quanta !!!

    Matière et lumière, ou plus exactement bosons et fermions obéissent à deux logiques opposées (logique de Bose et logique de Fermi) mais ils se transforment dialectiquement l’un dans l’autre.

  • JFP¦¦25092019¦¦Merci de ta réponse. Nous n’essayons pas vraiment de tout comprendre sur les relations entre matière et photons, car si nous savions beaucoup de choses nous serions alors des scientifiques, et ce n’est pas le cas. D’après les vidéos que tu nous a proposées, nous avons simplement compris que l’atome ne vibre ou n’oscille pas spontanément, mais qu’il lui faut une source extérieure et de plus calibrée par des photons naturels ou fabriqués par l’homme. Ce que nous comprenons c’est que l’atome temporise l’énergie de photon qu’il reçoit et le réémet après une certaine temporisation en son sein. Après pour la mécanique interne de l’atome, que cela change de couche un ou plusieurs électrons de l’atome est une autre affaire, et qu’il y ait une relation entre l’émission de certaines fréquences de photons des étoiles qui émettent ces photons et qui donne du coup une signature aux photons, disant qu’il y a tel type d’atome provenant de l’étoile est encore une autre affaire. Nous avons seulement compris que l’atome temporise l’énergie qu’il reçoit et réémet cette énergie fonction d’un laps de temps, et via de sa structure, car tel type d’atome aura une certaine durée de temporisation et d’autres types d’atomes auront d’autres durées de temporisation. On se doute que si ce choix d’utiliser le césium 133 à été pris pour calibrer des horloges atomiques, c’est que ces atomes ont une très courte temporisation et donc inversement une très grande fréquence, et donc plus il y a une grande fréquence, plus il est facile d’être précis pour définir une mesure de laps de temps. Et puis il y aussi sûrement d’autres raisons techniques de prendre ce césium et non d’autres types d’atomes où la fréquence serait sans doute encore plus élevée...
    ▬[Il n’existe pas de zone de l’Univers qui ne baignent pas dans les photons lumineux de toutes sortes de fréquences.]
    ▬Ta phrase nous parait curieuse, car cela voudrait dire, que certains types de photons traversent la terre ?? Nous pensons que seuls les neutrinos traversent la terre sans encombre, mais que les photons, même les plus adéquat pour traverser la terre ne la traversent pas. Nous pensons qu’il y a des limites dans les fréquences de photons, où justement aucun type de photon ne peut traverser notre petite terre sans encombre. D’ailleurs cette réflexion rejoint une autre question qui est ¦¦est-ce que l’absorption d’un photon venant d’une direction précise, et réémit dans la direction opposée ? Cette interrogation qui semble idiote ne l’est pas, car si c’est dans la direction opposée que l"émission se fait, alors les photons ne traversent rien. Par contre si l’émission après absorption se trouve dans une direction quelconque, alors on peut dire effectivement que les photons traversent la terre et comme tout d’allers. La raison est que après émission de l’absorption, ce fait et s’adresse à un seul atome, et le photon émis sera repris par un autre atome du même type et ainsi e suite. Ceci veut dire que la matière rayonne, même si seulement des photons venant que d’une seule direction sont pris et absorbés car leur émission sera dans un désordre autour d’un masse de matière. De dire alors que nous baignons dans soupe de photons devient vrai, mais ces photons ne traversent pas la matière comme le fait les neutrinos qui eux ne sont pas détournés. Il y a donc toujours des contradictions dans la finesse des écrits, car on peut toujours dire le contraire. D’ailleurs c’est bien le problème de ces paradoxes en général, où les énoncés peuvent être mal interprétés, car à tout paradoxe il y a toujours une façon de poser un problème pour qu’il ne devienne plus un paradoxe, car les paradoxes viennent du langage et la façon que l’on pose un problème ou une fausse vérité.
    ▬Dans ton retour qui est plus technique, tu ne donnes pas de réflexion sur ce que nous avançons sur les modifications de fréquences de temporisations de l’atome fonction du référentiel utilisé. Nous avons émis notre conception, en disant que l’atome, et peu importe lequel, change d’oscillation fonction du référentiel auquel il est rattaché. Et comme cette notion va très loin en conséquences, TU NE DIS RIEN sur cette façon de voir les choses. Si tu n’admets pas que l’atome change de structure fonction du référentiel auquel il subit, peux tu nous donner des explications sur le temps dilaté dans les expériences avec les horloges atomiques ? Quelle est pour toi, la raison qui à fait que des horloges atomiques ont pris du retard dans certaines expériences. Nous ne voyons pas d’autres raisons que le changement des caractéristiques de l’atome, et donc des oscillations différentes comme pire encore des dimensions différentes des atomes comme aussi des forces. Nos remarques légères vont assez loin en conception et remettant en cause des tas de choses, et peu importe si nous ne connaissons pas des tas de choses de ces physiques, car les enfants posent de vraies questions...
    ▬Dans ton retour, tu es parti à nous expliquer des tas de choses comme les couleurs, les spins, les signatures de photon et e leur origine, mais il n’y a pas de ta part de retour sur ce que nous émettons comme idée très spéciale, disant que la matière par ses atomes change de structure au sein même de l’atome en fonction des référentiels que cette matière subit. Ainsi un atome statique, et un autre atome identique, mais accéléré à très grande vitesse dans ces accélérateurs de particules, n’ont pas les mêmes caractéristiques internes (C’est ce que nous pensons) !!! Ce qui est assez drôle dans ces expériences avec les accélérateurs de particules, c’est que l’on croit prendre des unités précises pour savoir comment elles réagissent par collisions, mais ces unités que sont proton, neutron, électron..., sont dans des états très particuliers ne correspondant plus à notre réalité, car ils subissent un autre référentiel différent de celui que nous avons sur la terre. Ainsi les TROIS quarks découvert depuis déjà des années pour le proton ou le neutron, ne reflète que l’état d’un type d’expérience ou ces unités de proton ou neutron subissent un référentiel particulier, car ces unités sont mises en très grande vitesse, et donc que les résultats que nous obtenons ne sont liés que sur ces conditions où forcément l’atome à changé de structure ne possédant QUE TROIS quarks !!! Comment savoir si le proton dans un contexte plus normal que cette vitesse de la lumière, possède réellement TROIS quarks ? Ces accélérateurs faussent notre vision et nos compréhensions, car nous mettons des éléments dans des conditions qui ne sont pas celles que nous avons sur terre. Le fait que ces élément soit à une très grande vitesse proche de celle de la vitesse de la lumière, fausse en réalité nos perceptions et les résultats qui découlent de ces expériences, car si on trouve après des traces de collisions, TROIS choses que composait le proton ou le neutron, ces TROIS choses ont été décelées dans un contexte très particulier qui est celui presque de la vitesse de la lumière, et rien ne dit que ce proton ou neutron en freinant sa vitesse sa structure interne reste identique. Pour le dire plus simplement les TROIS quarks composant proton ou neutron sont vrai que dans des conditions particulières à très grande vitesse donnant un référentiel particulier, mais ces mêmes proton ou neutron dans d’autres conditions auront t-ils aussi comme composition TROIS quarks ? Pour nous c’est non !!! Ce qui veut dire que le quark n’est même pas une particule élémentaire !!! Bien sûr les choses intérieures composant le neutron ou le proton donneront toujours les mêmes caractéristiques externes, et c’est bien ce qui fausse notre compréhension. On peut seulement affirmer d’après les expériences, que proton et neutron possèdent TROIS choses internes dans des conditions très particulières, mais nous ne savons absolument pas si la composition de neutron ou proton reste la même dans d’autres conditions. Pour nous cela va même encore lus loin, car si un atome possède 2 protons, ces protons auront changés de structure par le simple fait qu’ils soient DEUX, et quand c’est TROIS protons c’est encore autre chose. Le simple fait que le proton soit associé avec d’autres entités comme lui-même, d"finissant un autre type d’atome, fait que sa structure interne change, mais garde pour autant des caractéristiques externes identiques.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Tu soulèves plein d’interrogations intéressantes mais je n’avais même pas fini de répondre aux précédentes et seulement à peine commencé. Tu ne m’en voudras pas de tarder un peu à répondre à tout !!

    • Je ne comprends pas ton souci d’affirmer que les photons peuvent être totalement absents de l’entourage de la matière. Elle en est sans cesse entourée… Elle en émet sans cesse aussi.

      Quant aux fréquences particulières d’émission et d’absorption de photons par chaque élément, chaque taome, elles sont une véritable signature de l’atome et donc elles correspondent à des périodes fixes qui sont attachées à la structure de l’atome. Elles correspondent à des agitations possibles au sein de la structure, pour passer à une nouvelle forme de celle-ci. L’atome saute d’un état à un autre, aussi bien en émettant qu’en recevant des photons (en fait, plus largement, des bosons)

      En effet, les matières ne se « sentent » mutuellement qu’au travers des photons. Donc, en l’absence de photons, deux matières ne pourraient pas interagir !!!! Les étoiles ne sont pas les seules à émettre des photons, toute la matière le fait sans cesse. Un atome ne reste pas bien longtemps dans un état donné et en sautant d’un état à un autre, il émet des photons.

      En fait, quand je dis photons, je ne parle pas nécessairement des particules de lumière mais de tous les bosons.

      Revenons au cas de l’horloge atomique. Elle est atomique parce qu’elle s’appuie sur une valeur fixe et très précise attachée à l’atome. Elle démontre que le temps est lié aussi à la matière. Cela n’a rien d’étonnant, le vide c’est aussi de la matière (matière éphémère) et la lumière aussi (un couple matière-antimatière) !

      Matière et lumière ne sont que des formes de la même chose… des quanta…

      Dans le cas du Césium, l’écart en question entre les deux niveaux des couches électroniques de l’atome vaut (E2 – E1)/h = 9 192 631 770 Hz ce qui donne un temps précis à dix puissance moins quinze seconde près. Pour cela on doit utiliser l’isotope Cs 133.

      Ce qui relie l’électron au noyau est l’interaction dite « hyperfine », c’est-à-dire l’interaction entre les électrons profonds et le noyau, via les moments magnétiques quantiques (spin) des deux.

      L’interaction hyperfine a la particularité de correspondre à des fréquences énormes donc à des temps extrêmement courts.

      Les fréquences hyperfines en question ne concernent pas particulièrement le Césium et sont générales aux atomes.

      Comment comprendre que de telles horloges aussi précises puissent se dérégler nous dit notre lecteur ? C’est un effet de la polarisation du vide qui modifie les moments magnétiques perçus par rapport aux spins réels. Cela impose d’effectuer des corrections relativistes.

      C’est la théorie relativiste de l’électron de Dirac qui a permis de bien le comprendre, et particulièrement bien, en le calculant précisément pour l’atome d’hydrogène.

  • A propos, ce n’est pas seulement les étoiles qui envoient des photons, toute matière chauffée le fait.

  • (...) Pour nous c’est la matière qui défini les différentes fréquences de photon, mais cela n’est qu’une idée ressente, car c’est en lisant tes articles et écoutant et regardant les vidéos que nous nous orientons dans ce concept. C’est aussi pour cela qu’une infinité de fréquences de lumière n’existe pas et ces fréquences sont forcément limitées. Même si la matière est très diversifiée, et que même des matières étrangères que nous connaissons même pas d’ailleurs, est à l’origine des fréquences des photons, cela veut dire que les fréquences des photons sont limitées, car la complexité de la matière est forcément limitée. Mais il peut y avoir plus de fréquences de photons que de types d’atome, car certains types d’atomes sont instables et donc certaines matières ne sont qu’éphémères, mais pas les photons émis des matières éphémères.

    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ▬

    Pour nous, dire que les photons sont de l’énergie sans masse, ne veut strictement rien dire, car l’énergie pure n’existe pas dans nos conceptions. L’énergie est forcément le résultat d’une masse et d’une vitesse, et comme la vitesse de la lumière est soit disant toujours la même, cela veut donc dire que la masse des photons change fonction de leur fréquence. Il y a donc une équivalence entre masse de photon et fréquence de photon, mais à la finesse de ces masses de photon, il est impossible de pouvoir mesurer ces masses, car notre technologie ne peut pas le faire. Quand un photon est absorbé par la matière, cela veut dire que la matière augmente en masse, mais cette nouvelle masse est instable par rapport à l’espace, et donc qu’il y a rejet de cette excédent. Cela va dans le sens où certaines particules que l’on créer artificiellement sont éphémères pendant une très courte durée et se désintègre, pour reformer autre chose. Le photon absorbé temporairement par la matière, n’est pas une énergie supplémentaire, mais une vraie masse supplémentaire remettant en cause une organisation de l’existant, et comme il y une instabilité, il y a donc rejet de cette masse supplémentaire, redevenant photon. Ce n’est pas parce-que nous accordons des masses aux photons que cela sert à comprendre que des photons peuvent être déviés de leurs trajectoire par des masses importantes, car les géodésiques que décrivent les photons sont sans rapport avec leur masse interne. ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ▬Réflexions sur ton message du 25092019 08:03 du même article en disant non à la dichotomie pour la matière et la lumière, car effectivement pas de dichotomie car ces notions sont complètement différentes. Voici tes affirmations¦¦ ▬1° Deux matières qui se choquent avec une énergie suffisante se transforment entièrement en lumière ! ▬2° Deux matière ne se connaissent mutuellement que par la lumière !!! ▬3° De la lumière peut également se transformer en matière. ▬4° Tous deux, ainsi que le vide, ne sont que des... quanta !!! ▬Pour l’affirmation 1° nous aimerions trouver des articles de pages du net parlant de ces transformations totales, car nous ne connaissons pas cette façon de voir ces chocs de matière/atome où tout s’évapore. Ces chocs à très hautes énergie de particules engendrent d’autres particules mais non une transformation totale en lumière de photons. Il en va également pour l’affirmation 3° qui est de pouvoir créer de la matière à partir de photons, et nous ne connaissons pas des sites internet où cela est expliqué et testé, car est-ce de la théorie ou de réels tests effectués ?

    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ▬

    La dichotomie est pour nous une division par deux d’une même chose. On se sert en informatique de cette notion pour rechercher plus rapidement des données. Il faut se représenter un arbre avec un tronc qui est le départ, puis deux branches partant du tronc, où il faut choisir entre ces 2 branches suivant un critère de recherche. Quand une branche est choisie, cette même branche se divise à nouveau en deux, et de nouveau il faux choisir, et cela se répète jusqu’à trouver les données d’une fin de branches où il n’y plus de division de branches. Les branches ne sont pas les données, car les données se trouvent au bout des branches où il n’y a plus de division. En fait chaque branche possède quand même une petite donnée qui peut être un nombre par exemple. L’ordonnancement des données peut être mélangée, et c’est justement par ce procédé où il faut choisir une branche plutôt qu’une autre et qu’il y a plus de rapidité à chercher un bloc de données associé à un nombre ; plutôt que de parcours les données et de s’arrêter à la bonne portant le bon numéro. La dichotomie est une sorte d’index indirecte ou justement il y une recherche dichotomique par division pas deux. Pour être encore plus clair et donner un exemple, prenons un cahier avec des pages et où chaque page représente des blocs de donnée comme une page internet par exemple. Chaque page est numérotée. Mais il faut concevoir que l’ensemble de ces pages numérotées ne sont pas dans un ordre régulier mais justement mélangée, donc une sorte de cahier ou classeur où il y a des tas de pages mais non classées. En dehors de l’ensemble de ces données correspondant au classeur qui sont un ensemble de pages numérotées, il existe un index de recherche par page, mais cet index ne nous donne pas directement la position où se trouve la page recherchée par son numéro de page, car il faut interroger les branches pour trouver la page recherchée. Si notre classeur mal classé renferme 1000 pages de données, pour rechercher la page 774 par exemple, on demandera à la premier division en deux de branche, quelle est la branche à choisir sachant qu’une branche nous donnera les 500 premières pages et l’autre branche donnera les pages de 501 à 1000. Prenant la deuxième branche celle-ci se divise encore en deux, car d’un coté les pages de 501 à 775 et l’autre branche donnant accès aux pages de 776 à 1000. C’est donc dans la premier division où se trouve la page à rechercher, car 774 se trouve entre 501 et 775, et cette tranche de page se divisera encore à nouveau en deux pour donner la branche de 501 à 638 et l’autre de 639 à 775, et ainsi de suite. Dans ce procédé on divise en fait de deux fois et à chaque fois la quantité de pages à consulter, et on arrive à trouver la page en quelques interrogations au niveau des divisions de branches. Pourquoi maintenant les données ne sont pas continues et d’accès directe ? Et bien un bloc de données correspondant à une page peut être variable en quantité de données. Ainsi des pages de données peuvent être faible en données et d’autres pages au contraire très grandes. La notion de page est donc virtuelle et ne correspondant pas du tout à un cahier avec des pages de mêmes dimensions. Un arbre généalogique est plus ou moins formé par dichotomie, car en recherchant ses ancêtres, on retrouve par la même les descendants de ces ancêtres, et donc le nombre de pages augmente, car en recherchant des racines, on recherche par la même les ascendants. Prenez une page de papier, puis la diviser en deux, et rediviser en deux à chaque fois que cela soit possible et pouvant quand même mettre une petite donnée sur une division de page qui serait un numéro de 4 chiffres. Il arrive à un moment donné où on ne peut plus diviser les morceaux de page car on ne peut plus écrire un nombre, et donc cela s’arrête. Il faut alors considérer que le petit morceau de papier possédant un numéro de page donne accès à un bloc de donnée, et pour rechercher ce bloc de donnée, il faudra à partir de la page initiale retrouver quel sont les morceaux qui ont été divisés par deux. En fait il faut considérer que justement les données ne sont pas sur des pages séparées, mais dans un même bloc contenant toutes les données et définissant des blocs différents en taille. Bien sûr il pourrait y avoir un index nous donnant directement la position d’un sous bloc de donnée dans l’ensemble des blocs. Mais si un sous bloc change taille en augmentant es données ou même un sous est supprimé, il faudrait remettre en cause tout l’index pour recalculer les positions des sous-blocs... Maintenant si on reprend le sujet de matière et lumière, ces deux notions sont différentes et contradictoires comme complémentaires, mais contradictoire ou complémentaire ne veut pas dire dichotomie. ▬Continuons sur cette notion de dichotomie. Imaginons un bloc de texte de 16 phrases où chaque phrase à un nombre de mots différents. Si j veux me positionner sur la 2e phrase, je suis obligé de parcourir la 1e phrase en recherchant le point final de la 1e phrase me donnant du coup un positionnement sur la deuxième phase. Maintenant si je veux me positionner sur la 10e phrase, je suis obligé de lire les 9 premières phases et rechercher les points de fin de ces phrases pour me positionner au début de la 10e phrase. Forcément le temps d’accès de la 10e phrase de recherche est plus longue que la 2e phrase. En dichotomie vous auriez au départ 2 branche l’une de la 1e à la 8e phrase, et l’autre branche de la 9e à la 16e. Comme on cherche la 10e phrase c’est sur la 2e branche et celle-ci se dive encore en 2 comme étant de la 9e à la 12e phrases et de la 13e à la 16e phrase. Comme nous cherchons la 10e phrase c’est donc la 1e branche. Puis cette branche se divise encore en 2 donnant la 9e à la 10e et pour l’autre branche de la 11e à la 12e phrase. C’est donc la 1e branche à utiliser. Sur cette dernière branche nous avons le choix d’aller à la 9e ou à la 10e phrase et on plus sur une division de branche et nous irons donc sur la 10e phrase qui sera notre recherche. Ceci parait compliqué à expliquer, mais en fait on ne fait que se diriger par division par 2 pour aller sur la bonne branche et en finalité sur la phrase choisie.

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    Ta phrase¦¦[A propos, ce n’est pas seulement les étoiles qui envoient des photons, toute matière chauffée le fait.] ▬Si la matière chaude envoie des photons, notre petite terre au départ de sa création devait être très chaude, et ne reste qu’actuellement que son noyau très chaud pour émettre des photons. Ce qui voudrait dire que la matière rayonne par son refroidissent intérieur et cela va à l’encontre de la conservation de l"énergie par cette science qui est la thermodynamique. L’énergie se garde pendant des périodes assez courtes mais perd sur de grandes périodes... Dire que les photons traversent la terre nous semble quand même excessif, car des photons sont absorbés et réémis, mais les directions d’émission sont forcément différentes de leur absorption et donc non dans le sens contraire de leur absorption. Cela veut dire que c’est un rayonnement et non une traversée directe. Des photons extérieurs à la terre et absorbés par celle-ci mettrons sans doute un temps assez long avant d’être réémis dans l’espace, car ces photons seront absorbés et réémis par un nombre très grand d’atomes, et cela fait penser aussi au mouvement brownien désordonné.

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    De dire que les photons ont la signature de leur atome nous semble faux, car justement dans ces horloges atomiques, ont fabrique des photons à des fréquence bien précises pour exciter ce césium. Ce césium ne sert alors que comme étalon à s’aligner sur sa fréquence de rémission, mais la fabrication des photons ne sont pas issus du césium. On peut donc fabriquer des photons avec des énergies différentes ne venant pas des atomes correspondant à ces énergies. Ceci nous semble tellement vrai de pouvoir fabriquer des photons ne correspondant à aucun type d’atome, que les communications par les ondes, tels que téléphones mobiles, radios, télé, GPS et même pour l’armée par exemple, que les photons fabriqués par l’homme n’ont plus rien avoir avec les atomes. Dans cet esprit nous allons contre nature.

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    Pour les sociétés qui veulent faire de l’argent facilement, voici une proposition afin de rechercher des métaux rares comme l’or le platine ou autre. Émettre en grande quantité des photons calés sur la résonance de ces métaux rares et réceptionner les ondes retours pour savoir si il y a résonance de retour. Si c’est le cas vous trouvez l’or recherché, et vous deviendrez forcément riche. Cette réflexion simpliste vient de ce que l’on déduit des explications sur les résonances de l’atome, car si chaque type d’atome à sa propre fréquence, on peut alors émettre ces fréquences et savoir si il y a des retours pour des métaux rares... Une vraie question¦¦ Que se passe t-il sur la résonance des molécules ? Si on comprend que un ou plusieurs électrons peuvent faire des sauts en changeant de couche en absorbant des photons calibrés, et réémettant ceux-ci par rapport à des atomes précis, par contre pour les molécules changeant ainsi leur structure, est ce cela à une incidence sur la matière que représente ces molécules ? Une molécule à forcément un équilibre stable, mais si des atomes de cette molécule absorbe des photons calibrés, que se passe t-il ??

    ▬Amicalement.

    Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦27092019¦¦Une phrase qui en dit long¦¦[A propos, ce n’est pas seulement les étoiles qui envoient des photons, toute matière chauffée le fait.].
    ▬Si le chaud fait que la matière saute de couche pour certains électrons d’atome, et que de plus en refroidissant ces atomes émettent un rayonnement d’ondes, cela veut dire aussi que le chaud sont aussi des photons. On peut aussi se demander que les photons du chaud qui ne sont pas tous calibrés pour être absorbés par l’atome, sont quand même pris en compte mais que la masse de ces photons n’est pas pris en compte. On se demande alors que font ces photons non absorbés entièrement ?? Et bien on peut supposer que le chaud à deux pouvoirs qui est que les photons de ce chaud soient absorbés complètement par l’atome et d’autres photons soient quand même pris en compte mais sans que la masse de ces photons soient absorbés, mais permettant de faire augmenter les couches de certains photons de l’atome sans prendre la masse de ces photons mais en ne prenant que l’énergie cinétique de ces photons et faisant changer de couches certains photons de l’atome. On peut donc dire que si le chaud que sont des photons non calibrés pour l’atome, ces mêmes photons font changer les couches des électrons de l’atome, et quand l’atome redevient à son état initial, l’énergie cinétique abornée est restituée au vide de l’espace, et que de plus en revenant dans leur état normale ces atomes n’émettent pas de photons. Le chaud fait donc exciter l’atome, en prenant l’énergie cinétique des photons mais la masse de ces photons n’est pas pris en compte par l’atome. La durée d’absorption devient alors beaucoup plus grande que des photons absorbés calibrés, car ces photons calibrés ont été absorbés avec leur masse, et la résonance est très courte, et donc une fréquence très grande, car il y a déséquilibre de l’atome lui-même. Quand l’atome à subit un chauffage et que les photons absorbés ne sont que leur énergie cinétique, la durée d’absorption est alors beaucoup plus grande et on ne peut plus parler vraiment de fréquence de résonance. C’est là que la physique thermodynamique intervient en disant que l’énergie se conserve. Dans ces idées farfelues la notion de masse de photon intervient, soit en faisant vibrer l’atome si les photons sont absorbés complètement avec leur masse, et dans ce cas l’absorption est de très courte durée car il y a déséquilibre de l’atome et il y a rejet rapide du photon réémit, soit encore les photons absorbés sont pris par l’atome mais sans leur masse, ce qui fait que l’atome est stable et ne réémet pas de suite cette énergie. On peut même dire que les électrons prenant que l’énergie cinétique de photons non calibrés sont ceux qui sont le plus à l’extérieur de l’atome et donc correspondent aux électrons de valence. Ceci nous rappelle à se poser la question qui est qu’est-ce que la chaleur ? Une chaleur peut être compris comme étant des parties d’électrons de valence s’entrechoquant d’un atome à un autre et proche évidemment. Ce n’est pas tout l’électron qui s’entrechoque avec un autre électron de valence d’un autre atome, mais que des grains de chaque électron. Pour nous ce sont ces chocs de grains d’électrons qui donnent la chaleur des atomes. Un seul atome isolé et ayant pris des photons non calibrés et donc sans leur masse ne sera pas plus chaud de ce qu’il était avant absorption, mais le volume de l’atome augmente, car les électrons de valence sont plus excentrés. Idées farfelues et pourtant ça marche !!! Ceci va aussi dans le sens que l’atome chaud transmet sa chaleur à l’atome froid, tout simplement parce que les électrons de valence étant plus loin de leur noyau transmettent leur énergie cinétique aux atomes froid comme si il y avait échange d’énergie cinétique, ainsi le chaud après transmission diminue de couche, et la transmission fait chauffer le froid en augmentant la couche de l’électron de valence de l’atome qui était plus plus froid. Il y a donc un équilibre qui s’effectue par transmission d’énergie cinétique. Ainsi l’atome chaud car ces électrons de valence sont sur des couches supérieures va transmettre à l’atome plus froid cette énergie cinétique, diminuant ainsi la couche de valence du transmetteur et en augment la couche de valence du receveur. Au bout d’un certain temps il y a équilibre entre les différents atomes d’une même matière, ce qui veut dire que les électrons de valence des différents atomes ont le même diamètre autour u noyau. On comprend aussi que le froid transmet moins bien que le chaud, car en réalité c’est le chaud qui vient se réduire sur le froid, et dans ce cas qui est le même d’ailleurs le chaud donnera de l’ énergie cinétique au froid faisant que le chaud diminue en chaleur et que le froid augmente de chaleur. Quand on veut refroidir des matériaux la quantité de froid doit être plus grande que la quantité de chaud, et le refroidissement n’est autre que le froid prenne de l’énergie cinétique du chaud. Dans ces descriptions un peu simplistes, nous ne sommes pas à décrire la chaleur par des bombardement de molécules de gaz sur des parois, car les solides comme les liquides ont aussi des températures et où il peut ne pas avoir de molécule mais que des atomes. Il est quand même fou d’inventer n’importe quoi, mais si cela fonctionne, alors pourquoi pas jusqu’à preuve du contraire.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • La matière chauffée envoie de la lumière, ce n’est pas une nouveauté de ma part. C’est l’émission du corps noir et c’est l’origine même par Planck et Einstein de la physique quantique !

  • ●FMR2213.28 septembre 00:00, par JFP/Jean-François POULIQUEN.
    JFP¦¦27092019¦¦Dans nos concepts le corps noir prôné par Planck/ Einstein se traduit dans un corps de toutes les couleur sans qu’il y est couleur pour autant. L’émission de chaleur d’un corps n’est pas une émission d’onde, mais un échange d’énergie cinétique entre deux atomes à partir des électrons de valence. Un atome que l’on peut considérer comme chaud est un atome où ses électrons de valence ne sont pas dans un état naturel, car ces électrons de valence gravitent plus loin du noyau que leur état naturel, et le fait de graviter plus loin, fait qu’il y a échange avec les électrons de valence d’autres atomes proches. Il y a donc transmission d’énergie cinétique où les électrons de valence vont descendre de couche en perdant de l’énergie et que cette transmission d’énergie va faire augmenter de couche les électrons ayant reçu cette énergie. Bien sûr si les électrons de valence de plusieurs atomes sont de même couche, il n’y a alors pas d’échange, mais des collisions de parties d’électrons de valence, et ce sont ces chocs qui donnent la fameuse chaleur. Mais il n’y a peut être pas que les électrons de valence qui changent de couche, car plus l’atome est chaud plus les électrons changent et augmentent de couches. Dans ce concept il n’y a pas de photon ou boson encaissés ou absorbés, mais des énergies se traduisant par des changements de couches de certains électrons, et par la même une augmentation de l’enveloppe de l’atome.
    ▬Nous pensons que la fréquence de l’atome qui a une résonance bien précise et suivant sa constitution, ne rentre pas dans ce concept et est autre chose, et on peux se demander si le ou les photons ou bosons calibrés sont bien pris par les électrons du plus bas niveau. Dans ce concept de faire vibrer l’atome, c’est que les photons ont forcément une masse, et cette masse infime est prise par le noyau et rejeté par lui même, et l’énergie cinétique de ce ou ces photons sont alors donnés aux électrons du plus bas niveau. Dans ce concept il y a donc deux notions de l’absorption de photons ou bosons, car la masse du ou des bosons va se joindre au noyau et sera rejetée dans un temps très court qui est la résonance de l’atome, et l’énergie cinétique de ces bosons sera prise momentanément par les électrons de bas niveau. Quand le rejet de la micro-masse se fait les électrons de bas niveau redeviennent à leur couche initial. La nouveauté dans ce concept est que les ondes ou bosons ont forcément une masse, mais qui n’est pas forcément détectable, et c’est cette masse qui est pris momentanément par le noyau et non par les électrons. Il y a donc un changement de comportement du noyau très rapide avec une micro-masse supplémentaire et forcément rejet de cette micro-masse car non stable. C’est donc cette non stabilité du noyau qui donne cette fréquence de l’atome. La chaleur est un rayonnement tout autour de l’atome qui est simplement que des rayonnement d’autres atomes proches s’entrechoquent entre eux, mais ne correspond nullement à des apports de bosons avec masse ou sans masse. La chaleur n’est pas un apport de masse, mais un apport d’énergie cinétique où les électrons vont graviter plus loin de leur noyau et sans doute plus rapidement. Un atome "chaud" peut donc garer sa chaleur assez longtemps, car cet état est plus moins stable à grande durée. Ceci veut dire que l’énergie se conserve, mais non pour l’éternité, et donc il y aura forcément retour à un état naturel ou les couches électroniques redeviendront dans leur état naturel. Donc OUI l’énergie se conserve mais pas pour l’éternité. Ceci va dans le sens où il y a des durées de vie plus ou moins longues des particules.
    ▬En émettant ce concept où c’est le noyau atomique qui prend en charge momentanément une micro-masse supplémentaire venant de photon, cela ne change en rien aux descriptions de ces électrons bas niveaux que vous appelez des niveaux hyper-fin. Nous avons seulement rajouté une micro-masse de photon, où cette micro-masse vient sur noyau et non sur les électrons, et c’est cette micro-masse d’apport qui donne la résonance de l’atome et non vraiment les électrons bas niveaux, car une fois la micro-masse éjectée, les électrons bas niveau redeviennent à leur couche initiale. Donc pour nous la résonance de l’atome vient de son noyau et non de ses électrons. D’ailleurs ceci pourrait être testé en ne prenant que le noyau sans ses électrons et bombarder le noyau de photons de la bonne fréquence pour savoir si la résonance est la même qu’avec ses électrons... Le test étant de réceptionner si les photons calibrés émis ont été temporisés de la même façon que l’atome complet. Dans ce test il faudrait au contraire se baser sur des atomes dont la fréquence est basse, c’est à dire d’une temporisation longue.
    ▬Qui peut prouver que certains bosons comme les photons n’ont pas de masse ??
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦27092019¦¦Belle phrase¦¦[La matière chauffée envoie de la lumière]. Mais comment explique t-on ce fait ? Quelle est la mécanique pour que des photons puissent être générés et s’échapper de la matière en chauffant cette matière ? Comme dans notre concept la chaleur sont des chocs entre des parties d’électrons d’atome différents, il arrivent que ces chocs endommagent les électrons de valence où ceux-ci perdent des grains élémentaires. Cela rejoint notre concept de grains constituants les électrons. Un électron n’est pas un objet simple mais est constitué de petites parties que nous appelons des grains ou même des abeilles et que l’on a assimilé à un essaim d’abeilles et où des abeilles sont hors de l’essaim mais font partie de la même colonie d’abeilles. Ce sont donc ces abeilles libres mais rattachées à l’essaim qui s’entrechoquent entre différents essaims, car différents atomes proches. On se doute que se ne sont pas les électrons du même atome qui s’entrechoquent mais des électrons d’atomes voisins. Il faut voir que ces abeilles demie-libre, car hors essaim, se déplacent par saut, et nous proposons à la place de ces abeilles, des petits insectes comme des guêpes en miniature qui se déplacent par sauts très rapides. Nous ne connaissons pas le nom de cet insecte, mais le déplacement est très curieux. Cet insecte se trouve en été et dans les maisons traditionnelles en campagne, et leur vol est très curieux, car il se déplace par sauts successifs. Ces insectes font du surplace en vol et sans que l’on puisse voir leur ailes, et se déplacent sans même voir leur trajectoire, et donc se déplacent en saccade. Et bien il faut imaginer que ces petits insectes, moins gros que des mouches, forment un essaim, et donc une même colonie, mais que il existe plusieurs colonies. Donc en chauffant la matière et donc les atomes et donc les électrons que sont ces essaims les insectes demi-libre s’entrechoquent entre des essaims différents, et donc entre atomes différents. Cette image d’essaims est pour nous les électrons (1 électron=1 essaim), car quand on chauffe la matière, les électrons de valence vont changer de couche et donc s’éloigner du noyau, mais aussi se côtoyer avec d’autres électrons de valence correspondant à d’autres atomes proches. Plus on chauffe et plus les côtoiements deviennent des chocs, et si les chocs sont trop violents, alors on peut dire qu’il y a annihilation de gains et donne lieu à la création de photons s’échappant de l’électron. Mais les électrons retrouvent leur complément perdu par l’intermédiaire de ces particules virtuelles qui sont toujours proche de la matière. Il n’y a donc pas d’électron bancale, car si un électron qui perd une partie de ses grains générant ainsi des photons, la reconstruction se fait immédiatement au travers du vide où toutes les ressources sont disponibles. On pourrait dire que les électrons sont porteurs de photons, mais en réalité se sont des regroupements de paquets de différentes quantités de grains. L’Électron ne porte pas en lui de photon mais est constitué de grains, et ces grains arrachés par choc d’électrons d’atomes différents deviennent des photons. Le fait de chauffer la matière, les électrons ont une énergie cinétiques plus grande, et ils gravitent plus loin autour du noyau, et fait que certaines parties d’électrons se cognent et se heurtent avec d’autres parties d’électrons d’autres atomes proches. Les électrons endommagés gardent leur couche d’énergie si on peut le dire comme cela, et la reconstruction de l’électron se fait immédiatement par le vide. Cette description semble simpliste et même enfantine, mais le enfants ont souvent les plus belles questions comme aussi les plus belles réponses.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦29092019¦¦Sujets¦¦Émission de photons par la matière chauffée et qu’est-ce que la chaleur et l"électron ‼‼ Nous regroupons et reformulons nos idées et nos concepts pour être plus clair et concis¦¦Un des principes que nous avons déjà formulé est de dire que les toutes les particules élémentaires n’en sont pas, car ces briques élémentaires sont déjà constituées par d’autres éléments plus petits que nous avons appelé des GRAINS ÉLÉMENTAIRES. Ainsi quarks, électrons, photon, bosons, neutrinos... ne sont pas élémentaires car ils sont composés par d’autres éléments plus petits. On peut donc dire que les particules élémentaires sont en fait des paquets de grains, mais des paquets calibrés en nombre correspondant donc à des quanta de grains bien précis. La différence entre ces différentes particules élémentaires est la quantité de grains élémentaires composant les particules élémentaires, ainsi l’électron n’a pas la même quantité de grains qu’un quarks précis, de même qu’un neutrino. Comme les particules élémentaires sont une fin de ce qu’il y a de plus petits, il n’y a donc pas de mots adéquats pour désigner des divisions de ces particules élémentaires. Nous avons choisi ce mot de GRAIN qui est simple, pour avoir une image d’un tas de grains, et ainsi une particule élémentaire est un tas de grains comme un tas de sable. Il faut aussi comprendre que le grain qui semble l’unité élémentaire et de base pour constituer des paquets ou quanta de grains définissant ainsi les dites particules élémentaires, ce grain est lui-même composé par d’autres éléments encore plus petits. Mais nous ne descendrons pas plus loin que le grain élémentaires pour pouvoir expliquer des notions scientifiques, comme la chaleur et les émissions de photons à partir de matière chauffée. Voici des mots correspondants à des division d’un ensemble¦¦miette, fragment, fraction, portion, division, glanure, éclat ,morceau, fragment, granule, spore, germe, et le mot GRAIN nous semble plus adéquat pour avoir une unité de base, même si cela peut sembler difficile en conception, car un grain dans notre langage courant n’est pas une finalité, car il peut être encore être divisé en plusieurs éléments...
    ▬De ce principe simple où les particules élémentaires deviennent des particules composites, on peut alors comprendre plus facilement le comportement de l’électron qui n’est ni un corpuscule, ni une onde, mais un groupement de grains complètement déformable et où sa structure en tas de grains change de géométrie suivant les circonstances et les événements lui arrivants. Allant encore plus loin dans nos concepts, on peut même dire que le GRAIN de base possède un SPIN et que ce spin se retrouve dans l’électron ou le positron qui est exactement le même élément composite mais de charges opposées. Pour avoir une image de cette électron, nous avons imaginé que l’électron est une sorte d’essaim d’abeilles, où l’essaim est un concentré d’abeilles, mais que des abeilles indépendantes et rattachées à la même colonie sont hors de cet essaim. Ceci n’est qu’une image poétique, histoire de visualiser l’électron comme étant quelque chose de flou qui se fait et se défait constamment, car des abeilles s’en vont mais d’autres viennent donnant toujours ainsi un équilibre de nombre d’abeille à l’essaim. Mais dans cette image d’essaim beaucoup d’abeilles sont concentrées en un repère précis, et cette image est un peu fausse, car il faut voir que le cœur de l’électron se fait et se défait aussi constamment, et pour nous il y a une concentration de grains sans que ces grains se touchent et où l’ensemble des grains de l’électron donne une image flou ayant une plus grande concentration vers le centre de cet ensemble, mais que ce faux cœur peut se retrouver ailleurs dans cet ensemble reformant du coup un ensemble homogène mais flou ou les grains les plus extérieurs sont presque indépendants de l’ensemble. On a donc dans cette image un objet non précis constitué par une multitude de grains qui sautent constamment et qui donnent une image instable à l’ensemble, car le cœur de cet ensemble n’est pas figé à un endroit précis, mais se décompose pour se reformer ailleurs. Nous avons assimilé chaque grain à une abeille, mais cet insecte est remplacé par un autre insecte plus petit qui est le/la SYRPHE ou SYRPHIDE ou SYRAFPHIDAE qui est un insecte très curieux et qui fait du surplace en vol et se déplace par sauts très rapides successifs où on a du mal à comprendre la trajectoire de cet insecte. De cette image très particulière en mouvement constant, on peut alors comprendre que ’électron puisse se déformer pour traverser des fentes comme dans les expériences, car si une partie de l’électron commence à traverser une fente le reste de cet électron suivra pour pour prendre le même chemin. La largeur de la fente n’est donc même plus un obstacle ou contrainte, car l’électron s’adaptera en se déformant pour traverser la fente même si ce dernier est plus large que la fente. Dans cette façon de voir les choses, on nous dit alors que l’électron est une onde, mais pour nous une onde stationnaire n’existe pas ‼‼ On peut dire de cette image flou que l’électron rayonne, mais son rayonnement revient systématiquement à lui.
    ▬De cette image floue de l’électron on peut aussi comprendre que la chaleur est une énergie cinétique portée par d’autres atomes et donc d’autres électrons, et que ces électrons transmettent cette énergie cinétique à des électrons receveurs où ces derniers changent de couches électronique en s’éloignant de leur noyau. Plus les électrons reçoivent de l’énergie de "chaleur", plus ils s’éloignent du noyau en changeant de couche en augmentant leur volume. Une énergie de ’chaleur" n’est autre que des électrons soient dans des couches électroniques supérieures par rapport à leur état normal et sans apport de photon. Par raccourcis on peut dire que ce qui donne de la chaleur n’est autre que les couches électroniques de valence qui ont augmentées en volume et donc en énergie, et donc sans doute en vitesse, mais sur ces vitesses de l’électron nous ne savons rien, alors on ne parlera pas de mouvement de l’électron, mais seulement de mouvement des grains constituants l’électron. Donc plus un atome est chauffé plus il reçoit de l’énergie cinétique d’autres électrons d’atomes différents, et de cela l’électron transmetteur se refroidit en régressant de couche mais transmet cette énergie à un électrons de valence receveur, qui lui permet de changer de couche électronique en s’éloignant du noyau. Dans cet état de chauffe de l’atome qui n’est que les électrons de valences se trouvent sur des couches supérieures, les atomes constituant la matière, peut alors émettre des photons. La mécanique de générer des photons, est que les électrons de valence voisins et non du même atome s’entrechoquent. Ce sont ces chocs entre électrons voisins ou partie d’électron qui donnent cette notion de chaleur. On peut considérer que quand les chocs sont trop violent il y a libération de grains des électrons se cognant, et ces grains deviennent alors libres et se rassemblent pour former des photons. Les électrons ayant perdu une partie de leur grains se reconstruiront par l’intermédiaire du vide, ou il y a des ressources pour combler les grains perdus. Pour le redire encore, les électrons ne lâchent pas de photons d’eux mêmes mais perdent des grains de leur constitution, et ce sont ces grains qui se regroupent et forment des photons ou autres. Cette façon de voir la chaleur au travers des couches de valence d’électrons et des chocs de parties d’électrons voisins d’autre atomes, n’a rien avoir avec la résonance de l’atome. Maintenant un atome qui absorbe de la lumière ou photon calibré à une certaine fréquence, est un autre mécanisme que celui de la chaleur. On vient de voir que les photons émis par la matière sont des regroupements de GRAINS perdu par choc d’électrons d’atomes différents, et donc que ces GRAINS élémentaires ont forcément une masse très infime, mais une vraie masse pour autant. Et bien quand un atome absorbe un photon calibré, cela se porte sur le noyau et non vraiment sur les électrons du niveau le plus bas, car la fréquence de l’atome est en fait l’absorption de masse minime et rejet de cette micro-masse pendant une durée très courte donnant justement la fréquence de résonance de l’atome. La chaleur portée par les électrons de valence et même certains autres électrons, à une durée très longue sans rapport avec la mécanique d’absorber un photon, car les mécaniques sont sans rapport.
    ▬Ces explications délirantes peuvent être une vérité comme peuvent être fausses, mais malgré des physiques pointues, les interrogations à savoir ce qu’est vraiment telle particule et comment ça marche est toujours absent, sauf les lois qui ne nous donnent pas plus d’explication. On peut toujours concevoir d’autres concepts ne nuisant pas l’existant, et si cela est même faux, on a au moins ces concepts qui nous donnent des explications sur des mécaniques que ’l’on n’a pas imaginées et permettent de résoudre les interrogations de ces physiques. L’imagination est plus vraie que les tests ‼‼
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Ce que l’on appelle "chocs entre particules de matière" par exemple entre électrons n’est pas un contact. A proximité l’une de l’autre, deux particules connaissent une répulsion qui devient exponentielle et qui est provoquée par le nuage de polarisation. Les particules se repoussent mais sans aucun contact. La matière nous paraît solide et on croit la toucher mais notre doigt, par exemple, est seulement repoussé.

  • Il ne faut pas concevoir la particule comme un objet solide, pas plus que l’atome ou la molécule et pas non plus comme un essaim d’objets mais comme une fractale existant à de nombreuses échelles avec des images différentes à chacune.

  • Je ne vois pas où réside la fréquence dans vos grains qui donnent des photons ni comment ils redonnent les propriétés du photon, notamment la relation entre photon et particule de matière. Je n’y vois pas non plus les relations matière-lumière c’est-à-dire boson-fermion.

    Par contre, si on conçoit le vide comme plein de particules virtuelles et les photons comme couple particule virtuelle et antiparticule virtuelle, les particules réelles comme des particules virtuelles ayant reçu de l’énergie, on voit la relation...

    Voyons-le…

    Les particules furtives (éphémères dites virtuelles) qui émergent du vide et s’y précipitent aussitôt relient entre elles les particules stables et durables de la matière, dites particules réelles.

    Le photon approche de la particule réelle par exemple un électron (chargé négativement). Dans le photon, c’est sa partie chargée positivement qui s’approche le plus et se couple sur l’électron. Du coup, l’autre partie se détache. L’électron s’est couplé à l’anti-électron pour redonner un nouveau photon pendant que l’autre partie a été relachée pour donner un nouvel électron… Cela décrit le phénomène, son niveau d’énergie et sa durée.

    C’est le rythme du cycle d’accroche-décroche des couples qui détermine la fréquence du photon.

    Peut-on transformer de la lumière (bosons) en matière (fermions) : voir ici

    Voir encore

    Rajoutons que la lumière se transforme sans cesse en couples matière/antimatière.

    Peut-on transformer de la matière en lumière ? Cela se produit sans cesse dans les étoiles !!! Toutes les explosions nucléaires le font (photons gamma dans l’explosion). Un atome radioactif émet des photons gamma.

    Peut-on transformer du vide en lumière : voir ici

  • JFP¦¦29092019¦¦Remarques sur tes retours du 29 septembre 13:12 et du 29 septembre 13:42¦¦Tes retours sont assez frustrants et même déroutants, car un coup tu apprécies notre façon de voir les électrons comme étant des essaims, et avec tes derniers retours, tu réfutes cette façon de voir, c’est donc à ne rien comprendre, et on peut se demander si tu es la même personne Ɂ Une fractale n’est pas quelque chose de physique mais de non physique, car c’est comme une division, une multiplicative, une homothétie, une géométrie, qui ne sont pas des objets ou des entités, mais des notions abstraites. Nous disons que toutes le particules élémentaires ne sont pas élémentaires mais justement composées par d’autres choses et peu importe ces choses, car nous considérons justement que les particules élémentaires ne sont pas fait d’un seul bloc, et sont donc forcément discontinues, ce qui veut dire que ces particules ne sont pas des solides comme on l’entend car nous disons justement qu’elles sont malléables et transformables. La frustration vient que tu nous dis des choses qui ne correspondent pas à ce que l’on a écrit, car justement nous disons son contraire. En disant [Il ne faut pas concevoir la particule comme un objet solide] et bien pour nous c’est exactement ce que nous disons également, et il semblerait que tu comprenne le contraire de notre écriture. Mais il est vrai que ce terme de dichotomie que tu as employé récemment dans l’un de tes retours, définissant deux notions différentes et opposées par leur contraire, ne va pas dans le sens de la définition initiale habituelle de ce terme, car la dichotomie à nos yeux, c’est de diviser une MÊME notion par deux, et répéter cette opération sur une partie retenue, mais n’est pas d’utiliser les contraires ou les opposés en parlant de dichotomie. Nous ne sommes pas de bons écrivains car notre langage et vocabulaire est assez limité et pauvre, mais il n’est nul besoin de connaître mille fois plus de mots pour être mieux compris. Pour reprendre ton mot de fractale, pour nous ce mot ne définit rien de physique, car c’est une organisation, une géométrie, un arrangement, une disposition... et ne définit en rien les éléments eux-mêmes, comme étant telle chose ou autre, car qu’est-ce qui est mis en fractale en parlant de concret. Nous pensions être plus clair en réécrivant notre principe disant que toute particule élémentaire est en réalité une particule composite, et que les éléments qui compose toutes les particules sont les mêmes, séduisant du coup l’élémentaire mais augmentant les compositions, et de là pas vraiment de retour de ta part.
    ▬Dans la mesure où nous considérons que les particules sont des assemblages mobiles et déformables constituées par d’autres entités inconnues et de plus en mouvement, nous ne parlons absolument pas de réels chocs entre deux particules, mais de chocs entre des portions ou parties de particules, voir même de GRAINS de particules. Dans notre image représentant l’électron comme étant un essaim d’abeilles, ce ne sont pas les essaims qui se cognent entre eux mais des abeilles libres loin de leur essaim. Mais comme déjà dit l’essaim est assez mauvais comme image, car cela voudrait dire que la plus grande partie de la particule est l’essaim correspondant à un cœur et qu’il y a que quelques abeilles hors de cet essaim. Donc il faut voir cela autrement en disant qu’il y a un paquet de grains importants formant l’électron comme un nuage actif et en perpétuel changement, et que ces grains sont distant entre eux, et la répartition de ces grains n’est pas homogène, mais formant un centre fictif et plus dense en quantité de grains, et où ce centre se défait et se refait ailleurs. Cette description n’a donc rien avoir avec un objet solide comme tu nous le dis. Nous parlons de composition, d’organisation, et même de géométrie, mais non figée car nous parlons mouvements constants, et même désordonnés, et ceci n’a donc rien à voir avec un objet inerte comme tu essaies de nous le dire. Si on dis noir c’est noir et que l’on nous répond NON noir c’est du noir, la compréhension devient alors difficile. Que nous soyons en désaccord sur certaines choses ne donne pas lieu à ne pas comprendre ce que nous écrivons, car nous avançons des tas de choses non conventionnelles, et sans doute fausses. L’avantage de ne pas connaître grand chose est justement de ne pas s’encombrer avec l’existant et de trouver des nouvelles pistes.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦29092019¦¦Si notre 1er principe est de dire que TOUT est constitué de grains, notre 2e principe est de dire qu’il y a AUTANT de charge positive que négative dans l’univers. On se demanderait bien pourquoi seulement dans le monde dit virtuel, et donc les particules virtuelles, dont tu raffoles, seraient en nombre équivalent entre charge positive et en charge négative. Pourquoi se partage serait juste dans le monde virtuel et qu’il ne le serait pas dans le monde dit du réel Ɂ Pour nous il y a autant de charge positive que négative dans le monde dit réel et donc que l’on perçoit ‼‼ La raison en est très simple, car il y a autant de grains de charge négatif que de grains de charge positif, et ceci veut dire aussi que les grains qui constitue tout possède un spin, et comme il y a un spin cela veut dire que le grain élémentaire est lui même constitué d’unités encore pus petites pour générer ce spin. Nous ne voulions pas rentrer dans ces concepts de grain possédant un spin, car cela n’a que peut d’intérêt pour expliquer la chaleur et les émissions de photons à partir de la matière, mais comme tu interviens avec les particules virtuelles ayant des charges différentes, nous sommes donc obligé de développer. Voici les preuves directes que les charges du réel s’équilibre. Qu’est-ce qu’un proton au niveau charge Ɂ Et bien un PLUS. Qu’est-ce qu’un électron au niveau charge Ɂ Et bien un MOINS. C’est exactement leur contraire ‼‼ Pourtant les charges sont sans rapport, car la masse du proton qui est environ 2000 fois celle de l’électron. Ceci prouve déjà que les masses sont sans rapport avec les charges, mais cela est d’aller un peu vite en besogne. Maintenant qu’est-ce un neutron Ɂ Et bien simplement l’addition d’un proton et d’un électron, et à ce titre dans les expériences les neutrons par collision se transforment bien en proton et électron avec un surplus d’un neutrino ‼‼ Maintenant pourquoi le neutrino comme le photon comme encore d’autres particules sont neutre en charge Ɂ Et bien il y a autant de grains positifs que négatifs qui composent les particules n’ayant pas de charge apparente ‼‼ Tout ce qui semble neutre est en réalité une égalité de charge ‼‼ 1+-1=0 et pourtant UN comme MOINS UN sont des entités ‼‼
    ▬Ceci veut dire aussi que l’anti-matière disparue juste après le Big-bang est un leurre et une grosse bêtise venant de nos scientifiques, car celle-ci n’a pas disparue de notre Monde, et on n’a même pas le droit de dire que le modèle de l’anti-matière n’existe plus dans notre Monde, car sans doute dans des portions d’espace il y a des inverses de la configuration de la matière, et que les rayons lumineux émis par ces anti-étoiles sont exactement les mêmes que les rayons lumineux émis par de vraies étoiles. On ne peut pas faire de distinction entre les photons émis de galaxies lointaines de matière comme d’anti-matière. Qu’est-ce que la matière et donc l’atome Ɂ Et bien un PLUS central et un MOINS externe donnant un équilibre. Mais avec exactement les mêmes constituants que sont les grains élémentaires, ce PLUS central pourrait être le MOINS central et le MOINS externe deviendrait un PLUS ‼‼ Donc avec exactement les mêmes constituants que sont les grains élémentaires on créer soit de la matière soit de l’antimatière ‼‼ Alors pourquoi ce que l’on trouve autour de nous est de la matière et non de l’anti-matière Ɂ Et bien c’est totalement le hasard de cette constitution qui a pris telle configuration et non pas l’autre, mais une fois qu’il y a eu un embryon allant vers le sens de notre matière ou allant vers l’anti-matière, la chaîne de construction s’organise pour continuer cet embryon ‼‼ De créer de l’anti-matière est totalement possible, mais le problème de cette anti-matière est qu’elle est instable et seulement parce-que notre environnement est son inverse. Isoler une fabrication d’anti-matière est très difficile, car pour isoler il faut faire le vide de tous atomes résiduels de vraie matière et quand on essaie de faire cela et bien les parois des caissons où l’on réalise les expériences restent elles de la matière, et donc l’isolation ne dure pas très longtemps, car dès que l’anti-matière rencontre de la matière, il y a alors décomposition et recomposition, et ce sans parler d’annihilation. D’ailleurs que veut dire annihiler Ɂ Et bien c’est de se décomposer en grains de bases ce qui est construit et de se réorganiser d’une façon stable, créant ainsi les soient disant particules élémentaires. En réalité l’élémentaire est dans le nombre de ces grains formant des paquets ou quanta. Pour le redire encore car c’est assez amusant au niveau de la conception, l’anti-matière fait partie de la matière, mais c’est seulement l’organisation des grains qui donne soit de la matière ou de l’anti-matière. Les masses sont rapport avec les charges des particules, et on le voit bien avec l’électron et le proton ou le PLUS et le MOIN s’équilibre, mais pas du tout au niveau des masses. Les particules n’ayant pas de charge est en fait un équilibre de grains PLUS et de grains MOINS. Ainsi photons, neutrinos ou autres ne possédant pas de charge ont la même quantité de grains PLUS et MOINS. Le problème de cet équilibre est qu’il n’est pas stable, ainsi le neutron isolé ne reste pas en vie de plus de quelques minutes, et se transforme et se désintègre pour reconstruire autre chose.Donc l’équilibre est instable, mais SI cet équilibre de grains PLUS et MOINS est en mouvement alors il garde une stabilité plus ou moins grande. D’ailleurs à ce propos on nous dit que le neutrino mute en d’autres types de neutrons. Pour nous ces mutations ne sont rien d’autres que de perdre ou de gagner des grains PLUS et MOINS. Pour le redire encore les particules n’ayant pas de charge, ont en réalité un équilibre de nombre de grains de charge PLUS et de charge MOINS. En donnant ces deux principes très simples cela remet en cause des tas de choses scientifiques et même de mécanismes, et donc de trouver que la nature est très simple remet en cause nos compréhensions complexifiées par le seul fait que nous sommes compliqués dans l’approche de l’inconnu.
    ▬De dire que les photons sont des assemblages de grains est sûrement vrai, mais ces grains n’ont alors plus de spin, ce qui différencie les fermions et des bosons, et il y aurait donc 3 types de grains, les uns sans spin, et les autres de charges opposées. En tout cas un grain possède une masse indépendamment du boson de Higgs qui est lui même un assemblage de grains possédant forcément une masse. Le vrai questionnement est de savoir pourquoi tel quanta pour tel type de particule, et d’autres quanta pour les autres particules. D’avoir des paquets différents reste la vraie question. La masse est un vrai attribut des particules et n’est pas liée au boson de Higgs lui conférant une masse. Mais les règles qui sont rédigées oblige que les particules n’ont pas cet attribut intrinsèque de masse. Il en va aussi pour cette discipline assez ressente qui et la chromodynamique quantique qui n’est qu’un moyen mathématique pour résoudre un problème de découpage de charge. Découper la charge élémentaire pour parfaire les besoins de résoudre les problèmes de découpage du proton et du neutron, n’est que de la pure invention mathématique. Il y a des notion comme la charge qui ne se divise pas ‼‼ Donc nous ne croyons absolument pas à cette discipline de la chromodynamique quantique et donc à ces inventions, car sil y a avait 4 ou 6 ou plus de quarks quel serait la fraction élémentaire de charge Ɂ Nous tombons ici dans la spéculation mathématique sans aucun lien avec la réalité, car cette discipline ne sert que pour être juste au niveau de charges entre proton et neutron et du nombre TROIS ‼‼ Pour le redire simplement, et bien avec les mêmes quantités de grains chargés positivement et négativement on construit aussi bien la matière que l’anti-matière et on ne découpe pas la charge entière positive comme négative ‼‼
    ▬Révolutionnaire OUI, mais contre ces scientifiques qui inventent n’importe quoi et complexifient des tas de choses. Nous allons lire ce que tu nous préconise, et si nous trouvons des solutions à des problèmes posés nous répondront.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦29092019¦¦Dans ton retour du 30 septembre 04:48, les 3 sites que te préconises nous sont inaccessibles par le simple fait d’être obligé d’accepter des cookies qui sont des saloperies pour nous cibler et nous perturber dans nos recherches. Ce message commun à plusieurs sites qui est ""Nous respectons votre vie privée" est franchement n’importe quoi car c’est exactement l’inverse de ce qui est. Nous sommes libre et nous ne voulons pas être envahis par des regards malsains de grandes sociétés à nous donner un profil quelconque. Le comble avec ces cookies est que on nous enferme dans ce que nous avons consulté avant, ainsi pour YOUTUBE par exemple on nous remet dans le contexte des dernières consultations. A quoi cela sert-il de nous remettre dans la sélection précédente qui ne nous intéresse plus Ɂ Pourquoi accepter des cookies qui nous ciblent et qui nous envoient des publicités à tous bouts de champs ‼‼ Voici tes sites recommandés auxquels nous ne pouvons pas accédés¦¦
    https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/quand-la-lumiere-devient-matiere_23104
    https://hitek.fr/actualite/creer-matiere-avec-lumiere_3313
    http://www.slate.fr/life/68851/et-la-lumiere-surgit-du-néant
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Notre site n’a rien de tout cela : ni pub, ni adhésion, ni cookies, ni rien de commercial d’aucune sorte, nous ne vendons rien, ni une organisation, ni une idéologie, ni un produit. Tu apprécies ?

    • Non seulement nous ne vendons rien, nous ne publions rien contre argent, ni sur le site ni ailleurs, mais nous n’avons aucun copyright sur nos écrits et n’en voulons pas car nos idées ne nous appartiennent nullement. Il ne nous intéresse absolument pas de prétendre en avoir la propriété. Nous ne postulons à aucune notoriété, à aucune signature d’académie, d’université, à aucun honneur ni reconnaissance. Nous ne roulons que pour les idées, pour elles et pas elles pour nous, pour aucune boutique, car les idées c’est bien suffisant.

  • JFP¦¦29092019¦¦Dans ton retour du 29092019 13:12, tu dis cela [Ce que l’on appelle "chocs entre particules de matière" par exemple entre électrons n’est pas un contact. A proximité l’une de l’autre, deux particules connaissent une répulsion qui devient exponentielle et qui est provoquée par le nuage de polarisation. Les particules se repoussent mais sans aucun contact. La matière nous paraît solide et on croit la toucher mais notre doigt, par exemple, est seulement repoussé.] Si il y a répulsion entre les électrons d’atomes différents et voisins par ces électrons de valence qui sont dans la couche la plus externe du noyau, comment expliquer que les atomes très proche les uns des autres se côtoient presque pour certaines matière Ɂ L’enveloppe virtuelle que l’on peut visualiser par des certains microscopes spéciaux, montrent bien que les atomes sont presque tangents entre eux, comme si ils se touchaient, mais ces enveloppes ne sont que de fausses images où ces images ne sont que des reconstituions des différences de tensions qui nous donnent ces images fausses. L’enveloppe représente quoi pour toi, sachant qu’il peut y avoir plus de un électron formant chaque enveloppe de chaque atome Ɂ Est-ce que l’électron est une couche en sphère Ɂ Est-ce que cette couche la plus externe à une épaisseur Ɂ Si il y a plusieurs électrons de valence pour une même couche externe comment sont réparti ces électrons Ɂ Est-ce que les électrons externes sont en mouvement Ɂ Peut-il y avoir conflit entre des enveloppes presque tangentes de couches externes d’atomes voisins Ɂ Quelle est la valeur minimum en distance entre ces enveloppes qui paressent se toucher Ɂ Est-ce que l’enveloppe représente réellement l’électron ou qu’une partie de l’électron Ɂ Nous considérons que l’électron est flou dans sa consistance, et les images que nous avons de ces enveloppe par des moyens spéciaux ne reflètent pas complètement la réalité, et nous supposons que les enveloppes sont en fait des couronnes ayant forcément une certaine épaisseurs, mais ces couronnes sont floues car il n’y a pas de limite franche mais justement un brouillard, mais ce brouillard n’est pas les particules virtuelles, mais fait bien partie de l’électron lui-même, et qu’il y ait en plus un nuage de polarisation entourant ce brouillard. Si cette enveloppe externe d’électron augmente de diamètre et peu importe les raisons, il arrivera que des enveloppes d’électrons différents et d’atomes voisins différents se conjuguent, se mélangent, se superposent, se marient, se combinent, et donc qu’une zone d’espace soient partagée et en commun entre deux couronnes d’électrons. Sait t-on jusqu’à quelle dimension les enveloppes d’atomes peuvent augmenter leur couche externes Ɂ Crois-tu cela possible ou pas Ɂ Pour le dire autrement y a t-il un volume commun entre des électrons de valence d’atomes voisins et forcément différents Ɂ On nous dit que les électrons gravitent autour de leur noyau atomique, mais que veut dire graviter Ɂ Comment décrire ce que fait l’électron et comment le représenter sachant trop bien qu’il prend une multitude de géométries, mais si il prend des géométrie différentes c’est que ces transformations ne sont pas es instantanés mais des transformations mêmes rapides, mais dans ce cas de transformation cela n’est pas des sauts quantiques, mais des passages progressifs mêmes très rapides.
    ▬Ne prend pas ces quantités de messages comme du harcèlement, car nous émettons des remarques simplement au fur et à mesure que nous avons des choses à dire, car si nous devions trop stocker nos remarques, elles ne passeraient plus au moment des envois, car cela dépasserait la taille limite admise des envois. Nous attendrons tes réponses même si elles sont différées, et merci d’avance.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦30092019¦¦OUI nous apprécions énormément ton site car justement pas de publicité, pas d’acceptation de cookies, rien de commerciale, et de plus un très grand nombre d’articles diversifiés où on peut aller voir ce qui nous intéresse et de plus nous pouvons communiquer. Une grande homogénéité sans fioriture, et donc un site super bien calculé et réalisé et qui dure depuis longtemps. Nous sommes enchanté d’aller voir les nouveautés, mais nous ne répondons pas systématiquement, car nous nous sommes fixé d’émettre que sur les sciences, et elles sont déjà très nombreuses et diversifiées. Nous apprenons en même temps que nous émettons nos idées. Quoi de mieux Ɂ
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Dans ta description des particules, il faut toujours concevoir les particules d’interaction (comme les photons et bien d’autres) avec la structure de la matière.

  • JFP¦¦01192019¦¦Compléments du principe_1 de la notion de GRAIN, et compléments du principe_2 qui est la notion de charge positive ou négative et même neutre des GRAINS. Toutes particules quelconque comme boson ou fermion sont des particules dites élémentaire mais deviennent dans nos concepts des "particules composées" pour faire la distinction avec des particules composites que sont en générale proton et neutron. Chaque type de particule différent à forcément un nombre de grains différent, car se sont des quanta de grains différents. Nous ne savons pas déterminer le nombre de grains pour une particule donnée d’autant que certains bosons comme les photons n’ont normalement pas de masse, mais nous considérons que le fait de ne pas trouver de masse à ces entités est que leur masse réelle est infime et donc non détectable. Il serait très difficile de définir le nombre de grains d’un photon, ne sachant pas d’ailleurs si la fréquence est liée au nombre de grains. Dans nos concepts les photons ont une masse, et ces mêmes photons sont constitués de grains en quantité que nous ignorons. L’unité de masse qui est le grain, est sans rapport avec celle de Planck, car nous nous adressons à des échelles bien inférieures aux quanta et à la constante de Planck. Ce que nous savons faire c’est de donner des rapports de masse entre certaines particules qui ont forcément une masse. Ainsi le neutrino à une masse très inférieure à l’électron, et pourtant ce neutrino à une grande quantité de grains, malgré que sa masse soit infime. Donc le neutrino est un fermion qui possède moins de grains que l’électron. Le nombre de grains positifs et négatifs doivent être égale pour le neutrino, car ce dernier ne possède pas de charge, et ceci est une façon de définir des particules ne possédant pas de charge, car les PLUS et les MOINS s’annulent. Une autre façon de définir une charge neutre est de dire que les grains d’une particule n’ont pas de charge et donc n’ont pas de SPIN, mais nous ne croyons pas vraiment à cette possibilité, car ce qui tient à une particule d’être ce quelle est, sont des liens entres les charges différentes. Néanmoins on peut concevoir pour une particule de charge neutre d’avoir un mixage des 3 types de grains, aussi les grains de charges positif et les grains de charges négatif sont en nombre égale, et viennent se rajouter des grains neutre ne possédant pas de charge. Maintenant l’organisation et donc la géométrie interne de la particule constituée de grains reste une interrogation.
    ▬La constitution d’un électron est un assemblage de grains positifs et de grains négatifs et peut être un ajout de grains neutres. Comme l’électron est de charge négatif, cela veut veut dire qu’il y a au moins 1 grain supplémentaire de charge négatif. Faut-il plusieurs grains négatifs pour que la charge externe d’une particule soit négative Ɂ Et bien nous pensons que NON, car un seul grain fait basculer la charge d’une particule, mais ceci demande à être encore réfléchit. Le point d’interrogation est de savoir comment s’organise ces grains de charges différentes au sein d’une même particule, car est-ce par couche d’une même charge ou un mixage ou autre, et bien nous n’en savons rien... Nous ne pouvons donc pas définir une géométrie de charge, d’autant qu’une géométrie peut changée et s’arranger autrement. Ce qui tient la particule à être se qu’elle est, ce sont les charges différentes et même identiques de ses grains, où il y a forcément des interactions entre ces grains et donc des échanges. Est-ce que des grains d’une même particule peuvent se heurter, et bien nous n’en savons rien non plus... Trouver des nouvelles notions qui sont simples, posent beaucoup de questions. Ce qui est sûr pour un électron, c’est qu’il n’y a pas de densité homogène de ses grains, et donc que cette particule reste floue car la frontière n’est pas claire, et ceci est d’autant plus vrai que des grains sont expulsés de la particule et d’autres arrivent fonction de ce vide plein de particules virtuelles. Ce qui s’échange avec le vide ne sont pas des particules mais des grains ou des paquets de grains. Les particules virtuelles étant elles-mêmes constituées de paquets de grains qui sont soient de charge identiques soient de charges mixées, voir même sans charge. Le vide proche de la matière est une réserve sans fin de paquets de grains servant aux interactions des particules dites réelles et donc échangeant avec ce vide. Il est dit que les particules virtuelles se font et se défont constamment, et bien pour les particules dites réelles cela est la même choses, sauf que ce n’est pas deux particules réelles qui s’échangent entre elles, mais le vide par ses particules virtuelles constituées de grains, et des grains des particules réelles.
    ▬Ce que nous sommes sûr c’est que neutron, proton et électron ont des communs entre eux. Un neutron est un assemblage d’un proton et d’un électron, car additionner les masses nous donne bien ce résultat, comme encore addition les charges PLUS et MOINS nous donne bien une charge neutre. Ceci prouve que la neutralité peut est un équilibre de charges opposées. Comme le neutron est neutre comme son nom l’indique c’est qu’il est constitué d’autant d’électrons négatifs que de positrons positifs. Extraire un électron au neutron, il devient forcément proton. Extraire un positron du neutron, et bien il devient l’anti-proton de l’anti-matière. C’est aussi simple que cela mais très difficile à réaliser, car on est obligé de collisionner des neutrons entre pour espérer avoir des atomes d’hydrogène, mais tout cela n’est que sur papier. Une collision d’un neutron avec autre chose, donnera bien un proton, un électron et même un neutrino supplémentaire, mais ces nouvelles particules ne s’assemblent pas forcément. On peut comprendre que le choc violent puisse éclater le neutron en grains élémentaire, et que ces grains se reforment pour générer des électrons et des positrons, et qu’un assemblage final créer un proton. Comme déjà dit un proton n’est rien d’autre qu’un neutron dont un électron à été expulsé et devenant demi libre car rattaché au proton. Quand on compte en protons, il faut forcément additionner les électrons correspondant. On pourrait même considérer que proton-électron forment une même particule mais particulière.
    ▬Les nombres d’ électrons et de positrons formant un neutron ou un assemblage d’un proton-électron est de 1836 électrons et positrons. Donc il y a 1836/2=918 électrons et 918 positrons formant un neutron ou un assemblage particulier de proton-électron car il y a un électron externe. Ces nombres de 1836 et 918 sont des nombres magiques.
    Prenons le neutron de 1836 éléments et divisons le par 3 pour obtenir des quarks 1836/3=606 éléments, et donc un quark du proton contient 606 élément qui se partagent entre électrons et positrons. Si on divise 606/2=303, on obtient 303 électrons et 303 positrons pour un quark du proton. Et bien le proton est presque identique au neutron, car il y a bien 3 quarks de 606 éléments et donc de 303 électrons et 303 positrons par quark, mais l’un des quarks possède en moins un électron, car ce dernier est a l’extérieur et fait partie. Cela nous donne que pour le proton sans son électron externe 2 quarks de 606 éléments et un quark bancale de 605 éléments, ou dit autrement 1836/2=918 positrons, et (1836/2)-1=917 électrons. Sachant que ces éléments que sont des électrons et de positrons qui sont des assemblages en grands nombres de grains. En procédant comme cela il n’y a pas de fraction de la charge élémentaire, car L’électron est toujours égal à UN et le positron à MOINS UN. Nous nous passons donc de cette chromodynamique quantique qui n’est que pour palier et répartir des charges, mais qui nous semble peu convaincante, car fractionner la charge élémentaire nous parait complètement faux. Cette nouvelle science de chromodynamique quantique admet aussi qu’il puisse y avoir que 2 quarks par proton, si bien sur on utilise des anti-quarks. Et bien à partir de ce nombre 1836 éléments et 1836/2=918 éléments par quark si il y en a deux, ce 918 est encore à diviser par deux pour répartir les positrons et les électrons donc 918/2=456 positrons et électrons par quark mais l’un des deux quarks aura un électron en moins. Donc premier quark constitué de 456 positrons et de 456 électrons, et le deuxième quarks est la même chose mais possède un électron en moins. Là encore pas de fraction de la charge élémentaire, mais encore un déséquilibrage qui permet justement que la particule soit stable. Il est curieux d’ailleurs que la stabilité soit réalisée par quelque chose de bancale
    ▬Ce nombre de 3 quarks n’a été repéré que par des collisionneurs de particules, définissant 3 bidules, 3 choses que composent un proton ou un neutron, mais dans des conditions particulières car ces particules composites ont été testée unitairement, ne correspondant pas un atome un peu plus complexe. Nous disons simplement que ces 3 quarks sont vrai mais seulement quand ces protons ou neutrons sont isolés. Dans d’autres contextes le nombre de quarks ou paquets est forcément différent. Nous t’avions déjà donné cette façon de voir les choses dans un autre message, voici notre magie¦¦
    1836/N N=1, 2, 3, 4, 6, 9, 12, 17, 18, 27, 36, 51, 68, 102, 108, 153, 204, 306, 459, 612, 918, 1836. Et oui ce nombre de 1836 est vraiment magique permettant d’avoir plus de quarks que sont en réalité des paquets d’éléments. Mais ces beaux sous-multiples sont encore trop réduits pour pouvoir organiser encore par d’autres façons que la belle division et répartition. On peut très bien imaginer qu’il puisse y avoir des paquets d’éléments différents, et là c’est le vrai miracle, car on comprend que la chimie n’est pas à ses fins pour comprendre ce qu’est l’atome. Tout en gardant la même masse, et la même charge, la répartition intérieure des éléments du proton et du neutron doit donner des structures différentes de géométrie agissant du coup sur l’extérieur au niveau des charges qui sont des forces. De trouver que proton et neutron n’ont que 3 quarks n’apporte strictement rien au niveau de la compréhension des protons et neutrons. Ceci est tellement vrai que le neutron associé au noyau à une durée de vie qui est sans rapport quand il est isolé. Il y a donc des échanges qui se font et ce échanges permettent de changer de structures internes.
    ▬Encore une petite chose à dire sur ces anti-trucs, ces anti-bidules, c’est que l’anti n’est que l’opposé en charge, et que l’anti-neutron n’existe pas, comme d’autres anti. On essai de nous dire que les charges opposées ne sont pas les seules critères pour définir les anti-choses. Et bien nous dirons que cela ne tient pas la route, car la gravitation agit de la même façons sur les choses ou anti-choses, comme encore les forces. Ne connaissant pas trop ces domaines concernant les anti-choses, nous te demandons des choses à lire si cela ne te coûte pas trop. Pour le redire encore notre modèle de matière par rapport à l’autre modèle possible qui est l’anti, les effets d’avoir un centre positif et des externes négatifs, ne donnent aucune différence que d’avoir un centre négatif et d’avoir des externes positifs. La nature aurait pu opter pour l’autre forme d’anti, mais c’est totalement le hasard qui a été retenu et sans choix. D’ailleurs on peut même supposer que des portions d’espace regorge du contraire de notre matière sans que la lumière que nous percevons puisse définir des différences. Il serait drôle que l’on nous dise qu’il existe des anti-photons ‼‼ Merci pour tes retours.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦01192019¦¦Question très simple¦¦Pourquoi appelle t-on les photons des ondes électromagnétiques dans la mesure ou ces photons n’ont pas de charge Ɂ Une autre question¦¦Peut-on faire dévier des photons par magnétisme, comme maintenir des électrons ou autres dans les accélérateurs de particules Ɂ
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦01102019¦¦Dans ton retour du 29092019 08:13 du même article sur le sujet matière/lumière, tu nous invites d’aller voir cet article intitulé "Quelle relation entre matière et lumière ?".
    ▬En début d’article tu parles d’énergie thermique, mais qu’est-ce que l’énergie thermique physiquement si ce n’est qu’une énergie cinétique transmise aux électrons pour qu’ils changent de couche. Cela est notre interprétation et conception¦¦C’est en fait l’énergie cinétique de certains électrons donneurs qui se cognent (avec des amortisseurs Robert (marque déposée)) avec des électrons receveurs d’atomes voisins où le donneur se voit descendre de couche et le receveur augmenter de couche. La notion de chaleur est en réalité une augmentation du diamètre de la couche externe où se trouve les électrons de valence et la transmission se fait donc par la couche externe du donneur à la couche externe du receveur, et cette énergie n’est pas thermique car cette notion veut dire quoi physiquement Ɂ C’est bien le problème de ces physiques car des énergies et des notions mais on ne sait pas les définir physiquement. Pour nous, transmettre de l’énergie c’est transmettre du mouvement, et donc de l’énergie cinétique, par le fait de chocs, même si on aime pas ce terme car des amortisseurs existent, car nous n’avons pas vraiment le droit à ces chocs par contact, mais la transmissions se fait quand même par une énergie cinétique même sans choc, car peu importe si il y a des caoutchoucs pour éviter que les entités se touchent, où il y aura une perte d’énergie cinétique pour le donneur en redescendant de couche et pour le receveur une augmentation du diamètre de la couche externe en sautant de palier. Pour résumer le donneur se voit descendre d’une couche externe et le receveur se voit passer à une couche de valence supérieure, ce qui fait que le donneur refroidit et le receveur s’échauffe, mais cette chaleur n’est pas une vraie notion de chaleur mais un simple passage à une couche inférieure ou supérieure, et il y a donc un équilibre de transmission d’énergie entre donneur et receveur, et dans ce cas c’est d’atome à atome. Dans le cas de transmission de chaleur sur l’atome par la lumière, le procédé change forcément car la lumière n’a pas de couche pouvant réduire ou augmenter, c’est donc des chocs et sans doute de vrais chocs par quanta de photons ou certains électrons changent et passent de couche supérieure. Dans ce cas les corpuscules photons sont perdu et se noient dans le vide, et l’énergie cinétique des photons est transmise aux électrons permettant de passer à une couche supérieure. Si le ou les photons arrivant sur l’atome sont de la même fréquence que l’atome, alors cette transmission devient particulière, car ce ne sont plus les électrons qui sont pris en compte mais le noyau atomique de l’atome, et où se noyau restitue le photon émis après une temporisation correspondant à la fréquence de l’atome. Il y a donc des photons calibrés qui change momentanément le noyau, et des photons non calibrés qui servent à faire augmenter de couche certains électrons, et donc 2 mécaniques différentes. Le photon ne contient pas de chaleur indépendamment de sa fréquence, mais quand il est absorbé il fait changer une couche d’électron ou si il est calibré et absorbé par le noyau à la résonance de l’atome, la masse du photon est prise par le noyau et rejeté au bout d’une durée très courte correspond à la fréquence de l’atome, et dans ce procédé ce sont les élections du plus bas niveau dit de couche hyper-fine qui change de couche le temps de l’absorption du photon calibré par le noyau. Une fois qu’il y a rejet de la micro-masse du photon par le noyau, les électrons de bas niveaux reprennent leur place initiale, et la micro-masse rejetée redevient photon. Quand des électrons sont arrachés par des photons c’est que l’énergie cinétique des quanta de photon est très grande. Quand l’énergie de photon est trop faible pour faire changer de couche des électrons, alors les photons sont réfléchis. Il y a donc des mécaniques différentes suivant les fréquences des photons arrivant sur l’atome et aussi la quantité de photons qui joue aussi pour une autre mécanique d’arrachement. Tout ceci ne sont que des idées mais non spéculatives pour autant.
    ▬Nous notons cette phrase¦¦[Déjà, il convient de rappeler que lumière et matière sont tous deux quantiques, qu’ils se comportent comme des paquets de grains, les quanta, contenant tous la même quantité d’un paramètre physique appelé « l’action » et qu’ils sont quantiques au sens qu’ils sont probabilistes et fondés sur la dualité onde/corpuscule.]. Ce que nous aimons dans ces phrases c’est que l’on parle de grains, mais le grain est pris d’un niveau supérieur car on parlera plus loin du grain de lumière et donc du photon et non des grains constituants le photon. autre phrase parlant de choc¦¦ [De la matière peut se transformer en lumière comme dans le choc de deux particules suffisamment accélérées ou de la lumière se matérialiser. Cela montre que l’opposition entre matière et lumière n’a rien de diamétrale.]. Que doit-on comprendre de ces chocs si la matière ne se touche jamais Ɂ C’est bien ce que tu nous dit, où les atomes ne se touchent jamais.
    ▬Autre phrase¦¦[La matière ne perçoit une autre matière qu’au travers de ces bosons, donc de lumière. Par exemple, deux particules électriquement chargée interagissent (force électromagnétique) au travers de bosons lumineux.]. Nous revenons à la charge (drôle) pour savoir si deux atomes voisins peuvent interagir par leur électrons de valence Ɂ Si chaque atome ne peut empiéter sur un autre atome voisin, c’est que forcément il y a des échanges entre atomes, et la lumière ou boson n’est alors pas une obligation d’être utilisée pour que les atomes communiquent entre eux ‼‼ Rien que les positions des atomes dans un solide définit bien qu’il y a communication entre atome proche.
    ▬Une partie des explications de Richard Feynman¦¦
    ▬[Quand la particule (ou l’atome) émet du rayonnement électromagnétique, d’où vient le photon (grain de lumière) dans la matière, à quel endroit pouvait-elle être stockée dans la particule ou l’atome et dans quel lieu peut-elle être stockée quand la lumière est absorbée par la matière ?
    Quand la lumière est réfractée ou réfléchie, comment sait-elle si elle doit être l’un ou l’autre et quel niveau interne à la lumière rétroagit avec celle-ci pour lui indiquer le passage d’un milieu à un autre, d’un indice lumineux à un autre ?
    Quels sont les mécanismes de la matière permettant ce type de phénomène ou encore l’émission de particules alpha de rayonnement lumineux dans le cas de la radioactivité naturelle ?
    L’explication de ces phénomènes étranges ne s’est pas révélée possible si on considère la particule comme un élément unique, indépendant du milieu (le vide). En effet, elle réside dans le fait que le photon qui va quitter une particule (ou n’importe quelle matière) existait préalablement à proximité de celle-ci, dans une zone appelée le nuage de polarisation de la particule, c’est-à-dire une zone du vide quantique qui est polarisée par la présence de la particule. Dans cette zone les couples de particules et d’antiparticules peuvent être individualisés et s’accoupler avec d’autres particules. Toutes les particules qui existent à l’état réel sont aussi potentielles dans le vide quantique et on les appelle virtuelles. Lorsqu’elles forment des couples virtuels de particule et antiparticule, elles peuvent devenir des photons. Les deux états (réel et virtuel) ne sont pas dans une opposition diamétrale mais se transforment l’une dans l’autre. Si un photon communique son énergie à une particule, il disparaît parce qu’il devient virtuel. Si un photon virtuel reçoit de l’énergie de la particule, il devient réel et donc observable. Par exemple quand un électron atomique saute d’une orbite à une autre, il rend de l’énergie qui permet à un photon de devenir réel.
    Tous les phénomènes étranges de la physique quantique sont ainsi interprétables par des phénomènes liés au vide quantique. La particule, objet élémentaire, est remplacée alors par un nuage de particules et d’antiparticules ainsi que de photons qui échangent sans cesse entre eux la propriété de masse matérielle et réelle.]
    ▬D’après les explications de Richard Feynman les photons pré-existent plus ou moins proche de la particule et en l’occurrence de l’électron, car il considère qu’il y a un nuage de polarisation autour de l’électron qui est la source permettant de créer des photons. Le problème de cette vision est que l’électron n’est pas vraiment statique car il change de géométrie et de forme constamment, sans d’ailleurs savoir comment il passe d’une forme à une autre. Cela voudrait dire que le nuage suit ces déformations de l’électron. Il considère que l’électron n’est pas un élément unique mais une particule toujours accompagné d’un nuage de polarisation. On peut se demander pourquoi le nuage serait chargé électriquement, mais pourquoi pas, et il est dit que c’est la particule qui polarise ce nuage. Nous avons une autre approche en disant que des grains de matière sont présent autour de l’électron, et sont déjà chargés positivement ou négativement ou encore non chargé comme neutre, et ce n’est donc pas la particule qui polarise le nuage et donc pour nous les grains, car ces dernier sont déjà chargés. Pour nous les particules virtuelles ne sont pas une copie conforme des particules dites réelles, mais des groupages de grains autour de la particule réelle qui est pour nous déjà une sorte de nuage flou, car les grains qui composent la particule réelle ne sont pas regroupés en un lieu précis mais s’étalent sur un volume de l’espace. Nous ne croyons absolument pas que les dites particules virtuelles sont comme les particules du réelles, car ces particules virtuelles sont pour nous des groupages de grains qui sont des résidus ou ressources supplémentaires où il y a échanges entre réel et virtuel, mais le virtuel ne ressemble en rien au réel, ce qui veut dire qu’il n’y a pas de photon, d’électron, de proton, de neutron et autres virtuels, car se qui stationnent autour de l’électron ne sont que des résidus qui ne s’assemblent pas, faute justement de quantité suffisante, et aussi d’organisation, et c’est justement parce que l’électron est présent que ces grains résiduels virtuels ne peuvent pas s’assembler. Dans le sens de particules virtuelles et d’anti-particules virtuelles dans ce qui est dit, est que des grains de charges opposées sont présent mais ne forment pas des particules virtuelles, et ce simplement parce que la quantité e grains est insuffisante. Nous ne croyons pas non plus que des particules du réel puissent se transformer en virtuel et réciproquement. Nous somme plus ou moins d’accord sur cette phrase [Si un photon communique son énergie à une particule, il disparaît parce qu’il devient virtuel.] Nous dirons pas tout a fait cela, en disant que l’énergie cinétique du photon est absorbé par l’électron, et les grains du corpuscule du photon sont restitués au vide, et redeviennent des grains chargés négativement ou positivement. Cette énergie cinétique absorbée fera passer l’électron à une couche supérieure. Pour nous quand des photons sont générés a partir d’électrons, c’est que ces électrons passent à des couches inférieures, et le fait de passer à des couche inférieure fait que les résidus de grains composant le nuage peuvent se transformer en photons, car la mécanique est que les grains libres ou paquets libres virtuels se regroupent et s’assemblent et sont alors réfléchis par l’électron lui-même ayant changé de couche. C’est une sorte d’implosion ou les résidus de grains se précipitent vers l’électron qui change de couche, et se rassemblent et se régénèrent en photons et ensuite sont expulsés par l’électron. Dans notre vision il n’y a pas de pré-particule ni de pré-photon en attente ou qui se créer en construction semi-permanente, car les échanges qui se font sont ceux entre des grains externes de l’électron et des grains résiduels du virtuel et donc du vide proche de la matière. Cela nous fait penser à la matière dite noire ou grise à laquelle nous ne croyons pas, et bien si le virtuel est absent, les émission de photons sont impossibles, et on peut considérer que la matière noire n’émet pas de lumière simplement parce que il n’y pas de vide ressource permettant de créer des photons, ce qui fait que cette matière absorbe mais n’émet pas, mais ceci est un autre sujet. Cette phrase semble belle [Si un photon virtuel reçoit de l’énergie de la particule, il devient réel et donc observable.] mais en réalité aucun mécanisme n’est décrit, car comment un photon virtuel recevrait t-il une énergie de l’électron. Les photons peuvent être créer soit par un changement de couche allant vers le bas soit par un changement de couche allant à l’opposé du noyau, et dans un cas c’est une sorte d’implosion et dans l’autre car une sorte d’explosion. Le fait de décomprimer ou de compresser un espace remplit de grains libres permet une concentration de grains créant ainsi un photon. Pour nous la création de photons à partir de matière est que c’est une variation de couche d’électrons. Pour résumer Feynman considère qu’il y a autant de particules réelles que de particules virtuelles, et que le virtuel ne peut se matérialiser par faute ’énergie. On peut se demander de quelle type d’énergie dont on parle, car qu’est que l’énergie d’un électron pour qu’il existe. Cette réflexion sur l’énergie manquante aux particules virtuelles est aussi la même que Étienne Klein mais largement mieux conté. Il n’en reste pas moins que nous ne savons pas à quoi correspond cette énergie manquante pour des particules virtuelles puissent se matérialisée et rester dans notre réelles.
    ▬Pour résumer, nous ne croyons pas à ces particules virtuelles de tous genres, mais nous croyons à ce nuage de polarisation, mais ce nuage n’est pas polarisé par la particule mais par lui-même, car chaque grains de ce nuage est déjà chargé positivement ou négativement, et où il y a des échanges entre ce nuage et la particule. En réalité il y a un équilibre de charge entre particule et nuage, ou les grains seront ordonnés d’une certaine façon. Une question nous vient qui est de savoir si Feynman tient compte de la couche de la particule et en l’occurrence de l’électron. Nous pensons que les différents électrons par couche, ont des comportements différents suivant les couche et une organisation interne aussi différente, c’est à dire une structure différente suivant la couche où se trouve tel électron. Nous n’avons pas encore lu les renvois de cet article et il sont nombreux...
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Oui, nous parlons de grains et d’essaims, mais de la même manière que toi car il ne s’agit que de leur existence à une échelle. La matière de l’Univers est un ensemble d"échelle emboitées et interdépendantes autant que contradictoires entre elles. Donc un essaim de quoi ? Des grains de quoi ? Un essaim d’essaims et des grains de grains. Cela paraît absurde mais qu’a-t-on trouvé sinon que la matière est faite de molécules, les molécules d’atomes, les atomes de particules réelles, les particules réelles de nuages de particules virtuelles...

  • JFP¦¦02102019¦¦[(...) la matière est faite de molécules, les molécules d’atomes, les atomes de particules réelles, les particules réelles de nuages de particules virtuelles...] C’est quoi une particule virtuelle et qu’elle est sa constitution Ɂ
    ▬Et bien on ne peut pas répondre à ces interrogations, car la particule virtuelle mais laquelle Ɂ Nous n’avons que TRANSFORMÉ, REMPLACÉ, TRANSMUTÉ, DÉGUISÉ, MAQUILLER, TRANSMUÉ, MÉTAMORPHOSÉ, HABILLER TES ou LES particules virtuelles du quantique par des grains plus consistants, par le simple fait que ces grains ne disparaissent pas et ne réapparaissent pas, au gré de ce que nous ne comprenons pas. Ces grains élémentaires sont chargés positivement comme aussi chargés négativement sans utiliser cette notion absurde d’anti-quelque-chose. L’anti ne veut rien dire car ce n’est pas une charge positive comme une charge négative qui donne un modèle plus qu’un autre, mais donne un modèle apposé et contraire au modèle de référence. Quand on parle de particules virtuelles au sens large, on ne sais jamais de quoi on parle vraiment, car on généralise systématiquement ces particules virtuelles sans désigner ce qu’elles sont. Cela est déjà très particulier, et quand on parle de d’anti-particules virtuelles cela devient dramatique. Tu n’es pas plus capable de dire ce qu’est l’électron virtuel, d’autant que nous ne savons pas ce qu’est l’électron, et il en va pour le photon réel, alors de parler de photon virtuel devient plus une interrogation à ne rien comprendre. Pour toi et d’autres, toute la panoplie des particules élémentaires se retrouve copier par les particules virtuelles. Pour nous cela ne veut rien dire, car c’est une façon de résoudre ou d’aborder des problèmes, mais est-ce une réalité dans la mesure où on ne peut pas vérifier ces particules virtuelles et les distinguer les unes des autres. L’approche du virtuel peut être fait autrement que par ces particules virtuelles, car nous mettons une étiquette commune qui est le grain élémentaire constituant les particules élémentaires réelles comme celles du virtuelles qui peuvent être remises en cause. De dire que l’électron est fait de particules virtuelles n’est pas concevable par des particules virtuelles, car LES particules virtuelles est une notion qui est une copie de la réalité mais dans un autre monde car soit disant leur énergie insuffisante ne permet pas d’apparaître dans le monde du réel. Ces discours ne veulent pas dire grand chose, car attribuer une énergie à une particule nous semble curieux comme démarche, et c’est bien là la finesse de ces particules virtuelles où leur masse était nulle, puis deviennent dépendant de la constante de Planck sur DEUX. On est en droit de se demander pourquoi sur DEUX et pas sur TROIS ou une autre fraction.
    ▬Nous pensons que tu t’énerves par le simple fait que nous soyons candides et que nous avançons des idées malles rédigées qui devraient être des réformes par de vrais physiciens. Nous sommes donc désolé d’interpréter et voir cette quantique sous une vision différente de la tienne. Si de vrais physiciens avançaient de telles choses, tu les regarderais d’une autre façon, c’est pour cela qu’il est difficile de donner de la crédibilité d’idée à des candides, car ils ne connaissent pas toute la chaîne des idées qui ont été émises par des grands scientifiques ou même philosophes. Bien sûr il est préférable de connaître l’histoire des sciences pour émettre des idées, car il y aura à chaque fois des citations se rapportant aux idées émises. Nous gardons donc NOS grains élémentaires qui servent à construire TES particules virtuelles et le reste du Monde. Nous voyons seulement que l’on t’a énervé, par le simple fait de nos critiques et de nos approches qui sont différentes des tiennes. TON Feynman est pour toi l’un de tes maîtres, c’est ce que tu nous as dit, mais pas pour nous car nous avons relevé des anomalies dans le peu que nous avons lu sur lui par tes articles, et nous nous tairons pour ne pas démolir ce Maître, car notre but est de comprendre et si besoin d’inventer. Nous n’avons pas plus de maîtres que d’esclaves, et nos vrais maîtres ne sont pas dans les sciences mais dans la musique, ainsi JIMI HENDRIX nous fait encore vibrer, comme bien d’autres...
    ▬[Donc un essaim de quoi ? Des grains de quoi ? Un essaim d’essaims et des grains de grains.]. Nous pourrions dire la même chose avec des particules virtuelles de quoi, du virtuel du virtuel de quoi... Et bien des essaims de mouches qui piquent, et l’une d’elle à dû te piquer, à moins que cela soit notre humour¦¦(avec des amortisseurs Robert (marque déposée)), où nous acceptons ta façon de voir, mais nous mettons des caoutchouc pour ne pas avoir de vrais chocs. Oui des grains de grains car si ces grains élémentaires étaient constitués d’un seul bloc, il ne pourraient pas posséder un SPIN, et donc ces grains élémentaires sont constitués eux-mêmes par autre chose. Nous avons relus notre message du 01102019 17:21 du même article, et nous ne voyons pas ce qui a pu te piquer ou gêner, car il n’y a pas d’agressivité, mais un peu d’humour, et seulement des désaccords où nous échangeons les particules virtuelles contre nos grains élémentaires. Nous ne comprenons pas ton retour où tu sembles avoir été dérangé...
    ▬Amicalement et dans amicalement il y a ami. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦02102019¦¦Ton retour du 1er octobre 20:41 du même article sur le sujet du photon, tu nous invites d’aller voir cet article intitulé "Un photon, c’est quoi ?!!!". Notre interrogation était pourquoi appelle t-on les photons des ondes électromagnétiques dans la mesure où ces ondes n’ont pas de charge apparente, et savoir aussi si on pouvait faire dévier des photons par le magnétisme.
    ▬La deuxième phrase de cet article nous semble pas clair du tout car on ne comprend pas le sens de la phrase¦¦ [L’étrangeté du terme « photon » est qu’il sous-entend un corpuscule, qu’il est donc discontinu alors que la notion de fréquence fait penser à une onde qui est, au contraire, discontinue et occupe tout l’espace.] Nous pensons qu’il y a une erreur de mot en parlant du corpuscule qui devrait être lui continu et non discontinu, car le contraire de discontinu est discontinu n’est pas cohérent. En fait on ne sait pas ce qui peut être continu, car est-ce le corpuscule photon ou l’onde photon Ɂ Nous nous considérons que le corpuscule du photon est discontinu car formé de grains élémentaires. Maintenant définir ce qu’est l’onde du photon nous parait difficile, car nous ne savons pas vraiment ce qu’est une onde. Autre phrase¦¦[L’expression « photon » signifie que l’on décrit la lumière (ou l’électromagnétisme) par un corpuscule, c’est-à-dire comme quelque chose de ponctuel.] Pour nous la notion de ponctuel en physique est une aberration, car le point n’existe pas physiquement. Il y a toujours derrière ce que l’on croit très petit comme le point quelque chose de réel qui n’est plus le point et qui n’est pas rien, en disant que c’est un point c’est forcément quelque chose qui n’est pas un point, car si le point réel existait et qu’il soit quelque chose, alors tout l’Univers pourrait être contenu dans un point sachant que le point n’a pas de volume. Parler de point ou de ponctuel sont des raccourcis, mais pour nous cette notion n’existe pas physiquement. Même avec 2 couleurs définissant un segment de droite et rajoutant une 3e couleur pour définir un point virtuel où les 3 couleurs partent de ce point fictif, cette notion est aussi fausse car en se s’approchant très près le point formé par les 3 couleurs disparaît, car nous n’avons plus l’illusion d’un continuité, mais justement de discontinuité et le point disparaît alors. Quand on parle de point ou de ponctuel nous utilisons une certaine échelle, et si nous nous rapprochons de très prés de ce point, alors il disparaît pour nous donner autre chose que le point initial. Dire que le corpuscule du photon est point, est donc un raccourcis, et cela est comme la masse du photon dont on dit qu’elle est nulle, car c’est le même raccourcis. Bien sûr point et masse nulle vont dans le bon sens, mais ce n’est plus de la physique même quantique. Le point est une invention, non une rélité.
    ▬Nous étions parti à lire et même à relire cet article que tu nous as préconisé, car nous l’avions déjà lu, parce que en fin de l’article nous avons déjà émis des messages de correspondance. En relisant l’article pour savoir si ce photon possède une charge, et bien il y a plus ou moins de détournement de la définition, car si sa constitution est un couplage de charge positive et de charge négative par le biais de couplage de particule et d’anti-particule virtuelles, cela nous donne une charge neutre. Mais ceci ne nous avance pas trop dans nos questionnements, car on pourrait dire que tout ce qui est neutre est formé de charge positive et de charge opposée négative, donnant alors une neutralité. Que les charges soient portées par des particules virtuelles pour toi, et pour nous par des grains élémentaires, cela ne change rien. Nous nous apercevons que nos concepts sont en réalité une transposition du virtuel en grains. Nous trouvons cela assez plaisant, car nos grains sont en permanence existants mais que ce ce virtuel est lui fugitif, mais les notions de virtuelles ou de grains peuvent répondent aux mêmes besoins. Pour nous le virtuel allait trop loin dans sa conception et dans son évolution, car pouvoir concevoir des protons ou neutrons virtuels allait beaucoup trop loin en échelle, car pourquoi pas des étoiles virtuelles comme des galaxies virtuelles... Tant que ce virtuel ne touchait qu’aux particules élémentaires cela était concevable, mais de passez à des échelles supérieures, la crédibilité n’est alors plus gardée. Ce que nous avons fait par nos concepts de grains, c’est en fait de matérialiser le virtuel. Ainsi les niveaux plus bas que l’échelle des particules élémentaires peuvent être compris en définissant autre chose que du fugitif non palpable.
    ▬L’avantage de ces grains élémentaires c’est qu’ils sont permanents et donc ne disparaissent pas par rapport à ces particules virtuelles du quantique qui apparaissent et disparaissent aussi vite que leur création. Autre avantage de ces grains c’est qu’ils possèdent une vraie masse, sans doute calculable, mais impossible à vérifier, mais cela va dans le sens des particules virtuelles où on ne peut rien vérifier, et où la détermination de ces masses n’est pas claire. Ces grains vont même dans la constitution des photons réels, qui pourtant n’ont normalement pas de masse, ceci veut dire que ces photons ont forcément une masse mais qu’il est actuellement impossible de tester. Ceci veut dire aussi que les particules virtuelles auxquels nous ne croyons pas vraiment sont constituées de grains élémentaires. Nous avons donc des vrais constituants pour confectionner ces particules virtuelles, mais celles-ci sont fugitives, cela veut dire que des paquets de grains se forment et se défont, et que ces grains eux sont permanents, ceux veut dire aussi que ces regroupements passagers ne sont pas vraiment la copie conforme des particules élémentaires réelles, et ceci est lié à la quantité de grains non requis, et ceci veut dire aussi que ces paquets ne sont pas calibrés pour être stable et rester dans notre réalité pour être détectés. L’énergie qui manque à ces particules virtuelles n’est donc pas une vérité ou une vraie possibilité, mais c’est simplement la quantité inadéquat de grains qui ne permet pas une stabilité de ces paquets, et donc qu’il y a une très grande variété de paquets temporaires qui se font et se défont. Ceci nous amène à dire aussi que ces grains élémentaires se trouvent dans des volumes d’espace précis, et que ce monde virtuel n’est pas présent dans tout l’espace. Nous avions fait une flexion sur ces particules virtuelles remplissait tout l’espace intergalactique, qui est que les photons des galaxies lointaines interagiraient forcément avec avec ces particules virtuelles ou maintenant avec ces paquets de grains, et donc ne laisseraient pas passer les photons lointains, car l’image que nous aurions de ces galaxies lointaines seraient forcément déformée. Ceci veut dire aussi que le vide ne contient pas la très grande énergie que l’on veut nous faire croire, car ces grains ou particules virtuelles sont toujours proches de la matière, mais jamais parsemé dans tout l’espace. En fait ces grains ou ce virtuel se trouve proche de la matière où il y a constamment des échanges entre grains libres et grains de particules ou paquets de grains libres et paquets de grains de particules. Ces grains servent aussi à définir ce que peut être la chaleur, qui serait ainsi des électrons de valence de l’atome qui se heurtent avec d’autre électrons de valence d’atomes voisins mais sans vrai choc d’après Robert. La chaleur définie par des chocs de molécules de gaz sur les parois est une chose, mais il y a une autre forme de chaleur plus général, qui est ce que nous venons d’expliquer par les électrons de valence. Plus l’atome saute de couche et en l’occurrence les couches de valence, plus la chaleur est présente dans l’atome, ce qui veut dire aussi que cette chaleur se conserve pendant assez longtemps mais pas pour l’éternité, et est sans rapport avec la résonance de l’atome, qui est un procédé et une autre mécanique. La mécanique de transmission de chaleur est de faire augmenter les couches de valence par d’autres atomes où ces derniers perdent de l’énergie cinétique par transfert en en donnant au receveur. Donc l’énergie thermique est en fait une énergie cinétique transmis par couche d’électrons de valence. Le donneur en transmettant cette énergie cinétique la perd obligatoirement et le ou les électrons descendre d’une couche, et le receveur augment lui d’une couche d’électrons de valence. Il y a sûrement d’autres avantage dans ce concept de grains élémentaires, mais cela reste à voir. Nous avons aussi émis de dire que la matière dite noire, est en fait la même matière que celle que nous connaissons, mais l’entourage de cette matière noire ne possède pas de grains élémentaires ou de particules virtuelles, ce qui fait que cette matière n’émet pas de photons.
    ▬Phrase non comprise¦¦[Le photon ne doit pas être conçu comme un « simple » objet, il n’a pas de position fixe, ni de trajectoire.] Pour nous le photon à bien des positions fixes dans l’espace, et possède forcément une trajectoire, car déjà ces photons suivent des géodésiques quand il y a déformation de l’espace, et ce n’est pas parce que nous considérons que les photons possèdent une masse, que les trajectoires des photons soient liées à la gravitation de masse importante. Il n’y donc pas de relation entre masse du photon et les masses importantes faisant dévier les photons, car il n’y a pas de rapport de masse.
    ▬Rappelons nos questions initiales¦¦Pourquoi appelle t-on les photons des ondes électromagnétiques dans la mesure ou ces photons n’ont pas de charge Ɂ¦¦Peut-on faire dévier des photons par magnétisme, comme maintenir des électrons ou autres dans les accélérateurs de particules Ɂ Nous sommes désolé mais nous n’avons pas trouvé les réponses à nos questions dans cet article parlant de photon. Nous nous demandons toujours pourquoi appeler des photons des ondes électromagnétiques. Est-ce que électro vient de électricité ou électron Ɂ Sûrement une fausse question, car les électrons sont la base de l’électricité. Si il y a un lien entre électro et photon, c’est que les photons ne sont pas issus directement des électrons, mais ce sont les électrons par leur mécanique qui ont pu générer ou absorber des photons. Le problème est que ces photons ne sont pas porteurs de différentiel de charge car ils sont neutres, et ils peuvent être neutres par l’égalité de leurs charges positives et négatives comme encore encore être neutre sans charge du tout. En tout cas nous trouvons une aberration d’appeler des photons des ondes électromagnétiques.
    ▬Toujours dans l’article¦¦[Étienne Klein dans « Sous l’atome, les particules » : « Un photon de lumière aiguë vient frôler un atome de matière. Fugace télescopage au fin fond du réel. En surgissent deux électrons, un de chaque signe, vifs et rapides comme l’éclair, enfin presque ; ils ralentissent, courbent leur trajectoire, lancent des photons ; s’ils se rencontrent à nouveau, ils fusionnent l’un dans l’autre puis disparaissent en remettant, comme leur dernier soupir, deux furtifs grains de lumière. »]¦¦La poésie n’est pas toujours au rendez vous pour la physique, car partant seulement d’un seul grain de lumière cela génère un électron et un positron, c’est beaucoup, mais cet électron et positron fusionnent et se transforment en deux grains de lumière, et le bilan c’est que de UN on arrive à DEUX ‼‼ La poésie est magique car elle ne fait que frôler la physique, et a plus de droits légitimes que les physiques. C’est beau mais faux mais c’est beau. Nous nous arrêtons sur ce commentaire malgré ne pas avoir terminé sur la lecture complète de cet article "Un photon, c’est quoi ?!!!" car nous savons que les envois de message sont limité en nombre de caractères, et donc nous prenons les devants. Merci pour tes articles et désolé avec nos idées et concepts qui peuvent gêner et qui ne sont pas plus farfelus qu’autre chose. Au stade de notre lecture de cet article, nous n’avons pas trouvé les réponses que nous cherchons, mais notre lecture est incomplète...
    ▬Amicalement et dans amicalement il y a ami. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦02102019¦¦Ton retour du 1er octobre 20:41 du même article sur le sujet du photon, SUITE¦¦
    ▬[Bref, depuis trente ans, l’hypothèse d’après laquelle l’énergie lumineuse présenterait une structure granulaire s’est montrée très féconde et il n’y a pas de doute qu’elle ne nous révèle un aspect essentiel de la réalité physique. (...)]¦¦
    ▬Une énergie présentant une structure granulaire est difficilement compréhensible, car l’énergie ,’st pas un objet, et donc on ne comprend pas la phrase...
    ▬[La découverte de l’effet photoélectrique indiquait la nécessité de revenir vers une conception de ce genre (granulaire), mais en même temps, la forme même de la relation d’Einstein montrait qu’il fallait unir la conception granulaire et celle des ondes, de manière que les deux termes de la relation aient un sens physique.]¦¦
    ▬Les grains toujours les grains, mais une conception granulaire cela veut dire quoi Ɂ
    ▬[Le photon n’est pas un objet fixe mais une dynamique du vide quantique issue des paires électrons-positons, c’est-à-dire de couples matière-antimatière.]¦¦
    ▬Cette phrase nous parait difficulté à comprendre, car on pourrait croire que le photon est une paire de particules qui serait un électron et un positron qui devraient même être virtuels (car non précisé), et cela est parfait pour les charges opposées, mais les masses de ces deux particules ne vont pas du tout, même si on considère que les masses des particules virtuelles soient fonction de h/2 par rapport à la matière qui utilise ce h sans division, car c’est bien ce que tu nous as dit. Si on considère que les masses de cet électron et positron virtuel sont nulles, alors cela fonctionne, mais le problème se pose suivant l’énergie du photon et donc sa fréquence. Si nous avons différentes fréquences de photon donnant des énergies différentes, que deviennent cet électron et ce positron virtuel entrant dans ces photons Ɂ Pour nous cela ne peut pas être une paire d’électron et positron virtuel, car cette paire devrait s’adapter suivant la fréquence du photon, ce qui fait qu’il y aurait différents type d’électron et de positron virtuel. Cela rejoint notre concept de grains, et de dire qu’il existe un paquet de grains positif et un paquet de grains négatifs de même nombre, et que c’est la quantité de grains qui détermine la fréquence et donc l’énergie du photon. Donc peut importe ce que sont ces quantités de grains par paquets de charges opposées, ces paquets définissent la fréquence du photon, et cela est sans rapport avec les notions d’électrons et positrons virtuels. La raison est qu’il faudrait avoir autant de types d’électron et de positron virtuels que de fréquence de photon, et même plus généralement de boson. De dire des couples de matière et d’anti-matière devient donc un non sens, car la matière n’est pas un PLUS et l’anti-matière n’est pas un MOINS, ou l’inverse d’ailleurs, car la simplicité est de dire que l’on assemble des TRUCS de charges opposées et de même nombre suivant des quantités différentes pour définir des fréquences différentes. Notre critique ne t’est pas destinée car il est sûr que ce qui est écrit sur la quantique est toujours donné dans ce sens et avec les mêmes termes. Ainsi l’électron et positron virtuels formant une paire de charge opposées, est une mauvaise écriture, car cela voudrait dire que l’électron virtuel peut varier d’énergie tandis que l’électron réel ne peut le faire, et cela est aussi valable pour son opposé en charge qui est le positron. Dans cette quantique il y a bien un problème de conception, car on a dupliqué le réel pour en faire du virtuel, mais ce virtuel devient variable suivant les besoins, et puis de parler de matière et d’anti-matière pour définir un photon n’est pas bon sens, car la matière comme l’anti-matière émettent les mêmes photons. Dans ta phrase en parlant d’un SEUL photon, tu utilises paires avec un S comme couples avec un S, ceci voudrait dire que tu utilises plusieurs paires et plusieurs couples pour définir un seul photon. En fait tout ceci est confus car on utilise des noms de particules réelles pour les faire basculer en virtuel, mais le concept de quantité devient variable, et on utilise alors ces noms rien que pour la charge ‼‼ Tu n’apprécies pas nos grains élémentaires, et pourtant l’écriture devient plus simple, car il y a une base positive et négative et même neutre, et après on fait ce que l’on veut en assemblage. Pour nous un photon n’est pas un assemblage d’électrons et de positrons, mais simplement des TRUCS de charge positive et des TRUCS de charge négative en même nombre, et c’est le la quantité des TRUCS qui définit la fréquence du photon et donc son énergie. Ceci interdit même des fréquences car un nombre impair de TRUCS est interdit. Si des photons ont les mêmes nombre de TRUCS, ces photons émis par la matière ou par l’anti-matière sont totalement équivalents, car il n’y aucune distinction possible à faire ‼‼
    ▬Nous pensons compendium que l’électron virtuel est pris seulement dans le sens de charge négative MOINS, et que le positron virtuel est pris seulement dans le sens de charge positive PLUS. Tout ceci nous parait bien compliqué, car on se demande pourquoi ne pas utiliser des TRUCS MOINS et des trucs PLUS, car dire que ce sont des électrons virtuels comme des positrons virtuels complique tout.
    ▬[Le photon, tout comme le corpuscule de matière, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent. Le photon est un phénomène périodique dans lequel le cycle consiste dans la transformation : couple virtuel donne photon, puis redonne couple virtuel. Ce phénomène n’est durable que s’il correspond à un certain rapport entre espace et temps. C’est cela qui est appelé « vitesse de la lumière ».]¦¦
    ▬Là encore ne voulant pas parler de charge MOINS et PLUS on utilise la matière et l’anti-matière, et après nous ne comprenons pas vraiment. Les phrases qui suivront ne seront guère mieux comprises, et proviennent de différents auteurs. En fait dans cet article nous ne comprenons pas grand chose, malgré nous êtres familiarisé avec ce langage scientifique, et connaître maintenant quelques bases. Les réponses que nous cherchions n’y sont pas, à savoir pourquoi on dit que les photons sont des ondes électromagnétiques. Dans le forum aux messages, nous avions déjà émis les mêmes remarques et posé les mêmes questions datant il y a de plus de 7 mois, et qui sont restées sans réponse. Cela n’est pas pour donner de mauvaises critiques, mais nous ne comprenons pas grand chose dans cet article, car cela ne sont que des ébauches d’explications sans complément et où même les mots prêtent à confusion entre réel et virtuel, car on ne sait pas de quelles particule on parle. Nous ne sommes sûrement pas prêt à comprendre ce genre d’article, car nous avons de grandes lacunes. Si nous prenons cet extrait de phrases d’exemple¦¦
    ▬[Le photon, tout comme le corpuscule de matière, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent. Le photon est un phénomène périodique dans lequel le cycle consiste dans la transformation : couple virtuel donne photon, puis redonne couple virtuel. Ce phénomène n’est durable que s’il correspond à un certain rapport entre espace et temps. C’est cela qui est appelé « vitesse de la lumière ».]¦¦
    ▬Qui a reçu une énergie suffisante Ɂ Le couplage sûrement mais comment Ɂ Qu’elles sont cette particule et cette anti-particule couplées définissant UN photon Ɂ Dans des phares précédentes ont parlait de couples et de paires avec des S, et là cela devient qu’un seul couple. D’après ce que l’on nous dit le photon se transforme constamment en étant ce qu’il est, et c’est déjà difficile de le savoir, et se transformant en un couple virtuel avec des particules qui n’ont pas été définies. On nous dit que c’est un cycle mais on ne nous donne pas de fréquence de ce cycle. On nous dit que ce cycle ou phénomène est seulement vrai que si cela correspond à un certain rapport entre espace et temps. Et là nous pataugeons, car de quel temps parle t-on Ɂ De quel rapport parle t-on Ɂ Comment doit t-on considérer l’espace Ɂ Et pour finir on nous dit que c’est cela la vitesse de la lumière. Mais cela quoi Ɂ Nous ne comprenons pas grand chose dans ces explications car il manque sûrement des valeurs et les explication sont trop concises. Nous sommes désolé car nous devons être un peu bébête à ne pas comprendre grand chose. Nous avions émois il y a 7 mois 7 messages sur cet article, et nous le relisons sans plus de compréhension. Nous sommes donc pas prêt à comprendre ‼‼
    ▬Amicalement et dans amicalement il y a calment (prise de tète). Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦02102019¦¦Pour en finir avec nos deux principes de conception, nous disons¦¦Que ces grains soient des bidules, des machins, des trucs, des choses ou autres, ces trucs constituent les particules élémentaires comme aussi les particules virtuelles de toutes sortes. Et que cette constitution, soit prise comme étant consistance, contenu, texture, ossature, structure, composition, constitution, combinaison, architecture, arrangement, aménagement, organisation, fabrication, structuration, cela ne change en rien de l’existant et de ce qui est dit sur ces particules, car nous donnons seulement un contenu à ces particules dont on ne savait pas de quoi elles étaient faites. Nous disons simplement que toutes les particules élémentaire comme virtuelles sont granulaires et donc discontinues. Nous ajoutons donc simplement une notion granulaire de contenu sans déranger l’existant, et que ces trucs ou grains ont un spin donnant une charge positive ou négative voir même neutre. Que ces trucs ou grains soient des abeilles, des mouches ou autres n’a aucune importance, car il faut bien trouver un mot pour désigner l’unité élémentaire servant à constituer ces particules élémentaires ou virtuelles. Nous ne déformons pas l’existant sur cette quantique, nous ajoutons seulement une sous-couche qui n’était pas décrit avant. C’est à dire que toutes tes descriptions comme celles des autres auteurs sur cette physique quantique reste ce qu’elles sont sans modification de notre part. Et donc nos concepts ne changent en rien l’existant de ces physiques, car c’est un ajout qui ne perturbe en rien l’existant.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Toi aussi, tu écris beaucoup. Prend ton souffle que je puisse répondre. Amicalement. Robert

  • Tu dis : « Une énergie présentant une structure granulaire est difficilement compréhensible, car l’énergie , c’est pas un objet, et donc on ne comprend pas la phrase. »

    Tout d’abord, il faut reconnaître qu’effectivement, la matière et l’énergie sont à la fois granulaire et ondulatoire et que ce ne sont pas des objets ni l’un ni l’autre, qu’ils font partie d’un même ensemble absolument inséparable. L’énergie est matière et la matière est énergie.

    Il faut admettre également que la matière est lumière et que la lumière et matière.

    Il faut admettre enfin que le virtuel est aussi bien matière que lumière, et même à la fois matière et antimatière (comme la lumière)…

    Voilà le point de départ.

    Comment comprendre cela ?

    Nous avons développé une explication. Libre à chacun de la refuser mais alors qu’il explique les choses autrement. Nous ne pensons pas avoir connu une autre explication que la notre des fentes de Young par exemple.

    Lire ici

    Lire là

  • JFP¦¦15092019¦¦Depuis l’article origine d’un dialogue sur forum¦¦[Y a-t-il des sciences exactes ?] un très grand saut pour aller à celui lদ[L’expérience des fentes de Young et la dualité onde/corpuscule] et celui là nous fera faire un autre saut quantique pour aller দ[Qu’est-ce que l’expérience des fentes de Young et quelle en est la conséquence ? ] et c’est dans ce dernier que nous avons laissé un commentaire. Ces deux articles ont des plus de chaque coté par rapport à un tronc commun, et pour être dans le vent d’une hypothétique dialectique, nous pourrions dire aussi qu’il y a des moins et des plus de chaque coté, où ces mêmes articles deviennent relatifs. Le PLUS d’un article est ce que l’autre n’a pas et le MOINS est ce l’article n’a pas par rapport à l’autre article, et cela s’inverse forcement pour l’autre article. On pourrait imaginer que ces articles soient des particules élémentaires chargées, et que malgré des charges opposées de ces particules, un tronc commun existe ‼‼ C’est fou comme on peut voir des particules comme des articles ‼‼
    ▬Le plus de cet article est un extrait de phrases de Paul DAVIES dans"Les forces de la nature" qui est déjà un extrait¦¦
    ▬[Nous avons vu que l’hypothèse du photon implique que les ondes électromagnétiques se comportent parfois comme des particules. Inversement, des objets généralement considérés comme des particules, tels que les électrons, peuvent se comporter de façon floue comme s’ils étaient étalés dans l’espace. En 1924, Louis de Broglie suggéra que cet étalement associait aux particules de matière un comportement d’onde. (…) ]
    ▬Ce que nous retenons dans ces phrases est déjà le mot "FLOU" pour l’électron, et il assez amusant de constater que les mêmes adjectifs soient employés que les nôtres, car nous avons envoyé un message où l’on dit que l’électron est un objet "FLOU" sans vraiment de frontière où limites franches, et que que nous avons déjà utilisés dans d’autres messages, et donc qu’il y a un même langage, et que de plus nous n’avons jamais rien lu, sur ce sujet de flou pour un électron... Un deuxième mot est "ÉTALÉ" toujours pour l’électron, et cela correspond encore à notre vision de voir cet objet comme quelque chose s’étalant dans l’espace et où un centre fictif existe mais change constamment d’endroit car la constitution de l’électron se défait en partie et se refait constamment. Voici notre phrase dans une message juste avant celui-ci ¦¦[L’électron n’est pas un corpuscule limité, mais justement flou et déformable et s’étalant, et donc ce que l’on teste n’est pas le vide, mais son extension ‼‼]. Ce que nous aimons c’est que Louis de Broglie disait la même chose,en parlant d’étalement... et pourtant nous sommes des vrais candides, car nous ne connaissons pas les écritures de ces scientifiques, et cela nous fait du bien d’inventer les mêmes choses que des personnes réputées. Nous avons donc les mêmes intuitions, et nous découvrons que nos idées sont déjà celles de grands scientifiques, et donc que nous n’inventons rien , car cela existait déjà, mais fallait-il le savoir, car nous commençons à connaître certaines choses, seulement depuis que nous consultons des articles par des extrait de ce site "Matière et Révolution". De dire que l’électron à autour de lui un nuage de polarisation, c’est en fait pour nous son extension, c’est à dire que ce nuage est lui-même et n’est pas une chose externe, mais lui appartient, ainsi de parler de champ quantique l’entourant, cela n’est guère mieux, car ce champ est encore l’électron et non les particules virtuelles dont on veut nous dire. L’électron s’étale dans l’espace avec une plus grande concentration à des endroits qui se défont et se refont, et cela n’est donc pas un objet avec une dimension fixe.
    ▬Autres phrases du plus de l’article¦¦[Les diverses expériences du type de Young ont amené les scientifiques à rejeter successivement toutes les interprétations sur la particule, qu’elles soient de type corpusculaire (comme des corpuscules ponctuels et localisés) ou ondulatoire (comme des objets non localisés produisant des interférences). Cela signifie qu’il faut aller plus loin dans la remise en question des idées reçues sur la matière et … le vide.]
    ▬Pourquoi rejeter la notion de corpuscule, car un corpuscule peut être assimilé à un paquet de TRUCS pour éviter la notions de grains, et que ces TRUCS sont distants entre eux mais forme la particule, et donc que ces TRUCS bougent, ou sautent, disparaissent et réapparaissent, mais qu’une grosse partie de ces TRUCS forment toujours l’électron. On a donc un objet non en DURE comme on pourrait le dire mais justement un objet en MOU et donc déformable à volonté, et ce dernier s’étalant dans l’espace ou des TRUCS faisant partie de lui-même sont assez loin d’une sorte de noyau se défaisant et se refaisant constamment. On comprend alors que quand cet électron avec sa structure molle arrive sur les deux fentes, ce dernier peut totalement se diviser en deux parties, non comme un corpuscule en DUR. Pour nous il y a une division de l’électron, mais celui-ci après passage par les deux fentes se reconstruit, mais il y a alors une sorte oscillation qui se produit comme si les deux partie s étaient liées mais ne feraient pas partie du même bloc. C’est comme si on avait deux paquets de TRUCS quand même reliés, mais ne formant pas un bloc homogène, et donc une forme de résonance dépendant de la géométrie des fentes et de leur dimensions. La phrase qui suit vient à l’encontre de ce concept disant que l’électron est mou et s’étzle dans l’espace¦¦
    ▬[Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul : le vide. Mais ce vide est-il si vide ? Non, il est plein de particules et antiparticules virtuelles (fugitives qui ne durent que des temps très brefs).]
    ▬Cette façon de voir est presque similaire à notre conception, car on attribut un nuage de polarisation à l’électron, comme si il était une entité à part, et que se nuage traverse bien les deux fentes, mais que le corpuscule électron ne passe que par une fente. Si on considère que ce nuage appartient à l’électron et qui est lui-même l’électron, et bien cela revient strictement au même, sauf que le corpuscule n’est plus passé par une seule fente, car le corpuscule se déforme prenant une une structure et se divise même pour passer par les fentes, et se reconstruit juste après mais ne se reforme pas comme un ensemble immédiatement, mais que ces deux parties font toujours l’électron, mais reliées, comme si l’électron vibrait et où deux parties sont bien rattachées mais distantes et se reformant et se déformant. Une fois que l’une des deux paries touche l’écran de réception, alors l’électron se reforme pour ne former qu’un seul bloc, et s’écrase sur l’écran.
    ▬Dans cette façon de voir l’électron, on comprend qu’il puisse être assimilé à une onde, car en réalité le corpuscule électron n’est pas un objet en dure, mais en mou et s’étale dans l’espace et est constitué d’un paquet de TRUCS donc on a l’impression que l’électron est une onde, car il semble vibrer ou osciller. De toutes façons pour nous les ondes stationnaires n’existent pas, car une onde est un déplacement dans une direction donnée et non un va-et-vient. Nous comprenons très bien la façon de résoudre le problème de passage d’électron ou photon où un nuage de polarisation passe à travers les deux fentes et non le corpuscule qu’il soit électron ou photon individuel, mais nous n’optons pas dans ce concept innovant. Ceux veut dire aussi que le photon se divise mais reste aussi en commun par les 2 parties.
    ▬Voici le message envoyé sur le deuxième article, mais envoyé à part car le message devient trop gros¦¦SUITE...
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦15092019¦Ce que nous pensons d’un corpuscule ou d’une particule comme photon et électron¦¦ Ces particules ou autres comme électrons ou photons, sont des assemblages de TRUCS où le truc est une base élémentaire faisant partie de la constitution des corpuscules comme des particules. Ceci amène à dire que le corpuscule du photon comme la particule électron, sont des objets en MOU, et non ayant une consistance en DUR. Les TRUCS sont groupés formant le corpuscule ou la particule, mais peut se déformer et même se diviser dans certains cas comme dans les expériences des fentes de Young. Dans le cas de division du corpuscule ou de la particule par les fentes de Young, cette division donne 2 parties distinctes, ne reste pas longtemps séparées car juste après passage des fentes elles se regroupent, mais se groupage ou regroupement après passage, va osciller comme une vibration, et c’est cette vibration que l’on constate sur l’écran récepteur en voyant des franges, qui ne sont que des interférences d’un même objet oscillant. Ces fentes servent un peu comme des accélérateurs de particules et correspondant à des collisions de particules, mais cela n’est pas tout à fait la même chose, car en passant aux traverse des fentes, ces objets se divisent et se reconstituent en même temps, et donc les parties sont liées avant passage complet comme encore pendant le passage et aussi après passage des deux cotés de la plaque ou se trouvent les fentes. Il n’y a donc pas une cassure du corpuscule comme de la particule, mais une déformation engendrant deux parties qui sont de toutes façons rattachées entre elles, mais la géométrie de l’entité de initiale se retrouve changée de forme, comme des lobes non dépendant d’un meme objet. Après passage le corpuscule comme la particule est gardé, mais sa forme de reconstitution va faire en sorte que cela oscille ou vibre. C’est cette vibration que l’on retrouve sur l’écran récepteur en tant que corpuscule ou particule, mais la géométrie temporaire du regroupement des TRUCS fait que la reconstitution possède une certaine résonance, et c’est cette résonance qui détermine les franges sur l’écran récepteur. Même si ces parties de corpuscule ou particule sont accompagnées de nuage de polarisation du vide, cela n’est pas ce nuage qui détermine les franges ou qui guide la particule passant soit disant par une seule fente. Quand de l’eau traverse deux fentes, l’eau avant le passage pendant le passage et après le passage reste toujours de l’eau, mais il y a interférence de cette eau avec elle-même, car des mouvements contraires ne vont plus dans une même direction, et d ans ce cas ce sont les bords des fentes qui fait changer de direction des molécules d’eau, créant ainsi des courants se contrariants. Pour le corpuscule ou la particule, passant au travers des fentes, cela n’est pas tout à fait cela, car on décompose le corpuscule et la particule en géométrie différente que celle de départ, et cette géométrie fait qu’il y a interférence avec elle-même, donnant une sorte de vibration temporaire. De dire qu’il a deux parties de l’entité de départ est faux, car l’entité reste la même mais c’est sa géométrie déformée qui la fait résonner d’elle même donnant une certaine fréquence et donc une certaine interférence.
    ▬Peut être que ce concept cloche complètement, mais c’est à toi de me démontrer le contraire. Merci d’avance.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Tu écris : « il n’y aucune démonstration comme quoi la lumière passe par une seule fente par rapport aux deux fentes. »

      En fait, il y a un fait : les photons et les électrons arrivent un par un ponctuellement ou granulairement mais ils arrivent en formant, à la longue, des franges d’interférence. Cela signifie que chaque envoi (photon comme électron) interfère avec… lui-même. A toi de trouver une interprétation qui colle. Tu as la mienne en cas de besoin…

  • JFP¦¦09102019¦¦Nous croyons que nos concepts vont exactement dans le sens de ces particules virtuelles auxquelles tu te rattaches, et qui existent depuis plus de 100 ans et qu’elles soient utilisées à foison pour résoudre des problèmes de physique quantique, et donc de compréhension. Quand nous disons par ce mot "existe", cela n’est même pas une réalité mais une conception de différents physiciens, et qui dure depuis longtemps, car ces particules virtuelles n’ont jamais pu être détectées. Ces particules virtuelles sont une vraie philosophie d’approche à comprendre ce que peut être le très petit, mais nous avons une autre approche différente mais pas moins vraie que sont des grains élémentaires, pour répondre à nos propres questionnements et même remplacer certains concepts ou visions par cette physique quantique, pour expliquer autrement certaine expériences. Nous ne connaissons pas les différents concepts associés avec ces particules virtuelles, comme les expériences réalisées, mais dans cette expérience des fentes de Young nous pouvons largement nous passer de ces particules virtuelles pour expliquer se qui pourrait se passer et pourquoi l’électron ou photon interfère avec lui-même après passage des fentes.
    ▬Pour le redire encore, le corpuscule de photon comme l’électron, et même d’autres particules, peuvent être conçues comme un assemblage de grains que nous diront élémentaires, ce qui rend le corpuscule comme l’électron, quelque chose de modifiable en forme comme encore quelque chose de souple voir mou, et n’est plus une entité en dur, mais devient une entité déformable et prenant des géométrie différentes. Nous savons déjà que l’électron prend des formes différentes mais aucune interrogation sur sa constitution car qu’est qu’un électron, qu’est qu’une particule virtuelle ... Ɂ Comme nous considérons que ces particules élémentaires comme ces particules virtuelles sont des tas de grains élémentaires calibrés ou pas et distants entre eux, c’est donc une autre philosophie pour comprendre ce que peut être cette petite échelle de la nature. Parler du nuage de polarisation, ne nous donne pas sa constitution, sa composition, son organisation, sa structure, et pourquoi ce nuage accompagnant la particule serait-il plus polariser que le reste du vide Ɂ On nous donne quelques images simples, mais pas vraiment de comportement, pas vraiment de données, pas vraiment de mécanique pour ce nuage de polarisation. Cette quantique reste donc pour nous, une sorte de philosophie floue ne permettant pas vraiment de comprendre les mécanismes. Cette physique quantique, est un langage à part, avec des descriptions généralistes sans détail, sans poids car les masses n’y sont pas, sans parcours et sans trajet car les sauts quantiques remplacent ces notions, avec tantôt des descriptions avec le couple, comme la paire de particules virtuelles de charges opposées et faisant bon ménage, mais sans explication sur cette harmonie des charges. D’ailleurs si ces paires, ces couples se font et se défont, ont se demande pourquoi appeler un nuage de polarisation utilisant ces couples et ces paires, car si le PLUS et le MOINS s’additionnent la charge résultante est nulle, et la polarisation du nuage s’envole, car pour avoir des différences de potentiel, il faudrait justement que ces paires ou ces couples soient disjoint.
    ▬Autre remarque ¦¦Si un électron ne peut pas être décrit sans son nuage de polarisation qui est un cortège de particules virtuelles, cela veut bien dire que ce complément, cette extension fait bien parti de lui-même, mais est interprété comme si cela était externe à lui-même ‼‼ Ne parler que de la concentration de ses grains potentiels, est une erreur, car son extension son complément, son élargissement est ce nuage flou constitué de la même façon que lui-même, mais la concentration ou densité de grains diffère. C’est comme si on parlait du noyau de la terre comme étant un vrai objet sans lui rattacher le reste de cette terre. Le noyau de la terre n’es pas plus vrai que l’électron nu, car ce noyau ne défini pas une limite ou rupture avec le reste, car il y a forcément un flou ne donnant pas de limites franches.
    ▬Représentation de l’électron¦¦Dans l’article [Questions quantiques] la présentation est une sphère floue, où plus en regarde vers le centre et plus il y a concentration de couleur noire, comme si cela était des touches de couleur noire. Cette représentation se retrouve aussi dans [20- Qu’est-ce que le vide ?]. On retrouve encore cette même représentation dans l’article [Quelle relation entre matière et lumière ?]. Il y a sûrement d’autres articles où cette représentation est présente. Dans l’article [Quelle relation entre matière et énergie ?] une représentation presque identique, mais avec un image supplémentaire correspondant à ces petites sphère floues, et où le noyau est aussi représenté, et on comprend alors que ces sphères floues sont comme en orbite par rapport au noyau. Pour nous cette représentation de l’électron est totalement différente, car on conçoit l’électron comme épousant le noyau ou presque, comme si l’électron était une enveloppe autour du noyau, mais à distance et possédant une certaine épaisseur, et de plus cette enveloppe-couche ne couvrirait pas la totalité du noyau, mais serait comme une calotte ressemblant à une galaxie incurvée où un noyau apparaîtrait dans cette calotte. Ceci pour que d’autres électrons de la même couche électronique puissent aussi être disposés sur cette enveloppe-couche avec épaisseur non uniforme, et donc une concentration de TRUCS formant l’électron comme le halo d’une galaxie où la concentration d’étoiles est plus grande dans le halo que le reste de la galaxie. Donc une image en 3 dimensions moins évidente et plus complexe. Ainsi un électron à une forme très particulière et dépendant même de son noyau atomique, et donc du nombre des autres électrons d’une même couche. Quand on parle de nuage de polarisation autour de l’électron, et on ne comprend pas vraiment, car la polarisation est de pouvoir distinguer des potentiels de charges différentes, et dans la mesure où ce nuage est constitué par paire de particules éphémères ou les charges opposées s’annulent, le potentiel de polarisation devrait disparaître. On voit mal comment des couples de particules et anti-particules virtuelles peuvent donner des potentiel de charges spécifiques. Si chaque couple de particules virtuelles donne une charge neutre, l’ensemble de ces couples formant le nuage donne la même chose. Pour qu’il y ait des différences de potentielles de charge il faudrait que certaines particules virtuelles ne soient plus en couple, mais on nous dit le contraire...
    ▬Dans l’article [Comprendre les bases de la Physique Quantique sans connaissances mathématiques préalables].
    ▬Dans la dernière représentation animée, on nous représente l’électron comme changeant de forme et donc de géométrie et ou le potentiel électrique NÉGATIF ce retrouve sur l’extérieur des formes de l’ensemble des formes, et où le potentiel électrique POSITF se retrouve au centre de ces formes. Mais pour cette image aucune explication... En recherchant ce groupe de mots "nuage de polarisation" sur internet, et bien pas grand chose de consistant...
    ▬Revenons sur la consistance, la teneur, la composition, l’arrangement, la structure, la constitution, la texture et simplement sur le contenu d’une particule élémentaire ou même virtuelle. Est-ce que ces particules au sens large sont d’un bloc ou sont composées, ou est-ce que ces particules sont continues ou discontinues Ɂ Nous pensons que ces particules sont encore discontinues comme tout ce que nous connaissons. L’électron est encore plu particulier que d’autres particules, car il est encore plus flou, et s’étale plus dans l’espace. D’ailleurs rien que de dire il s’étale dans l’espace, cela sous-entend que son volume change, et que sa densité change forcément.
    ▬Pour le redire encore ce que nous pensons d’un corpuscule ou d’une particule comme photon et électron¦¦ Ces particules ou autres comme électrons ou photons, sont des assemblages de TRUCS où le truc est une base élémentaire faisant partie de la constitution des corpuscules comme des particules. Ceci amène à dire que le corpuscule du photon comme la particule électron, sont des objets en MOU, et non ayant une consistance en DUR. Les TRUCS sont groupés formant le corpuscule ou la particule, mais peut se déformer et même se DIVISER dans certains cas comme dans les expériences des fentes de Young. Dans le cas de DIVISION du corpuscule ou de la particule par les fentes de Young, cette Division donne 2 parties distinctes mais toujours rattachées entre elles, car non vraiment séparées. il faut voir dans cette image une sorte de pâte molle qui commence à traverser les fentes, où une partie après passage se rassemble immédiatement, sachant que le plus gros du reste n’est pas encore passé, et donc que la pâte est reliée avant le passage complet comme aussi après pendant le passe, et donc cette pâte est reliée des deux cotés de la paroi, avant et après passage des fente, et qu’après cela forme deux blocs de pâte mais reliés entre eux, comme si la géométrie de l’entité de départ avait changée. Mais dans cette description la pâte n’est très adéquate, alors il faut voir encore l’entité qui passe au travers des fentes comme un essaim qui se divise en deux et épouse les fentes en les traversant, et le regroupement une fois passé forme deux essaims mais reliés entre eux. Dans l’essaim il n’y a pas de nid mais que des abeilles, et ces abeilles se divisent en deux groupes mais comme c’est la même colonie, il y a échange entre les deux essaims. Difficile de trouver des notions existantes pour expliquer cette façon de vois les choses. après le passages les essaims vibrent comme si ils étaient attirés et repoussés c’est pour nous cela l’interférence. On peut dire que ces deux essaims résultant oscillent comme une vibration.
    ▬Cela peut être cette vibration entre divisions formant deux d’essaims que l’on constate sur l’écran récepteur en voyant des franges, mais on peut aussi attribuer à cette division la fréquence de la plaque ou il y a les fentes, car après tout il peut y avoir transmission de la résonance de l’atome des bord des fentes à la particule divisée. Dans ces explications il manque toujours les données et les paramètre des résultats, et il est alors difficile de trouver des pistes pour savoir simplement si en changeant de la largeur de fente cela donne les mêmes franges, ou encore si il y a eu des tests avec différents matériaux constituants la plaque et ayant des résonances différentes.
    ▬Ces fentes servent un peu comme des accélérateurs de particules et correspondant à des collisions de particules, mais cela n’est pas tout à fait la même chose, car en passant aux traverse des fentes, ces objets se divisent et se reconstituent en même temps, et donc les parties sont liées avant passage complet comme encore pendant le passage et aussi après passage des deux cotés de la plaque ou se trouvent les fentes. Il n’y a donc pas une cassure du corpuscule comme de la particule, mais une déformation engendrant deux parties qui sont de toutes façons rattachées entre elles, mais la géométrie de l’entité initiale se retrouve changée de forme, comme des lobe d’un même objet. Après passage le corpuscule comme la particule est gardé, mais sa forme de reconstitution va faire en sorte que cela oscille ou vibre. C’est cette vibration que l’on retrouve sur l’écran récepteur en tant que corpuscule ou particule, mais la géométrie temporaire du regroupement des TRUCS fait que la reconstitution possède une certaine résonance, et c’est cette résonance qui détermine les franges sur l’écran récepteur.
    ▬Même si ces parties de corpuscule ou particule sont accompagnées de nuage de polarisation du vide, cela n’est pas ce nuage qui détermine les franges ou qui guide la particule passant soit disant par une seule fente. Quand de l’eau traverse deux fentes, l’eau avant le passage pendant le passage et après le passage reste toujours de l’eau, mais il y a interférence de cette eau avec elle-même, car des mouvements contraires ne vont plus dans une même direction, et dans ce cas ce sont les bords des fentes qui fait changer de direction des molécules d’eau, créant ainsi des courants se contrariants. Pour le corpuscule ou la particule, passant au travers des fentes, cela n’est pas tout à fait cela, car on décompose le corpuscule et la particule en géométrie différente que celle de départ, et cette géométrie fait qu’il y a interférence avec elle-même, donnant une sorte de vibration temporaire. De dire qu’il a deux parties de l’entité de départ est faux, car l’entité reste la même mais c’est sa géométrie déformée qui la fait résonner d’elle même donnant une certaine fréquence et donc une certaine interférence.
    ▬Peut être que ce concept est faux, mais c’est à toi de nous démontrer que cela ne peut pas fonctionner. En tout cas que cela soit le nuage de polarisation divisé en deux parties passant par les deux fentes et que corpuscule ne passe que part une fente, et bien dans notre concept cela est presque similaire, car le corpuscule est en fait pour nous le nuage qui peut se diviser, car dans notre concept il n’y a pas un corpuscule et un nuage mais un ensemble formant un même objet mais mou et pouvant se déformer comme se diviser. Dans ce que tu avances il n’y a pas d’explication pourquoi ces franges se forment, car même si il y a un nuage de polarisation de départ se trouvant divisé par deux, la mécanique après n’est guère expliquée. Nous, nous émettons que ces franges peuvent être en accord avec le type de matériau de la plaque où il y a des fentes, ce qui fait que les franges sont toujours aux mêmes endroits, même si on envoie un par un des corpuscules ou particules, et donc que cela peut être la résonance de l’atome (fréquence) où se trouve ces fentes. Si la plaque était constituée d’un autre type de matériaux ayant une différence résonance que se passerait-il Ɂ
    ▬De toutes façons ce concept de grains élémentaires constituants les particules de tous les genres va dans le sens de ces particules virtuelles formant le nuage de polarisation, car que ce nuage soit composé de particules virtuelles ou de paquets de grains élémentaires, cela revient à la même chose, mais dans notre concept nous ne disons pas que ces tas de grains élémentaires sont des particules virtuelles mais simplement des groupements de grains même non calibrés, et même des grains individuels sont être pour autant groupés par paires de charges opposées. C’est donc un mixage d’assemblages pouvant se défaire et se refaire au même titre que ces particules virtuelles, mais sans ce concept les grains sont toujours présent, même si ils ont des sauts comme ces particules virtuelles. Nous n’avons que décomposé les particules virtuelles et donné la composition des particules ou corpuscules. Dans ce concept il n’y a pas différents types de particules virtuelles, mais des paquets de grains élémentaires non calibrés.
    ▬Ce qui manque dans ces explications, ce sont les renvois sur les tests véritables effectués avec les paramètres et les données et donc des caractéristiques plus précises des tests effectués. Car on peut partir sur es pistes ne servant à rien car déjà effectuées. Ce concept par grains élémentaires permet de dire que les particules et corpuscules ne sont pas des blocs continus mais justement des assemblages et donc des blocs discontinus et peut importe ce qu’est la constitution.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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