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Pourquoi parle-t-on d’espace-temps ?

jeudi 26 octobre 2017, par Robert Paris

Pourquoi parle-t-on d’espace-temps ?

Tout d’abord, on pourrait croire que nous sommes simplement une matière qui évolue au sein de l’espace au cours du temps. Cela supposerait que le temps s’écoule, l’ancien temps disparaissant au fur et à mesure. Seulement, il s’avère que l’ancien temps continue d’exister au travers des actions du passé sur le présent. Une telle affirmation peut sembler un peu de la mystique mais cela n’en est pas. Si on examine les étoiles dans le ciel, plus elles sont éloignées plus elles nous transmettent des informations sur le passé lointain. Cela signifie que celui-ci n’est pas tout à fait éteint pour nous… La lumière des étoiles, pour nous parvenir, n’a pas seulement traversé l’espace : elle a aussi traversé les temps. En fait, elle a parcouru un espace-temps.

« Il n’existe aucun espace ni aucun temps en dehors de ceux de l’univers. Le monde, en tant qu’espace-temps, ne peut donc être l’objet d’une cosmologie comme science, contrairement à ce que pensait Kant… Le temps appartient intimement au monde sans être un être réel, subsistant. Le monde est temps en ce sens qu’il ne saurait s’appréhender indépendamment de sa dimension évolutive : son être est devenir, un devenir orienté… » écrit Bernard Piettre dans « Philosophie et science du temps ».

Le deuxième point qu’il convient de remarquer, c’est que cet espace-temps n’est pas figé. Il est déformé par la présence des masses de matière. Plus on est près d’une grande masse de matière, plus l’espace-temps est déformé. Il est en fait courbé par la présence des masses. C’est d’ailleurs l’origine des fameux « trous noirs » qui ne sont pas à proprement parler des trous, ni tout à fait noirs ! Ce sont simplement des déformations de grande ampleur de l’espace-temps liées à une grande masse locale.

Qu’est-ce que l’espace-temps ? C’est une structure qui apparaît dans le vide quantique (constitué de matière éphémère dite virtuelle) au passage de la matière durable (encore appelée matière réelle). Cela encore n’a rien d’évident ni d’intuitif : l’espace-temps, structuration du vide, n’existe qu’en présence des masses. « S’il n’y a pas de matière, il n’y a pas de géométrie. » écrit Edgard Gunzig dans un article intitulé « Du vide à l’univers » de l’ouvrage collectif « Le vide ».

Les particules « réelles » sont des structures portées par des particules virtuelles qui reçoivent un boson de Higgs. Lorsque la particule virtuelle devient porteuse de masse, elle construit autour d’elle un champ d’espace-temps, elle structure l’espace-temps désordonné du niveau virtuel.

Si la matière seule peut constituer l’espace-temps permettant aux particules virtuelles d’apparaître pour nous, la matière/lumière est produite par ces éléments virtuels. Le virtuel produit sans cesse du réel et le réel du virtuel suivant les mécanismes absorption/émission de photon et création/annihilation de matière dans le vide, qui sont les deux principaux mécanismes fondamentaux de la physique.

Qu’est-ce qui différencie le vide de la matière/lumière ? C’est que l’espace-temps y est complètement désordonné par une agitation de type thermique. Cela produit des apparitions/disparitions de particules de masse et de lumière.

« Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. » écrivent Banesh Hoffman et Michel Paty dans « L’étrange histoire des quanta ».

Nous croyons, dans notre univers humain vécu et dans notre univers pensé, voir les objets se déplacer dans l’espace (ce qui suppose que l’espace serait une toile de fond qui préexiste et qui n’interagit pas avec la matière, que la matière ne crée pars l’espace ni l’espace ne crée la matière) et nous croyons, séparément de l’espace, voir le temps s’écouler, comme nous croyons que la matière se déplace dans un espace qui préexiste et n’interagit pas avec le mouvement de la matière ni avec son contenu. D’autre part, nous croyons percevoir une continuité dans cet espace-temps. Illusions sur toute la ligne ! Cela provient d’un univers limité de manière bien particulière : vitesses faibles, masses existant dans un intervalle étroit, échelles d’espace et de temps intervenant dans un intervalle assez étroit, méconnaissance des autres échelles dans notre conscience humaine spontanée des phénomènes, conceptions philosophiques spontanées erronées.

En fait, l’illusion de possibilité de raisonner séparément sur l’espace et le temps n’existe qu’à notre échelle dite « macroscopique ». Au niveau quantique, une telle manière de raisonner n’est plus possible, pas plus qu’en astrophysique.

La continuité de l’espace-temps n’est plus une image valable de l’univers. Le meilleur exposé du caractère novateur de cette nouvelle physique vient sans doute de son auteur. « Les postulats primitivement considérés comme la base évidente de toute théorie sérieuse furent remis en question plus tard (...) : le postulat de l’invariabilité des atomes, celui de l’indépendance réciproque du temps et de l’espace et celui de la continuité de toutes les actions dynamiques. » écrit le physicien Max Planck dans « Initiation à la physique ».

A d’autres échelles, il se passe des phénomènes renversants pour notre entendement d’humains !

L’astrophysicien Laurent Nottale expose, dans « La complexité, vertiges et promesses » :

« La nature même de l’espace-temps est changée car elle contient en réalité ces changements d’échelle d’une manière intrinsèque et irréductible à l’espace-temps ordinaire qui est, lui, dans la vision physico-mathématique, un ensemble de points. (...) En réalité, cette vision dans laquelle on représente le monde sous forme de points prétend faire des mesures avec une précision infiniment grande – à chaque petit intervalle spatial correspond un petit intervalle de temps. Or, c’est la mécanique quantique qui nous dit qu’il faudrait une énergie infinie pour pouvoir faire une telle mesure. » On pourrait se dire que ceci n’est une limite que pour l’homme qui observe et mesure, mais cela est faux. Cette limite, notamment l’inégalité d’Heisenberg, est reliée au mécanisme fondamental de la matière et pas seulement à une mesure réalisée par l’homme (ou la machine produite par lui). Cela signifie qu’une précision très petite en espace nécessite un temps très grand et un temps très court nécessite une énergie très grande. Le point, défini avec une précision infinie, nécessite une énergie infinie ! La nature ne peut réaliser ses propres interactions, indépendantes de l’observateur, en dépensant sans cesse une telle énergie infinie. Elle opère nécessairement avec imprécision. C’est le mécanisme le plus économe en énergie. La convergence ne se produit qu’ensuite par émergence d’un ordre global issu du désordre des interactions variables, imprécises et imprédictibles. (…)Un point, cela n’existe pas ! D’ailleurs, cela se voit tout de suite. Si l’on dit qu’il y a un point sur une table, qu’entend-on par un point ? Quelque chose qui n’a aucune dimension. Il suffit de regarder avec une loupe pour découvrir une structure. On continue de grossir à la loupe puis on passe au microscope : à quel moment pourra-t-on voir enfin le point ? Jamais. Donc, physiquement, le point n’existe pas. (...) L’idée intéressante est que, chaque fois que l’on grossit, on voit quelque chose de nouveau. »

C’est dans le vide quantique qu’existe l’espace-temps désordonné qui fonde l’ensemble de ces transformations. Il contient en effet des fluctuations d’énergie sur des temps très courts, des temps pendant lesquelles aucune mesure ne peut être faite par des instruments à notre échelle. On ne « voit » pas les fluctuations du vide mais elles sont cependant prouvées par les altérations des mesures et l’existence des phénomènes quantiques. Et ces fluctuations, comme tous les phénomènes ondulatoires, ont une apparition de type corpusculaire : des électrons, des positons, des photons, des quarks, des gluons, etc, corpuscules qui existent, eux aussi, sur des durées extrêmement brèves. La mise en évidence de l’existence des couples d’électrons et positons virtuels (appelée polarisation du vide) est réalisée par la présence de particules durables (dites particules « réelles », bien qu’elles n’aient pas plus de réalité que celles du virtuel, au contraire).

« Le vide bouillonne d’activité. Il peut même exister sous plusieurs formes et manifester une structure. (...) Le vide bouillonne de particules à très faible échelle de temps. (...) Si le temps d’observation est de 10-21 s, (…) des paires électron-positon peuvent spontanément apparaître. Si le temps d’observation tombe à 10-24 s, (...) le vide peut bouillonner de pions. Sur un temps de 10-26 s, une particule Z (...) peut se manifester. Quand on atteint (...) 10-44 secondes (...) le tissu même de l’espace-temps se trouve soumis à ces fluctuations quantiques. » écrit Maurice Jacob dans « Au cœur de la matière ».

Comment est le vide quantique pour que la présence de particule de masse inerte modifie la disposition de l’espace-temps du vide ? Le vide est une agitation permanente de corpuscules quantiques, des particules et antiparticules couplées. Le mécanisme fondamental au sein du vide est le couplage d’une particule et d’une antiparticule pour donner un photon virtuel, qui, à bien des égards, se comporte comme un photon réel, le corpuscule de lumière en somme ou d’interaction électromagnétique si on veut le dire ainsi.

Le vide est donc dominé par des changements des couplages entre particules et antiparticules. Ce qu’on appelle énergie du vide, c’est ce couplage. C’est le mode de ce couplage qui détermine le niveau d’énergie, que l’on appelle aussi énergie du boson d’interaction électromagnétique.

Sans cesse, au sein du vide quantique, des photons virtuels se retransforment en couples particule-antiparticule, et inversement… Un ballet qui permet au vide d’émettre sans cesse de l’énergie mais de manière désordonnée. Le vide maintient d’abord et avant tout son désordre structurel et il combat toute formation d’énergie structurée durable…

« En vérité, les notions d’espace et de temps tirées de notre expérience quotidienne ne sont valables que pour les phénomènes à grande échelle. » écrivait ainsi De Broglie dans « La physique nouvelle et les quanta ».

N. Campbell écrivait dans "Philosophical foundation of quantum theory" :

« La notion de temps découle d’une conception statistique ne possédant de signification que pour de grands nombres d’atomes (...) L’intervalle de temps entre des événements atomiques a aussi peu de sens que de parler de la température d’une molécule isolée. »

Paradoxalement, c’est l’idée d’une vitesse constante de la lumière dans le vide (dans tout repère galiléen) qui va le plus imposer cette notion d’espace-temps. On remarquera en effet que les déformations de l’espace et du temps sont liées entre elles par les relations de Lorentz et que cela reflète une réalité profonde du monde : un lien inséparable entre espace et temps, en même temps qu’une contradiction entre eux deux. Un lien dialectique en somme.

La relativité d’Einstein, fondée sur cette constance de la vitesse de la lumière, a démontré que l’espace-temps est une propriété géométrique de l’espace-temps qui structure le vide et qui est fondée sur un champ.

L’Espace et le Temps sont devenus inséparables. Deux événements simultanés dans un système de référence, ne le sont plus dans un autre système de référence. Le principe de relativité implique l’absence d’observateur privilégié. La description des phénomènes ne doit pas dépendre des différents observateurs. Chacun d’entre eux doit trouver la même loi physique. Chacun peut trouver les coordonnées référentielles des autres observateurs. L’espace n’est pas tridimensionnel et il n’y a pas de temps absolu, chaque individu a sa propre mesure du temps qui dépend du lieu et de la manière dont il se déplace. Chaque objet en mouvement a sa propre horloge. Si des observateurs observent un phénomène tout en se déplaçant à des vitesses différentes, ils vont décrire différemment dans le temps les séquences événementielles et ce qui pour l’un survient dans son futur, apparaît pour l’autre dans son passé. Pour des vitesses proches de celles de la lumière, les séquences temporelles sont différentes selon les observateurs. Non seulement, il n’y a pas de temps absolu, mais il n’y a pas non plus de séparation objective entre le passé et le futur. Le temps est déployé de telle sorte que passé et futur sont figurés à la fois. Ceci semble bien sûr impensable pour notre conscience ordinaire qui fait quotidiennement l’expérience d’une flèche du temps, l’inexorable écoulement d’un passé vers le présent puis le futur. De plus, le temps s’écoule plus lentement si la vitesse se rapproche de celle de la lumière (c’est la dilatation du temps). La vitesse augmente la durée de vie (dans des accélérateurs, une particule à durée de vie très courte voit sa durée de vie augmenter à de très grandes vitesses proches de celle de la lumière). Les horloges mobiles retardent par rapport aux horloges fixes. C’est une illustration de cette existence réelle de l’espace-temps.

« Einstein a pu quelques années plus tard élaborer une nouvelle théorie de la gravitation universelle, la relativité générale, selon laquelle le champ gravitationnel est relié aux propriétés géométriques de l’espace-temps. » explique Gilles Cohen-Tannoudji dans « Le réel, à l’horizon de la dialectique ».

« Selon la théorie générale de la relativité d’Einstein, l’espace et le temps ne constituent plus un fond fixe et absolu. L’espace est aussi dynamique que la matière : il bouge et il change de forme. (…) Quelques siècles avant Einstein, Galilée avait découvert l’unification du repos avec le mouvement uniforme (en ligne droite à vitesse constante). A partir de 1907 environ, Einstein a commencé à s’interroger sur les autres types de mouvement, tel le mouvement accéléré. Dans le mouvement accéléré, la direction ou la vitesse varient. (…) C’est à ce moment qu’Einstein a fait l’avancée la plus extraordinaire. Il a réalisé que l’on ne pouvait pas distinguer les effets de l’accélération des effets de la gravité. (…) Dans une cabine d’ascenseur en chute libre, les passagers de la cabine ne sentiraient plus leur poids. (…) L’accélération de l’ascenseur en chute libre compense totalement l’effet de la gravité. (…) L’unification de l’accélération et de la gravitation a eu des conséquences importantes et, avant même que ses implications conceptuelles ne soient comprises, d’importantes implications expérimentales furent dégagées. Quelques prédictions en découlaient (…) par exemple que les horloges doivent ralentir dans un champ gravitationnel. (…) Ou encore que la lumière se courbe lorsqu’elle circule au travers d’un champ gravitationnel. (…) La théorie d’Einstein a des conséquences très importantes, puisque les rayons de lumière sont courbés par le champ gravitationnel qui, à son tour, réagit à la présence de la matière. La seule conclusion possible est que la présence de matière influence la géométrie de l’espace. (…) Si deux rayons de lumière sont initialement parallèles, ils peuvent se rencontrer, s’ils passent tous les deux près d’une étoile. Ils sont recourbés l’un vers l’autre. Par conséquent, la géométrie euclidienne (où les droites parallèles ne se rencontrent jamais) n’est pas adaptée au monde réel. De plus, la géométrie varie sans cesse, parce que la matière est sans arrêt en mouvement. La géométrie de l’espace n’est pas plate comme un plan infini. Elle est plutôt comme la surface de l’océan : incroyablement dynamique, avec de grandes vagues et de toutes petites rides. Ainsi, la géométrie de l’espace s’est révélée n’être qu’un autre champ. (…) Dans la relativité restreinte, l’espace et le temps forment, ensemble, une entité quadridimensionnelle qu’on appelle espace-temps. (…) L’unification einsteinienne du champ gravitationnel avec la géométrie de l’espace-temps était le signal de la transformation profonde de notre façon de concevoir la nature. Avant Einstein, l’espace et le temps avaient été pensés comme possédant des caractéristiques fixes, données une fois pour toutes : la géométrie de l’espace est, a été et sera toujours celle décrite par Euclide et le temps avance indépendamment de tout le reste. Les choses pouvaient se déplacer dans l’espace et évoluer dans le temps, mais l’espace et le temps eux-mêmes ne changeaient jamais. (…) La théorie générale de la relativité d’Einstein diffère complètement. Il n’y a plus de fond fixe. La géométrie de l’espace et du temps varie et évolue en permanence, ainsi que le reste de la nature. (…) Il n’y a plus un champ qui se déplace sur un fond géométrique fixe. Au contraire, nous avons une collection de champs, qui interagissent tous, les uns avec les autres, qui sont dynamiques, qui tous exercent une influence sur les autres, et la géométrie de l’espace-temps en fait partie. (…) La relativité générale a vite mené aux prédictions de phénomènes nouveaux, tels que l’expansion de l’univers, le Big Bang, les ondes gravitationnelles et les trous noirs, dont il existe, pour tous, de solides preuves expérimentales. (…) La leçon principale de la relativité générale était qu’il n’y avait pas de géométrie fixe du fond spatio-temporel. (…) Cela signifie que les lois de la nature doivent s’exprimer sous une forme qui ne présuppose pas que l’espace ait une géométrie fixe. C’est le cœur de la leçon einsteinienne. Cette forme se traduit en principe, celui d’indépendance par rapport au fond. Ce principe énonce que les lois de la nature peuvent être décrites dans leur totalité sans présupposer la géométrie de l’espace. (…) L’espace et le temps émergent de ces lois plutôt que de faire partie de la scène où se joue le spectacle. Un autre aspect de l’indépendance par rapport au fond est qu’il n’existe pas de temps privilégié. La relativité générale décrit l’histoire du monde au niveau fondamental en termes d’événements et de relations entre eux. Les relations les plus importantes concernent la causalité : un événement peut se trouver dans la chaîne causale qui mène à un autre événement. (…) Ce sont lesdits événements qui constituent l’espace. (…) Toute définition concrète de l’espace dépend du temps. Il existe autant de définitions de l’espace que de temporalités différentes. (…) La question fondamentale pour la théorie quantique de la gravitation est, par conséquent, celle-ci : peut-on étendre à la théorie quantique le principe selon lequel l’espace n’a pas de géométrie fixe ? C’est-à-dire peut-on faire une théorie quantique indépendante du fond, au moins en ce qui concerne la géométrie de l’espace ? »écrit Lee Smolin dans « Rien ne va plus en physique ».

Dans l’espace-temps, tout ce qui pour chacun de nous constitue le passé, le présent, l’avenir, est donné en bloc, et tout l’ensemble des évènements, pour nous successifs, dont est formée l’existence d’une particule de matière, est représenté par une ligne, la ligne d’univers de la particule. Cette nouvelle conception respecte le principe de causalité et n’entame pas le déterminisme des phénomènes.

La physique quantique des champs a également démontré que cet espace-temps est quantifié. Il n’y a donc pas de continuité mais des grains, des quanta.

L’astrophysicien Laurent Nottale expose, dans « La complexité, vertiges et promesses » : « La nature même de l’espace-temps est changée car elle contient en réalité ces changements d’échelle d’une manière intrinsèque et irréductible à l’espace-temps ordinaire qui est, lui, dans la vision physico-mathématique, un ensemble de points. »

L’un des résultats fondamentaux est que l’espace présente une structure discrète (par opposition au continuum espace-temps de la relativité générale) : les aires et les volumes d’espace sont quantifiés. La notion d’espace est en quelque sorte remplacée par la notion de grains primitifs, sortes d’« atomes » d’espace ou, plus exactement, de quanta du champ gravitationnel, reliés entre eux par des liens caractérisés par un spin (spin de lien) d’où le nom de réseau de spin (spin network). Ce champ (l’espace-temps) devrait ainsi présenter une structure granulaire sous la forme d’un nuage de grains d’espace-temps, dont la dynamique devra être probabiliste.

Gilles Cohen-Tannoudji écrit :

« La matière, c’est tout ce qui donne sa flèche au temps. La lumière, c’est ce qui tisse la trame de l’espace-temps. »

I. Prigogine et I. Stengers écrivent dans "Entre le temps et l’éternité" :
« La matière se distingue de l’espace-temps en ce qu’elle est porteuse de l’entropie de l’univers. Son existence n’est plus une donnée, comme le présuppose le modèle standard, mais est le produit d’un processus irréversible de création. A la singularité initiale se substitue ainsi l’instabilité d’un Univers primordial vide, dont l’espace-temps se courberait en rayonnant la matière comme un atome excité rejoint son état fondamental en rayonnant de la lumière. »

Concluons que cette histoire de l’espace-temps n’est pas achevée, nos connaissances restant encore insuffisantes, et qu’elle a encore bien des points à éclaircir, en espérant que les générations suivantes trouveront de nouvelles voies de compréhension…

Quel lien entre espace, temps, matière, lumière et vide quantique ?

La construction de l’espace-temps par la matière/lumière

Qu’est-ce que le temps ?

Messages

  • Bonjour.

    __Et bien même chose sur ce NOUVEAU commentaire de ce même article car encore impossible de pouvoir envoyer un autre commentaire qui est différent du premier essai !!! Si il faut compter le nombre de caractères avant de pouvoir parler, cela demande alors une gymnastique d’esprit que je n’ai pas, car rendre concis ce qui ne peut pas être me semble difficile. Je ne pense pas pourtant épiloguer pour ne rien rien dire, car simplement dans des citations, je relève des incompréhensions ou sans doute des erreurs, et je ne vais pas faire un envoi pour chaque point que je relève, mais forcément un envoi d’un ensemble de points...

    ___Le commentaire que j’essaie d’envoyer sur cet article se bloque. Sûrement trop gros pour être envoyé, et après l’essai d’envoi, une boite apparaît me demandant d’ouvrir une session sur https://matierevolution.fr avec comme champs à remplir "Non utilisateur" et un deuxième champ "Mot de passe". Même en faisant annulé sur le bouton annulé , et bien on passe quand même sur une nouvelle page, comme si les champs avaient été renseignés ?? Je me doute que ce que j’essaie d’envoyer soit trop gros. Voici la page après annulé : :

    [
    Votre message est trop long. La taille maximale est de 20000 caractères.
    Cliquez ici pour continuer.
    [Retour]
    ]
    ___Je ne sais pas ce que représente 20000 caractères en nombre de mots ou en phrases !!!
    ___Cela me donne des maux de tête de préparer par blocs de moins 20000 caractères, car ce ne sont pas toujours mes propres commentaires, mais les Copier/Coller des citations pour pourvoir se repérer !!!
    ___Je ferai donc un découpage de mon commentaire plus tard...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Commentaire sur des parties de l’article en reprenant les citations pour se positionner.

     Bernard PIETTRE : : [« Il n’existe aucun espace ni aucun temps en dehors de ceux de l’univers. Le monde, en tant qu’espace-temps, ne peut donc être l’objet d’une cosmologie comme science, contrairement à ce que pensait Kant… Le temps appartient intimement au monde sans être un être réel, subsistant.]

    __Ne pas confondre Univers et Monde, car l’Univers est infini, et notre Monde est lui fini et est inclus dans cet Univers ou d’autres Mondes existent. Donc de dire il n’existe aucun espace, ni aucun Temps en dehors de l’Univers n’a pas de sens, car il n’y a pas d’extérieur de l’infini.

     [Qu’est-ce que l’espace-temps ? C’est une structure qui apparaît dans le vide quantique (constitué de matière éphémère dite virtuelle) au passage de la matière durable (encore appelée matière réelle). Cela encore n’a rien d’évident ni d’intuitif : l’espace-temps, structuration du vide, n’existe qu’en présence des masses. « S’il n’y a pas de matière, il n’y a pas de géométrie. » écrit Edgard GUNZIG dans un article intitulé « Du vide à l’univers » de l’ouvrage collectif « Le vide »]

    __J’ai bien peur qu’il il ait déformation par les écrits, car l’espace-temps avant la quantique était celui de M.Einstein, et non celui de la quantique. Même si la quantique essaie de le concrétiser, par des nouvelles notions, cet espace-temps existait avant cette reprise par la quantique. Encore une autre erreur monumentale d’écrit, car dire que l’espace-temps n’existe qu’en présence d’objet possédant une masse est complètement faux. Même sans déformation de l’espace-temps par des masses d’objet, l’espace-temps existe et est même une obligation d’exister car sinon on ne pourrait pas le déformer. Donc stupidité d’écriture idiote qui n’est même pas logique, ou plutôt transposition dans un autre domaine, où on change tout et réinterprète tout. De quelle géométrie parle t-on, celle l’espace-temps sans doute mais sans objet ? Et bien si, une géométrie de l’espace-temps existe sans objet, et donc non déformée.

     [Les particules « réelles » sont des structures portées par des particules virtuelles qui reçoivent un boson de Higgs. Lorsque la particule virtuelle devient porteuse de masse, elle construit autour d’elle un champ d’espace-temps, elle structure l’espace-temps désordonné du niveau virtuel.]

    __D’après ce que je comprend c’est la particule virtuelle devenue massique et donc réelle qui construit son espace et son temps. Mais qu’est-ce c’est que ces inventions ?? Donc à chaque particule de masse correspond un champ et un espace créé, et de plus cette particule structure l’espace-temps du niveau virtuel. Mais cela ne veut rien dire, car il existe un espace global dont le contenu est d’éventuelles particules virtuelles mais aussi un Éther d’après ce que dit M.Einstein. D’éliminer l’Éther pour ne garder que ces particules virtuelles introduites par la quantique, est une absurdité. De dire que la particule devenue massique construit autour d’elle un champ d’espace-temps, n’est pas du tout ce que dit M.Einstein, car il n’y a aucune construction mais une déformation d’un existant. La particule déforme simplement un espace existant et forcément c’est cette déformation qui oblige à avoir un champ, mais un champ de déformation d’une substance qui s’appelle l’Éther. Donc la particule agit sur une substance dont on ne sait pas ce quelle est, mais ne créer strictement rien, et après que des bosons viennent bombarder cette particule pour lui donner un poids est autre chose, et d’ailleurs dans ce qui est dit, ce ne sont pas DES bosons mais UN et SEUL et UNIQUE boson de Higgs. Dans cet énoncé, on ne sait pas comment une particule virtuelle se transforme en particule de masse et donc réelle !!! De dire les particules réelles sont de structures... mais pourquoi ne pas dire directement, les particules réelles sont des champs, et où chaque champ est une structure composé d’autre éléments ?? Si un champ n’est pas une structure, qu’est-ce qu’il est ? Il ne faut pas confondre le champ de la particule qui est une structure d’éléments et l’environnement du vide quantique qui n’est pas une structure mais des éléments n’appartenant à rien et donc libre. C’est comme si on plongeait un objet dans un bain ou dans cet environnement qui n’est pas une substance, mais un milieu où tout s’agite que sont le virtuel, lui l’objet qui est une particule est une structure d’éléments formant un champ non statique, car les élément de ce champ change de position, mais cet ensemble d’éléments reste la même entité, même si elle est difficile à localiser et cerner. Il faut comprendre que le champ de la particule réelle n’est pas passif, et que ce champ d’éléments n’est pas homogène, car en le noyau de ce champ est plus dense en éléments. Parler de structure est alors mal choisi comme terme, car on a l’impression que cette structure est figée, mais elle ne l’est pas. Une particule réelle n’est pas un bloc, mais une structure évolutive qui est celui d’un champ en agitation, et où tout les éléments de ce champs reste une entité indépendante du reste du vide, car cette structure est un ensemble, même si elle fluctue, et ceci est mon interprétation et ma vision.

     ["Ces Électrons, ainsi que les autres·Particules fondamentales, n’existent pas dans l’Espace et le Temps. Ce sont l’Espace et le Temps qui existent en fonction d’eux." écrivent BANESH HOFFMAN et Michel PATY dans "L’étrange histoire des·Quanta".]

    __J’ai bien peur que ces scientifiques physiciens inversent les données, car c’est encore la particule de masse qui génère ou qui a généré son espace et son temps d’après ces phrases. Et bien je ne crois absolument pas à cette notion, car d’abord l’espace ne se créer pas d’une part, et que son contenu qui était anciennement l’Éther se modifie, et de plus que le temps est rattaché à cet Éther et non à l’espace. Maintenant si on veut transposer cet Éther dans la quantique en le remplaçant, et bien c’est la densité de ces particules virtuelles qui se modifie fonction de la particule de masse posée dans cet environnement agité du quantique. Il n’y donc pas de création d’espace, ni de champ ou autre, mais une modification de l’environnement et donc du vide quantique. Ce concept proposé est vraiment étrange, car il y aurait d’après ce que je comprend autant de micro-espaces que de particule de masse !!! Et que de plus les micro-espaces des particules seraient forcément mélangés. De plus où la matière n’existe pas, l’espace n’existerait pas. Plus qu’étrange, et même farfelu pour tout dire.

     [Nous croyons, dans notre univers humain vécu et dans notre univers pensé, voir les objets se déplacer dans l’espace (ce qui suppose que l’espace serait une toile de fond qui préexiste et qui n’interagit pas avec la matière, que la matière ne crée pars l’espace ni l’espace ne crée la matière) et nous croyons, séparément de l’espace, voir le temps s’écouler, comme nous croyons que la matière se déplace dans un espace qui préexiste et n’interagit pas avec le mouvement de la matière ni avec son contenu.]

    __Et bien moi, je ne crois pas cela comme la plus part des personnes, car si le contenu de l’espace est quelque chose, et il l’est car c’est l’Éther d’après M.Einstein, et que forcément les particules de masse interagissent avec cet Éther. Mettre une pièce dans un bocal d’eau, et bien on se doute que l’eau et la pièce interagissent entre eux. Pourquoi décrire la pensée des autres qui n’est pas celle que les personnes pensent ?? C’est du n’importe quoi. Oui je crois que les objet se déplacent, non pas sur une toile de fond, mais dans volume qui est un contenant dont le contenu est quelque chose que l’on ne sait pas définir et que l’on appel lait anciennement Éther. Mais l’espace ne préexiste pas, il est indépendamment de ce que l’on met dedans, car il n’est pas une création mais qu’un volume infini que personne ne créer, ni même un créateur tout puissant !!! De ne pas vouloir cet Éther et de le remplacer par du vide quantique, et bien les phrases deviennent totalement décalées, car l’espace est pris comme un contenu qu’il n’est pas, alors la compréhension est difficile. Quand on dit espace-temps, et bien en fait c’est un raccourcis pour dire l’Éther-espace-temps, et donc de supprimer le mot Éther revient à dire que c’est l’espace qui est quelque chose, mais en fait il n’est RIEN, car c’est son contenu qui est lui est quelque chose, mais quand on supprime ce quelque chose d’Éther et bien les phrases deviennent simplement fausses et incompréhensives. Le temps net pas associé à l’espace mais à son contenu d’Éther, et si on remplace l’Éther pour cette quantique, et bien c’est son vide plein qui doit être compris comme tel. Pour être clair le vide plein du quantique est le contenu de l’espace, et l’espace n’est qu’un contenant ne pouvant être créé. Ce qui se modifie est soit l’Éther pour les adeptes de cette substance, soit le vide quantique pour ceux ne volant pas d’Éther, et pour moi, ce sont même les deux, c’est à dire le vide quantique et Éther qui sont deux notions séparées mais complémentaires. Et d’ailleurs à ce propos on pourrait appeler l’Éther comme "virtuel de virtuel de virtuel" STOP !!!

     [En fait, l’illusion de possibilité de raisonner séparément sur l’espace et le temps n’existe qu’à notre échelle dite « macroscopique ». Au niveau quantique, une telle manière de raisonner n’est plus possible, pas plus qu’en astrophysique.]

    __Ceci est pour ma part complément faux, car déjà voir l’écoulement du temps proche d’un trou noir !!!

     D’après Laurent NOTTALE : :[Donc, physiquement, le point n’existe pas.]

    __J’aime cette phrase car elle est simple et vraie, mais malheureusement après c’est pour dire des non vérités. Ceci veut dire aussi que des phrases peuvent être complètement vraies et d’autres complément fausses et du même auteur.

     [La mise en évidence de l’existence des couples d’électrons et positons virtuels (appelée polarisation du vide) est réalisée par la présence de particules durables (dites particules « réelles », bien qu’elles n’aient pas plus de réalité que celles du virtuel, au contraire).]

    __Je ne pense pas qu’il faille parler de l’évidence des couples d’électrons et positrons, car quand ces deux particules se rencontrent elle s’annihilent, ce qui veut dire que le couple est plus qu’éphémère. De dire que l’électron et le positron forment un couple et un peu un abus de langage. Je ne pense pas que ces deux particules puissent cohabiter. Mais en fait, je crois aussi le contraire mais dans un contexte très particulier qui est celui de l’intérieur d’un proton ou d’un neutron, mais dans ce cas, l’électron comme le positron, ce sont plus des structures normales mais compressées, et donc que leur volume en tant que champ est très réduit, et donc aussi que la coexistence n’en est pas vraiment une. <si je réduit de 1000 à 2000 fois la taille de l’électron et du positron, et que je mette dans un contexte ces deux élément réduits mais non en contact, ai-je le droit de dire qu’ils forment un couple ?? Et bien non, car la réduction permet l’approche mais pas pour autant la fusion, et donc la notion de couple.

     "[Le vide bouillonne d’activité. Il peut même exister sous plusieurs formes et manifester une structure. (...) Le vide bouillonne de particules à très faible échelle de temps. (...) Si le temps d’observation est de 10-21 s, (…) des paires électron-positon peuvent spontanément apparaître. Si le temps d’observation tombe à 10-24 s, (...) le vide peut bouillonner de pions. Sur un temps de 10-26 s, une particule Z (...) peut se manifester. Quand on atteint (...) 10-44 secondes (...) le tissu même de l’espace-temps se trouve soumis à ces fluctuations quantiques. » écrit Maurice Jacob dans « Au cœur de la matière ».]

    __Là d’accord pour le terme paire constitué d’un électron et d’un positron, et non couple, et ce parce que ces deux éléments qui naissent ne se mélangent pas mais partent dans des directions opposées. Pour des échelles particulières de temps de 10E-24 ou 10E-26 et même d’autres, des particules instables apparaissent et disparaissent, et cela n’a rien d’extraordinaire, car on a le droit d’imaginer que des particules virtuelles se regroupent en paquets pour former ces particules éphémères, mais que justement ces paquets ne peuvent pas durer très longtemps car instables. Cela veut dire aussi, que si ces paquets ont un masse, les particules virtuelles ont donc forcément une masse mais indétectable, ou encore que ces parquets temporaires, ont une agitation particulière leur donnent un spin, et par la même une masse temporaire, et ceci voudrait dire que le spin définit aussi la masse. Donc ces paquets de particules virtuelles restituent leur contenu de particules virtuelles au vide du quantique, quand ceux-ci disparaissent, et ce boson de Higgs peut être l’un de ces paquets donnant ainsi une masse aux particules réelles et stables dit de masse.

     [Le vide est une agitation permanente de corpuscules quantiques, des particules et antiparticules couplées. Le mécanisme fondamental au sein du vide est le couplage d’une particule et d’une antiparticule pour donner un photon virtuel, qui, à bien des égards, se comporte comme un photon réel, le corpuscule de lumière en somme ou d’interaction électromagnétique si on veut le dire ainsi.]

    __Pour le redire le couple particule et anti-particule virtuelles n’est pas un vrai couple, car quand il arrive à ce stade il se détruit, et donc que son existence est plus qu’éphémère, car on pourrait dire instantanée. La destruction instantanée de ce couplage génère donc un photon virtuel, d’après ce qui est dit. On comprend alors que ce vide quantique soit constitué aussi de plein de photons virtuels, en plus des particules virtuelles de charges opposées et sans masse.

     [Sans cesse, au sein du vide quantique, des photons virtuels se retransforment en couples particule-antiparticule, et inversement… Un ballet qui permet au vide d’émettre sans cesse de l’énergie mais de manière désordonnée..]

    __Petite erreur de langage car les photons virtuels se transforment en paire.. et non pas en couple. de particules virtuelles de charges opposées. La quantique voit donc un cycle perpétuel ou le photon virtuel créer une paire de particules virtuelles de charges opposées, et quand deux particules de charges opposées se rencontrent elles disparaissent et s’annihilent au profit d’une création d’un photon virtuel qui lui même... Le petit problème de cette notion de cycle est que l’on ne donne jamais de cadence de temps, de fréquence...

     [L’espace n’est pas tridimensionnel et il n’y a pas de temps absolu, chaque individu a sa propre mesure du temps qui dépend du lieu et de la manière dont il se déplace.]

    __Et bien cela est faux car il existe un temps absolu qui donné par M.Einstein comme étant un temps pour la physique. Et cela est facile à comprendre car si vous êtes dans un environnement sans matière et très loin de celle-ci, ce référentiel n’est pas déformé par les masses des objets, et si vous êtes au repos par rapport à cet environnement et bien ce temps absolu existe, et vous pouvez mesurer les temps et vitesses des autres référentiels qui sont eux dit locaux. Mais il faut comprendre que ces endroits de l’espace existent mais non inaccessibles par les hommes et leur machines. Quand nous regardons des objets très loin ou très près, ces objets sont dans d’autres référentiels que le notre qui est déjà un référentiel non absolu car il est local à notre terre et son environnement. Donc nous regardons par rapport à un référentiel local d’autre référentiels locaux. Pourquoi dire que l’espace n’est pas tridimensionnel ? Le temps n’est pas une quatrième dimension faisant partie de l’espace !!!

     [Non seulement, il n’y a pas de temps absolu, mais il n’y a pas non plus de séparation objective entre le passé et le futur. Le temps est déployé de telle sorte que passé et futur sont figurés à la fois.]

    __Quand je regarde au ralentit une image animée, j’ai cette l’impression que le passé et le présent ne se mélangent car cela traîne en longueur de temps, par contre la même image animée vu en accélérée, et bien me donne l’impression que passé et présent se mélangent, simplement parce qu’il n’a pas de pose, et mon esprit ne peut pas décomposer les mouvements. Mais ralentit ou accéléré du passé et présent ne se ménagent pas, cela n’est qu’une illusion. Pour le dire autrement la rapidité des mouvements ne mélange en rien le passé et le présent. Si il existe un temps absolu que M.Einstein appelle le temps pour la physique, où je pense que peu de personnes ont compris, car il fait bien la différences des temps locaux de ce temps physique, qui est bien un temps en dehors de tout référentiel local.

     [L’un des résultats fondamentaux est que l’espace présente une structure discrète (par opposition au continuum espace-temps de la relativité générale) : les aires et les volumes d’espace sont quantifiés. La notion d’espace est en quelque sorte remplacée par la notion de grains primitifs, sortes d’« atomes » d’espace ou, plus exactement, de quanta du champ gravitationnel, reliés entre eux par des liens caractérisés par un spin (spin de lien) d’où le nom de réseau de spin (spin NETWORK). Ce champ (l’espace-temps) devrait ainsi présenter une structure granulaire sous la forme d’un nuage de grains d’espace-temps, dont la dynamique devra être probabiliste.]

    __Il est sûr que l’Éther soit quantifié, mais il n’est pas celui de la théorie des boucles, et donc celui de max Planck !!! Maintenant de dire que le temps appartient à l’espace est faux. De dire que le temps sont des mécanismes de création et de destruction des particules virtuelles du quantique est aussi faux je pense, même si on trouve enfin une vraie définition pour qualifier et quantifier le temps. Le temps appartient au contenu de l’espace qui est l’Éther et qui est sans rapport avec la quantique. Ceci prouve aussi que les quanta, les quantum, et même les paquets sont ceux de notre réalité, mais que le temps est un référentiel à part venant se superposer sur notre réalité, car il suffit de voir la vitesse de la lumière, pour comprendre que ce temps est hors réalité, et donc plus petit que les constantes de Planck.

    ___Découpage de mon commentaire car trop long, mais cela est dû aussi à reprendre les citations pour ce positionner et donner un commentaire, et quelque fois la citation est plus grande que le commentaire lui même. J’attendrai donc que le BUFFER de donnée se vide car il est comme un quanta plein et empêche les autres envois étant la suite d’être envoyés. On ne peut donc envoyer deux envois dépassant 20000 caractères, car le premier bloque les seconds. Peu importe le nombre d’envois, c’est la quantité en nombre de caractères qui compte, et tant que le tampon (quanta) par article n’est pas vidé, ce quanta de 20000 caractères reste bloqué...............................

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

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