A bas les non-vaccinés ! clament les gouvernants...

Contradictions, mensonges et absurdités de la campagne de propagande gouvernementale et médiatique contre les non-vaccinés

Haro sur les non-vaccinés présentés comme coupables de tous les crimes, traités d’antisociaux, de barbares, d’ignorants, de fascistes et de causes de maladie et de mort ! Interdit pour eux d’accéder à de nombreux lieux et activités, et d’exercer de nombreuses professions, interdit de bénéficier de droits sociaux ! Il faut les désigner à la vindicte publique, que les gens aient envie de les frapper et aient peur d’eux... Les gouvernants annoncent même que les non-vaccinés vont mourir pendant cet hiver !

Une affirmation mensongère des gouvernements contre les non-vaccinés consiste en effet à dire que ces derniers sont les responsables de la mort des vaccinés ! Tout à fait absurde puisque, selon les mêmes, les vaccinés seraient protégés contre les cas graves, a fortiori contre les cas mortels !

Ils ne peuvent même pas dire honnêtement que les non-vaccinés sont cause d’une plus grande propagation de la pandémie, donc cause indirecte de plus de malades et de plus de mort, puisqu’il a été plusieurs fois démontré que, d’un point de vue sanitaire, les vaccinés propagent exactement autant le covid-19 que les non-vaccinés !

Pire même : les vaccinés, se croyant protégés, utilisent moins les gestes barrières, les attitudes prudentes, vont plus dans des lieux collectifs (notamment ceux qui ne leur sont pas autorisés du fait de l’exigence du pass sanitaire) et, du coup, les non-vaccinés propagent moins la pandémie que les vaccinés !

Les absurdités du pass sont multiples. Par exemple, il est exigé à l’hôpital mais pas chez les professions médicales libérales ! Une personne non vaccinée ne peut plus se soigner à l’hôpital !

La seule efficacité (faible) des vaccins covid (c’est-à-dire des faux vaccins, car le seul vrai vaccin covid, celui de Valneva, n’est pas encore accessible) consistant à rendre les vaccinés plus asymptomatiques, les vaccinés ne savent parfois pas qu’ils sont malades et donc propagent davantage la maladie dans leur entourage.

Un autre point est le fait que, s’ils ont des légers symptômes, ils se testent moins car ils se croient protégés par la vaccination. Du coup, ils mettent plus de temps que les non-vaccinés à reconnaitre qu’ils ont attrapé covid et leur maladie se propage plus là encore.

Les gouvernants et les média sont contraints de reconnaitre que la proportion de vaccinés dans les hôpitaux et, particulièrement, dans les soins d’urgence, croit sans cesse en même temps que croit le « succès » de la vaccination. Ils prétendent que c’est un « effet mathématique ». Mais c’est quand même reconnaitre que les vaccins ne protègent pas, en réalité, des cas graves. Même dire que les non-vaccinés sont cause de la mort des vaccinés, c’est une manière de reconnaitre que les vaccinés meurent du covid.

De toutes les manières, les affirmations statistiques des gouvernants, reprises et expliquées par les média, se contredisent entre elles. Elles prétendent que 90% des adultes seraient vaccinés en France et que les 10% restants expliquent que la pandémie grimpe.

Mais ces 90%, rajoutés à tous ceux qui ont été en contact avec covid, soit en étant malades, soit en étant asymptomatiques, soit en développant des défenses naturelles, cela donne l’ensemble de la population. Alors pourquoi accuser les non-vaccinés ?

D’autre part, affirmer que les débordements des urgences par les malades covid proviendraient du 10% de la population non vaccinée est contradictoire avec la hausse continuelle des vaccinés parmi les hospitalisés et les malades graves.

Prétendre combler le trou entre ces nombres par les personnes faussement vaccinées est complètement ridicule : le gouvernement ne reconnait qu’un nombre minime de faux pass sanitaires et donc de fausses vaccinations. Cela n’explique donc pas la quantité de malades covid dans les hôpitaux qui ont le pass sanitaire.

Restent les jeunes qui sont beaucoup plus frappés par les nouveaux variants et beaucoup moins vaccinés, mais, là encore, ce n’est pas de jeunes non vaccinés qu’il s’agit spécifiquement. Les jeunes vaccinés sont tout aussi frappés que les non-vaccinés.

Et surtout, l’ensemble des études scientifiques affirment que la protection des vaccins, déjà minime, se réduit sans cesse de variant en variant, et est maintenant proche de zéro avec le variant Omicron qui est dominant et se répand comme une trainée de poudre.

Accroitre la pression vaccinatoire, par exemple avec le pass vaccinal au lieu du pass sanitaire, alors que les vaccins n’ont quasi plus aucune efficacité (le patron de Moderna le reconnait lui-même !), c’est soit absurde soit révélateur d’autre chose. Du fait que la politique de dictature vaccinatoire, qui s’aggrave d’autant plus qu’elle se révèle inefficace d’un point de sanitaire, a un tout autre but que la santé publique : des buts capitalistes cachés, comme de justifier une politique dictatoriale qui sera bien utile face aux révolutions qui ne vont pas manquer de se produire avec la chute historique du capitalisme, de justifier aussi des mesures financières massives en faveur du grand capital, de justifier encore une division du peuple travailleur, entre vaccinés et non-vaccinés qui permette d’affaiblir la riposte des exploités et des opprimés.

Ces faux vaccins (car ils ne reposent pas du tout sur des virus atténués) n’ont rien pu faire pour enrayer la pandémie et ne l’ont même pas atténuée. Il suffit d’examiner ce qui s’est passé dans des pays très peu vaccinés pour s’en convaincre.

D’autre part, il est remarquable que les maladies causées par la vaccination ont été sciemment minimisées, les statistiques faussées, les études minimisant de manière mensongère les risques. Il est aussi remarquable que ces maladies, quand elles ont été reconnues, par exemple dans les maladies cardiaques induites par la vaccination, admettent que la maladie est du même type que celle causée par le virus lui-même. Rappelons que cela n’arrive pas dans le cas d’un vrai vaccin car il est atténué. Les vaccins dits « à ARN messager », eux, utilisent une fraction du virus mais de manière très accentuées et non atténuée ! C’est pourquoi, même s’ils ont pour effet d’activer l’immunité du vacciné, ils peuvent provoquer des maladies causées par le virus…

D’autre part, personne ne peut dire ce qui va se passer en termes de maladies auto-immunes au bout de quelques vaccinations.

En effet, il y a une autre absurdité dans le comptage des vaccinés. C’est que le vaccin n’a un effet reconnu que pour trois mois. Toute dose prise il y a plus de trois mois n’est plus efficace.

Du coup, les statistiques sur les vaccinés sont complètement fausses, la plupart d’entre eux n’ayant pas reçu deux doses sur une période de moins de trois mois ! En fait, tous les vaccinés théoriques sont quasiment des non-vaccinés !

On ne le leur dit pas parce que personne n’a encore accepté d’être vacciné tous les trois mois ! Déjà l’obligation des deux doses passait mal dans une bonne partie de la population, sans parler des trois doses, mais pas question de deux doses tous les trois mois ! Du coup, une efficacité très réduite et des statistiques de vaccinés totalement fausses !

Les gouvernants, qui avaient refusé fortement les masques (et s’étaient bien gardés de reconnaitre que seuls les FFP2 sont efficaces contre covid), avaient fait silence sur les inhalations par exemple et autres mesures de protection au début de la pandémie, se sont d’autant plus entichés de ces faux vaccins qu’ils ne sont pas efficaces pour le vacciné (ni contre la maladie ni contre sa propagation). Ils ont prétendu qu’ils étaient statistiquement efficaces en prétendant qu’il existait une « immunité collective » contre covid, ce qui s’est révélé faux. Déjà une personne peut attraper deux fois covid, y compris le même variant, donc on ne peut pas compter sur une immunité durable. D’autre part, une partie notable des vaccinés ne développent aucune réaction immunitaire et elles ne sont donc pas protégées du tout par la vaccination et, pire, elles ne le savent pas !

Mais tout cela ne gêne pas les gouvernants car la pandémie, les classes dirigeantes ne la craignent pas. Ils ne craignent que ce qui nuit à leur système : de vrais confinements et des révolutions sociales qui sont, à leurs yeux, beaucoup plus dangereuses que des millions de morts !

La plupart des gens ont du mal à admettre que les gouvernants soient assez cyniques pour laisser des millions de personnes mourir en le faisant sciemment et pourtant il est clair que les classes dirigeants ont fait exprès de laisser le virus se propager, ne prenant que de fausses mesures, uniquement pour discréditer les vraies. Leurs confinements ont été et sont encore des faux confinements. Ainsi, pendant le confinement, les travailleurs continuaient à s’agglutiner dans les transports en commun et ces derniers diminuaient même leur circulation sous prétexte qu’il y avait un peu moins de passagers ! Et ce n’est qu’un exemple. Certaines activités industrielles ou du bâtiment se voyaient autorisées, en plein confinement, à fonctionner comme s’il n’y avait jamais eu de pandémie. Il n’a jamais été question pour les capitalistes et leurs gouvernants de réellement confiner les salariés qui ne pouvaient pas télétravailler en les payant normalement, ce qui aurait dû être la mesure de base d’un confinement, en plus de la fermeture des écoles, vecteur évident de la pandémie. Les gouvernants n’ont jamais pris de telles mesures.

Par-dessus tout, il est clair que des situations de crise violente de la société comme celle que nous vivons ne peuvent pas être résolues en faisant confiance aux classes exploiteuses. Rien, ni leurs fausses statistiques, ni leurs fausses études scientifiques, ni leurs faux raisonnements ne peuvent nous convaincre. Quand la collectivité est attaquée de manière vitale et massive, c’est la collectivité, s’informant par elle-même, décidant elle-même, ce qui signifie organisée par elle-même, qui peut répondre à la crise et pas la minorité des possédants et des gouvernants à leur solde.