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Les contradictions du discours de la dictature vaccinatoire et pseudo sanitaire

mardi 25 janvier 2022, par Karob, Robert Paris

Les contradictions du discours de la dictature vaccinatoire et pseudo sanitaire

La propagande qui nous est journellement déversée par tombereaux, par les gouvernants, les experts, les média et autres, multiplie les démonstrations de la nécessité de se vacciner, comme si le capitalisme avait changé sa religion du profit pour celle du vaccin. Plus exactement celle du faux vaccin, tout particulièrement du produit à ARNm qui n’est nullement un vaccin.

Et c’est la première des contradictions : faire de la propagande pour « les vaccins » contre de prétendus « anti-vaccins », en faisant l’éloge d’un produit médical qui n’est dans aucun sens un vaccin. Le principe premier du vaccin est d’utiliser un virus ou une bactérie (pas une sous-bactérie ni un sous-virus, ni une protéine) qui est administrée de manière très très atténuée, ce qui diminue considérablement les risques d’attraper la maladie mais accoutume le corps à réagir en produisant des anti-corps qui combattent virus et vaccins. Les vaccins des diverses maladies ont des efficacités très diverses, parfois très douteuses, et bien des maladies n’ont pas trouvé leur vaccin. Par contre, les prétendus « vaccins anti-covid » et en particulier ceux à ARN messager ne sont absolument pas fondés sur une bactérie ou un virus atténués mais sur une fraction de ceux-ci ou une protéine de ceux-ci qui est administrée de manière très accentuée, pénétrant la cellule, activant une réaction extrêmement violente et massive des anti-corps, et capable, du coup, de provoquer des maladies auto-immunes (celles ou les anticorps n’agissent pas seulement contre les attaques de maladie mais contre le corps lui-même). Les vrais vaccins de diverses maladies autres que covid ont des effets bien connus dont les deux plus importants sont d’arrêter la propagation de la maladie et d’empêcher le vacciné d’attraper la maladie. Les faux vaccins anti-covid n’ont aucune de ces propriétés curatives et préventives. Les vaccinés propagent la maladie autant que les non-vaccinés. Les vaccinés attrapent la maladie autant que les non-vaccinés. Du moins si on appelle vaccinés et non-vaccinés ceux qui sont liés à ces produits dits anti-covid qui ne sont absolument pas des vaccins.

Première contradiction et non la seule, la propagande dite pro-vaccins fait l’éloge de produits dont le principe est contraire à celui des vaccins.

Pire encore, faire croire que le vaccin est le sauveur suprême face au covid alors que ce n’est pas vrai pousse les vaccinés à faire des fautes de protection, à ne plus se protéger.

En réalité, la vaccination n’est nullement un critère important de protection de la personne et de la collectivité. Même pour les « cas graves » des maladies du covid, elles ne sont pas déterminées par la vaccination ou la non-vaccination. C’est d’abord l’état de santé de la personne dans la période précédente qui est déterminant, ses maladies précédentes, ses faiblesses, son état respiratoire, son état immunitaire personnel (hors effet de la vaccination), y compris son état sanguin, des facteurs génétiques, des antécédents maladifs, un poids excessif par exemple. Cela fait des dizaines de facteurs bien plus importants que la vaccination dans le développement de cas graves. Cela dépend aussi du traitement post-maladie covid plus que de traitements avant d’attraper covid. Et, une fois encore, les vaccins dits anticovid n’empêchent nullement d’attraper covid, ni de le transmettre !

Deuxième contradiction et non la moindre, le remède est plus dangereux que la maladie. On vient d’en donner une première raison : les maladies auto-immunes et particulièrement myocardite et tachycardie, les maladies du cœur. Mais c’est loin d’être le seul danger.

Mais, direz-vous, s’il y avait danger, on l’aurait su lors des analyses d’homologation de ces vaccins. Erreur, tout d’abord, ces vaccins ne sont pas homologués mais seulement autorisés à titre provisoire, du fait de l’urgence sanitaire. D’autre part, les techniques, les méthodes et les soins de fabrication qui ont été ceux de l’acceptation provisoire des vaccins ont été différents de ceux qui sont utilisés par les usines de fabrication actuelles de vaccins. C’est ce que révèlent notamment des documents secrets de l’Agence Européenne du Médicament portés à la connaissance du grand public par des lanceurs d’alerte.

Mais le principal, c’est que le faux vaccin anti-covid empêche le développement de vrais vaccins anti-covid ! Par exemple, l’HAS recommande tous les produits « anti-covid » sauf le seul vrai vaccin, à savoir Valneva ! Pourquoi toutes les autorités sont-elles si réticentes à développer de vrais vaccins anti-covid ? Parce que les faux vaccins ont justement pour but d’empêcher le développement de vrais vaccins ! Produit en Europe, Valneva n’est pas soutenu par l’Europe ! Produit même en France, les autorités françaises refusent de le soutenir !

Une autre contradiction : le développement des faux vaccins anti-covid entraine une propagation accrue de la maladie. En effet, en effaçant partiellement les symptômes sans supprimer la maladie, les faux vaccins ont pour effet de rendre totalement inefficaces les tests pour les vaccinés. Alors que les non-« vaccinés » ont des résultats de tests relativement fiables, les vaccinés ont tendance à avoir des « faux négatifs », c’est-à-dire à être catalogués non malades et ainsi ils peuvent propager le plus possible la maladie autour d’eux, ne se confinant pas puisqu’ils croient les résultats des tests qui leur disent qu’ils n’ont rien !

Une autre contradiction remarquable concerne justement la propagation d’Omicron. En effet, les gouvernants disent vouloir tout faire pour empêcher la propagation de la pandémie et, en même temps, déclarent que si beaucoup de monde est infecté du fait de la très forte propagation d’Omicron, on atteindra ce fameux niveau d’ « immunité collective » qu’ils affirment être le point de fin de la pandémie.

Comment peut-on à la fois souhaiter que tout le monde soit infecté et prétendre combattre pour que personne ne le soit ?

Comment peut-on affirmer que l’on est mobilisés, et même en guerre contre une pandémie qui atteint son plus haut niveau de propagation, et en même temps affirmer que l’on va baisser de plus en plus les mesures de précaution ?

Ainsi, dans les écoles, les universités, les crèches, les mesures de sécurité anti-covid sont en baisse et non en hausse sur la plupart des points. Résultats : les clusters se multiplient dans tous ces secteurs et les enfants contaminent les parents ! Qu’en concluent les gouvernants : diminuer encore les mesures de sécurité autour des enfants… Vous avez dit « contradictoire » ?

Il est remarquable aussi que les gouvernants aient milité en France contre les masques et ensuite aient milité contre les seuls masque vraiment efficaces contre covid, à savoir les FFP2.

Quand vous mettez les gouvernants ou les prétendus experts derrière lesquels ils se cachent en face des contradictions de leur discours soi-disant sanitaire, ils répondent : « effectivement, nous ne prétendons pas empêcher la pandémie mais seulement défendre le système de santé public et en particulier l’hôpital ». De la part de ceux qui n’ont cessé de mener des politiques pour casser l’hôpital public, voilà seulement une contradiction de plus !

La seule solution de toutes ces contradictions est la suivante : les gouvernants n’ont jamais voulu combattre la pandémie mais, au contraire, l’aider à se développer pour s’en servir comme arme de guerre contre le peuple travailleur.

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