Accueil > 16- EDITORIAUX DE LA VOIX DES TRAVAILLEURS > Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu (...)
Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste
mercredi 16 mars 2022, par ,
Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste
Certains capitalistes, financiers et économistes continuent de réclamer que continue à tout prix et à toute force le « quoi qu’il en coûte », c’est-à-dire que les banques centrales et les Etats continuent d’intervenir massivement dans l’économie, sous prétexte de pandémie ou pas, pour sauver les trusts et les banques, racheter les actifs pourris, faire monter les bourses, désamorcer les bulles spéculatives, intervenir sur le cours des matières premières, subventionner des activités couteuses, créer des rentes pour éponger les capitaux en surplus et leur offrir des revenus factices, baisser les taux d’intérêts, prêter aux Etats et éponger leurs dettes, etc. Tout cela coûte un argent fou aux Etats et institutions financières, mais ce n’est pas cela qui alarme les capitalistes.
Certains capitalistes et experts économiques pointent du doigt un danger alarmant lié à cette fabrication massive de monnaie par les banques centrales : le risque d’une « crise des liquidités ». Les « liquidités » en question, c’est l’argent mis en circulation par les banques centrales, sans correspondre à des valeurs réelles produites, devient tellement important qu’il plombe toute l’économie, dévalorise les valeurs réelles, décourage tout développement économique, entraîne une inflation incontrôlable, etc. Ces liquidités menacent de noyer l’économie réelle, qui était déjà engluée par le trop plein de capital.
Le capitalisme est pris entre des nécessités extrêmes et contradictoires : intervenir pzr les Etats et banques centrales pour sauver l’économie et arrêter de s’endetter follement, augmenter la masse des liquidités en évitant artificiellement l’effondrement économique ou arrêter de l’augmenter en laissant l’économie chuter massivement et inexorablement, laisser filer l’inflation en rognant les profits et en réduisant les échanges .
Même sous perfusion massive, sous oxygène en respiration artificielle, en soins palliatifs, le capitalisme a dépassé ses limites de survie et ses traitements deviennent aussi dangereux que sa maladie. Il va bientôt falloir, même du point de vue des capitalistes et leurs gouvernants, débrancher ce mort vivant.
Comment le capitalisme pourrait-il être étranglé par trop d’argent distribué aux capitalistes ? La plupart des gens s’imaginent que plus le capitalisme détient d’argent plus il se porte bien et découvrent avec stupéfaction qu’il y a une crise due à trop de liquidités et une crise due à trop d’argent en circulation et même une crise due à trop de capitaux.
Trop de liquidités, ou pas assez, trop d’interventions étatiques et des banques centrales ou pas assez, trop dettes ou faut-il en faire encore, trop de capital ou pas assez, le capitalisme est pris entre des nécessités complètement contradictoires.
Le capitalisme en crise a-t-il trop d’argent ou pas assez d’argent ? Eh bien, les deux à la fois ! Les banques centrales n’ont plus assez d’argent pour continuer à intervenir massivement de manière financière pour sauver les capitalistes et les Etats aussi. L’économie a trop d’argent qui circule et il en résulte à la fois une inflation et une aggravation du rapport entre la masse des capitaux et les seuls capitaux qui s’investissent et rapportent réellement de la plus-value. Il devient de plus en plus difficile de rétribuer correctement le capital et la masse des capitaux devenue trop importante par rapport aux possibilités de placement de ces fonds.
On entend dire tout et son contraire à propos de l’état actuel du capitalisme : qu’il est parfaitement viable et aussi qu’il est proche du krach final, causé par une noyade dans la masse trop grande des liquidités, causé par un étranglement dû à une inflation galopante impossible à combattre, produisant trop comme trop peu. Certains veulent que les Etats interviennent encore pour « sauver » les trusts et d’autres estiment qu’il y a trop d’argent étatique et issu des banques centrales et que cela étouffe l’économie. Certains se plaignent qu’on produit trop de voitures mais d’autres estiment qu’on manque de certains produits indispensables à leur production. Ces contradictions, très nombreuses, montre que le système est pris entre des nécessités incompatibles.
Le système capitaliste a atteint un point où on entend des propos tout à fait contradictoires à son propos. Les uns prétendent qu’il a parfaitement tenu le coup face à la crise covid, qu’il remonte, que ses profits boursiers le prouvent, qu’il a réglé tous ses problèmes fondamentaux et que ce sont ceux qui essaient de l’aider, Etats et banques centrales, qui le plombent. Et ils énumèrent des causes de crise qu’ils estiment venues de l’extérieur du système, à commencer par le covid, pour continuer par trop d’interventions institutionnelles (Etats et banques centrales ayant maintes fois injecté des milliers de milliards en considérant qu’il fallait sauver les trusts et banques « quoiqu’il en coûte » et cela bien avant covid), trop de fausse monnaie provenant des banques centrales (puisque ces banques fabriquent autant d’argent qu’elles le veulent pour aider le capitalisme), etc.
Ces capitalistes, et les experts et gouvernants à leur service, essaient de rassurer mais ils sont loin d’être eux-mêmes confiants dans l’avenir au point que certains estiment que la seule crise serait même « une crise de confiance » des capitalistes eux-mêmes dans la pérennité du système, empêchant les capitalistes d’investir (car un vrai investissement, contrairement à une spéculation, bloque les capitaux sur des durées importantes) !
Alors que la taille des bilans des Banques centrales végétait à moins de 10 % du PIB, ces mêmes bilans ont plus que doublé de volume en quelques années, représentant près de 20 % pour la Banque centrale américaine, 40 % pour la Banque centrale européenne, et 100 % pour le Japon. Après une phase de relative stabilisation à partir de 2015, ces bilans semblent prêts à croître de nouveau, gonflés à bloc par les discours des Banquiers centraux afin de juguler le coronavirus financier.
Ces liquidités créées par les Banques centrales ont notamment servi à racheter une partie de la dette colossale émise par les gouvernements durant la même période.
Alors que la dette publique américaine représentait moins de 40 % du PIB avant 2008, elle représente désormais près de 100 %, aidée il est vrai par Donald Trump qui n’a pas lésiné sur les moyens pour pousser davantage la machine américaine.
Même la Chine s’est mise au diapason avec une hausse de sa dette gouvernementale de 25 à 65 % du PIB ; en fait le cas Chinois est encore plus frappant que les autres puisque les dettes des ménages et des entreprises ont aussi crû très significativement : au total la dette Chinoise est passée de 160 % à 260 % du PIB.
En fait, le capitalisme n’est pas victime d’une simple maladie passagère, n’est pas en crise économique classique, n’est pas en récession qui sera nécessairement suivi d’une reprise, ne subit pas seulement le trop de liquidités, le trop d’interventions financières institutionnelles, les conséquences d’un trop pandémique du covid ou des mesures de confinement qui en découlent, ni encore le trop chaud du climat, le trop d’atteintes écologiques, ni encore le trop d’Etat, le trop de dettes, le trop d’inégalités, ni le trop de marchandises, le trop de productions, le trop de ceci ou de cela. Tous ces signaux là ne sont pas la cause mais la conséquence de la politique menée, à savoir fausser le système et casser le thermomètre, tromper les mécanismes « naturels » du capitalisme, parce que ces fonctionnements normaux mènent direct à la mort du système. On va voir que les méthodes institutionnelles capitalistes pour truquer la réalité y mènent malgré tout, avec retard mais de manière encore plus inexorable.
Le système socio-économique qui a longtemps dominé le monde atteint, depuis 2007, les limites de ses capacités, à savoir le trop de capitaux. Pour bien des travailleurs, on ne peut pas avoir trop de capitaux comme on ne peut pas avoir trop de liquidités. Car les travailleurs comme les peuples se placent du côté du consommateur et pas du producteur de… profits. Pour ce dernier, il ne suffit pas d’avoir produit du profit en exploitant les travailleurs par la plus-value, encore faut-il remettre ces profits dans le circuit pour qu’ils produisent de nouveaux profits. Et si cela devient de plus en plus difficile, c’est l’étranglement car le système n’est pas capable de produire moins de profits. Certes, au cours des crises dites classiques du capitalisme, il est arrivé que le système produise des chutes brutales des capitaux, des masses de ceux-ci étant carrément détruits mais le fonctionnement ne peut s’empêcher de produire sans cesse plus de capitaux. Le seul blocage irrémédiable ne provient que de la limite historique, celle que le système a atteint en 2007 et à partir de laquelle la proportion de capitaux trouvant de vrais investissements productifs se réduit sans cesse, passant un nœud coulant au capitalisme.
On pourrait s’étonner qu’un système puisse craindre d’être trop riche, mais, pour le capitalisme, il est dangereux de posséder des capitaux et de ne pas être capable de les rentabiliser. C’est plus que dangereux, c’est mortel. Et quand la part des capitaux qui ne parviennent pas à se rentabiliser en s’investissant normalement grandit sans cesse, ce qui est le cas depuis 2007, on en vient à une société qui fait semblant d’offrir des possibilités d’investissements mais qui n’en a pas de réelles. Et ces faux investissements se retournent alors contre le système lui-même, produisant en masse de manière étonnante des titres pourris, des fausses monnaies, des titres des dettes privées et publiques, des bulles financières, des investissements nécrophiles et autres produits destructeurs. Ces faux investissements peuvent momentanément cacher que les capitaux en trop grande masse n’ont pas trouvé d’investissements rentables normaux mais cela ne peut pas être maintenu ainsi éternellement.
Même les interventions financières massives des Etats et des banques centrales ne peuvent pas durablement cacher la catastrophe.
Il en résulte des contradictions étonnantes. Les capitalistes n’ont jamais été aussi riches mais les marchés se mettent à manquer… de capitaux parce que les capitalistes se sont vus offrir des faux investissements trop rentables.
Autres contradictions qui découlent de ces interventions folles des pouvoirs financiers centraux : le capitalisme a certes duré depuis 2007 mais il est en train de pâtir de telles interventions.
Il en résulte à la fois une crise des liquidités et une crise du manque de liquidités quand il s’agit d’investir, à la fois d’une crise inflationniste qui fait grimper les prix en flèche et d’une crise de la chute de rentabilité des productions de base, y compris celles des matières premières, et, du coup, une crise de manque de matières premières et des certains produits manufacturés, qui deviennent à la fois trop produits et pas assez. Fausser les règles économiques de base, qui est devenu la méthode clef pour faire durer le système, a atteint aussi ses limites.
Mais la limite fondamentale, celle de la capacité à s’investir des capitaux (le pourcentage de capitaux qui trouve un investissement productif estimé rentable par les possesseurs de capitaux), dépassée depuis 2007, est à terme mortelle car le but fondamentale du capitalisme, c’est d’augmenter son capital. Tous les autres signaux (liquidités, prix, échanges, blocages, etc.) ne sont que des symptômes révélant que l’on n’a fait que tricher pour contourner une telle limite, pour faire semblant de ne pas l’avoir atteinte, sans pouvoir pour autant la dépasser réellement. Et ce faux semblant, par des méthodes complètement artificielles, en inondant d’argent factice l’économie, en faussant tous les moyens de mesure, en brouillant tous les indicateurs, n’a pas permis de changer la réalité pour autant : la limite historique est atteinte.
Les limites réelles et infranchissables pour le capitalisme ne sont donc pas seulement des limites d’endettement des Etats, des limites de création monétaire par les banques centrales, des limites d’aides financières publiques aux trusts et aux manques, mais des limites du système capitaliste lui-même, de sa capacité à dépasser un certain stade où ses capitaux ayant trop grandis sont de moins en moins, relativement, capables de s’investir dans la production en créant de la plus-value qui se réinvestit. Ce n’est pas un fonctionnement secondaire qui est ainsi bloqué progressivement mais le principal.
Ce n’est pas les communistes que nous sommes qui peuvent être alarmés d’une telle situation. Ce sont les capitalistes et leurs gouvernants que cela affole. Cela montre que l’humanité développe bien plus de moyens matériels que le capitalisme n’est capable d’en encadrer et que l’humanité va devoir se doter d’un autre système socio-économique pour gérer l’activité humaine, un système qui fonctionne dorénavant non plus pour une minorité de grands capitalistes mais pour toute la population travailleuse et qui soit organisé pour elle et par elle. Une bonne nouvelle, direz-vous, sauf si les capitalistes parviennent à nous enterrer en même temps que va l’être leur ancien système tout pourri !
Messages
1. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mars 2022, 15:57, par Jean
La perfusion semble continuer, un exemple, l’heure d’été vole plus d’un an d’heure de sommeil à un seul travailleur au cours de sa vie (on se lève plus tôt mais on ne se couche pas nécessairement plus tôt) et le sénat américain veut doubler ce vol en passant à l’heure d’été toute l’année, plus d’heure éveillé veut dire une consommation plus importante donc plus d’argent pour les capitalistes.
2. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:26, par Florent
Les banques centrales sont désormais coincées entre inflation et récession et ne peuvent qu’augmenter les deux !
L’inflation est à 7,5% aux États-Unis, où la FED (Réserve fédérale des États-Unis) est sous pression pour remonter ses taux afin de contrer la hausse des prix. La politique monétaire accommodante a commencé plus tôt de l’autre côté de l’Atlantique, dès la fin de la crise financière de 2008. Aussi, depuis la crise du Covid, la hausse du bilan de la FED est bien plus importante que celle de la BCE (Banque Centrale Européenne). La pression est bien plus sur les épaules de la FED que sur celles de la BCE. Francfort peut en effet encore se permettre d’observer la réaction de la FED sur les taux, avant d’agir.
La BCE a déjà annoncé la fin du programme de rachat d’actifs lié à la crise sanitaire. La fin de ce programme appelé « Pandemic emergency purchase programme » (PEPP) se traduira par une présence plus limitée de la BCE sur le marché secondaire de la dette, et peut donc mener à une remontée des taux d’emprunts des États. Les marchés anticipent déjà cette remontée des taux puisque le taux d’emprunt de la France à 10 ans est passé en un an de -0,40% à +0,75%. Cette hausse des taux d’emprunts inquiète déjà la BCE. Pour cette raison, l’institution de Francfort va jouer la montre avant de remonter ses taux directeurs de manière significative.
3. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:27, par alain
Les banques centrales ne peuvent plus retarder indéfiniment la chute !
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3771
4. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:28, par Florent
Pour comprendre les effets de la remontée des taux de la BCE et d’un ralentissement de ses rachats d’actifs, il suffit de remonter le temps est de voir qui a le plus profité des politiques accommodantes antérieures : ce sont d’abord les États et les multinationales qui ont profité directement de la baisse des taux et de la création monétaire de la BCE, et par ricochet toutes les entreprises dites zombies (1). Puis les marchés actions, l’immobilier et l’industrie du luxe. Enfin, depuis 2020, ce sont les marchés des matières premières et des cryptos qui ont profité de la manne monétaire.
Donc une remontée des taux et un ralentissement des rachats d’actifs pénalisera d’abord les États et ce type d’entreprises zombies, maintenues en vie artificiellement par « la dette gratuite ». Le prix des actifs et les marchés financiers risquent de baisser aussi. Dans l’économie réelle, les prix de l’immobilier seront moins soutenus, et les marchés de matières premières seront moins impactés par les anticipations des agents économiques et des spéculateurs.
Une chose est sûre, la BCE ne peut pas se permettre un éclatement des bulles des marchés financiers et immobiliers qu’elle a elle-même entièrement créées. À la moindre secousse sur les marchés financiers, le chantage au chômage risque de reprendre de plus belle pour pousser la BCE à agir et à sauver tout ce beau monde, quitte à creuser les inégalités de richesse et à laisser filer l’inflation. En somme, le choix de la BCE se jouera entre une crise financière ou une crise sociale. Elle devra arbitrer et n’arrivera pas à contenter tout le monde. Dans un cas, elle joue sa crédibilité et celle de sa monnaie ; dans l’autre, elle doit éviter à tout prix la frustration sociale qui pourrait se transformer en troubles encore plus graves.
5. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:29, par Florent
À qui profite l’inflation actuellement observée dans la zone euro et aux États-Unis ?
Les grands gagnants sont ceux qui sont le plus proches du robinet monétaire des banques centrales, et qui ont vu leurs actifs littéralement gonflés à l’hélium monétaire. L’inflation actuelle, je le répète, est avant tout le fait de la création monétaire démentielle depuis deux ans par les banques centrales, même s’il est raisonnable de nuancer cette assertion par les effets de la crise sur la rupture des chaînes de production et d’approvisionnement. Le bilan des banques centrales a plus que doublé en deux ans ! Cette hausse des bilans a permis de financer le « quoiqu’il en coûte » des États, mais il a permis aussi de racheter les dettes émises par les multinationales.
Les possédants ne souffrent pas de l’inflation : ils ont profité de la création monétaire qui l’a causée, et ils voient leur patrimoine se multiplier. Les grands perdants sont les épargnants (plutôt les classes moyennes), les travailleurs dont les salaires n’ont pas suivi la hausse des prix, et tous ceux qui pâtissent de la hausse de l’immobilier (les populations les plus jeunes et les plus précaires financièrement).
Le « quoiqu’il en coûte » n’est pas gratuit et ce ne sont pas les plus riches qui l’ont payé, bien au contraire ! Ce sont les classes les plus pauvres et les classes moyennes qui en payent et en paieront le coût.
6. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:29, par Laurence
Cesser d’aider artificiellement le capitalisme c’est aussi prendre le risque que la crise sociale s’approfondisse...
7. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:31, par P.
La crise inflationnaire va grignoter le pouvoir d’achat. Mais, en se contentant de demander des augmentations de salaires, tous les réformistes politiques et syndicaux cachent le caractère cataclysmique de la situation en laissant entendre qu’une aide aux travailleurs la résoudrait.
8. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 07:33, par P.
La crise économique qui vient n’est pas une crise cyclique (récession-reprise) mais une crise révolutionnaire (socialisme ou barbarie)...
9. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 mars 2022, 11:02, par Max
Pourquoi serions nous, la classe des travailleurs révolutionnaires, en meilleure posture qu’en 1914 ?
Non nous savons tous que l’éffondrement capitaliste depuis 2008, n’a pas de solution dans le cadre de ce système qui est mort né. Quelques centaines d’années à peine, auront suffi à le mettre à terre,car c’est un système fondé sur la barbarie et qui se sert des sciences pour le rendre destructeur à une échelle planètaire.
Nous ne regrettons rien de cette jungle ou la loi des profiteurs et des marchands de mort, conduit le monde au chaos.
Au contraire , nous avons tout un avenir qui s’ouvre si nous saisissons les occasions de cette période révolutionnaire.
Ceux qui s’accroche au radeau de l’Etat, de son personnel corrompu, des pseudos scientifiques qui sont payés pour enfumer les prolétaires et petits bourgeois, des réformistes nous promettant des lendemains d’élections qui chantent, aux groupes révolutionnaires perdus qui continuent de coller aux syndicats réactionnaires car enchaînés au patronat, tous ces ouvriers, paysans, intellectuels, militants ou sympathisants se trompent honnêtement mais ils ne doivent pas nous entrainer avec eux.
Tous ceux là , existaient déjà en 1914 et sont partis rejoindre la grande boucherie, sous prétexte de défendre la patrie , la liberté, la nation etc..mensonges jusqu à la révolution russe et sa contagion en Europe.
Et ces révolutions ont été durement combattues et vaincues par les Etats capitalistes. Pourtant, comme la révolution française, celle de 1917 n’est pas une fin mais un début , le commencement d’une ère ou l’expérience du stalinisme nous a appris que la révolution socialiste ne peut être que mondiale, sous peine de dégénérer.
Le stalinisme pourrait revenir si des révolutions ouvrières étaient à nouveau détournées par non pas la "malfaisance" des dirigeants révolutionnaires mais par la seule loi qui détermine l’issue des combats , celle de la lutte de classe.
Tous ceux qui dirigent les luttes actuelles sont vendus au capitalisme, car le réformisme ne reconnait la lutte de classe que contre la révolution et la classe ouvrière.
Seule l’auto organisation des luttes , la création d’urgence de comités de lutte, gilets jaunes, grévistes autonomes, à une vaste échelle dépassant les cadres des secteurs d’entreprises, des quartiers, peuvent redonner une autre direction à la lutte des classes mondiales.
A nous travailleuses et travailleurs révolutionnaires de militer pour ces perspectives !
10. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 18 mars 2022, 05:46, par Florent
Les banques centrales ne savent pas comment combattre l’inflation sans que le système s’écroule
https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/03/01/la-fed-ne-sait-pas-piloter-les-atterrissages-en-douceur-lorsqu-il-s-agit-de-combattre-la-hausse-des-prix_6115643_3232.html
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/usa-le-president-de-la-fed-estime-que-l-inflation-va-durer-20211130
11. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 18 mars 2022, 06:11, par Max
Pourquoi serions nous, la classe des travailleurs révolutionnaires, en meilleure posture qu’en 1914 ? Non nous savons tous que l’éffondrement capitaliste depuis 2008, n’a pas de solution dans le cadre de ce système qui est mort né. Quelques centaines d’années à peine, auront suffi à le mettre à terre,car c’est un système fondé sur la barbarie et qui se sert des sciences pour le rendre destructeur à une échelle planètaire. Nous ne regrettons rien de cette jungle ou la loi des profiteurs et des marchands de mort, conduit le monde au chaos. Au contraire , nous avons tout un avenir qui s’ouvre si nous saisissons les occasions de cette période révolutionnaire. Ceux qui s’accroche au radeau de l’Etat, de son personnel corrompu, des pseudos scientifiques qui sont payés pour enfumer les prolétaires et petits bourgeois, des réformistes nous promettant des lendemains d’élections qui chantent, aux groupes révolutionnaires perdus qui continuent de coller aux syndicats réactionnaires car enchaînés au patronat, tous ces ouvriers, paysans, intellectuels, militants ou sympathisants se trompent honnêtement mais ils ne doivent pas nous entrainer avec eux. Tous ceux là , existaient déjà en 1914 et sont partis rejoindre la grande boucherie, sous prétexte de défendre la patrie , la liberté, la nation etc..mensonges jusqu à la révolution russe et sa contagion en Europe. Et ces révolutions ont été durement combattues et vaincues par les Etats capitalistes. Pourtant, comme la révolution française, celle de 1917 n’est pas une fin mais un début , le commencement d’une ère ou l’expérience du stalinisme nous a appris que la révolution socialiste ne peut être que mondiale, sous peine de dégénérer. Le stalinisme pourrait revenir si des révolutions ouvrières étaient à nouveau détournées par non pas la "malfaisance" des dirigeants révolutionnaires mais par la seule loi qui détermine l’issue des combats , celle de la lutte de classe. Tous ceux qui dirigent les luttes actuelles sont vendus au capitalisme, car le réformisme ne reconnait la lutte de classe que contre la révolution et la classe ouvrière. Seule l’auto organisation des luttes , la création d’urgence de comités de lutte, gilets jaunes, grévistes autonomes, à une vaste échelle dépassant les cadres des secteurs d’entreprises, des quartiers, peuvent redonner une autre direction à la lutte des classes mondiales. A nous travailleuses et travailleurs révolutionnaires de militer pour ces perspectives !
12. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 11 avril 2022, 04:53, par Laurence
Le 8 mai 2020, le Financial Times publiait un éditorial signé de son comité de rédaction dans lequel on pouvait lire :
« En dehors d’une révolution communiste, il est difficile d’imaginer comment les gouvernements auraient pu intervenir dans les marchés privés – pour tout ce qui touche au travail, le crédit, l’échange de marchandises et de services – aussi rapidement et profondément que pendant les deux derniers mois du confinement ».
« Du jour au lendemain, des millions d’employés du secteur privé ont reçu leur salaire du budget public et les banques centrales ont inondé les marchés financiers d’argent électronique. »
« … Mais le capitalisme libéral démocratique n’est pas autosuffisant, et doit être protégé et entretenu pour pouvoir rester résilient. »
13. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 11 avril 2022, 04:54, par lucifer
Selon la Banque d’Angleterre, la crise économique actuelle est la plus grave depuis 300 ans. En 2020, l’équivalent de 255 millions d’emplois ont été perdus dans le monde, soit quatre fois plus qu’en 2009.
Les économies soi-disant émergentes sont entraînées dans la chute avec le reste. L’Inde, le Brésil, la Russie, la Turquie sont tous en crise. L’économie sud-coréenne a reculé l’an dernier pour la première fois en 22 ans. Et ce, malgré des subventions publiques d’une valeur d’environ 283 milliards de dollars. En Afrique du Sud, le chômage a atteint 32,5 % et le PIB s’est effondré de 7,2 % en 2020. Il s’agit d’une baisse plus importante qu’en 1931, lors de la Grande Dépression, et ce malgré des dépenses équivalentes à 10 % du PIB dans le cadre d’un plan de relance budgétaire.
La crise plonge des millions de personnes dans une pauvreté toujours plus grande. En janvier 2021, la Banque mondiale a estimé que 90 millions de personnes vont basculer dans l’extrême pauvreté. Le 26 septembre 2020, The Economist écrit : « Les Nations unies sont encore plus pessimistes. Elles considèrent les gens comme pauvres s’ils n’ont pas accès à des commodités telles que l’eau potable, l’électricité, une alimentation suffisante et des écoles pour leurs enfants ».
14. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 13 avril 2022, 07:25, par lucifer
L’inflation américaine monte…avec comme corolaire l’étranglement de l’économie…
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/etats-unis-une-inflation-extraordinairement-elevee-en-mars-selon-la-maison-blanche-2a13b2cc4be6790b309e504b7fe6aacf
15. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 15 avril 2022, 09:08, par Florent
Les faillites d’entreprises en hausse de 35%
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/04/11/le-nombre-de-faillites-d-entreprises-repart-a-la-hausse-en-france_6121730_3234.html
https://www.lecho.be/entreprises/general/les-faillites-repartent-brusquement-a-la-hausse/10378082.html
16. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 17 avril 2022, 08:09, par Florent
L’économie mondiale est prise en étau entre récession (en fait la chute) et inflation. Un discours médiatique prétend qu’après covid c’est la faute à l’Ukraine ! Ne croyez surtout pas que le capitalisme périt de ses contradictions et que ce sont celles-ci qui entrainent à la fois covid et l’Ukraine !
17. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 22 avril 2022, 08:15, par alain
Un autre point de vue sur
Où va le monde… capitaliste ?
https://www.marxiste.org/international/perspectives-mondiales/2935-perspectives-mondiales-2021
18. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 23 avril 2022, 07:00, par Florent
Il n’y a même plus de marge étroite entre la hausse de l’inflation et la chute de l’économie du fait de la baisse des aides publiques
https://investir.lesechos.fr/marches/morning-meeting/jerome-powell-hausse-le-ton-vers-une-baisse-de-2-du-cac-40-2013141.php
19. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 1er mai 2022, 07:49, par Florent
L’économie capitaliste est prise en étau entre la croissance qui chute et l’inflation qui grimpe...
20. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 1er mai 2022, 07:51, par alain
L’inflation n’est pas prêt de baisser
https://www.20minutes.fr/economie/3278255-20220426-guerre-ukraine-banque-mondiale-prevoit-prix-historiquement-eleves-jusqu-2024
https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/l-inflation-augmente-encore-en-avril-en-france-et-atteint-4-8-sur-un-an-selon-l-insee_5109208.html
Elle peut même grimper de manière exponentielle...
21. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 5 mai 2022, 09:02, par lucifer
La FED essaie désespérément de contrer l’inflation galopante en haussant ses taux
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/05/05/etats-unis-la-fed-augmente-ses-taux-d-un-demi-point-une-hausse-exceptionnelle_6124804_3234.html
22. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 6 mai 2022, 08:07, par Florent
Et la bourse américaine chute à l’annonce des mesures de la FED
https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/pire-seance-depuis-2020-pour-wall-street-le-nasdaq-perd-pres-de-5-7ac947a7c7c24fe6d283b5c5dcf1ffde
23. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 6 mai 2022, 08:20, par Laurence
La menace grandissante d’une récession mondiale, dit la presse capitaliste
https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/la-menace-grandissante-dune-recession-mondiale-1404925
24. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 7 mai 2022, 08:38, par Florent
Les Bourses européennes capitulent face à la menace de l’inflation…ou de la récession...
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/les-bourses-europeennes-capitulent-face-a-la-menace-de-l-inflation-ou-de-la-recession-916917.html
25. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mai 2022, 07:11, par alain
Hausse des taux à la BCE qui tente désespérément de contenir l’inflation :
https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/pour-contrer-l-inflation-christine-lagarde-bce-prete-a-enclencher-la-hausse-des-taux-917378.html
26. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mai 2022, 07:16, par Kb
L’inflation va manger gravement les revenus des salariés...
Natixis sur le pouvoir d’achat :
https://www.research.natixis.com/Site/en/publication/fCqHCDDt-Ue7bQMOWGAWKdQDiXqUXpraXAWcq1l6_pY%3D?from=e-mail&fbclid=IwAR1TkkChbtkxpM5wPBO1I9fRjyGNSUn8O5nqbadLkczzWWWvwMAuDEgWlSQ
27. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 21 mai 2022, 07:37, par Florent
Frappées par la récession et l’inflation, les bourses chutent...
28. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 21 mai 2022, 07:38, par Florent
Wall Street plonge alors que la récession mondiale se profile
https://www.wsws.org/fr/articles/2022/05/20/pers-m20.html
29. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mai 2022, 06:22, par Laurence
Fin des taux négatifs de la BCE
https://news.google.com/articles/CBMimQFodHRwczovL3d3dy5sYXRyaWJ1bmUuZnIvZWNvbm9taWUvdW5pb24tZXVyb3BlZW5uZS90YXV4LW5lZ2F0aWZzLWVuLWV1cm9wZS1jaHJpc3RpbmUtbGFnYXJkZS1sYS1wYXRyb25uZS1kZS1sYS1iY2Utc2lmZmxlLWxhLWZpbi1kZS1sYS1wYXJ0aWUtOTE4OTEzLmh0bWzSAZ8BaHR0cHM6Ly93d3cubGF0cmlidW5lLmZyL2Vjb25vbWllL3VuaW9uLWV1cm9wZWVubmUvdGF1eC1uZWdhdGlmcy1lbi1ldXJvcGUtY2hyaXN0aW5lLWxhZ2FyZGUtbGEtcGF0cm9ubmUtZGUtbGEtYmNlLXNpZmZsZS1sYS1maW4tZGUtbGEtcGFydGllLTkxODkxMy5odG1sP2FtcD0x?hl=fr&gl=FR&ceid=FR%3Afr
30. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 11 juin 2022, 07:21, par Kb
𝐋𝐞 𝐜𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐮𝐧 « 𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐚𝐧 » 𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞
Jamie Dimon, directeur général de la plus grande banque américaine, JPMorgan Chase, a averti qu’un « ouragan » économique était sur le point de frapper les États-Unis en raison de la guerre en Ukraine et du resserrement de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
Il y a deux semaines, Dimon a averti que des « nuages de tempête » s’amoncelaient au-dessus de l’économie américaine. Il a durci son jugement mercredi lors d’une conférence sur les services financiers.
« J’ai dit que ce sont de nuages d’orage, c’est de gros nuages d’orage ici. C’est un ouragan. Cet ouragan est juste là, plus loin sur la route, et il vient vers nous », a-t-il déclaré.
« Nous ne savons simplement pas s’il s’agit d’un ouragan mineur ou de la super tempête Sandy [l’ouragan dévastateur de 2012]… Et vous feriez mieux de vous préparer », a-t-il déclaré aux investisseurs lors de la conférence.
la suite :
https://www.wsws.org/fr/articles/2022/06/03/amer-j03.html...
article de la presse économique :
https://investir.lesechos.fr/marches/actualites/le-patron-de-la-banque-jpmorgan-jamie-dimon-se-prepare-a-un-ouragan-2019662.php
https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/ouragan-economique-les-previsions-pessimistes-du-patron-de-la-banque-jp-morgan_AV-202206030428.html
31. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 12 juin 2022, 07:25, par Florent
L’Europe étranglée entre inflation et stagnation
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/05/31/la-zone-euro-au-bord-de-la-stagflation_6128397_3234.html
32. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 13 juin 2022, 07:49, par alain
Nouvelle crise des dettes souveraines
https://www.boursorama.com/videos/actualites/bce-une-nouvelle-crise-des-dettes-souveraines-en-zone-euro-4965a3bb0f6597c7c6ddf5803fd4c40f
33. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 21 juin 2022, 08:03, par Florent
Les marchés financiers s’affolent...
https://www.latribune.fr/economie/international/les-marches-financiers-affoles-par-la-hausse-des-taux-et-le-risque-de-recession-qui-l-accompagne-922240.html
34. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 21 juin 2022, 08:03, par alain
La France entre dans une économie de guerre
https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/macron-lindustrie-de-la-defense-doit-rentrer-dans-une-economie-de-guerre-1412963
35. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 4 juillet 2022, 06:34, par alain
La baisse de l’inflation n’est pas pour demain ni après-demain...
https://insolentiae.com/hallucinanate-lagarde-qui-previent-que-lere-de-linflation-ultra-basse-a-peu-de-chance-de-revenir-apres-avoir-dit-le-contraire/
36. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 19 juillet 2022, 06:31, par alain
La Banque d’Angleterre a déclaré que ce sera la crise la plus profonde depuis 300 ans, mais même cela est insuffisant. En réalité, la situation que nous vivons est unique.
Pour trouver quelque chose de semblable, il faudrait remonter à la peste noire du XIVe siècle, qui a anéanti entre un tiers et la moitié de la population de l’Europe.
Les gens pensaient que c’était la fin du monde. En réalité, ce n’était pas la fin du monde qui approchait, mais la disparition d’un système socio-économique particulier appelé féodalisme. Elle a marqué la montée d’une nouvelle classe révolutionnaire – la bourgeoisie naissante – et les débuts de la révolution bourgeoise en Hollande et en Angleterre. Il est vrai que la pandémie actuelle n’a pas encore atteint des niveaux aussi dramatiques. Mais en fin de compte, elle s’avérera encore plus dévastatrice.
La maladie continue son impitoyable progression, faisant des ravages dans les pays pauvres qui n’ont aucun moyen de la combattre. La pandémie est hors de contrôle, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique latine, mais aussi aux États-Unis. Elle n’a pas encore fait un nombre de décès aussi important que la peste noire. Mais le nombre de décès dans le monde atteindra plus d’un million d’ici la fin du mois de septembre. Au moment où nous écrivons ces lignes, le nombre total de cas confirmés s’élevait à plus de 24 millions dans le monde.
Malgré les bavardages de certains gouvernements, l’efficacité des vaccins n’a pas encore été prouvée. Comme toujours, ce sont les pauvres qui souffrent le plus. En montrant l’incapacité de l’économie de marché à apporter des solutions à ce qui est un problème de vie ou de mort pour des millions de personnes, le système capitaliste est de plus en plus remis en question.
Il faut souligner que cette pandémie n’est pas la cause de la crise économique actuelle. Celle-ci a commencé bien avant que l’on n’entende parler de ce coronavirus. Mais la pandémie a sans aucun doute compliqué la situation dans son ensemble et a aggravé la crise. Dialectiquement, la cause devient l’effet, et l’effet, à son tour, devient la cause.
https://www.marxist.com/un-monde-au-bord-du-gouffre-la-revolution-se-profile.htm
37. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 20 juillet 2022, 06:33, par lucifer
En étau entre inflation et récession, l’économie capitaliste tangue
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/07/18/prise-en-etau-entre-l-inflation-et-le-risque-de-recession-la-bce-va-relever-ses-taux_6135158_3234.html
Mais le fond du problème est ailleurs : ce ne sont que les effets des politiques de soutien folles d’une économie exsangue depuis 2008.
38. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 juillet 2022, 07:19, par lucifer
Un symptôme du naufrage du Titanic : les rats quittent le navire, les PDG en série qui démissionnent de manière surprenante
Volkswagen
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/volkswagen-plonge-dans-l-inconnue-apres-la-demission-surprise-de-son-pdg-926838.html
Société Générale
https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/societe-generale-pourquoi-frederic-oudea-va-quitter-la-banque-1407838
Evergrande
https://www.sudouest.fr/international/chine/chine-le-geant-immobilier-endette-evergrande-congedie-son-pdg-11746851.php
Jupiter Fund Management
https://www.capital.fr/economie-politique/un-pdg-dun-fonds-dinvestissement-demissionne-pour-aller-a-la-plage-et-ne-rien-faire-1440659
WWE
https://www.capital.fr/economie-politique/un-pdg-dun-fonds-dinvestissement-demissionne-pour-aller-a-la-plage-et-ne-rien-faire-1440659
Gap
https://www.capital.fr/economie-politique/un-pdg-dun-fonds-dinvestissement-demissionne-pour-aller-a-la-plage-et-ne-rien-faire-1440659
ASSU2000
https://www.20minutes.fr/faits_divers/3295791-20220524-accuse-viols-mineure-pdg-assu-2000-demissionne
Twitter
https://www.lalibre.be/economie/digital/2021/11/29/demission-du-pdg-de-twitter-je-pense-que-la-societe-est-prete-a-couper-le-cordon-avec-ses-fondateurs-EGP22G56C5DTDB6NFOC6SSZQH4/
Sephora
https://fr.fashionnetwork.com/news/Sephora-demission-surprise-de-martin-brok-son-pdg,1411772.html
Peloton
https://fr.fashionnetwork.com/news/Sephora-demission-surprise-de-martin-brok-son-pdg,1411772.html
Azure Power
https://energynews.pro/azure-power-annonce-la-demission-de-son-pdg/
Yandex
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2022/06/06/vise-par-des-sanctions-europeennes-le-pdg-de-yandex-demissionne_6129095_4408996.html
Generali
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/bataille-sur-l-avenir-du-pdg-de-generali-nouvelle-demission-au-ca-20220117
Under Armour
https://www.filieresport.com/economie/strategies/2022-05-25/demission-inattendue-du-pdg-d-under-armour
Vague de démissions de PDG
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/la-vague-de-demissions-de-pdg-pousse-trump-a-dissoudre-deux-conseils-economiques-747258.html
39. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 28 juillet 2022, 06:44, par Laurence
La FED essaie à tout prix de bloquer la montée irrésistible de l’inflation...
https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/la-fed-frappe-fort-pour-tenter-d-extirper-l-economie-americaine-de-l-inflation-3cbdec6330eddfe679e32c0d22944f48
40. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 2 août 2022, 08:51, par Florent
Niveau record de l’inflation en Europe et ce n’est pas fini malgré les mesures de la banque centrale
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/07/29/le-taux-d-inflation-annuel-de-la-zone-euro-atteint-un-niveau-record-en-juillet_6136574_3234.html
41. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 12 août 2022, 07:03, par Florent
« Sauver l’économie » : tel le mot d’ordre des gouvernements et organismes financiers internationaux. En France, le gouvernement a mis sur la table 45 milliards de soutien à la trésorerie des entreprises : suspension de 21 milliards de cotisations sociales, 12 milliards de report d’impôts sur les sociétés, 8 milliards de chômage partiel pour deux mois, 2 milliards pour les arrêts de travail, 1 milliard de taxe sur les salaires et 1 milliard pour le fonds de solidarité pour les indépendants. Par ailleurs, afin que les banques puissent accorder des crédits de trésorerie aux entreprises, l’État garantit les prêts à hauteur de 90 % pour un montant de 300 milliards d’euros. Enfin, devant la faillite évidente de certains secteurs économiques – immédiatement, les compagnies aériennes mais peut-être demain des banques ou des constructeurs automobiles – l’État laisse ouverte la possibilité de devenir majoritaire dans ces entreprises en les recapitalisant à bon compte car elles ne valent plus grand-chose.
Pour financer ces dépenses, l’État va devoir se financer sur les marchés. Et ceux-ci ne prêtaient déjà plus aux conditions d’hier. Alors que le taux de l’emprunt français à dix ans était négatif, d’environ - 0,5 %, le voici qui est repassé positif à 0,21 %. Le taux italien est brusquement monté de 1 % à 2,25 %. C’est pour éviter de retomber dans les pattes des marchés financiers et contenir les taux d’intérêt que la Banque centrale européenne achète massivement les emprunts des États de la zone euro. Dans la nuit du 18 au 19 mars, elle a rajouté 750 milliards aux 300 milliards déjà alloués, soit un total de 1050 milliards d’euros.
https://basta.media/crise-economique-capitalisme-chomage-PIB-Banques-centrales
Résultat : la faillite capitaliste…
https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/economie-les-faillites-d-entreprises-s-accelerent_5302729.html
https://www.wsws.org/fr/articles/2013/05/capi-m08.html
42. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 19 septembre 2022, 06:27, par Laurence
La Banque mondiale anticipe un effondrement économique mondial
https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/la-banque-mondiale-redoute-une-recession-generalisee-1788255
43. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 25 septembre 2022, 08:04, par Florent
Face au couple récession-inflation, le krach rampant se poursuit à Wall Street
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/09/24/face-au-couple-recession-inflation-le-krach-se-poursuit-a-wall-street_6142958_3234.html
44. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 5 mars, 05:36, par Laurence
Les prix des produits de première nécessité augmentent en flèche…
45. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 11 mars, 05:44, par Robert
Début d’une panique bancaire ?
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/11/la-fermeture-de-la-silicon-valley-bank-marque-la-plus-grosse-faillite-bancaire-depuis-la-crise-de-2008_6165027_3234.html
https://www.morningstar.fr/fr/news/232707/panique-bancaire-apr%C3%A8s-les-difficult%C3%A9s-de-lam%C3%A9ricaine-svb.aspx
https://icibeyrouth.com/economie/200018
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/bourse-les-banques-plongent-a-francfort-deutsche-bank-perd-pres-de-10-20230310
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/silicon-valley-bank-s-effondre-provoquant-la-plus-grosse-faillite-bancaire-aux-etats-unis-depuis-2008-1299723f7a8146c2e2db45309dc906ac
46. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 14 mars, 06:43, par Robert
Encore une faillite de banque américaine après la SVB…
Le Trésor américain a annoncé la fermeture de la banque Signature Bank dimanche, dans un contexte de turbulences pour le système bancaire américain.
Il s’agit de la troisième défaillance bancaire survenue aux États-Unis en quatre jours.
Après la faillite de Silvergate Bank et Silicon Valley Bank (SVB), les autorités américaines ont annoncé via un communiqué la fermeture d’office et à la surprise générale de Signature Bank, 21e banque américaine dont les actifs étaient estimés à 110 milliards de dollars fin 2022.
Sa défaillance est la troisième plus importante de l’histoire des États-Unis, derrière Silicon Valley Bank et Washington Mutual, en 2008. Afin de rassurer particuliers et entreprises, la Réserve fédérale (Fed), l’Agence de garantie des dépôts (FDIC) et le Trésor américain ont garanti que ses clients bénéficieront néanmoins du même dispositif exceptionnel que ceux de SVB. Ils pourront retirer la totalité de leurs dépôts malgré la défaillance des établissements. Une tentative pour rétablir la confiance des Américains dans leur système bancaire, mise à mal depuis quelques jours.
Le système bancaire américain a été effectivement saisi cette semaine de convulsions que personne n’avait vu venir, avec la mise en liquidation de Silvergate Bank mercredi soir, suivie de celle de Silicon Valley Bank. Victimes d’une vague de retraits précipités qui les ont rendus incapables d’honorer leurs engagements, ces deux banques, favorisées jusque-là par le milieu des cryptomonnaies et du secteur technologique, subissent par ailleurs le ralentissement de ces économies.
https://www.tf1info.fr/international/video-etats-unis-svb-signature-bank-defaillance-d-une-nouvelle-banque-aux-etats-unis-joe-biden-va-s-exprimer-2250792.html
Ce n’est pas une crise conjoncturelle mais la suite naturelle de la crise systémique de 2007, seulement retardée…
47. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 14 mars, 06:46, par alain
L’effondrement de la Silicon Valley Bank fait trembler la finance mondiale
https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/leffondrement-de-la-silicon-valley-bank-fait-trembler-la-finance-mondiale-1914430
48. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 14 mars, 06:47, par Laurence
Les superprofits, complètement artificiels, cachent une fin de règne…
https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/les-geants-du-cac-40-signent-une-annee-historique-malgre-la-russie-1913184
49. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 14 mars, 06:48, par lucifer
Les marchés financiers sont très inquiets
https://www.cnews.fr/monde/2023-03-10/economie-pourquoi-la-chute-de-cette-banque-americaine-inquiete-t-elle-les-marches
50. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 14 mars, 06:54, par Robert
Biden essaie de rassurer et d’éviter la panique bancaire mondiale en affirmant que les propriétaires de comptes en banque seront intégralement remboursés. Si d’autres banques suivent la chute, cela ne sera plus possible...
51. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mars, 07:27, par Robert
C’est le tour des banques suisses !!!
https://www.bfmtv.com/economie/international/apres-l-effondrement-de-son-titre-en-bourse-cr-dit-suisse-va-emprunter-jusqu-a-50-milliards-de-francs-suisses-a-la-banque-centrale_AD-202303160029.html
Les régulateurs suisses tentent d’apaiser la panique boursière après le plongeon de Credit Suisse, pilier de la finance mondiale
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/16/les-regulateurs-suisses-tentent-d-apaiser-la-panique-boursiere-apres-le-plongeon-de-credit-suisse-pilier-de-la-finance-mondiale_6165657_3234.html
52. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mars, 12:54, par Robert
La perspective d’une faillite fait trembler les banques européennes
https://www.leparisien.fr/economie/faillite-de-credit-suisse-la-perspective-qui-fait-trembler-les-banques-europeennes-15-03-2023-B2EPOH63WBAPDDFJINSIRRXHP4.php
53. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mars, 12:54, par Robert
BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole plongent, nouvelle déroute des banques en Bourse
https://www.moneyvox.fr/bourse/actualites/92176/bnp-paribas-societe-generale-credit-agricole-plongent-nouvelle-deroute-des-banques-en-bourse
54. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 16 mars, 12:55
Tout le travail fait depuis 2008 pour sauver les banques est annihilé ?
https://trends.levif.be/a-la-une/banque/sauvetage-des-banques-tout-le-travail-fait-depuis-2008-est-il-a-recommencer/
55. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 18 mars, 06:05, par Guillaume
Pour éviter une nouvelle faillite bancaire, onze banques américaines volent au secours de First Republic
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/pour-eviter-une-nouvelle-faillite-bancaire-onze-banques-americaines-volent-au-secours-de-first-republic-955588.html
56. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 19 mars, 06:18, par lucifer
Faillites bancaires : à Wall Street, la crise persiste malgré la multiplication des sauvetages
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/18/faillites-bancaires-a-wall-street-la-crise-persiste-malgre-la-multiplication-des-sauvetages_6165980_3234.html
57. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 19 mars, 06:19, par Guillaume
La chute de First Republic Bank, quatrième banque américaine en faillite, fait plier les indices
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/analyse-mi-seance-aof-wall-street-la-chute-de-first-republic-bank-fait-plier-les-indices-7cf0cf688862d7d7267cc558b2e6ae98
58. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 20 mars, 07:13, par alain
Semaine noire pour les banques européennes
https://www.capital.fr/entreprises-marches/semaine-noire-pour-les-banques-europeennes-1463312
59. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mars, 04:57, par lucifer
La FED essaie de naviguer entre récession et inflation et fait peur…
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/wall-street-flanche-apres-la-hausse-accommodante-de-la-fed-7f10334ba97f92cf14d337aff37aa423
60. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mars, 04:58, par alain
Une nouvelle banque américaine prend l’eau…
https://www.tradingsat.com/actualites/marches-financiers/pacwest-cette-nouvelle-banque-americaine-qui-inquiete-wall-street-1062001.html
61. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mars, 05:00, par Guillaume
Banques : la crainte d’une contagion au secteur persiste en Europe
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/20/la-crainte-d-une-contagion-au-secteur-bancaire-persiste-en-europe_6166222_3234.html
Le secteur bancaire inquiète toujours les marchés
https://www.agefi.fr/news/economie-marches/le-secteur-bancaire-inquiete-toujours-les-marches
62. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mars, 05:02, par Laurence
Silicon Valley Bank (SVB) était très dépendante des taux d’intérêts appliqués par la Fed : spécialisée dans les startups, ses clients étaient généralement d’autant mieux capitalisés que les politiques monétaires accommodantes leur assuraient un flux important d’argent frais. Ces montants étaient investis par SVB dans des titres et obligations de l’État américain (notamment pour des obligations légales), dont la valeur a progressivement diminué à mesure que la politique monétaire s’est faite moins souple et que l’inflation grimpait. D’un côté, les clients de SVB voyaient leurs entrées se tarir et de l’autre, la valorisation des obligations garantissant les dépôts diminuait ce qui a rapidement conduit la banque à devoir se recapitaliser.
https://www.contrepoints.org/2023/03/13/452369-silicon-valley-bank-silvergate-signature-bank-du-rififi-chez-les-bancaires
63. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 24 mars, 13:14, par Alex
Oui, ce qui inquiétant pour eux, c’est que les "titres et obligations de l’État américain", ce qu’il y a a priori de plus sûr, peuvent devenir des actifs pourris.
64. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 25 mars, 05:15, par Laurence
Les banques rechutent et font chuter les bourses
https://www.boursorama.com/bourse/actualites/nouvelle-chute-des-banques-la-crainte-d-une-contagion-au-secteur-s-accroit-9506561775344cd7bd9b83761c898d5e
https://www.tradingsat.com/actualites/informations-societes/nouveau-coup-de-tabac-sur-les-banques-europeennes-avec-deutsche-bank-qui-plonge-1062251.html
https://www.capital.fr/entreprises-marches/deutsche-bank-plonge-en-bourse-societe-generale-et-bnp-paribas-emportees-dans-son-sillage-1463870
65. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 26 mars, 05:50, par alain
Allemagne : la Deutsche Bank inquiète à son tour après une chute à la bourse de Francfort
https://www.rfi.fr/fr/%C3%A9conomie/20230324-allemagne-la-deutsche-bank-inqui%C3%A8te-%C3%A0-son-tour-apr%C3%A8s-une-chute-%C3%A0-la-bourse-de-francfort
66. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 26 mars, 05:50, par lucifer
La faillite de Silicon Valley Bank et les déboires de Credit suisse font resurgir les spectres d’une crise bancaire généralisée et des « bank runs ».
https://www.lepoint.fr/editos-du-point/pierre-antoine-delhommais/gare-a-la-ruee-dans-les-banques-24-03-2023-2513352_493.php#11
67. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 26 mars, 05:51, par Guillaume
Après Silvergate, SVB, Signature, First Republic…
La liste des banques américaines qui chutent s’allonge avec PacWest
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/usa-la-banque-regionale-pacwest-dit-avoir-perdu-20-de-ses-depots-chute-a-wall-street-20230322
Mais aussi avec Western Alliance Bancorp…
En Europe, Deutsche Bank, Société Générale et BNP sont aussi dans le viseur…
https://fr.euronews.com/2023/03/25/deutsche-bank-bouscule-les-bourse-europeennes-wall-street-se-reprend
Et aussi en Suisse : BNS et UBS…
68. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 26 mars, 05:52, par Laurence
La valeur de marché des actifs bancaires américains est inférieure de 2 000 milliards $ à leur valeur comptable
Un document publié par quatre universitaires américains spécialisés dans la finance illustre le trou noir de 2 000 milliards $ dans le système bancaire américain : "Monetary Tightening and U.S. Bank Fragility in 2023 : Mark-to-Market Losses and Uninsured Depositor Runs ?" ("Resserrement monétaire et fragilité des banques américaines en 2023 : pertes sur le marché et ruées sur les dépôts non assurés) - 13 mars 2023 - Erica Jiang, Gregor Matvos, Tomasz Piskorski et Amit Seru.
"Nous fournissons une analyse simple de l’exposition des actifs des banques américaines à une récente hausse des taux d’intérêt, avec des implications pour la stabilité financière. La valeur de marché des actifs du système bancaire américain est inférieure de 2 000 milliards $ à la valeur comptable des actifs. Nous montrons que ces pertes, combinées à une part importante de dépôts non assurés dans certaines banques américaines, peuvent nuire à leur stabilité. Même si seulement la moitié des déposants non assurés décident de se retirer, près de 190 banques sont exposées à un risque potentiel de perte de valeur, même pour les déposants assurés, avec potentiellement 300 milliards de dollars de dépôts assurés en danger. Si les retraits de dépôts non assurés provoquent des ventes forcées, même de faible ampleur, un nombre beaucoup plus important de banques sont menacées. Dans l’ensemble, ces calculs suggèrent que les récentes baisses de la valeur des actifs bancaires ont considérablement accru la fragilité du système bancaire américain face aux retraits des déposants non assurés."
Il est essentiel de comprendre que la "perte" de 2 000 milliards $ n’est due qu’à la hausse des taux d’intérêt. Lorsque l’économie américaine sera sous pression, le portefeuille de prêts des banques se détériorera considérablement et les créances douteuses augmenteront de manière exponentielle. Le total des actifs des banques commerciales américaines s’élevant à 23 000 milliards $, je serais surpris que 50% d’entre eux soient remboursés ou récupérables lors de la prochaine crise.
Les risques susmentionnés ne concernent que le système financier américain. Le système mondial ne sera pas mieux loti, l’UE étant soumise à des pressions massives, en partie à cause des sanctions occidentales à l’encontre de la Russie. Pratiquement toutes les grandes économies du monde sont dans une situation désastreuse.
https://or.fr/actualites/systeme-financier-phase-terminale-3045
69. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 29 mars, 05:56, par Laurence
Plongée des banques européennes…
https://www.capital.fr/entreprises-marches/deutsche-bank-plonge-en-bourse-societe-generale-et-bnp-paribas-emportees-dans-son-sillage-1463870
70. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 30 mars, 06:38, par lucifer
La tempête bancaire n’a pas fini de souffler
https://investir.lesechos.fr/marches-indices/les-points-bourse/la-tempete-bancaire-na-pas-fini-de-souffler-1919960
71. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 29 avril, 05:31, par Laurence
Prises entre récession et inflation, les politiques des banques centrales sont coincées.
https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/la-croissance-atone-et-l-inflation-elevee-laissent-peu-de-choix-a-la-banque-centrale-europeenne-cb057d59a50231942155eb8c3f9881cd
72. Maintenir sous perfusion le capitalisme en survie artificielle est devenu déraisonnable même du point de vue capitaliste, 5 novembre, 05:25, par Laurence
.
.
Les banques menacent encore de chuter
https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/societe-generale-reste-plombee-par-les-difficultes-en-banque-de-detail-2026593
https://www.lecho.be/les-marches/actu/general/le-secteur-bancaire-sous-la-menace-d-une-chute-en-bourse-a-court-terme/10494219.html
https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-crise-des-banques-est-loin-detre-finie-et-la-france-est-en-ebullition-gare-au-choc-1463899
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/qu-est-ce-que-le-bank-run-cette-menace-qui-effraie-les-banques-20230317
https://insolentiae.com/les-depots-bancaires-totaux-en-chute-aux-etats-unis-ledito-de-charles-sannat/?doing_wp_cron=1699157866.9389779567718505859375
Les banques ne peuvent pas rendre les milliards à l’Etat
https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/17/aux-etats-unis-la-fed-prete-12-milliards-de-dollars-au-secteur-bancaire-pour-eviter-la-crise_6165807_3234.html
Les banques peuvent-elles vous prendre votre argent ?
https://www.capital.fr/votre-argent/les-banques-peuvent-elles-vraiment-vous-piquer-votre-argent-en-cas-de-faillite-1144299
https://www.quechoisir.org/actualite-crise-votre-banque-peut-elle-se-servir-sur-vos-comptes-en-cas-de-difficultes-n88618/