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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

dimanche 15 février 2009, par Robert Paris

Jean-Paul Auffray, dans « L’atome »

« Selon la mécanique quantique, les rayons émis (ou absorbés) par un atome sont composés de photons dotés, en tant que tels, de deux caractéristiques fondamentales : ils se déplacent à la vitesse de la lumière (égale à 300.000 kilomètres par seconde environ) et ils transportent chacun un paquet d’énergie égale à la constante de Planck h multiplié par la fréquence µ du rayonnement considéré.
Les choses de présentent différemment dans notre représentation. Les rayons sont composés de quanta d’action (l’action a la dimension d’une énergie multipliée par un temps) auxquels ni l’une ni l’autre des deux contraintes citées ci-dessus (vitesse c et paquet d’énergie hµ) n’est applicable : les quanta peuvent aller soit moins vite soit plus vite que la lumière et peuvent transporter une énergie soit plus petite soit plus grande que hµ. Y a-t-il une chance concrète de pouvoir trancher entre les deux points de vue, en observant par exemple un quantum allant plus vite que la lumière et transportant une énergie plus grande que hµ ?

Selon notre point de vue, lorsqu’un quantum rencontre sur son chemin un passage étroit – un tunnel – dont la largeur ou le diamètre est du même ordre de grandeur que la longueur de son pas, il « allonge le pas » pour traverser cet obstacle, ce qui a pour effet de le faire émerger de l’autre côté du piège plus tôt que prévu il traverse donc le tunnel à une vitesse « supraluminique ». Ce phénomène remarquable est connu en mécanique quantique sous le nom d’ « effet tunnel ». Au cours des années 90, plusieurs groupes de chercheurs (en particulier Anedio Ranfani à Florence, Günther Nimtz à Cologne et Raymond Chiao à Berkeley) l’ont étudié au moyen de techniques très sophistiquées. Ainsi l’équipe de Cologne a mesuré des vitesses cinq fois supérieures à c !
Le phénomène fascine … et embarrasse les physiciens : c’est qu’ils sont habitués à penser que « rien ne peut aller plus vite que la lumière ». Pour expliquer les vitesses supraluminiques, la mécanique quantique a recours à une représentation du photon qui en fait un « paquet d’ondes », véritable composite … d’éléments individuels ressemblant étrangement à nos quanta d’action ! En un mot, elle utilise de facto la représentation ci-dessus.

Aephraïm Steinberg à Berkeley a étudié de près le comportement d’un paquet d’ondes traversant un tunnel constitué dans ses expériences par une couche mince réfléchissante que seul un quantum sur cent en moyenne parvenait à traverser. Ses conclusions confirment qu’en traversant le tunnel le paquet « voyage plus vite que la lumière », même s’il conclut également qu’ « on ne peut pas exploiter cet effet pour transférer de l’énergie à une vitesse moyenne supérieure à celle de la lumière. » A quoi cela tient-il ?

Les calculs de Richard Feynman montrent que sur de longues distances seuls les quanta qui se déplacent à la vitesse de la lumière parviennent à demeurer en phase les uns avec les autres et sont donc observables (sont « réels » au sens donné par les spécialistes). C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide. Mais cette restriction ne s’applique pas sur de courtes distances, à l’échelle interne de l’atome par exemple. »

vitesse supraluminique

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Sur wikipedia :

La vitesse de la lumière dans le vide

D’après les théories de la physique moderne, et notamment les équations de Maxwell, la lumière visible et toutes les ondes électromagnétiques ont une vitesse constante dans le vide, la vitesse de la lumière.

On la considère donc comme une constante physique notée c (du latin celeritas, « vitesse »). Mais elle n’est pas seulement constante (pense-t-on) en tous les endroits (et à tous les âges) de l’univers (principes cosmologiques faible et fort, respectivement) ; elle l’est également d’un repère inertiel à un autre (principe d’équivalence restreint). En d’autres termes : quel que soit le repère inertiel de référence d’un observateur ou la vitesse de l’objet émettant la lumière, tout observateur obtiendra la même mesure.

Aucun objet matériel ni aucun signal ne peut voyager plus vite que c dans le cadre des théories existantes. Seuls peuvent « voyager » plus vite que c (à vitesse dite supraluminique) des fronts virtuels (l’ombre portée à grande distance d’un objet en rotation, par exemple), et on ne peut pas s’en servir pour transmettre un signal, ni de l’énergie. Ce ne sont en fait même pas des objets à proprement parler.

L’expérience d’Alain Aspect montre qu’un observateur peut être informé instantanément, par une mesure sur une particule proche, de l’état d’une particule lointaine, mais il n’y a pas là non plus de réelle transmission de signal.

La vitesse de la lumière dans le vide est notée c :

c = 299 792 458 mètres par seconde

Effets supraluminiques

En mécanique quantique, il existe une collection d’effets qui explorent les limites de la notion de vitesse limite indépassable. Les expériences associées à ces effets sont plus subtiles à interpréter. Cela dit, on démontre que si certains phénomènes donnent l’impression d’impliquer une propagation instantanée, voire remontant le temps, aucun de ces phénomènes ne permet de transporter de l’énergie ou de l’information.

Effet Hartman

Un photon ou un électron traversant par effet tunnel une barrière quantique peut manifester un délai de traversée plus court que celui mis par la lumière pour une distance équivalente, ce temps étant évalué par l’observation du sommet du paquet d’ondes correspondant, avant et après la barrière. Compte tenu de l’épaisseur de la barrière tunnel, le sommet du paquet d’onde est réduit, et semble être passé plus vite que la vitesse de la lumière. Ce phénomène est appelé effet Hartman (ou effet Hartman-Fletcher). Les explications de ce phénomène dans le cadre de la mécanique quantique s’avèrent interdire son utilisation hypothétique pour le transport d’information ou d’énergie supraluminique.

Effet Casimir

L’effet Casimir est un effet visible à très petite échelle, mais tout de même mesurable et qui correspond à une pression[4] sur des plaques conductrices exercée par le vide quantique situé entre elles. Ainsi qu’il est décrit en théorie quantique des champs le vide quantique est le lieu de création et d’annihilation à tout instant de nombreuses particules virtuelles. L’existence de conditions au bord différentes pour le vide extérieur et intérieur aux plaques implique alors une différence d’énergie entre les deux qui est la cause de la pression mesurée sur les plaques.

Les particules virtuelles sont par définition en dehors de leur couche de masse, ce qui signifie qu’elles ne satisfont pas à la relation E2 = p2c2 + m2c4, et sont par définition inobservables individuellement bien que leur contribution collective soit mesurable comme dans l’effet Casimir et plus généralement dans toutes les corrections quantiques aux observables classiques d’une théorie quantique des champs.

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La vitesse de la lumière pourrait être variable, ralentie par les fluctuations du vide quand elle est très énergétique (on sait que tout comme une corde, plus l’énergie est grande, plus la longueur d’onde est courte : plus c’est lourd plus c’est petit comme le noyau est plus petit que l’électron ! Plus c’est petit, plus l’énergie est grande, plus le temps est court et plus les fluctuations du vide sont assez importantes pour dévier les photons, qui ralentissent donc et s’embourbent).

En étudiant en 2005 la galaxie Markarian 501, les astrophysiciens ont fait une bien curieuse découverte : des photons semblent se déplacer à des vitesses différentes ! Selon les plus audacieux d’entre-eux, il pourrait s’agir d’une des toutes premières preuves en faveur de certaines théories de gravitation quantique comme la Loop Quantum Gravity ou la théorie des supercordes.

La taille de la région d’où sont originaires ces éruptions ne semble pas excéder la distance que parcourt la lumière en trois secondes et chacune d’entre elles a produit des photons gamma dont les énergies s’échelonnent entre 100 Gev et 10 Tev, et ce, pendant un temps estimé à 2 minutes à peu près. Là où les choses commencent à devenir très intéressantes, c’est que les photons gamma les plus énergétiques sont arrivés sur Terre avec 4 minutes de retard environ sur les moins énergétiques !

En particulier, John Wheeler et Stephen Hawking ont défendu depuis longtemps l’idée qu’en raison des lois de la mécanique quantique, si l’espace-temps semble lisse et calme à notre échelle, il n’en est pas de même lorsqu’on le considère à des échelles de distances bien plus petites qu’un milliardième de la taille d’un noyau d’atome. Si l’on se donne une image de fluide pour décrire ce qui se passe à une échelle de 10-35 m, la longueur de Planck, on obtient celle d’un liquide en ébullition, très turbulent. Les lois de la gravitation quantique impliquent en effet alors une structure très similaire à celle de l’écume d’une vague se brisant sur un rocher. C’est ce que John Wheeler a justement baptisé en anglais la « foam like structure » de l’espace-temps.

Une théorie quantique du champ de gravitation doit donc elle aussi conduire à des fluctuations quantiques violentes, mais transitoires, de la structure de l’espace-temps avec apparition temporaire de trous de vers et de trous noirs virtuels. Or, plus un photon est énergétique, plus sa longueur d’onde est courte. Ce qui veut dire qu’il sera d’autant plus sujet à être affecté par la structure microscopique de l’espace-temps. Plus cette longueur sera courte, plus les fluctuations conduisant à l’apparition de mini trous noirs virtuels modifieront sa trajectoire dans l’espace-temps.

Une structure discrète semble alors émerger dans certains cas, exactement comme le prédisent les théoriciens de la Loop Quantum Gravity. Les deux approches sont donc peut-être complémentaires pour décrire l’effet de la structure quantique de l’espace-temps sur la propagation des photons. De fait, ces deux approches pour la gravitation quantique que sont la théorie des cordes et la LQG, conduisent à des formules similaires pour décrire cet effet.

Comment un observateur se déplaçant à la vitesse de la lumière (aux côtés du photon lumineux) voit-il le monde ? ou le paradoxe de la relativité restreinte

Que savons-nous sur la lumière ?

Un photon, c’est quoi ?!!!

L’effet tunnel, plus rapide que la lumière

La réduction du paquet d’ondes, plus rapide que la lumière

Messages

  • Lévy-Leblond et Balibar dans « Quantiques » : « Un quanton virtuel, médiateur quantique d’une interaction, se propage à une vitesse supérieure à celle de la lumière. »

  • — -Bonjour.
    — -Le problème de cette vitesse de la lumière dans le vide, est que l’on nous dit pas de quel vide il s’agit !!!
    Le vide du quantique proche de la matière, le vide à 100 km au dessus de l’atmosphère terrestre, le vide entre terre lune, le vide entre terre soleil, le vide au fin fond du système solaire, vers pluton, le vide hors système solaire, le vide hors de notre galaxie, le vide hors de la structure filamenteuse où sont regroupés les galaxies, et enfin le vrai vide sans matière au centre de ces bulles de vide sans matière, hors filaments. Et bien tous ces vides sont des vides différents !!! C’est même une aberration de définir une constante de célérité dans un vide non défini.

    — -Ce nombre de 299|792|458 mètres par seconde avec 9 chiffres significatifs, semble pour ma part assez léger en précision, car si une erreur de 50cm, et bien pour 1 objet situé a 1 milliard d’année lumière de nous, aura 1 erreur de : :
    .5m×3600×24×365×10E9=15|768|000m×10E9=15|768 mille milliards de kilomètres. Le 10E9 étant le milliard d’année en vitesse lumière nous séparant de l’objet, et en arrondissant cette valeur on a 15 millions de milliard de kilomètres, et cette valeur de distance est en gros de 10 fois plus grande que la distance terre-soleil, ce qui n’est pas rien !!!

    — -Comment calcul t-on cette vitesse théorique de la lumière dans le vide loin de tout objets massifs, sachant que nous sommes sur terre, et que même, en essayant de sortir du système solaire, ce qui semble déjà très difficile, et bien nous serions toujours dans un environnement de notre galaxie ? Quel procédé pour pouvoir calculer cette vitesse théorique ? Et pour le dire plus simplement, comment calcule t-on cette vitesse théorique de la lumière dans le vide dit absolu ? D’ailleurs ce terme d’absolu est aussi une stupidité, car un vide absolu, comme un rien absolu encore un néant absolu, ne valent strictement rien dire, mais c’est la déformation du langage qui nous oblige à écrire ou parler comme cela. Cela me fait penser à un plein absolu qui définirait une continuité et non une discontinuité (ce qui n’existe pas)...

    — -Si je prend le début de la définition de la "VITESSE DE LA LIMIÈRE" dans l’outil de Wikipédia à l’adresse : : "https://fr.wikipedia.org/wiki/Vitesse_de_la_lumi%C3%A8re : : La vitesse de la lumière dans le vide, communément notée c pour « célérité »[2],[3], est une constante physique universelle et un invariant relativiste (vitesse limite des théories relativistes), importante dans de nombreux domaines de la physique. Sa valeur exacte est 299 792 458 m/s (environ 3 × 108 m/s ou 300 000 km/s). Selon la relativité restreinte, la vitesse de la lumière dans le vide est la vitesse maximale que peuvent atteindre toutes formes de matière ou d’information dans l’univers."
    Et bien cette définition n’est pas claire, car incomplète. En regardant sur le lien de "célérité" de cet outil, et bien pas plus d’information sur cette vitesse et sur le vide.

    — -Si je prend le début de la définition du "VIDE PHYSIQUE" dans l’outil de Wikipédia à l’adresse : : "https://fr.wikipedia.org/wiki/Vide_(physique) : : En physique, le vide est l’absence de toute matière. Le vide absolu est donc un milieu statistiquement sans particules élémentaires. Un espace dans lequel les molécules sont fortement raréfiées peut donc être retenu comme une première définition du vide approximatif. Ainsi, il suffit d’utiliser une pompe à vide pour extraire l’air d’une enceinte étanche pour y « faire le vide ». La qualité du vide est alors définie par la pression d’air résiduelle, généralement exprimée en pascal, en millibar ou en torr. Seul un vide partiel peut être atteint avec un tel processus, quelle que soit la température."
    Et bien cette définition n’est pas claire non plus, car incomplète et même fausse, car dans la première phrase "absence de toute matière", et dans la seconde "un espace dans lequel les molécules sont fortement raréfiées", et bien ces phrases sont totalement contradictoires, et ne veulent strictement rien dire, car avons fait des expérience hors de notre terre pour évaluer des densités de différents vides ? Les estimations ne sont pas des réalités !!!

    — -Bien sûr ces définitions sont très mal définies, car incompréhensives au sens physique, et de plus aucun moyen de savoir, à quoi correspond ce vide dit absolue, comme aussi comment est calculé cette vitesse de la lumière dans un vide que nous ne pouvons pas avoir accès, mais qui est d’après Wikipédia, un vide de l’espace avec des résidus de molécules. Si cela était vrai, et bien nous ne percevrions pas la lumière des galaxies les plus lointaines, car forcément les photons émis seraient stoppés ou même redirigés par ces quelques molécules et résidus d’atome dans ce faux vide qui est soit disant vide. Des sites qui se disent scientifiques, ne le sont pas toujours !!!

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • De mon point de vue, on nous dit de quel vide il s’agit : le vide à proximité de matière.

      Mais il ne s’agit pas du vide loin de la matière, ni des niveaux d’énergie faibles du vide quantique, ni de ses sous-niveaux, comme le virtuel de virtuel !!!

      Mais l’essentiel est ailleurs, le nom "vitesse" de la lumière est erroné car il ne s’agit pas ici de déplacement d’objet ni matériel ni bosonique. Il ne s’agit pas exactement d’un mouvement.

      N’oublions pas que la lumière, ce sont des couples particule-antiparticule virtuels dont la forme se conserve mais pas les objets eux-mêmes puisque... ce ne sont pas des objets !!!

  • — -Bonjour.

    — -Merci de votre retour, sur le sujet de la vitesse de la lumière, mais surtout de son vide qui était mon interrogation.

    — -Vous dites "De mon point de vue, on nous dit de quel vide il s’agit : le vide à proximité de matière." Et bien je pense que M.Einstein disait exactement le contraire, et que personne n’a rien compris, car je l’ai lu dans l’un de vos articles, où justement j’ai eu des échanges avec vous, car il parle ce grand M.Einstein de 2 types de temps bien différents, qui est l’un pour la physique et que l’on peut dire absolu, et qui est donc fait pour les vraies mesures physiques, hors de tous objets proche et ne pouvant être perturbé, et des temps locaux, qui ne peuvent pas être une vraie vérité objective même si c’est la même réalité, car chaque référentiel aura son propre temps. Je parle temps car la vitesse est associée au temps.

    — -Exemple : : Prenons le point A isolé dans l’espace du cosmos et hors de tous objets proche, et bien ce point aura un temps physique "normal" car rien ne perturbe cet environnement, et son temps local est exactement le même que son temps physique et ce référentiel A définit aussi un vraie référence spéciale car il ne bouge pas et ne possède pas de masse, et donc il est invariant, car rien ne le perturbe. On ne peut donc pas déformer son espace et par la même son temps qui est associé à cet Éther de l’espace. Imaginons que ce référentiel y figure un petit électron et peut importe ce qu’est la définition physique de cet électron. Pour etre encore plus cohérent, ce Référentiel est le centre de l’une des bulles de vide sans matière, et où la vraie matière vient se mettre en filet sur cette surface virtuelle.

    — -Prenons maintenant un point B qui est un référentiel en mouvement et qui possède une certaine masse de l’ordre d’une planète ou d’une étoile, et prenons comme exemple notre terre par exemple où justement toutes les mesures sont faites. Pour le dire encore autrement ce référentiel B est notre environnement où la seconde vaut telle valeur, mais ne correspond en rien avec la seconde du point A où ce référentiel A n’a ni masse et n’est pas en mouvement. Notre temps du point B est spécifique par rapport à ce point B car il est un référentiel totalement différent du référentiel A car son temps est local et ne peut pas être le temps physique dont parle M.Einstein, car ce référentiel B est en mouvement mais surtout ce référentiel B possède une masse importante. Nous sommes donc bien sur terre avec sa belle seconde, et cette seconde est dépendante de ce référentiel qui est le notre et qui est B. Toutes les mesures que nous faisons sont en rapport avec notre référentiel B donnant une certaine valeur à cette seconde, et par la même une certaine vitesse de la lumière, car cette notion de vitesse est un rapport entre distance et de notre temps local de notre référentiel B. J’espère que jusqu’ici tout est clair, car nous avons notre propre seconde, mais dépendant de notre référentiel B.

    — -Maintenant construisons un 3e référentiel C, qui aura des caractéristiques très différentes des référentiels A et B , et pour se faire prenons un extrême comme étant proche d’un trou noir, et où la masse est des milliards de fois celle de notre petite terre. Dans ce référentiel C le temps est encore local, mais sans rapport avec les référentiels A et B. Et si on se trouve proche de ce référentiel C, et bien tout se passe normalement, car ma montre semble trotter normalement, sauf que de ma position de ce référentiel C en vu du référentiel B, est que tout va très très vite et même énormément vite, comme si le temps du référentiel B était différent de celui du référentiel C où je me trouve. Si ce référentiel C regarde vers le référentiel A, cela est encore pire, malgré qu’il n’y ait qu’un petit électron seul et unique à voir. Ceci est imagé bien sûr, et même un peu bébête, mais c’est par la simplicité que l’on explique mieux les choses. Donc du référentiel C en regardant les référentiels B et A tout semble agité et aller très vite, sauf que dans l’environnent de C tout est normal.

    — -Maintenant revenons sur terre et donc dans notre référentiel B, mais regardons coté référentiel C, et bien nous verrions par imagination des événements presque arrêtés, comme si le temps du référentiel C ne s’écoulait pas, ce qui est exactement l’inverse quand nous étions proche du référentiel C. Maintenant regardons le référentiel A, où seul un petit électron existe, et bien nous serions surpris, car le temps de ce référentiel A est plus rapide que le notre, comme si cet électron était encore plus agité que nos électrons sur terre.

    — -Résumé et conclusion de ce récit NEUNEU sur les 3 référentiels : : Comme la vitesse est un rapport entre une distance et un temps conventionné, que les distances ne bougent comme on essai de l’interpréter comme cela, que la vitesse de la lumière est soit disant une constante, et que fonction où je me trouve sur l’un de ces 3 référentiels le temps où je suis me semble toujours normal, mais quand regardant les autres référentiels à partir d’un référentiel donné, que ces vitesses apparentes changes pour les référentiels regardés, ceci veut dire avec la plus grande affirmation, que la vitesse de la lumière n’est pas une constante, mais simplement une variable. Ce que M.Einstein à voulu exprimé par ces petites phrases non développées d ’ailleurs, et que c’est à partir d’un référentiel isolé et donc d’un temps non déformé, ce qu’il appel un temps pour la physique, comme aussi un Éther de l’espace non déformé, qu’il faille mesurer le temps comme aussi les vitesses, car ce référentiel A est stable. Donc les calculs des physiques devraient s’appuyer sur un temps qui n’est pas le notre sur terre correspondant au référentiel B, mais tout devrait être calculé fonction de A, car A est une vraie référence indéformable et stable car sans déformation, tandis que B et C sont déformés, et correspondent à des temps locaux. Notre impression ne veut rien dire, car nous sommes dans un référentiel déformé, où le temps est ce qu’il est, mais n’est pas une référence pour autant.

    — -Pour le redire différemment le temps est associé à l’espace, d’où cette expression espace-temps, mais ce n’est pas l’espace qui se déforme mais son contenu, par le biais des objet qui y figurent même en mouvement et fonction des masses de ces objets. Donc notre temps sur terre n’est pas une vrai référence, car la masse de la terre déforme en permanence le contenu de l’espace, et nous donne une valeur du temps qui n’est pas celle de la référence dont parle M.Einstein en disant un temps physique.

    — -Comme tous ces physiciens ne parlent QUE du quantique, pensant que l’on peut résoudre tout les problèmes avec cette physique, et bien l’énergie du ce soit disant vide comme les particules virtuelles de ce monde quantique, ne sont pas l’Éther de M.Einstein, et ce n’est pas la matière ou le virtuel qui défissent l’Éther et le temps !!!

    — -Si en physique on n’utilise pas ce "temps physique" de référence dont parle M.Einstein, et bien je tombe sur le cul, mais cela n’en m’empêche pas à continuer à vous lire, et il va suivre un complément sur votre article sur cette vitesse.

    Bonne fin de journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • — -Bonjour.

    — -Parlons du contenu de l’article : :

    — -Ce que dit ce M. Jean-Paul AUFFRAY, dans "L’atome", au début de votre article, est pour ma part légèrement faux, même si son récit n’est que le rapport des constations d’expérience sur cet effet tunnel, et où cette vitesse de lumière supraluminique est constatée. De dépasser 5 fois la vitesse la lumière n’a rien d’étonnant pour ma part, sachant de plus que c’est la même lumière et donc les mêmes photons, qui soient passent dans un tunnel adapté ou hors de ce tunnel, et il n’est pas utile de faire porter cela à la mécanique quantique, car des expériences pourraient être faites dans le macroscopique et à notre échelle. La quantique est sans rapport avec ce constat qui paraît stupéfiant par rapport aux dites constantes ne pouvant être dépassées. Dès que des anormalités sont constatées, et bien on met sur le dos de la quantique, ces effets non compris, et c’est pour cela que je dis que c’est légèrement faux, car l’expérience est une chose, et l’interprétation est autre chose, car déjà des individus différents pourraient interpréter différemment.

    — -D’ailleurs de ce que nous connaissons des expériences de physique, ne sont toujours que des citations et des rapports plus ou moins condensés et même mal rapportés, mais jamais les vraies conditions des expériences elles-mêmes et tout ce qui va avec, car ce qui est rapporté, n’est pas le vrai rapport de l’expérience, mais un condensé plus ou moins adapté et enjolivé par l’écriture, et qui peut être faussé par l’interprétation et qui donne déjà des faussetés, Au lieu de dire "Selon notre point de vue" (car on ne connaît pas les autres personnes ayant rapportées) ou encore "dont la largeur ou le diamètre est du même ordre de grandeur que la longueur de son pas" car on ne sait pas de quoi on parle, et encore avant "les quanta peuvent aller soit moins vite soit plus vite que la lumière et peuvent transporter une énergie soit plus petite soit plus grande que hµ", et bien dans cette dernière phrase c’est déjà une interprétation possible, mais qui ne correspond en rien à une vraie réalité, et aux conditions de l’expérience, car qu’elle est la longueur du tunnel, et est-il circulaire ou non, si non qu’elle dimensions de fente ? La lumière de test est-elle polarisée ou non, c’est à dire circulaire/elliptique ou autre. Avant de donner une interprétation quelconque, on devrait déjà définir les conditions de l’expérience, mais le problème de ces physiques est que nous n’avons jamais accès aux vraies résultats d’expériences et ses conditions, mais toujours d’interprétations de résultats, et qui forcément fausse la donne et la compréhension. Le commentaire "Le phénomène fascine... et embarrasse les physiciens" est sans rapport avec la compréhension et l’interprétation de l’expérience pour d’autres personnes, car quand on regarde le nombre de citations de personnes concernant la pensée et les idées de M.Einstein, et bien c’est plus que ce Monsieur aurait pu faire, et de plus quelque fois, les réinterprétations sont totalement fausses.

    — -Que l’on expose déjà des faits et les conditions de l’expérience, avant de les interpréter, car pour d’autres personnes l’interprétation serait peut être différente que ce que l’on essaie de nous expliquer. Si je dis du point A au point B il y a telle distance qui est comprise à vol d’oiseau et que on doit parcourir, mais que pour parcourir cette distance il faille monter et descendre des talus, et bien la distance dont on parle est faussée, car si l’on parcours cette distance sur un support donné non plan, la distance serra autre. En continuant par une mauvaise crique, qui est donc négative, et bien ce commentaire "On ne peut pas exploiter cet effet pour transférer de l’énergie à une vitesse moyenne supérieure à celle de la lumière", n’est pas de l’ordre de l’expérience elle-même. Et pour terminer "C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide". Et bien non la vitesse de la lumière n’est pas une constante, car déjà on vient de dire exactement le contraire, car si dans le tunnel elle a une certaine vitesse et hors tunnel la vitesse est dite normale, c’est que le vide du tunnel n’est pas le même vide que hors tunnel. Au lieu de s’aventurer avec des histoires de quanta quantum et à petite échelle, et bien d’autres solutions existent sans rapport avec la mécanique quantique.

    — -Le but de mes critiques n’est pas de dénoncer systématiquement en mal, car je serais alors stupide et mauvais, mais de dire ce qui est, c’est à dire beaucoup de personnes scientifiques ou non, se prononcent sur des notions ou faits, sans même bien énumérer ce que sont ces faits, et que leur avis est difficile à comprendre, si le contexte est mal relaté.

    — -Comme la lumière n’est pas détectable transversalement, on ne peut rien dire sur son parcours, car les seuls tests sont fait frontalement, et quand les tests sont fait, les photons ne poursuivent pas leur chemin. En d’autres termes, un seul et unique photon ne peut être détecté que par un seul et unique observateur, ou une seule et unique machine.

    — -Pour contredire ce que dit Wikipédia dans l’article, et bien si on peu largement dépasser la vitesse de la lumière, et c’est justement elle-même qui peut se propager plus vite mais dans des conditions particulières, que dans celle du vide, dont ce site est incapable de non donner plus d’information sur soit disant vide absolu...

    — -Dans effet HARTMAN et cette phrase "Compte tenu de l’épaisseur de la barrière tunnel". Et bien pas clair car un tunnel est en fait un trou, un couloir, un passage entouré, et ces notions n’ont pas de barrière, car justement donnent un certain passage sans obstacle, car cela ne serait plus un tunnel, ou alors un tunnel fermé ou bouché...

    — -Citation de l’auteur lui-même de l’article sans doute : : "Une théorie quantique du champ de gravitation doit donc elle aussi conduire à des fluctuations quantiques violentes, mais transitoires, de la structure de l’espace-temps avec apparition temporaire de trous de vers et de trous noirs virtuels." Et bien pour ma part, les trous de vers existent à toutes les échelles possibles et inimaginables, car qu’est-ce qu’un trou de vers ? Et bien un trou de vers n’est simplement qu’un couloir unique reliant non virtuellement deux objets entre eux, et que ces objets soient de masses énormes comme les trous noirs que l’on ne peut pas voir, ou que cela soit des éléments subatomiques, et bien un couloir existe et est une réalité entre deux objets et ce indépendamment de leur masse, sauf pour les photons, où cette notion de couloir ou trou de vers n’existe pas. Ce couloir n’a rien d’extraordinaire, car c’est simplement les forces conjuguées de chaque masse, et qui sont celles de Newton sans même utiliser les notions de M.Einstein. L’attirance apparente des objets dont on dit que c’est la gravitation, génère un couloir dit trou de vers entre 2 objets quelconques. Pour le dire avec des exemples, et bien entre terre et lune existe un couloir, entre terre et soleil existe un couloir, entre noyaux atomique et électron existe un couloir, même si l’électron n’est pas un corpuscule mais un essaim d’entités inconnues. Pour reprendre ce qualificatif de "temporaire" pour les assimiler a des trous de vers ou de trous noirs, et bien ma conviction est que rien est temporaire mais justement toujours permanent, ainsi la liaison terre-lune terre-soleil comme noyau-électron sont permanentes. Pour le dire autrement l’attraction constatée n’est pas temporaire mais constante, et que cette attraction génère un couloir permanent entre 2 objets même si ils sont en mouvement, et que ce couloir est dit trous de vers.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Einstein écrivait dans « L’éther et la théorie de la relativité » :

      « Le principe de la relativité restreinte interdit de supposer que l’éther est constitué de particules que l’on peut suivre au cours du temps, mais l’hypothèse de l’éther, en tant que telle, n’est pas contradictoire avec la théorie de la relativité restreinte. On doit simplement se garder d’attribuer à l’éther un état de mouvement…

      D’un autre côté, on peut alléguer à l’appui de l’hypothèse de l’éther l’argument important suivant. Abandonner l’éther, c’est finalement supposer que le vide n’a aucune propriété physique d’aucune sorte, et cette conception ne s’accorde pas avec les faits fondamentaux de la mécanique.

      Le comportement mécanique d’un système matériel libre de se déplacer dans le vide dépend, outre des diverses positions relatives (distances) et des vitesses relatives, de son état de rotation, lequel du point de vue physique ne peut pas être considéré comme une caractéristique appartenant en propre au système.

      Afin de pouvoir, ne serait-ce que de façon formelle, considérer la rotation du système comme quelque chose de réel, Newton fait de l’espace un objet. Du fait même qu’il compte son espace absolu au nombre des objets réels, la rotation par rapport à l’espace absolu est chez lui quelque chose de réel aussi. Newton aurait aussi bien pu donner à son espace absolu le nom d’ « éther » ; le point essentiel ici est que, pour pouvoir envisager l’accélération et la rotation comme quelque chose de réel, il faut considérer comme réelle, à côté des objets observables, une autre chose, non perceptible.

      Mach a tenté d’échapper à la nécessité de supposer réel quelque chose de non observable en remplaçant l’accélération par rapport à l’espace absolu par une accélération moyenne par rapport à l’ensemble des masses de l’univers. Mais toute résistance inertielle à l’accélération relative des masses éloignées présuppose une action à distance immédiate.

      Comme le physicien moderne ne se croit pas autorisé à une telle supposition, cette conception nous ramène encore une fois à l’éther, chargé ici de transmettre les effets d’inertie.

      Le concept d’éther auquel conduisent les considérations de Mach diffère sur un point essentiel de celui que l’on trouve chez Newton, Fresnel et H.A. Lorentz. L’éther de Mach ne fait pas que conditionner le comportement des masses inertes, il est également conditionné, dans son état, par les masses inertes…

      Cette variabilité spatio-temporelle des relations réciproques entre règles et horloges, autrement dit la reconnaissance du fait que le « vide » n’est, du point de vue physique, ni homogène ni isotrope – ce qui oblige à décrire l’état du vide à l’aide de dix fonctions, les potentiels de gravitations -, a sans doute définitivement écarté l’idée que l’espace est physiquement vide.

      De ce fait, le concept d’éther a également retrouvé un contenu clair, un contenu évidemment très différent de celui qu’il avait en théorie ondulatoire mécaniste de la lumière. L’éther de la théorie de la relativité générale est un milieu qui, s’il est lui-même dépourvu de toute propriété mécanique et cinétique, n’en contribue pas moins à la détermination des phénomènes mécaniques (et électromagnétiques). »

    • Tout à fait d’accord avec vous sur la critique du terme "effet tunnel" :

      « pas clair car un tunnel est en fait un trou, un couloir, un passage entouré, et ces notions n’ont pas de barrière, car justement donnent un certain passage sans obstacle, car cela ne serait plus un tunnel, ou alors un tunnel fermé ou bouché... »

      J’irai même plus loin, dans ce fameux "tunnel", l’objet arrive à l’entrée, ressort à la sortie mais n’a pas traversé. C’est le même type de particule qui sort mais pas la même particule car elle ne traverse pas physiquement. C’est pourquoi cela peut se passer plus vite que la vitesse de la lumière quasi instantanément...

  • — -Bonjour.

    — -Récapitulons : : La vitesse est une notion humaine, qui définit un rapport entre une distance et un laps de temps calibré servant d’unité de référence, comme seconde, heure, jours..., années, siècle et même millénaire quand on parle d’histoire. Donc le but est de calculer une distance parcourue pour une laps de temps choisi et servant de référence, et en générale en physique c’est la seconde qui est prise en compte. Donc telle distance parcourue pour une seconde.

    — -Mais le temps n’est pas forcément utilisé pour calculer une vitesse, car cette seconde n’est pas le seul étalon à prendre en compte, car en astrophysique, les distances sont tellement grandes que l’on prend l’année lumière comme référence pour exprimer non pas un rapport de distance-temps qui est donc une vitesse mais une vraie distance avec l’étalon choisi qui est toujours la seconde, mais multiplié par le nombre de seconde qu’il y a en une année, et utilisant un multiplicateur qui est cette célérité de la vitesse de la lumière qui donne un certain nombre de kilomètres pour une seconde étalon de référence.

    — -La vitesse de la lumière à des caractéristiques précises quand on parle de "temps physique" de M.Einstein, mais ce temps d’écoulement dit physique n’est pas possible d’y avoir accès, car pour calculer les vitesses des objets très loin de l’endroit où l’on mesure, l’accès même à ce "temps physique" est impossible, car il faudrait se mettre alors en dehors de tout objet ne faussant pas la mesure, et en gros en dehors du champ gravitationnel des galaxies. Comme nous ne pouvons à peine nous extraire du système solaire, nous prenons sûrement alors le temps local où nous nous trouvons sur terre. Mais ce temps n’est pas le temps absolu que veut exprimer M. Einstein , mais un temps local qui est déformé par le champ gravitationnel de la terre, et des objets importants proche, comme lune, soleil...

    — -Quand nous essayons de mesurer des temps au niveau des particules, et bien c’est avec cette seconde locale de terre que nous mesurons des fractions très petites de seconde, mais cette seconde de notre référentiel terre, n’est ps la vraie seconde absolue, car elle est déterminée par notre environnement sur terre. Le problème de ces mesures, est que nous partons d’un temps local qui est celui de l’environnement où nous sommes sur terre avec même des variations, en essayant de mesurer un autre temps local qui est celui de l’atome et des éléments le constituant. Les mesures faites ne sont donc pas objectives et vraies, car elles ne dépendent pas du "temps physique" et donc absolu, mais sont liées au temps local où nous nous trouvons et où nous testons. Il y a donc dans cette façon de faire une grosse erreur, car les vitesses calculées sont fonction de notre référentiel qui est la terre, et qui réduit notre temps local par rapport au temps absolu.

    — -Pourquoi notre temps local sur terre est allongé ?? Et bien d’après la relativité de M.Einstein, toutes masses et vitesses allongent le temps qui est initialement physique et devient foncement local, et que plus la masse est importante et plus l’allongement du temps est grand. Nous testons et évaluons des vitesses fonction de notre référentiel qui est notre endroit sur terre, mais les mesures sont faussées car elles dépendent d’un référentiel qui n’est pas un temps absolu dit physique par M.Einstein. Si cela est vrai pour essayer de calculer des vitesses sur des particules, ceci est aussi faux pour calculer les astres que sont exoplanètes, étoiles, trous noirs, galaxies et autres objets spéciaux, comme effondrement d’étoiles de tous genres, et ces temps de vitesses et de laps de temps sont faussés car nous nous trouvons dans un référentiel qui n’accède pas au temps absolu. Il faut donc relativisé nos calculs si le temps pris en compte est celui de notre seconde, et non de la seconde d’un temps physique absolu.

    — -Maintenant pourquoi le temps et sa seconde s’allonge ?? Et bien c’est la notion même de relativité de Einstein, qui dit que les objets posés dans un contenu de espace non déformé déforment l’espace d’autant plus que leur masse est grande. Il faut comprendre que ce n’est pas l’Espace qui est déformé, mais son contenu qui était anciennement cet Éther, et que par cette déformation du contenu de l’Espace, le temps qui est associé à ce contenu de l’espace se déforme également, et transforme une gravitation existante en une autre gravitation. Un seul objet posé dans ce contenu de l’espace déforme la gravitation existante autour de lui et à grande portée, car ce n’est pas l’objet qui créé une gravitation, mais cet objet déforme cette gravitation existante. Pour le dire autrement avec ou sans objet, la gravitation est une réalité existante en permanence, comme le contenu de l’espace, comme aussi le temps. Donc les objets ne créent en rien l’espace, et ne créent pas plus la gravitation, pas plus encore que le temps, pas plus que cette notion d’Éther qui pourrait être confondu à tord avec le vide du quantique qui est sans rapport.

    — -Cette notion de vitesse est à la base de 2 notions, qui sont distance et temps. On vient de voir que le temps se déforme suivant certaines contraintes, mais est-ce que la distance se déforme ?? Et bien absolument pas, les distances restent se qu’elles sont. Même si il est rapporté que les distances se déforment, cela n’est qu’illusion et paradoxe. On peut même considérer que les distances sont accrochées à l’espace qui lui ne bouge pas et n’est pas transformable, et que les distances ne sont que des bornes ou des repères fixés sur ce volume d’espace non modifiable. On peut dire que les distances appartiennent à l’espace et sont des bornes fixes, et que le temps appartient au contenu de l’espace. On comprend que de parler d’espace prête a confusion, car souvent ce terme doit être remplacé par le contenu de l’espace et non le contenant qui n’est strictement rien et n’a pas de caractéristique particulière.

    — -Comme le temps est déformable par les masses, on peut dire alors que les vitesses sont forcément déformables par les masses, et c’est ce que nous ne comprenons pas, car il est dit que cette vitesse de la lumière est une constante absolue, et c’est bien là où cela cloche, car il faut considérer que cette vitesse est dans un référentiel non modifié, mais il faut admettre en fait que cette vitesse de la célérité dans le vide de l’espace est dans un vide particulier sans objets massifs, et que ce que nous devrions mesurer c’est par rapport à cette vitesse absolue dans un vide absolu, mais le temps s’allonge dans des référentiels déformés, ce qui fait le temps et donc cette vitesse ne deviennent plus du tout absolus.

    — -Pour reprendre le titre de cet article, à savoir si cette vitesse de la lumière est indépassable ou son contraire, et bien pour être très clair la vitesse de la lumière peut se dépasser par elle même, mais dans des référentiels très déformés, ainsi même de notre référentiel local sur terre où cette vitesse de la lumière est déjà fausse car plus rapide que dans un référentiel dit physique comme le dit M.Einstein, et bien si nous voyons au loin des objets très massifs, et bien leurs référentiels ferra que les vitesses lumière iront plus vite que dans notre référentiel sur terre. Cela paraît curieux mais d’un temps local et donc d’une vitesse locale, on peut constater que un contexte ou référentiel où la déformation est encore plus grande par des objets monstrueux, le temps s’allonge et donc permet une vitesse de la lumière plus rapide.

    — -Je pense que c’est comme cela que M.Einstein à compris ce mécanisme qui en fait n’a rien d’extraordinaire, mais qui peut remettre en question la seconde absolue, comme la vitesse absolue de la lumière. Je crois donner un cours de CM1.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir.
    — -Rectification : : De parler du temps se dilatant dans notre référentiel local ou au contraire se contractant quand c’est celui du temps physique que j’appelle absolu, et bien je me mélange moi-même les pinceaux, donc erreur de ma part dans cette phrase : : "Il y a donc dans cette façon de faire une grosse erreur, car les vitesses calculées sont fonction de notre référentiel qui est la terre, et qui réduit notre temps local par rapport au temps absolu." car c’est exactement l’inverse qu’il faut dire comme :: : "Il y a donc dans cette façon de faire une grosse erreur, car les vitesses calculées sont fonction de notre référentiel qui est la terre, et qui augmente notre temps local par rapport au temps absolu." ; Désolé.
    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.
    — -Suite à votre remarque du 19 décembre 20:39, par Robert Paris, où vous mêlez encore la physique quantique pouvant être la cause de cet effet tunnel particulier, et où la vitesse lumière est complètement dépassé, et bien je ne pense pas qu’il faille mêler encore cette quantique à cet effet de rapidité anormale de la vitesse de la lumière. Je vous ai donné une explication sur cette vitesse suivant différents référentiels, comme si cela était un cours de CM1, tant c’est simple, par mon commentaire du 20 décembre 16:32 et 17:38, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

    — -Si la remarque de M. Jean-Paul AUFFRAY telle que "Le phénomène fascine... et embarrasse les physiciens" est vraie, cela veut dire que les scientifiques et surtout les physiciens n’ont strictement rien compris à la relativité générale de M.Eisenstein, et je ne crois vraiment pas à cette remarque un peu simpliste, mais je pense que c’est plutôt ce Jean-Paul AUFFRAY qui lui n’a rien compris. Si cela était vrai que ces scientifiques n’ont rien compris, et bien cela serait très grave, d’autant que des petits amateurs comme moi, eux ont compris, et surtout que cela dur depuis 100 ans.

    — -J’espère que j’aurai un retour sur ce cours de CM1 très simple, où des enfants de 8 ans auraient tous compris, décrivant ainsi 3 référentiels différents, dont l’un est le référentiel A de base servant de vrai référence, avec un temps et une vitesse de la lumière vrais, et les référentiels B et C étant locaux et où ces temps sont allongés et donc où les vitesses de la lumière sont plus rapide que dans le référentiel A. J’aurai pu dans cet exemple rajouter un quatrième référentiel destiné au particules subatomiques, mais comme c’est votre dada (je pense), et bien c’est à vous de l’imaginer.

    — -Si le phénomène embarrasse vraiment les physiciens, sur cet effet tunnel, alors je tombe réellement sur le cul. En espérant avoir quelques retours de votre part, comme aussi une vérité de sincérité.
    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.
    — -Afin de continuer sur cette notion de vitesse de la lumière très importante en physique, et bien dans votre article vous citez un extrait de Wikipédia "(…) La vitesse de la lumière dans le vide (…)", et bien de quel vide parle t-on exactement ? Dans cet article de Wikipédia, on fait le passe de ne rien savoir sur quel vide on se place, et c’est le vrai problème dans toues les explications, où les rapporteurs comme peut être certains scientifiques, n’ont pas vraiment compris, que le vide de l’espace qui devrait être dit comme Éther, et bien que tout est lié, ainsi cet Éther suivant dans quel référentiel où l’on se trouve, détermine une certaine seconde qui est sans rapport avec la seconde référence du temps physique de M.Einstein, où ce vide (Éther) n’a aucune perturbation par des objets de tous genre. La seconde sur terre est sans rapport avec la seconde de ce référentiel dit temps physique de M.Einstein, car sur terre nous sommes dans un référentiel local, et où ce vide de l’espace (Éther) est particulier car déformé par la masse de la terre, donnant ainsi une seconde particulière, et d’où avec cette seconde calculée on donne des rapports de distances et de temps, qui sont même des constantes comme cette célérité qui est la vitesse de la lumière.

    — -Quand on parle de vitesse on devrait aussi parler de la seconde, et quand on parle de la seconde, on devrait aussi parler de vide de l’espace (Éther), et quand on parle d’Éther, on devrait parler de référentiel global ou local, et quand on parle de référentiel on devrait parler de masse et/ou de mouvement, et quand on parle de masse ou de mouvement, on devrait parler aussi de gravitation. En fait tout est simplement lié, car à une masse correspond plus ou moins un référentiel local particulier déterminant, un champ gravitationnel particulier, une seconde particulière, comme une vitesse de la lumière particulière... Mais pire encore, car à une masse donnée, dépend aussi une certaine distance qui ne donnera plus d’effet, comme si cette masse était nulle à une certaine distance, car la gravitation même si elle a une très grande portée, celle-ci ne porte pas à l’infini, et au bout d’une certaine distance et fonction de la masse, et bien cette masse n’a plus d’influence sur l’Éther de l’espace, et donc c’est comme si cette masse n’existait plus.

    — -De dissocier par article et par notion, le temps, la seconde, le vide de l’espace (Éther), la vitesse de la lumière, les publications des relativités de M.Einstein, la gravitation ou champ gravitationnel, et encore d’autres notions, est sûrement une très bonne chose quand on veut par exemple se faire historien et retracer la chronologie des compréhensions et aussi celle de l’évolution de ces notions, mais toutes ces notions forment un seul et même ensemble indissociable. Et encore autre chose est que la mécanique de cet ensemble de notions qu je viens de citer, est sans rapport avec la mécanique quantique, qui elle n’a pas de mécanique, car elle décrit des dents d’engrenage sans décrire la roue, elle décrit encore l’interaction entre deux dents de roues tournant en sens inverse, sans même décrire les roues, comme les vitesses de rotation de ces roues... Comme on ne mélange pas les effets du très grand avec la mécanique quantique, même si on essai de trouver des solutions, et bien il ne faut pas mélanger non plus quantique et gravitation comme aussi référentiel, Les effets du grand sont forcément ceux du petit, mais la quantique ne peut pas répondre à tout, car elle est limitée....

    — -Pour être clair avec moi-même et avec vous, les petits commentaires que j’ai fait sur d’autres de vos articles sont liés, et pour cela je citerai, par les noms de leurs titres ceux ci, qui sont en rapport avec cet article, afin qu’il y ait des liens, sachant que je débute dans la lecture de vos articles, et que forcément je n’ai pas lu tous vos articles qui pourraient aussi y avoir un rapport avec le sujet de cet article concernant la vitesse de la lumière indépassable. Et bien pour terminer, je dirai que la lumière se dépasse d’elle-même suivant où elle se trouve !!!

    — -Voici les articles que j’ai lu et qui sont en rapport avec celui-ci : :
    Les bulles de vide et la matière
    Qu’est-ce que le vide ?
    Qu’est-ce que le temps ?
    Qu’est-ce que le temps ?
    Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?
    Qu’est-ce que la masse d’une particule de matière

    — -En espérant avoir des retours de votre part. Merci encore à ce site qui est vraiment monstrueux et ouvert.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE Bonjour.
    — -J’espère ne pas vous froisser avec mon écriture sans doute assez crue, car je suis brut de fonderie. Mais mon but est de faire avancer la science comme moi-même d’ailleurs, et je dirai même que ce que j’ai dit est dans le désordre, et ce même si je ne suis qu’un petit amateur de physique. Le but de votre site est sûrement pour faire avancer la science et par la même vous-même, et même de votre équipe, car c’est ce que j’ai pu comprendre, est que vous êtes une équipe plus ou moins d’accord sur certains sujets en physique, et que je ne sais pas si ce que vous avancez peut quelque fois être considéré comme thèse. Pour ma part, j’ai des idées comme presque tout le monde, mais qui doivent sûrement bousculer ce qui est sûrement plus ou moins ancré par les scientifiques, et mon but est seulement d’exposer mes solutions qui peuvent être possibles et peut être vraies, mais qui peuvent aussi être totalement fausses, mais alors faut-il le démontrer. Les idées, les raisonnements sont avant tout de la philosophie qui est de la prose, mais qui sont en rapport avec les sciences. Ainsi ces anciens philosophes étaient plus scientifiques que certains physiciens de nos jours, et la raison en est très simple, car ces anciens philosophes exposaient bien sûr leurs idées, mais ces idées étaient avant tout issues de leurs logiques qu’ils expliquaient également. Ainsi pour telle notion expliquée, les cheminements et les raisonnements suivaient les explications et formaient un tout, pour dire que cela ne peut être que comme cela parce que telle chose ou telle autre chose est contradiction. Donc il y avait de très grandes logiques, même si elles étaient plus ou moins fausses. L’intérêt de donner de nouvelles idées, est que celles ci soient cohérentes et possibles, et remettent en cause l’acquis, mais si il y a des incohérences, et bien celles-ci doivent être démontrées. De dire que les particules virtuelles du quantique sont localisées où se trouve la dite vraie matière, est une de mes idées assez farfelue par rapport à ce qui est dit. Mais si on ne peut prouver le contraire, alors cette idée reste une vraie possibilité, car même si on ne peut prouver le contraire par des tests, on peut le faire par raisonnements, en disant que cela est incohérent pour telle raison ou pour telle autre. C’est ce que j’aime dans cette ancienne science, où les personnages ont des vrais raisonnements logiques pour parler de telle chose ou d’autres choses, car l’explication des impossibilités suivent l’argumentation. Je pense vous avoir exposé un certain nombre d’idées qui peuvent être soit innovantes ou déjà existantes, car mes connaissances très limitées ne me permettent pas de savoir, si mes idées existent déjà. Mon but avec votre site est de savoir si je fais fausse route, et cela n’est pas le cas, alors c’est de savoir si mes idées sont nouvelles ou déjà existantes. Si il y a des retours de votre part de mes commentaires laissés sur votre site, c’est que forcément ce que j’avance et explique peut être plus ou moins intéressant (j’espère). Je ne connais absolument pas votre but, d’avoir créé un site aussi riche en articles que le votre, et de permettre des échanges entre les lecteurs et votre site. Ceci est un peu faux car le site de Wikipédia est aussi très performant, mais là encore, je ne comprend pas comment ce site avec les équipes de personnes le réalisant, puissent être intéressées et rémunérées, car la gratuité ne paye pas normalement, et donc cela m’interroge et m’interpelle toujours autant. Que des personnes créent des sites pour donner ce qu’ils pensent, cela est une chose, car être édité est sûrement plus difficile et compliqué que de faire passer ses idées et même prose sur un site internet, mais dans la mesure où cela nécessite une vraie équipe, et bien ce n’est plus de l’ordre personnel. Avant la découverte de votre site, j’ai lu 3 sites où des personnes revendiquent leur thèse, et correspondant comme vous à un ensemble de visions sur les notions scientifiques. Et cela est parti il y a même pas 6 mois, quand je m’interrogeais sur la vapeur qui montait de la tasse à café que l’on m’avait servi. Et oui on part toujours d’une interrogation un peu bébête, car pourquoi cette chaleur monte et ne se répartie pas plus ou moins autour de dessus de ma tasse à café. Question qui semble simpliste, mais qui ne l’est pas. La fumée d’un feu de bois nous permet de voir que la chaleur monte tout le temps et ne se répartie pas dans l’environnent ou le feu est réalisé, et ceci est tellement vrai que l’on arrive à suivre cette fumée sur des dizaines de mètres. Est-ce que mes questions sont de l’ordre philosophique ou scientifique, et bien je n’en sais rien, et peu importe d’ailleurs, mais les explications ne sont pas simples à être trouvées, même avec internet. C’est en se posant des questions aussi simples, que l’on peut comprendre ce que sont les physiques et aussi notre Monde, car pour certaines personnes la curiosité et le savoir pourquoi, sont comme une vraie drogue que l’on ne sait pas se passer, et que de plus on naît avec cette interrogation permanente à essayer de comprendre pourquoi cela est comme ceci ou cela...
    RE Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • — -Merci encore de vos réponses à mes commentaires, cependant j’ai des remarques à faire que voici : :

    — -Sur mon commentaire du 21 décembre 10:49, par JFP/Jean-François POULIQUEN, je me suis embêté à copier les pages internet des articles de votre site, via des groupes de chaînes de caractères correspondant à des titres de vous articles, où il y avait des liens avec l’article en question qui est la vitesse de la lumière, et lien également avec mes commentaires, et ce, en utilisant des groupes de caractères où le lien vers vos pages existe, et il s’avère que ces groupes de texte en énumération, ont perdu leur lien avec vos pages internet, ce qui fait que pour des utilisateurs autres que moi, et bien que ces groupes de texte ne servent strictement à rien à la compréhension. J’ai cru comprendre qu’il ne faille pas donner les adresses internet de vos pages, car si c’est le cas elles sont tronquées lors de l’édition des commentaires et donc publiés en tronquant les adresses complètes, mais je ne savais pas que les liens étaient eux carrément supprimés. Ceci est d’autant plus gênant, que certains groupes de caractères étaient identiques, mais donnant accès à des pages différentes... Ceci m’amène à une réflexion sur la structure de vos écrits, car pour donner un supplément d’ouverture à vos articles et donc à vos écrits, vous donnez des tas de liens sur d’autres sites, qui est une très bonne chose, comme aussi sur vos propres articles. Le problème que j’ai rencontré est que ces accès sur d’autres pages de votre propre site, et bien le groupe de caractères définissant ce lien ne correspond pas au titre de l’article en question, ce qui fait qu’avec des chaînes de caractères différentes vous accédez à une même page, et que c’est en arrivant sur la page en question que vous vous apercevez que vous y êtes déjà allé et l’avoir lu, mais que la désignation par le lien ne nous donne pas cette information. Pour le dire autrement, les groupes de caractères donnant un lien à une seule et unique page, n’est pas toujours rédigé de la même façon, ce qui donne bien sûr des variantes d’écriture, mais ne nous indique pas si la page à déjà été été visitée. Et ma question est pourquoi ne pas avoir repris simplement le titre de l’article en tant que lien de raccourcis, plutôt que "ici" et même des nouveaux titres quelques fois rétrécis et aussi rallongés, qui sont sans rapport avec le titre origine de l’article ??

    — -Cela est une critique négative, mais il y a de vraies critiques positives, car votre site est régulier dans ces différentes pages, et que les couleurs et polices de texte sont aussi très régulières comme les tailles de texte d’ailleurs, que les couleurs des textes sont normales et non extravagantes. Vos pages sont sans fioriture et c’est franchement bien et même parfait, car des sites fond plus des palettes de couleur plutôt que du texte à lire. Ce qui veut dire que la lecture de vos pages est reposante, sans avoir mal à la tête avec des tas de fioritures et autres. Ce qui est curieux, bien sûr par rapport à ce que j’ai pu lire de certains de vos articles, et ce manque de repérage par section ou autre, faisant une sorte de découpage de page et donnant des repères dans la page. Ceci est tellement vrai que vous donnez la possibilité aux utilisateurs et lecteurs de vous répondre par un outil adapté, dont les commentaires utilisateurs viennent se greffer sur l’article. Et bien quand on doit se repérer dans une page de votre article, et que celui-ci est très long, et bien obligé de faire du Copier/Coller d’une partie d’un bloc de texte, pour dire qu’à tel endroit je veux donner un commentaire. Pour le dire autrement, obligé de recopier un groupe de caractères donnant une localisation dans un ensemble de phrases. Si il y avait eu des sections et même sous-sections et peu importe si il y a des titres ou non, et bien le repérage aurait été plus simple, car si certaines pages de vos articles sont courtes, et bien d’autres pages sont elles énormes, et le seul moyen de se positionner pour indiquer telle chose, est de répéter une partie de vos écrits, tandis que si il y avait eu un repérage en disant dans telle sous-section de telle section... M’en fin chacun choisi sa structure d’écriture...

    — -Sur votre dernier retour de cet article du 22 décembre 07:35, par Robert Paris, vous dites " Pour nous, il n’y a qu’un seul monde (…)". Et bien pour ma part notre MONDE n’est pas le seul, car il y a une infinité de Mondes dans cet unique UNIVERS, et ce sans parler d’univers parallèles, car d’ailleurs que vient faire le parallélisme dans ces notions de MONDES et D’UNIVERS. Pour ma part je considère l’Univers comme un tout où son espace est infini et Vide qui peut correspondre au néant. Notre MONDE est dans une zone de cet UNIQUE UNIVERS. Notre Monde est ce qu’il est, et de plus nous ne le connaissons pas vraiment, et même pas du tout, car nous sommes limité par notre vision à ne voir qu’une portion de celui-ci qui est dans une direction donnée une portée en distance d’environ 15 milliards d’années, sachant que pour ma part que cette distance ne correspond en rien aux vraies dimensions de notre vrai MONDE, car j’ai déjà donné un exemple de comparaison, en disant que notre bulle de temps où nous sommes le centre par obligation, ne représente qu’une goutte d’eau dans un océan et où cet océan serait notre vrai Monde... Sachant qu’une goutte d’eau est d’environ 1mm et qu’un océan est de 15|000 km (exemple) le rapport en distance de cette imagination est de l’ordre de 1.5×10E10, plus grand que notre vision ou détection dans cette bulle de temps. L’univers est pour ma part infini, et ne boucle en rien sur lui-même, mais des zones espacées sont remplis de poudre de matière dites réelles comme aussi de poudre de particules irréelles dites virtuelles n’apparaissant pas dans notre réalité. Ces particules de tous genres se regroupent sur des fils où la concentration donne des galaxies, mais ces galaxies ne représentent presque rien par rapport à la grandeur de l’espace et de son volume qui les sépare. Donc notre vrai MONDE est limité mais largement plus grand que ce que nous voyons. D’autres zones de poussières de MONDES existent formant d’autres MONDES sans rapport avec le notre, et où il peut y avoir de grandes différences de grandeur comme de petitesse, et possédant des paramètres qui ne sont pas les nôtres et même complètement différents des notre. Cette images de pensée me permet de dire que nous ne sommes pas seul, et est de l’ordre philosophique mais peut être néanmoins une vraie réalité. On comprend alors que ce SEUL DIEU à du boulot sur la planche, car il ne s’occupe pas que de notre petite bulle de temps. C’est une vraie philosophie d’avoir cette notion de MULTI-MONDES, mais cela ne fait rien avancer notre MONDE, et même en rien à notre petite bulle de temps de quelques milliards d’années lumière de rayon. Mais de dire qu’un seul monde et d’autant plus qu’une seule science sont notre réalité, et bien pour moi cela me semble faux. Il existe déjà une multitude de référentiels suivant les masses des objets allant du trou noir à l’électron sans parler du photon, et dont nous ne comprenons rien. Donc à chaque référentiel différent de notre propre monde correspond déjà des mondes différents à part qui n’est pas celui de l’environnement de notre petite terre à l’échelle humaine. Pour moi il existe une infinité de mondes, donc une infinité de science relative à chaque monde. Les MONDES en dehors du notre, peuvent être totalement différents et ne correspondant pas à nos sciences et ses physiques, d’autant que nous ne comprenons pas ce qu’il puisse y avoir après les limites de visibilité de ce cosmos, et aussi que par des échelles son inverses du très grand, que sont les particules, et bien nous n’en savons guère d’avantage, car nous touchons à d’autres échelles qui engendrent même une physique particulière qui est celle de la quantique, sans savoir si cela s’arrête non aux seuils de Planck, mais bien en dessous et que cette nouvelle physique ne soit pas bornée. Ceci est tellement vrai que ce petit électron qui est un champ, ne se matérialisant que dans nos expériences, et bien les éléments de ce champs le constituant, sont bien forcément quelque chose qui ne sont absolument pas de l’ordre du point, car le point est une aberration physique. Ces éléments de champ sont forcément quelque chose et de plus pourrait être constituer de plusieurs autres choses. Ceci rejoint la discontinuité et la continuité, où vous avez fait plusieurs articles. En tout cas pour retomber sur mes pattes, le temps est fonction des masses des objets (même particules) et que ce temps sert à calculer des vitesses.

    — -On pourrait croire que je dérive en parlant d’Univers et de multi-mondes qui sont sans rapport avec le sujet qui est celui de la vitesse de la lumière. Mais parler de VITESSE, c’est avant tout de parler de TEMPS et que ce temps n’est en faite non uniforme, car il change fonction des référentiels. Bien sûr les bateaux de Galilée, le train et quai de Einstein, sont sans rapport avec le temps déformé par des masses importantes et même très petites d’ailleurs, car ce sont en gros les mêmes référentiels, donc d’aller à la vitesse de quelques nœuds marin, ou d’être dans un train même à 300km/h que l’on appel à grande vitesse, et bien le temps est sensiblement le même, et est impossible d’y voir des différences. Mais le temps qu sépare notre MONDE des autres mondes est encore un autre temps, et donc une autre VITESSE.

    — Pour répondre encore à cette expression que vous employée "Nous allons dans tous les domaines de la philosophie et des sciences" . Et bien ayant un vocabulaire très réduit, mon écriture est très basique, et avec mes capacités et avec ce peu de mots, est-ce que je philosophe ? Et bien je n’en sais strictement rien, car à vous dire franchement, je ne sais pas au juste ce qu’est la philosophie en règle générale. Est-ce parler ou écrire pour ne rien dire ? Cela est fort possible, et ce même si il y a de belles phrases. Est-ce que philosopher sur un sujet précis, et n’ayant aucune notion de ce sujet, est-ce philosopher ? Si on a des idées sur ce que peut vous donner ce que représente le TEMPS, alors oui c’est philosopher, car dans cette philosophie on donne des idées, des concepts, des contres vérités, des imaginations, des impossibilités, et en fait des tas de choses, qui sont même des questionnements. Mais dans ce cas c’est une philosophe qui est en fait un vrai raisonnement, et même plusieurs raisonnements. Sans vous dire ce qu’est vraiment le temps et des vitesses, et bien j’en ai parler car j’ai projeté des idées qui vont même hors de notre petit MONDE qui est cette bulle temps. Que dans cette bulle de temps, il y avait des référentiels complètement différents, et donc des temps comme des vitesses totalement différents. Le temps entre deux Mondes existe, ce qui veut dire que des vitesses existent comme celle de la lumière, mais que ces vitesses sont peut être 1 milliard de fois plus grande que ce que nous trouvons sur terre, et pourtant dans cet espace sans matière entre deux MONDES, le temps est complètement autre chose. La notion que j’ai du temps est sans rapport avec les physiques actuelles, et je me sert de ma référence, pour en écrire des visions autres que celles des scientifiques, pour la simple raison, est que j’ai défini ce qu’est le temps. IL est alors très facile de contredire certaines citations, qui ne correspondent pas à la notion de mon temps imaginaire bien bien réel pour autant.

    — -Pour reprendre mes propres dires que sont mes idées, voici un récapitulatif sur cette notion de vitesse de la lumière : :
     La vitesse est un rapport d’une distance calculée et d’un temps conventionné servant d’étalon (la seconde en général).
     Le temps ne s’écoule pas de la même façon suivant les référentiels dont les masses qui s’y rattachent sont différentes de notre environnement, et donc les vitesses sont forcément différentes.
     Si on peut comprendre que le temps s’allonge et se dilate suivant des différentiels différents, alors forcément les vitesses qui y sont liées, sont forcément différentes, ce qui veut dire que la vitesse de la lumière même dans le vide est une variable, car simplement on se sait déjà pas de quel vide dont on parle.
     Pour le dire plus clairement la vitesse de la lumière n’est absolument pas une constante mais une variable, car le temps et sa seconde est simplement variable suivant les référentiels différents de notre environnement.
     L’univers n’est pas un objet mais une notion qui possède un espace illimité et donc infini et non déformable. L’univers possède une infinité de mondes et donc donne cette notion de multi-mondes.
     Un monde n’est pas infini, mais forcément limité, mais ses limites sont floues, comme toutes les limites des objets d’ailleurs, et notre monde est un monde parmi tant d’autres. Notre monde comme tous les mondes, possède un Éther, et cet Éther défini des caractéristiques particulières qui sont sans rapport avec le vide du quantique. Les objets déforment cet Éther donnant d’autres caractéristiques de temps donc de vitesse.
     Le temps ne découle pas des objets et des particules, mais est une une notion à part, donc d’une zone d’espace sans même d’objet possède aussi un temps comme une vitesse. Ce ne sont pas les objets qui créent le temps !!!
     La vitesse comme le temps dépendent du dit "vide de l’espace" mais que ce mot de vide me dérange, donc le temps comme la vitesse dépendent de l’Éther de l’espace. Cet Éther est modifiable et non son espace servant de contenant, ce qui fait que l’Éther est un contenu particulier qui est une sorte de substance dont on ne sait pas ce quelle est.
     Modifier l’Éther de l’espace, c’est poser des masses d’objets donnant des référentiels différents différents un temps propre comme une vitesse particulière et même celle de la lumière. Ces masse sont celles des trous noirs comme celles des particules élémentaires, sauf le photon qui lui n’a pas de masse.
     Parler de la vitesse de la lumière dans le vide est une absurdité, car on nous dit pas de quel vide dont on parle !!!
     Les photons que sont aussi la lumière ne traversent pas le vide quantique de l’espace, car si l’espace était rempli de ces particules virtuelles, et bien il y aurait interactions avec les photons. Ainsi on ne pourrait pas voir les plus vieilles galaxies. Pour dire que le vide de la mécanique quantique est sans rapport avec l’éther de l’espace,
     Vous avez écrit le 19 décembre 11:05, par Robert Pari que le vide l’espace dont on parle pour la vitesse de la lumière est connu et est celui proche de la matière. Et j’ai répondu que si cela est le cas, et bien je tombe sur le cul !!! La vitesse est dépendant du temps qui lui même est dépendant de l’Éther (vide pour vous) de l’espace, qui cet Éther est dépendant des objets proches qui déforment cet Esther, qui pour les obejts ont des masses différentes... Comment peut-dire dire que la vitesse est dépendant du vide de l’espace, et ce sans identifier cet portion d’espace. Si je me trouve proche d’un trou noir, et le temps est totalement différent, et forcément de la vitesse de la lumière, mais cela est vu par un autre référentiel que celui proche du trou noir, un référentiel comme le notre qui lui est aussi local et non physique dont parle M.Einstein de ce temps hors de tout objet et de déformation.
     Parler du temps en prenant 3 référentiels différent. L’un A, hors de toute matière et ce que M.Einstein appelle le temps physique, et qui est fait pour les mesures physique, mais qui est impossible d’utiliser et d’accéder . Un temps B qui est celui de notre environnement sur terre et sa seconde. Et enfin un troisième référentiel et temps C qui celui là est proche d’un trou noir, déformant au maximum l’Éther autour de lui.
     Le temps sert en astronomie, non pour calculer des vitesses, mais calculer des distances exprimées en année lumière.
     Dire que le temps n’est pas une constante mais peut s’allonger et que la vitesse de la lumière s’en trouve augmentée.

    Bonne journée d’un dimanche calme avant les fêtes. 
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Vous écrivez :

      « Pour répondre encore à cette expression que vous employée "Nous allons dans tous les domaines de la philosophie et des sciences" . Et bien ayant un vocabulaire très réduit, mon écriture est très basique, et avec mes capacités et avec ce peu de mots, est-ce que je philosophe ? Et bien je n’en sais strictement rien, car à vous dire franchement, je ne sais pas au juste ce qu’est la philosophie en règle générale. Est-ce parler ou écrire pour ne rien dire ? Cela est fort possible, et ce même si il y a de belles phrases. Est-ce que philosopher sur un sujet précis, et n’ayant aucune notion de ce sujet, est-ce philosopher ? »

      Est-ce philosopher que de raisonner sur le monde, comme un enfant ? OUI !!!

      Pourquoi avons-nous besoin de philosopher et ne pouvons-nous simplement nous contenter d’observer le monde et d’agir ? Nous y répondons justement ici

  •  Dernier aperçu de ma part dans cet article.
     Pour répondre au titre de l’article qui est de savoir si la vitesse de la lumière est indépassable et mettre fin à ce sujet : :
     OUI la vitesse la lumière est dé-passable, mais par elle-même dans des référentiels différent de celui de la sur terre !!!

    • En fait, je dirais que cela dépend ce que l’on entend par vitesse. S’il s’agit du mouvement d’un objet matériel descriptible en physique classique d’accord avec vous. Par contre, un phénomène peut parfaitement se déplacer à plus grande vitesse comme l’a fait remarquer notamment le physicien Lévy-Leblond. S’il s’agit d’un phénomène quantique, il y a saut et donc phénomène quasi instantané donc pas de limite de la vitesse de la lumière (exemple : effet tunnel).

  •  Bonjour.
     Merci d’avoir répondu, même si votre réponse ne me convient pas, car nous n’avons pas les mêmes idées.
     Je pense que nous n’avons pas du tout la même vision sur ce qu’est le temps, et donc le même point de vue sur cette notion très particulière qui donne aussi ce rapport de vitesse. Mais je comprends très bien votre point de vu comme ceux des scientifiques, car à l’heure actuelle sur cette notion de temps, nous n’avons strictement rien à nous mettre sous la dent, mais seulement des citations de personnages illustres et scientifiques, mais que ceux-ci ne savent pas répondre non plus sur ce thème du temps. La vitesse n’est qu’une dérivée du temps. Il m’est beaucoup facile de parler du temps et de vitesse, car j’ai simplement des réponses inventives sur l’aspect physique du temps, mais qui demanderai des tas d’explications d’un TOUT formant ma théorie.

     Reprise de mon commentaire du 23 décembre 16:00, par JFP/Jean-François POULIQUEN écrit en petit nègre. J’ai utilisé ce mot de dé-passable découpé en 2 mots car ces mots rassemblés ne font pas partie des dictionnaires courants, et ce même si on trouve une définition sur Wiki-dictionnaire, ne correspondant pas forcément à la lange Française.
     OUI la vitesse de la lumière est dé-passable, mais par elle-même dans des référentiels différents de celui sur terre !!!

     Je ne comprends pas par contre votre expression "un phénomène peut parfaitement se déplacer", car qu’est-ce qu’un phénomène ?? Même ce mot d’interaction n’est pas clair, et il en va de même pour action, car est-ce qu’une action se déplace, est-ce qu’une interaction se déplace ?? Est-ce que le lien qu’il a entre 2 objets se déplace, et pour le dire autrement est-ce que le lien entre 2 objets est permanent c’est à dire une communication sans cette notion de temps, et donc instantané ?? Je ne comprend pas non plus cette expression "quasi instantané" car soit c’est instantané, soit ça ne l’est pas, et si cela n’est pas instantané, alors il y a forcément une notion de vitesse, mais que l’on ne sait pas évaluer. Je comprends par contre le phénomène de l’ombre qui se déplace et qui peut aller plus vite que la lumière si ce le masquage de lumière se fait sur de très grandes distances. Même si le phénomène est réel il n’est pas pour autant un vrai objet donnant des informations et transportant des informations, car il n’est qu’illusion. Pour le mot "phénomène" je n’ai trouvé que comme synonymes : : singularité, mécanisme, miracle, fait apparence, événement, manifestation et d’autres mots bien sur mais se rapportant à l’individu.

     Le problème du temps et donc de vitesse, est que simplement nous n’avons aucune particule, aucun événement, aucune interaction à supposer et à imaginer, et quand on n’a strictement rien, et bien impossible de parler de quoi que ce soi, sauf d’ordre philosophique et même poétique. Les interrogations sont même très particulières, car on y mêle les objets physiques ou ceux du virtuel du quantique, et pourtant le temps est en dehors du matériel, car dans un espace sans rien ni même sans particule virtuelle, le temps s’écoule et existe, c’est en tout cas mon principe et ma vision. Pour ma pat la mécanique quantique et toutes ses dérivées, sont aussi de la vraie matière au même titre que celle que nous voyons en permanence, mais ces particules éphémères ne peuvent se matérialiser dans notre réalité faute de complément de masse ou autres. Le quantique ou le réel sont pour moi la même chose, mais les descriptions sont plus difficiles à dire dans cette physique quantique. Donc pour ma part, le quantique correspond aussi au classique, mais les interactions ne sont pas habituelles, car pour ma part, tout est matière ou pour le dire autrement tout est poussière de matière. Si nous n’avons strictement rien pour définir ce que peut être le temps physique, par contre les expressions humaines avec cette notion de temps sont du délire total et sont sûrement plus vraies que les citations des scientifiques. Voici quelque unes : :

    https://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-103327.php : :
    Voici quelques expressions employées couramment :
     La nuit des temps / de tout temps : époque éloignée dans le passé, éternité.
     Beau temps : il y a longtemps.
     De mon temps : à mon époque.
     Ces derniers temps : récemment.
     À temps / juste à temps : à l’heure / assez tôt.
     Par les temps qui courent : actuellement.
     En temps ordinaire : habituellement.
    — De temps en temps / de temps à autre : quelquefois.
     Avec le temps : peu à peu, à la longue.
     En temps utile : au moment propice.
     En un rien de temps : rapidement.
     En même temps : ensemble, simultanément.
     Tout le temps : continuellement.
     Être dans l’air du temps : être tendance, à la mode.
     Avoir fait son temps : être à la fin de son activité, de sa vie . Pour un objet, être désuet, obsolète.
     Gagner du temps : retarder un événement.
     Perdre du temps : ne pas faire un bon usage du temps, ne pas être efficace.
     Le temps presse : il y a urgence.
     Prendre son temps : ne pas se presser.
     Tuer le temps : faire n’importe quoi pour ne pas s’ennuyer sans motivation.
     Le plus clair de son temps : la partie la plus importante de la journée.

    suite dans le prochain commentaire (...)

    • « Je ne comprends pas par contre votre expression "un phénomène peut parfaitement se déplacer", car qu’est-ce qu’un phénomène ?? » dites vous notamment dans votre message (je m’excuse de prendre petit à petit vos arguments mais je répondrais à tout dès que possible).

      Cela signifie qu’on peut, par exemple, projeter une image lumineuse sur un objet distant et que l’image semble se déplacer à des grandes vitesses. Évidement ce n’est pas un déplacement d’objet !!!

  • https://citations.ouest-france.fr/theme/temps/
     "Les temps modernes ont fabriqué une génération d’enfants gâtés dès les années 1930, lorsque les machines ont commencé à remplacer les hommes. C’est particulièrement flagrant autour de l’arbre de Noël : il y a tellement de cadeaux que les mômes ont du mal à faire des choix. Le principe qui s’impose, c’est d’ouvrir le cadeau sans regarder ce qu’il y a dans la boîte puis de passer au suivant. C’est compliqué, mais trop de cadeaux tuent le cadeau."
    Claude LELOUCH , Le dictionnaire de ma vie (2016)
     "Ce qui remplit votre temps n’est pas forcément ce qui comble votre vie."
    Gilles LEGARDINIER , Ça peut pas rater ! (2014)
     "L’ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère."
    Salomon , La Bible
     "Pourquoi je perd mon temps avec un branquignol dans ton genre alors que je pourrais faire des choses beaucoup plus risquées. Comme ranger mes chaussettes."
    FILM LAST ACTION HERO
     "Avec le temps qui passe ceux qui étaient con le restent et ceux qui ne l’étaient pas le deviennent."
    Philippe GELUCK
     "Dans le temps, on lisait les revues porno. Maintenant, c’était les catalogues de mobilier."
    film FIGHT Club
     "’J’ai besoin pour toi de ce temps et de mille fois plus que ce temps : de tout le temps qu’il peut y avoir au monde, celui de penser à toi, de respirer en toi, de ce présent qui t’appartient.’"
    Franz Kafka , ’Lettre, à MILENA JESENSKA’
     "LA vieillesse, c’est le temps où l’on ment beaucoup moins et n’obéit presque plus."
    Jean de la RINCHE
     "Seize ans, à vif. Le temps de tous les tourments, des désordres, des élans, des questions, des violences contenues qu’un mot heureux pourrait apaiser, des fragilités qui n’attendent qu’une main aimante. L’âge où tout est prêt à s’embraser, à s’envoler ou à s’abîmer. Je le sais, je suis passée par là."
    Gaëlle JOSSE , Une longue impatience
     "Le temps balaye les faux amis et confirme les vrais"
    Anonyme
     "Donnons au temps qui passe ce qu’il mérite, les plus belles de nos histoires."
    FLAHAUT Michel , Vidéo rétrospective des vœux 2018 de la commune D’HAPLINCOURT par TABOOLAPAR TABOOLA
     "Le temps n’est pas précieux du tout, parce que c’est une illusion. Ce que vous percevez comme précieux n’est pas le temps, mais le seul point qui est hors du temps : le moment présent. Effectivement il est très précieux. Plus vous êtes concentré sur le temps, passé et futur, plus vous manquez le moment présent, la chose la plus précieuse qui soit."
    ECKHART TOLLE
     "Prendre son temps, est une subversion du quotidien. Anachronique dans un monde privilégiant la vitesse, la marche est un acte de résistance célébrant la lenteur, la disponibilité, le silence, la curiosité, l’inutile autant de valeurs opposées aux sensibilités néolibérales qui conditionnent nos vies. Le marcheur est celui qui prend son temps et ne laisse pas le temps le prendre."
    David le Breton
     "De tout temps, les hommes les plus dangereux sur terre ont été les hommes de Dieu."
    Dan Brown , Origine
     "S’il est des temps pour penser et réfléchir, pour disserter et discourir, il en est d’autres pour agir. Il importe à l’être qui refuse de subir de toujours les distinguer avec intelligence et sûreté."
    Alexandre DIRIKENNE , Le Bûcher des Illusions. Nota bene
     "Ce qui remplit le temps c’est vraiment de le perdre."
    Marguerite Duras , La Vie matérielle
     "Ô vie, donne, s’il est temps encore, aux vivants un peu de ton bon sens subtil sans la vanité qui abuse, et par-dessous tout, peut-être, donne-leur la certitude que tu n’es pas aussi accidentelle et privée de remords qu’on le dit. Ce n’est pas la flèche qui est hideuse, c’est le croc."
    René Char , Feuillets D’HYPNOS.
     "De tout temps la beauté a été ressentie par certains comme une secrète insulte."
    Claude Debussy
     "Le temps d’une vie est le temps d’un sourire de nouveau-né, c’est bref et ça ne s’éteint plus."
    Christian BOBIN , Un assassin blanc comme neige (2011)
     "Le temps qui ne porte pas de fruits ne mérite pas de nom."
    Edward Young , Les beautés poétiques (1804)
     "Il fait un mauvais temps comme moi."
    SIVI le poète , Je parts... Mais je reviendrai
     "Il faut du temps, beaucoup de temps, pour créer une intimité harmonieuse."
    Jacques Salomé , Eloge d’un couple
     "Le temps est la seule chose au monde que tout le monde connaît et éprouve, et qu’on ne peut ni voir, si sentir, ni toucher, ni diriger ni modifier ni définir... il devrait être interdit d’en parler.
    Jean DORMESSON , Histoire du Juif errant "
     "Je t’aime dans le temps. Je t’aimerai jusqu’au bout du temps. Et quand le temps sera écoulé, alors, je t’aurai aimée. Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé."
    Jean DORMESSON
     "La vie est une intensité, le temps une mesure."
    Pascal QUIGNARD
     "Les adultes passent leur temps à nous dire de faire ci, ou ça d’être comme ci, ou comme ça, mais quand on voit dans quel état ils ont mis la planète, on se dit qu’ils feraient mieux de se taire et que ce sont les enfants qui devraient être au pouvoir."
    Ondine KHAYAT , Le pays sans adultes
     "Tuer le temps n’est pas aussi difficile que ça en a l’air. Je peux me tirer une centaine de chiffres dans la poitrine et regarder saigner les virgules décimales dans le creux de ma main. Je peux arracher les chiffres d’une pendule et observer les aiguilles faire tic, tic, tic, jusqu’à leur dernier tac avant que je m’endorme. Je peux suffoquer quelques secondes simplement en retenant mon souffle. J’ai tué des minutes pendant des heures et personne n’a l’air de s’en inquiéter."
    TAHEREH MAFI , Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas
     "Le temps court et s’écoule et notre mort seule arrive à le rattraper. La photographie est un couperet qui dans l’éternité saisit l’instant qui l’a éblouie."
    Henri CARTIER-BRESSON
     "Le temps efface tout, qu’on le veuille ou non. Efface tout et, à la fin, il ne reste que les ténèbres. Et, parfois, dans ces ténèbres, nous retrouvons les autres, parfois nous les perdons de nouveau. Voilà tout ce que je sais."
    Stephen King , La ligne verte
     "Nul ne peut retenir le temps, mais, pour l’amour, il s’arrête parfois"
    Pearl BUCK
     "Mais combien de temps l’homme peut-il passer à se rappeler le meilleur de l’enfance ? Et s’il profitait du meilleur de la vieillesse ? A moins que le meilleur de la vieillesse ne soit justement cette nostalgie du meilleur de l’enfance"
    Philip Roth , La tache
     "On a oublié qu’il fut un temps, avant l’ordinateur, avant Internet, avant les mails, avant le téléphone portable, avant les SMS, où l’on s’écrivait des lettres, de longues lettres, régulièrement comme un bonheur, comme un plaisir. On appelait ça une correspondance. On disait entretenir une correspondance. Et c’est un mot tellement beau, tellement juste : on correspond parce qu’on se correspond."
    Alain RÉMOND , Celui qui n’est pas venu
     "Nous ne prenons pas le temps de devenir de bons êtres humains. Lorsque le grand âge arrive, nous n’avons que nos regrets pour faire face à la fuite du temps, car nul retour en arrière n’est possible."
    DALAÏ Lama
     "Si le temps n’est qu’illusion, les illusions ne durent qu’un temps."
    Khalil GIBRAN , Le Prophète (1923)
     "Donner du temps à une association, aux autres permet soi-même de grandir."
    Philippe Jourdain
     "Les temps sont courts à celui qui pense, et interminables à celui qui désire !"
    Alain-Fournier
     "L’homme qui passe sont temps a dire qu’il a tout fait dans la vie, n’est probablement pas très bon dans tout ce qu’il fait."
    Louis-Marie Boucher
     "Je suis comme le temps qui ne craint ni années, ni rides. Car le temps ne vieillit pas avec le temps. Alors, mon esprit s’en inspire."
    JAH OLELA WEMBO , Paraître, c’est disparaître
    L’adolescence, c’est le temps des confidences et des secrets, et le temps des premières déceptions."
    André MAUROIS , Sentiments et coutumes (1934)
     "L’adolescence, c’est le temps des premiers serments non tenus, des confidences trahies, des amours infidèles"
    André MAUROIS , Sentiments et coutumes (1934) |

    http://www.efficaciteautravail.fr/2016/01/100-citations-mediter-gestion-temps/
    Pour devenir plus efficace, il est essentiel de savoir bien gérer son temps. Mais face à une vie de plus en plus speed et compliquée, aux sollicitations intempestives, au dictât de l’urgence, à la saturation de nos agendas,… comment garder la maîtrise de son temps pour vivre et non subir ? A défaut de recette miracle, voici pas moins de 100 citations inspirantes pour nous mettre sur la bonne voie.
    1. "C’est une perfection de n’aspirer point à être parfait." Fénelon
    2. "Il y a des gens qui ne savent pas perdre leur temps tout seul. Ils sont le fléau des gens occupés." Louis de BONALD
    3. "Personne ne travaille mieux que lorsqu’il fait une seule chose." Ignace de Loyola
    4. "On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes." Andy Warhol
    5. "Si nous faisions tout ce dont nous sommes capables, nous nous surprendrions vraiment." Thomas Edison
    6. "Demain ne sera pas comme hier, il sera nouveau et il dépendra de nous. Il est moins à découvrir qu’à inventer." Gaston Berger
    7. "L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant." René Char
    8. "Le temps est un grand maître, dit-on. Le malheur est qu’il tue ses élèves." Hector Berlioz
    9. "La plus coûteuse des dépenses, c’est la perte de temps." THÉOPHRASTE
    10. "Ne dites pas aux gens comment faire, mais quoi faire. Ils vous surprendront par leur créativité." Général Georges S. PATTON JR
    11. "Ne renoncez jamais à un rêve juste à cause du temps qu’il faudra pour l’accomplir. Le temps passera de toute façon." Earl NIGHTINGALE
    12. "Nous ne manquons pas de temps, mais nous en avons beaucoup dont nous ne savons pas tirer profit." Sénèque
    13. "Grâce a Dieu, il y a une distance incommensurable entre tard et trop tard." Arme SWETCHINE
    14. "Ceux qui font mauvais usage de leur temps sont les premiers à se plaindre de sa brièveté." Jean de La Bruyère
    15. "Les hommes ne sont pas les esclaves des dieux ou d’un Dieu ; ils sont les esclaves du temps. C’est le temps, seul, qui est éternel." Paul OHL
    16. "Le temps se rétrécit ou semble s’accélérer à mesure qu’approche la date du but à atteindre." Eric TABARLY
    17. "Si l’avenir m’intéresse c’est parce que je vais y passer le reste de ma vie." Mark Twain
    18. "Avoir du temps, c’est posséder le bien le plus précieux pour celui qui aspire à de grandes choses." Plutarque
    19. "Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard." Louis Aragon
    20. "Tout ordre donné sans date limite d’exécution est sans valeur." Maréchal LYAUTEY
    21. "Le moment où l’on pense est aussi important que ce que l’on pense." Marc SCHWOB
    22. "On a toujours bien assez de temps lorsqu’on l’emploie bien." Johann Wolfgang VON Goethe
    23. "Ne laissez jamais le temps au temps. Il en profite." Jean Amadou
    24. "Le temps n’a pas de rive. Il coule et nous passons." Lamartine
    25. "Ne perds pas ton temps à gagner ta vie. Gagne ton temps, sauve ta vie." LANZA DEL VASTO
    26. "Qui s’embarrasse à regretter le passé perd le présent et risque l’avenir." QUEVEDO
    27. "Les idées ne sont pas faites pour être pensées mais vécues." André Malraux
    28. "Ne te laisse pas distraire par les événements extérieurs ! Prend le temps d’apprendre quelque chose de bon et cesse de papillonner !" Marc Aurèle
    29. "Vis le moment présent avec les leçons de ton passé et les rêves de ton futur." Paulo COEHLO
    30. "Le temps n’est jamais perdu s’il est donné aux autres." AL-MOUTANABBI
    31. "A celui qui ne sait vers quel port il navigue, nul vent n’est jamais favorable." Sénèque
    32. "Le temps mène la vie dure à ceux qui veulent le tuer." Jacques Prévert
    33. "Que de temps perdu à gagner du temps !" Paul MORAND
    34. "Si maintenant n’est pas le moment d’agir, quand viendra ce moment ?" HILLEL
    35. "Remettre à demain, cela finit mal." Shakespeare
    36. "Les gens sont la mesure du temps et le temps lui-même est la mesure de leur évolution." Jean O’NEIL
    37. "C’est parce qu’on s’imagine tous les pas qu’on devra faire qu’on se décourage, alors qu’il s’agit de les aligner un à un." Marcel JOUHANDEAU
    38. "C’est au moment où l’on n’en a pas le temps qu’on devrait se détendre." Sydney HARRIS
    39. "C’est un malheur qu’il y a trop peu d’intervalles entre le temps où l’on est trop jeune, et le temps où l’on est trop vieux." Montesquieu
    40. "La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer." Antoine de Saint-Exupéry
    41. "Nous n’avons rien à nous que le temps." B.GRACIAN
    42. "A chaque seconde, nous pouvons renaître. Chaque seconde peut marquer un nouveau départ. C’est un choix.
    C’est ton choix." CLEARWATER
    43. "La puissance ne consiste pas à frapper fort ou souvent mais à frapper juste." Honoré de Balzac
    44. "On ne peut admirer en même temps la lune, la neige et les fleurs." Proverbe japonais
    45. "Il y a plusieurs manières de perdre son temps : ne rien faire, mal faire ce qu’il faudrait faire, le faire au mauvais moment." Voltaire
    46. "Ce qui importe ce n’est pas le temps que l’on vit, mais ce que l’on fait du temps qui nous est accordé." Martin Luther King
    47. "La jeunesse est le temps d’étudier la sagesse, la vieillesse est le temps de la pratiquer." Jean-Jacques Rousseau
    48. "Se donner du mal pour les petites choses, c’est parvenir aux grandes, avec le temps." Samuel Beckett
    49. "Le temps présent n’est pas un passé en puissance, il est le moment du choix et de l’action." Simone de Beauvoir
    50. "Les enfants peuvent nous apprendre à profiter du temps qui passe plutôt qu’à regretter le temps qu’il fait." Christiane COLLANGE
    51. "Certains moments valent plus que des années. Il n’y a pas de proportion entre la longueur du temps et sa valeur. Cinq minutes peuvent contenir l’avenir de toute une vie." Dean ALFORD
    52. "Plus vous laissez de temps à un travail pour se réaliser, et plus il a tendance à prendre ce temps qui s’allonge pour se réaliser." Cyril NORTHCOTE Parkinson
    53. "Celui qui trouve sans chercher est celui qui a longtemps cherché sans trouver." Gaston Bachelard
    54. "Un homme qui ne passe pas de temps avec sa famille n’est pas vraiment un homme." Francis Ford COPPOLA
    55. "Tirez les leçons des erreurs d’autrui, car vous ne vivrez pas assez longtemps pour pouvoir les faire toutes vous-même." Eleanor Roosevelt
    56. "Sur la grande horloge du temps, on ne lit qu’un seul mot : Maintenant." Edward Everett
    57. "A la fin de sa vie, jamais personne ne se reproche de ne pas être resté suffisamment au bureau !" Dr. Wayne DYER
    58. "Les personnes sans but sont utilisées par celles qui en ont un." Maurice LEBLANC
    59. "Partir le matin de bonne heure se décide le soir." Proverbe MALINKÉ
    60. "Qui a le temps et attend le temps perd son temps." William CAMDEN
    61. "On a deux vies et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on n’en a qu’une." Confucius
    62. "Il est certes nécessaire de ne pas perdre son temps, mais il est plus nécessaire encore de bien savoir le prendre."
    Louis GUILLOUX
    63. "Une réunion est d’autant plus longue que l’ordre du jour est plus creux." Roger Martin
    64. "Rappelle-toi : l’unique personne qui t’accompagne toute ta vie, c’est toi-même ! Sois vivant dans tout ce que tu fais." Pablo Picasso
    65. "Ceux qui emploient mal leur temps sont les premiers à se plaindre de sa brièveté." La Bruyère
    66. "Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette." Confucius
    67. "Les sots parlent beaucoup du passé, les sages du présent et les fous de l’avenir." Marquise Marie du DEFFAND
    68. "Laisse chaque chose prendre sa place : laisse chacune de tes affaires prendre son temps." Benjamin Franklin
    69. "Faire trop longtemps la même chose, au même endroit, à la même heure, cela rend vieux." Christian BOBIN
    70. "Ne dites pas que vous n’avez pas le temps. Vous avez exactement le même nombre d’heures par jour qu’ont eu Pasteur, Michel-Ange, de Vinci ou Albert Einstein…" H. Jackson Brown
    71. "Ne pas avoir le temps de méditer, c’est n’avoir pas le temps de regarder son chemin, tout occupé à sa marche."
    Antonin SERTILLANGES
    72. "Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter." George Santayana
    73. "Si tu veux profiter de ta vie apprends à profiter de ta simple journée." Confucius
    74. "En tuant le temps on blesse l’éternité." Henry David THOREAU
    75. "L’avenir est porteur d’espoir, le présent est porteur de puissance." John Maxwell
    76. "Celui qui excelle à résoudre les difficultés, les résout avant qu’elles ne surgissent." Sun TZU
    77. "La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent." Albert Einstein
    78. "Il est temps de vivre la vie que tu t’es imaginée." Henry James
    79. "La meilleure façon de prédire l’avenir, c’est de l’inventer." Alan Kay
    80. "La lanterne de l’expérience n’éclaire que celui qui la porte." Confucius
    81. "C’est ce que nous sommes tous, des amateurs, on ne vit jamais assez longtemps pour être autre chose." Charlie CHAPLIN
    82. "Le temps vient à bout de tout, il est la patience en action." Reine Malouin
    83. "Vivre est si sensationnel qu’il reste peu de temps pour faire autre chose." Emily DICKINSON
    84. "Chaque instant de la vie est un pas vers la mort." Pierre Corneille
    85. "On peut tuer le temps ou soi-même, cela revient au même, strictement." Elsa Triolet
    86. "Qu’est-ce que cette vie si, rongés par les soucis, nous n’avons pas le temps d’ouvrir les yeux pour regarder." William Henry DAVIES
    87. "Une pile de papiers, c’est une suite de décisions non prises." Béatrice CARROT
    88. "Le jour où l’on décide d’agir est le bon jour pour commencer à agir." Proverbe japonais
    89. "Efforce-toi de ne pas être de ton temps." GEORG Christoph LICHTENBERG
    90. "Le temps d’une vie est la seule propriété de l’homme. Il faut l’utiliser pleinement, à fond. Créer une infinité de chemins dans cet espace fini." Sénèque
    91. "Mets à profits le jour présent." Horace
    92. "Un voyage d’un millier de kilomètres commence avec le premier pas." LAO-TSEU
    93. "Tout s’anéantit, tout périt, tout passe : il n’y a que le monde qui reste, il n’y a que le temps qui dure." Denis Diderot
    94. "A force de remettre à plus tard, la vie nous dépasse." Sénèque
    95. "Le temps, c’est un peu comme le vent. Le vent, on ne le voit pas : on voit les branches qu’il remue, la poussière qu’il soulève. Mais le vent lui-même, personne ne l’a vu." Jean-Claude Carrière
    96. "Le temps est le capital le plus rare, et si on ne sait pas le gérer, alors on ne peut rien gérer d’autre." Peter DRUCKER
    97. "Aimes-tu la vie ? Alors ne gaspille pas ton temps, car il est l’essence de la vie." Benjamin Franklin
    98. "Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi." Sagesse arabe
    99. "Heureux et libre est celui qui ose dire non !" Peter de GENESTET
    100. "Vivre, c’est changer du temps en expérience." Caleb GATTEGNO|

    Bonne journée. 
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir.
    — Une remarque sur votre retour du "22 décembre 07:31, par Robert Paris" : : Vous dites dans une belle phrase générale : : "Nous considérons qu’il y un seul monde et une seule science qui est philosophiquement à mettre au diapason de la réalité matérielle c’est-à-dire à la dialectique du réel ". (je n’ai pas encore lu ce qu’il y a dans ce lien).
    — Question : : Est-ce que le virtuel du quantique, qui vous est cher, est-il considéré comme matière et/ou réel ou autre ?

     Notre Monde du réel, n’est pas fait que du réel, et ce même sans quantique, car l’être humain à besoin de croire à autre chose que les autres et même que de lui-même, et de voir autre chose de ce qu’il y a autour de lui, comme ce dit réel. Il suffit pour cela de voir le nombre de sectes, et aussi le nombre de religions, qui ne sont pas des notions matérielles. L’esprit, la poésie, les rires, les pleures, et encore plein de choses ne sont pas matériel, Il peut y avoir absence de matière, mais l’être humain peut réfléchir et se poser des tas de questions. L’amour continue d’un être disparu, n’est pas matériel, l’amour et même la passion pour des êtres imaginaires, est une réalité sans matière. Je ne philosopherai pas d’avantage, car je n’ai pas assez de savoir, mais notre monde matériel n’est pas un tout. Il existe d’autres mondes par la simple pensée. D’ailleurs chaque religion à sa propre science, et donc il y a une multitude de sciences...

     On pourrait même dire qu’il y a une sorte de science des erreurs, car chronologiquement mon commentaire datant du "24 décembre 11:33, par JFP/Jean-François POULIQUEN" vient après le votre qui date lui du 24 décembre "15:27, par Robert Paris," dans votre liste des échanges en fin de l’article. La science des systèmes n’est pas fiable !!! C’est ce que l’on appelle un BUG qui est une erreur de programmation, comme l’écriture d’ailleurs où je fais moi-même des erreurs et des fautes.

     Pour revenir sur le temps et les vitesses, mes envois de Copier/Coller de sites sur les expressions ou proverbes utilisant la notion de temps, en dit plus long, que les physiciens eux-mêmes. Le langage courant définit mieux cette notion de temps, et ce n’est absolument pas pour vous nuire que d’avoir pris 3 listes de site au hasard. C’est simplement une évidence où le langage populaire défini mieux ce qu’est le temps que les scientifiques qui cherchent à savoir ce qu’il est.

     Autre remarque : : Dans le retour de votre part du "24 décembre 15:27, par Robert Paris." très court comme réponse votre première phrase est : : "« Je ne comprends pas par contre votre expression "un phénomène peut parfaitement se déplacer", car qu’est-ce qu’un phénomène ?? » dites vous notamment dans votre message (je m’excuse de prendre petit à petit vos arguments mais je répondrais à tout dès que possible).". Et bien ce n’est mon expression mais la votre, car je n’ai fait que reprendre votre expression dans votre retour du "24 décembre 05:22, par Robert Paris" disant ce ci : : "Par contre, un phénomène peut parfaitement se déplacer à plus grande vitesse comme l’a fait remarquer notamment le physicien LÉVY-LEBLOND. S’il s’agit d’un phénomène quantique, il y a saut et donc phénomène quasi instantané donc pas de limite de la vitesse de la lumière (exemple : effet tunnel)." Je n’ai fait que reprendre votre expression utilisant ce mot phénomène et m’interroger sur ce que veut dire ce mot, car pour moi un phénomène n’a pas de vitesse, car c’est un état de voir ou constater ou imaginer telle chose. Est-ce qu’une explosion ou un implosion de matière est un phénomène, et bien je dirai oui. Mais si l’explosion peut avoir une durée comme une vitesse de propagation, ainsi que l’implosion, le phénomène lui n’a ni durée ni temps, ni vitesse. Pour moi un phénomène est un fait inhabituel, mais ne porte pas d’attribut pour autant. Le phénomène de l’explosion de telle chose, et bien c’est l’explosion de telle chose où l’on donne des caractéristiques, mais pas dans le phénomène lui-même. Je pense que l’on emploie ce mot de phénomène c’est justement parce que l’on ne sait pas vraiment ce qui se cache derrière lui ;, et forcément on ne peut donner des attributs.

     D’après ce que je viens de lire sur Wikipédia pour le mot "phénomène", cela vient du grec voulant dire "apparence" et de l’ancien grec "faire apparaître". Et bien faire apparaître et même disparaître d’ailleurs, ne nous donne aucun temps, et on peut supposer que c’est de l’instantané, ce qui n’est pas raisonnable en physique. Pour ma part un "phénomène est un fait non vraiment explicable et ne portant pas de caractéristique. Vous devez sûrement penser que j’épilogue, ou que je cherche la petite bête, mais rien de tel, car j’apprends seulement et simplement. Et il n’y avait aucune ironie de ma part en me posant la question si un phénomène à une vitesse, car pour moi un phénomène est un État, un État de fait, un État de fait sans temps ni vitesse. Mais comme déjà dit j’apprends, et après tout je me plante peut être, et je ne veux rivaliser personne, mais j’ai sûrement des idées autres que la plus part des scientifiques, car je ne connais pas grand chose, et c’est sûrement un avantage d’avoir une vision grossière et par survol, car l’imagination déborde.

     Il faut du temps pour comprendre et répondre, mais cela fait plus d’un siècle que cela dur !!!
    Bonne soirée. 
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Juste sur un point pour commencer, le phénomène n’est pas qu’apparence. Lire ici sur le phénomène

      Voici, par exemple, comment Einstein pose le problème du phénomène dans « L’évolution des idées en physique » : « Les concepts physiques sont des créations libres de l’esprit humain et ne sont pas, comme on pourrait le croire, uniquement déterminés par le monde extérieur. Dans l’effort que nous faisons pour comprendre le monde, nous ressemblons quelque peu à l’homme qui essaie de comprendre le mécanisme d’une montre fermée. Il voit le cadran et les aiguilles en mouvement, mais il n’a aucun moyen d’ouvrir le boîtier. S’il est ingénieux il pourra se former quelque image du mécanisme, qu’il rendra responsable de tout ce qu’il observe, mais il ne sera jamais sûr que cette image soit la seule capable d’expliquer ses observations. Il ne sera jamais en état de comparer son image avec le mécanisme réel. C’est une des grandes choses accomplies par Kant d’avoir reconnu qu’il n’y aurait pas de sens de poser un monde extérieur réel sans cette compréhensibilité. »

      Un mot à propos des pensées humaines. Font-elles partie du monde réel ? Les particules virtuelles font-elles partie du monde réel ?

      Oui, oui !! Tous les niveaux d’existence en font partie. Ce qui vous gène, c’est que vous recherchez un univers sans contradiction et que vous ne pouvez pas le trouver : les niveaux hiérarchiques d’organisation de la matière sont dialectiquement contradictoires !

      Par exemple, un gaz est à une température donnée mais les particules qui le composent n’ont aucune température.

  • Bonsoir.
     Réponse : : sur ce que vous dites au "26 décembre 07:39, par Robert Paris." par rapport à un gaz, me semble curieux, car vous dites qu’un gaz à une certaine température, mais que les particules qui le composent n’ont pas de température. J’avais cru comprendre que le vide de l’espace et ce même en astronomie, que la température n’était pas de celle du zéro absolu, mais d’environ 3K. Et pourtant dans ce vide, il ne devrait pas y avoir de particule, car ce vide est supposé être sans particule de matière et pourtant ce vide de l’espace à une certaine température. Il est dit que ce sont les photons qui baignent tout notre Monde et que ces photons sont ceux du fond diffus cosmologique, c’est à dire des photons issus en gros quelque temps après le Big-bang. Bien sûr, je ne crois pas à cette version d’une certaine température du vide de l’espace fonction de ces photons résiduels du début de notre monde, et la raison est assez simple, car si vous construisez une boite ne laissant pas passer ces photons, et que cette boite se trouve dans le vide de l’espace, loin de toutes matière, et bien à l’intérieur de cette boite on devrait approcher au plus haut point ce zéro absolu, et je ne pense pas que cela soit une vérité. Ce qui veut dire que l’espace vide de toute matière n’a pas une température du zéro absolu, ce qui veut dire aussi que les particules formant des molécules constituant un gaz quelconque, ont forcément une certaine température qui n’est pas ce zéro absolu, car si ces particules de gaz étaient au zéro absolu, cela serait contradictoire par rapport au vide dans lequel elles baignent. Mais avant de vous répondre plus profondément, je crois qu’il va falloir, que je vous lise car je pense que vous avez forcément fait des articles concernant la température et donc aussi sur cette chaleur.

     Je ne pense pas chercher un Monde sans contradiction, car le terme d’univers que vous avez employé à pour moi, un autre sens et qui correspond à une infinité de Mondes comme le notre ou différents du notre. Les effets de la matière ne sont pas contradictoire, mais ce sont les hommes qui eux le sont avec leur interprétations et aussi de leur évolution fonction des trouvailles qu’ils font. À l’époque de Descartes il n’y avait de mécanique quantique, et si je vais plus loin en remontant le passé et des sciences des hommes, la compréhension de notre Monde était encore différente que celle que nous avons aujourd’hui, sachant de toutes façons que nous comprenons toujours rien. Les contradictions viennent bien de celles des hommes et non de l’état du monde, car se monde continue son bonhomme de chemin, sans s’occuper des hommes, et ce monde évolue indépendamment de ces hommes sur terre, et peut être même de cette forme de vie ailleurs. Le monde est une évolution, sûrement avec ses règles précises et en même temps chaotiques, mais le chaos amène aussi à l’ordre. Le problème des humains, c’est qu’ils n’ont pas compris cette évolution progressive de notre monde, car les inquiétudes viennent d’une fin du monde sous différents scénarios. Que l’expansion de l’espace est non comprise, que ce fameux Big-bang est toujours bancale quand on s’approche de l’instant zéro, que ce fond diffus cosmologique nous révèle en fait strictement rien, car notre vrai monde n’est pas celle bulle de temps de 15 milliards d’années de rayon environ, que des tas de choses, où ces scientifiques sont partagés, et que les contradictions ne viennent pas de notre monde mais d’eux. Je ne suis absolument pas contradictoire, mais ce sont ces scientifiques et même les philosophes qui le sont. Quand on dit que la ligne est une infinité de points, ou de segments, et bien cela ne veux rien dire, car le seul point ponctuel à lui tout seul est déjà une infinité de points en lui même. Si c’est cela la géométrie dont on nous parle et bien elle est contradictoire, car elle ne veut rien dire, c’est un peu comme rajouter une quatrième dimension à l’espace qui serait le temps. Et là encore c’est contradictoire, car le temps n’est pas une dimension supplémentaire. J’ai simplement une compréhension de notre monde qui n’est pas la même que les autres car je me suis construit mon monde avec des règles qui ne sont pas celles des scientifiques.

     Je vous remercie encore de me répondre, car j’ai l’impression d’être et donc d’exister, et pourtant mon existence est sans culture car j’ai dû lire 4 livres dans toute ma vie, mais les connaissances ne sont pas pour autant des idées et des raisonnements, car se ne sont que des connaissances qui quelque fois sont sans réflexion. La quantité ne défini en rien la qualité.
    Bonne soirée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • « Quand on dit que la ligne est une infinité de points, ou de segments, et bien cela ne veux rien dire, car le seul point ponctuel à lui tout seul est déjà une infinité de points en lui même. Si c’est cela la géométrie dont on nous parle et bien elle est contradictoire, car elle ne veut rien dire. »

    Contradictoire au sens de la logique formelle n’est pas contradictoire au sens dialectique...

    Lire ici

  • Bonjour .
    — Ha ben dis dont, ou encore ha bas dis donc (Normandie) ... Comme il y a sûrement d’autres phrasés de ces expressions locales qui ne veulent pas dire grand choses, sauf l’étonnement.
    — Étonné ça c’est sûr, que je sois étonné par vos réponses, car vous m’attribuez une certaine vision de voir les hommes et le monde, comme si j’étais à mettre dans tel type de case. Voici une de vos phrase "Ce qui vous gène, c’est que vous recherchez un univers sans contradiction et que vous ne pouvez pas le trouver". J’ai l’impression d’avoir a faire à un psychiatre moraliste connaissant tout. C’est franchement curieux, car j’aborde ces physiques sans vraiment les connaître, mais je me permet de juger certains écrits où j’ai des réflexions pour dire que c’est n’importe quoi, et en l’occurrence sur une géométrie qui dépasse ma compréhension, car pour moi à un point correspond à une infinité de point, à un segment de ligne correspond une infinité de segments de lignes, à une surface donnée correspond une infinité de surfaces... Mais maintenant que l’on essai de découper une ligne en points, et bien cela pour moi, ne veux strictement rien dire. Quand il n’y a pas de dimension, le seul objet pouvant rentrer dans cette non dimension est le point, ou une infinité de points. Donc rien d’extraordinaire. Si c’est un segment ou ligne et donc d’une dimension , et bien d’autres lignes ou segments peuvent être confondus, mais les points non strictement rien avoir avec les lignes ou segments.... sauf qu’à un segment et à une seule extrémité peut correspondant une infinité de points... Pour reprendre cette même phrase, et bien rien ne me gêne, car je suis simplement étonné que des grands mathématiciens disent n’importe quoi, mais cela ne me gêne en rien, car je m’en moque un peu, mais cela est surprenant.

     Pour continuer sur cette même phrase et son complément "vous recherchez un univers sans contradiction", et bien je ne cherche rien du tout, car je me suis fait mon propre monde que j’ai forcément trouvé par la pensée, car j’en parle justement, et quand on trouve il est alors inutile de rechercher à nouveau, sachant que rechercher veut dire de chercher de nouveau, et donc de rechercher de nouveau veut dire chercher de nouveau de nouveau, comme j’ai pu comprendre que de dupliquer le mot ou la notion est sans doute devenu une réforme philosophique ou scientifique, car le virtuel du virtuel est bien dans cet esprit. D’ailleurs sur les termes eux-mêmes je suis en contradiction, car je critique les mots employés dans cette science et leur dérive, car si la mécanique quantique n’a pas voulu utiliser ce mot Éther mais vide de l’espace, mais pour mettre quelque chose dans ce vide ; on se demande pourquoi ce vide qui devenu plein, continue à s’appeler vide, et qu’il aurait été plus judicieux de donner un mot inventé plutôt que de garder ce mot de vide. C’est comme si je disais que ma bouteille est vide d’eau, en parlant de son contenu d’eau. Si il y a de l’eau c’est qu’elle n’est pas vide justement, mais la dérive fait que l’eau devienne du vide... Le terme virtuel est aussi aberrant, car il devient du réel, et si pour un lecteur ne connaissant peu la physique, lisait ces notions que la physique quantique en a fait et bien là cela serait CONTRADICTOIRE à sa compréhension, car il lirait des mots qui veulent dire exactement le contraire de sa définition. C’est donc bien les physiques qui dérivent, et plus exactement ses rapporteurs, qui donnent un sens contraire à ce qui est. Il suffit de voir le chat de je ne sais plus qu’elle personne pour dire qu’il est mort et vivant, car en fait c’était un CHIEN !!! Ce qui change tout !!! Il vaut mieux s’amuser de ces contes de physiques et de son vocabulaire scientifique très puissant pour se rendre compte, que les mots usuels changent même complètement de signification. Ainsi cette expression de virtuel de virtuel, que je ne connais pas encore ce que cela veut dire, et bien je lirai pour apprendre sûrement encore des contradictions, sur cette notion. Il y a tellement de mots inventés rien que pour ces physiques depuis quelques années, que maintenant on en détourne le langage courant, ce qui fait que la compréhension devient difficile. Je pense que le feu de feu, le rien de rien, le néant de néant, est aussi stupide que le virtuel du virtuel, sans avoir encore lu ce que cela veut dire. Et pourtant cette expression "Un rien du tout" ne veut rien dire, mais elle est belle, car un rien d’un tout est franchement poétique sans parler de philosophie. Peut être que le tout n’est rien !!!

     Pour continuer sur mes phrases et les vôtres : : "« Les contradictions viennent bien de celles des hommes et non de l’état du monde. » dites vous, manifestant par là à quel point nous divergeons philosophiquement même si le terme vous déplaît et que votre culture rejette toute philosophie. Vous en défendez bel et bien une." Et bien le terme de contradiction comme de contradictoire ne me déplaisent en rien, pour dire simplement que ce ne sont pas les mots qui me déplaisent mais le sens contraire que l’on veut leur donner. Et puis les hommes se contredisent eux-mêmes et suivant les époques, car à une période de notre existence c’est comme cela, et un siècle après c’est comme ceci et donc autrement... La contradiction vient bien de l’homme et sa compréhension avec le monde, mais le monde hors de ces hommes n’a rien de contradictoire, même si sur des échelles différentes, les effets physiques peuvent être contradictoires. On se doute en prenant l’exemple de la capillarité où l’eau vient remonter sur les bord d’un récipient et qui se voit à l’œil nu, ne peut être équivalent à une échelle supérieure, car la mer ne vient pas remonter sur ses cotes bordées de roches et falaises. Les effets sont totalement différents et vérifiable a notre échelle, et pourtant rien n’est contradictoire. Que la matière s’organise de telle façon à telle grande échelle comme cette structure filamenteuse, et complètement autrement à très petite échelle, n’a rien de contradictoire, car la mécanique n’est pas la même et heureusement d’ailleurs.

     Vous parlez de ma culture, et cela est assez comique, car je vous ai dit que je n’avais aucune culture, et pour vous le redire je dirai même en parlant de moi-même que je ne suis qu’un petit crétin qui veut découvrir les physiques, du moins ce qu’on en dit, pour essayer de comprendre les notions dont elle décrit. Comme déjà dit, la science n’a pas répondu à mes questions d’enfant de 8ans, et 60ans c’est écoulé sans quelle me donne la moindre réponse sur mes interrogations. Comme pas de réponse de ces physiques, et bien ayant maintenant du temps libre car retraité, j’ai simplement répondu à mes propres questions, sans pour autant avoir dévoré des textes, des écrits sur quoi que ce soit. J’ai donc imaginé et chercher de trouver des réponses à mes questions d’enfant, et j’y suis simplement arrivé, car je me suis construit mon monde, ou plus exactement j’ai construit une autre physique que celles existantes. Bien sûr j’avais quelques notions de ces physiques, car je lisais quand même quelques revues scientifiques de vulgarisation, qui ne sont qu’une approche lointaine de celle des vrais physiciens, car les rapporteurs que sont ces journalistes scientifiques embellissent toujours, et il faut en prendre et en laisser. En tout cas j’ai suivit de loin la science, pour simplement savoir si il y avait des nouveautés, et bien totalement déçu, car les thèmes sont toujours les mêmes mai redits sous de formes différentes et posant toujours les mêmes interrogations.

     Il est assez curieux que vous me jugiez par les simples échanges que nous avons eu, d’autant que je vous ais déjà dit qui j’étais c’est à dire rien ou presque rien sans aucun diplôme et ayant traversé le temps d’un travail d’informaticien sur une période de 40ans et ayant réussi à ne pas être viré malgré mon handicape de diplôme inexistant, mais par contre vous qui êtes vous ?? Il est assez curieux d’être scientifique d’après vos écrits et ne pas vous présentez, car sur ce site je n’ai pas trouvé qui vous étiez comme aussi les personnes écrivant aussi sur ce site. D’autant que le nombre de pages de votre site est monstrueux et aborde des tas de notions physique, comme aussi son histoire, car vous faites aussi office d’historien, et même de biographie sur certaines personnes, donc un travail assez fou prenant énormément de temps, sachant que l’on ne sait toujours ce qu’est ce temps.

     Je ne cherche en rien de rivalité, mais je vous questionne car cela est possible, et que ma culture et surtout mon caractère se traduisent comme étant dur en écriture, sans méandre, car direct, ce qui veut dire que je ne suis pas diplomate, mais je ne cherche en rien les malentendus, ou encore la supériorité, car j’ai simplement des idées sur ce monde qui sont miennes, et je ne suis en rien philosophe, car je n’embellis strictement rien, car j’écris sèchement sans fioriture, et cela peut être compris comme une forme d’agressivité, mais qui n’est pas du tout ce que je veux exprimer. Toutes les citations de ces personnes reconnues sont réfléchies, et bien les miennes sortent sans même vraiment réfléchir, c’est à dire que je pourrais dire blanc aujourd’hui et peut être noir demain, mais en fait je dis du gris, car je n’ai pas cette science infuse, car mes convictions peuvent être remises en causes sans trop de difficulté, si on me prouve que mes idées sont fausses, mais faut-il avoir du répondant et me prouver que j’ai tord et que je fasse fausse route. L’avantage d’être candide est que les informations que vous prenez ne sont pas encore ancrées, et que celles-ci peuvent s’évaporer comme elles sont venues pour en mettre d’autres. C’est tout l’avantage du survol, même si je dis des bêtises. Car vous connaissez alors des notions sans pour autant les avoir approfondies, et donc que ces notions ne correspondent pas forcément à des effets dictés par les sciences, mais vous permet d’y mettre ce que votre imagination vous dicte, sachant que votre imagination est déjà vous-même, mais qu’en vous sont déjà plusieurs personnes.

     Vous allez sûrement être surpris, mais ce mot de dialectique qui d’ailleurs revient souvent dans ce que j’ai pu lire de vos articles, et bien ce mot, je ne sais même pas ce qu’il veux dire. Je suppose que la racine est dialecte, c’est à dire langage, signe... Je viens à l’instant de rechercher sur internet ce groupe de mots " dialectique définition" et bien la première phrase est "Ensemble des moyens mis en œuvre dans la discussion en vue de démontrer, réfuter" et la deuxième phrase est ’"Marche de la pensée reconnaissant le caractère inséparable des propositions contradictoires (thèse, antithèse), que l’on peut unir dans une synthèse.". Et bien FICHTRE !!! Si dialectique veut dire de reconnaître ce qui est contradictoire, et bien je me sent dialectique car je reconnais les différentes échelles de ce monde. C’EST FOU !!
    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir.

    __Suite à votre recommandation du "27 décembre 03:57, par Robert Paris" où vous me conseillez non pas d’aller voir ailleurs mais par ce raccourcis, ’’A lire si cette question des contradictions du réel vous intéresse." et aboutissant a cette page particulière : : https://www.google.fr/search?hl=fr&q=contradictions+dialectiques+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.fr+OR+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.org&btnG=Recherche&meta=
    qui est une page redonnant d’autres pages de votre propre site, et en voici la liste : :
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1587 : :
    "Contradictions dialectiques"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3098 : :
    "Contradictions diamétrales et contradictions dialectiques"
    — https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4963 : :
     "Les contradictions dialectiques de l’individu et du groupe"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article572 : :
     "Qu’est-ce qu’une contradiction ?"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4437 : :
     "Evolution des espèces et contradictions dialectiques"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4293 : :
     "Les contradictions dialectiques de la connaissance humaine du monde"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4444 : :
     "Ceux qui veulent nous enfermer dans des contradictions diamétrales en politique"
     http://www.matierevolution.org/spip.php?article2970 : :
     "Définition est négation - la dialectique du concept"
     https://www.matierevolution.fr/spip.php?article89 : :
     "Les lois économiques obéissent à des contradictions dialectiques"
    Et bien la première page me pose problème par certains mots que voici : : ’hégélianisé’ et "alales", car ces mots n’existent simplement pas !!!
    — Pour https://fr.wiktionary.org/wiki/h%C3%A9gelianiser : : ’hégélianiser’ : :
    "C’est la rupture avec toutes les versions hégelianisées du marxisme au profit d’une interprétation qui s’accommode en fin de compte plus facilement de l’orthodoxie du Parti. — (Monique Hirschhorn, ‎Julien Freund, Max Weber et la sociologie française, 1988)
    À cet égard, je ne peux que rappeler en un mot le projet poursuivi par Joseph Margolis de hégelianiser Darwin et de darwiniser Hegel. — (site www.academia.edu)
    Le marxisme « hégelianisé » ne semble pas sans rapport avec la domination réelle caractérisée par l’accumulation intensive. — (site lamaterielle.chez-alice.fr)
    Raisonner à la manière de Hegel."
     Si je devais parler de "Pouliquenien", ou de "Pouliqueniser" je pense que vous ne comprendriez rien, car justement cette science de l’histoire s’accorde d’inventer des mots n’existant pas, et il en va même pour ces physiques, car avec les préfixes thermos, anti, prime, proto, pré... et j’en passe, et bien nous avons de l’antimatière au lieu de l’anti-matière, car même si cette antimatière est acceptée et reconnue comme un vrai mot (on se demande pourquoi ?) pourquoi alors "antiphoton" ne l’est pas, comme "antinéant", "antitout" et pourquoi pas "antivide" qui conviendrait à merveille à cette mécanique quantique, et d’autres mots communs d’ailleurs. La philosophie regorge de ces mots absurdes qui n’ont aucun intérêt, et n’apporte strictement rien sauf justement l’incompréhension. J’ai survolé certains de vos articles où il y avait des échanges et dans ces échanges des prime-matière voir même des "primematière", et même des prime à presque chaque mot, comme encore des "protomatière" comme pourquoi pas des "thermomatière". J’ai même rencontré de la "prématière" au lieu de pré-matière mais sur un autre site que le votre. Je dirai qu’il est préférable d’avoir des anti-enclumes car bien trop lourd tout cela !!! En tout cas "L’agraindissement" me donne des maux de tête, même si ce mot est "comprenable" comme "comprenable" ne l’est pas. Ayant déjà un vocabulaire restreint et limité, je me heurte donc à ces mots que je ne comprends pas et qui de plus sont des faux !!! Voici encore quelques mots qui sont des inventions : : "thermodiffusion" : : et ce même si on comprend que c’est la diffusion de la chaleur, et bien ce mot n’existe pas et même "thermo-diffusion" qui n’existe qu’à moitié, mais qui aurait dû être thermos-diffusion qui lui aussi n’existe pas mais qui aurait dû existé, et encore "parménidienne", comme "antiélectron" (...)"sursommées" (…) ’’décohèrent" (…) "décohérentes"(…) "dendragate"(…) "chalcédoine"(…) "lapidifique"(…) "organismique" (…) "subjectivise" (…) "groupir" (…) "l’expansodynamique" (…)"spinex" (…) Ces mots sont souvent dans des citations ou dans les correspondances des lecteurs...
     Vu le nombre de pages à lire, je n’ai pas vraiment été visiter ces pages, car mes priorités sont les notions plus Basic des physiques, comme la masse (où j’ai des choses à dire), la charge, E=MC2 (où j’ai des choses à dire), la gravitation, les champs physiques, la dualité, l’énergie, la notion granulaire, le Big-bang, l’expansion, matière noire ou sombre, sur les particules en général, le spin des particules où je ne comprend rien, les photons, et des tas de notions où vous avez sûrement écrit des articles que je n’ai pas encore lu, mais je reviendrai plus tard sur vos pages en recommandation. Ne voyez pas de mauvaises critiques sur les mots que j’ai citer et que j’ai non trouvés, car j’ai perdu mon temps à essayer de connaître leurs définitions. Si il existe un ou des dictionnaires plus spécialisés pour ces mots sans doute spécifiques, et bien j’espère que vous me donnerez des adresses internet. Ce qui est navrant c’est que dans tel dictionnaire un mot peut être défini, et non dans d’autres dictionnaires. Je n’ai pas encore essayé le dictionnaire du scrabble sans définition, mais je pense que ce dictionnaire du scrabble regorge de mots même spécifiques, et donc c’est à voir.
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir.
    ___En réponse à votre retour du : : 27 décembre 16:30, par Robert Paris.
    ___Vous n’avez pas à vous auto flageller car vous êtes instruit et de plus vous écrivez des choses très intéressantes. ___Pourquoi ce mépris de vous même ? Pour ma part c’est différent car je ne connais rien ou presque, mais je suis surpris quand même de moi-même de pouvoir écrire maintenant plus ou moins normalement, car quand j’étais enfant une faute à chaque mot, et donc des zéros systématiques en dictée. Ceci est tellement vrai que j’ai eu mon CEDRTIF au bout de la troisième fois (Faut le faire), et après plus de diplôme sauf un CAP de fraiseur à l’age de 17ans en formation professionnelle qui ne m’a servit qu’un mois dans mon existence.
    ___Pour être clair, je suis un enfant de presque 68 ans, et je débute mon éducation scolaire par le biais d’internet, car il n’est jamais trop tard, pour apprendre. Il faut donc me retrancher 60ans et ce faisant j’ai 8ans. J’attends donc mes 10ans avec impatience pour parler avec SAUCHON. Sachez que je ne me fâche en rien, et je ne sais pas pourquoi vous me dites cela. Sûrement encore mon écriture, où la forme semble être celle de l’agressivité, mais qui en fait n’est pas.
    __Donc pour l’instant et pour le redire, je ne suis qu’un petit crétin qui veut découvrir les physiques, et plus grand quand j’aurai 10ans et bien j’aurai appris des choses et je serais moins crétin.

    Bonne soirée et merci de votre retour.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • ▬JFP¦¦20210629¦¦Bonjour. Suite au message précédant du 21 juin 2021 1347 du même article sur l’autre base.
    ▬Nouveau concept pour comprendre ce que sont les relativités de Einstein comme celle de Galilée.
    ▬J’ai trouvé un concept qui permet d’éliminer les déformations en dilatation du temps et des contractions des longueurs, qui sont liés aux relativités de Einstein définissant des référentiels. C’est un concept simple et sans mystère qui résout l’incompréhension de ce que sont les relativités de Einstein, et donne du coup une explication vraiment physique et non imaginaire non comprise. Le temps comme les longueurs ne se déforment pas, car c’est nous qui sommes déformés à ne pas comprendre la simplicité !!! Cela remet aussi en cause la relativité de Galilée reprise par Einstein, ce qui n’est pas des moindres, car nous pouvons savoir si nous sommes fixes dans l’espace et sans masse importante autour de nous, ou justement ses contraires. Je remets donc en cause les visions de voir les relativités de Einstein, Lorenz, Poincaré, Larmor, et même Galilée, car il suffit d’une petite étincelle pour comprendre plein de choses.... Bien sûr les équations de Larmor, Lorentz, Einstein sont bonnes, car elles donnent les résultats attendus et bien vérifier, mais ces équations ne sont que des équations d’effets, et ne donnent pas les causes de ces effets, et c’est bien le problème physique à expliquer pourquoi ces équations sur le temps ou sur la gravitation sont réellement adéquates aux calculs, mais ces calculs ne nous donnent pas les causes de ces effets, car pourquoi quand on va vite, le référentiel change son temps et sa réalité de voir autrement, pourquoi les masses font de même ? Avec des équations sophistiquées de relativité restreinte ou générale, nous n’avons pas la moindre idée physique des causes de ces effets, car dire que le temps et les dimensions se déforment ne résout en rien la compréhension de ces phénomènes...
    ▬D’où viennent les notions de la dilatation du temps et des contractions de longueurs ?
    ▬Je voudrais remettre en cause la notion de dilation du temps comme aussi la notion de contractions des longueurs qui vont de paire. Ces notions sont liées à la relativité restreinte comme aussi à la relativité générale de Einstein, où ces notions sont utilisées pour calculer les effets à partir de référentiels en vitesse et/ou à partir de masse. Avant Einstein il y a eu un certain Lorentz et ses facteurs aidés par Poincaré, mais avant Lorentz et Poincaré il y a eu quelques années avant un certains Larmor physicien qui avant trouvé avant Lorentz et Einstein, ces notions particulières de déformations du temps et de longueurs. Einstein a repris les formules de Lorentz en donnant d’autres explications différentes, et Lorentz et Poincaré ont repris aussi ce qu’avait trouvé Larmor sur les électrons, mais Lorentz et Poincaré ont généralisé les formules, en donnant les facteurs de Lorentz.
    ▬Temps et longueurs ne se déforment pas suivant les référentiels mais ce sont les fréquences qui se déforment !!!
    ▬Des expériences ont été effectuées pour nous montrer que des horloges atomiques embarquées dans des fusées allant assez vite, avaient pris du retard par rapport aux mêmes horloges atomiques restées sur terre servant de référence, et synchronisées entre elles au départ. On attribut cela à la déformation du temps et des longueurs, mais en réalité, il n’y a pas de déformation du temps comme déformation des longueurs, car ce qui c’est déformé ce sont les fréquences !!!
    ▬Quoi de plus simple que déformer les fréquences des atomes plutôt que le temps et les longueurs, car la vraie explication est bien celle là, car ces fréquences d’atomes subissant des vitesses anormales ont simplement ralenti. Ni le temps, ni les longueurs sont en cause, seules les fréquences des matériaux ont subit un ralentissement de leur propre fréquence. Le fait de se baser sur les fréquences des matériaux pour définir la seconde, on comprend alors, que si les référentiels particuliers, déformant initialement comme il était dit le temps et longueur est faut, et cela n’est que les fréquences des matériaux qui ont réduit ou augmenter, et la notion de seconde basée sur le nombre de périodes et donc de fréquence de matériaux, ne fonctionne plus. Ainsi ce beau césium et sa belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée, ne bat plus de la même façon mais sa fréquence à diminuée ou augmentée, et la seconde est complètement faussée car rallongée et dilatée ou au contraire contractée !!! Ce concept de déformation dilatée/contractée des fréquences des matériaux est relativement très simple conceptuellement à comprendre et même physiquement, et élimine du coup le temps dilaté et les longueurs contractées. Plus les vitesses sont grandes ou plus les masses sont importantes, et plus les fréquences des matériaux réduisent, ce qui semble très simple, logique et même physique. À l’inverse une fusée ou objet situé à quelques kilomètres de la terre et sans rotation autour de celle-ci et donc stationnaire, verrait son temps se contracter et ces longueurs d’allonger, ce qui veut dire simplement que les fréquences des atomes battraient plus rapidement, car la gravitation de la masse de la terre agirait moins sur l’atome. Donc plus on s’éloigne de la terre en considérant de ne pas tenir compte de la vitesse, et plus les fréquences des matériaux battent de plus en plus vite, car les fréquences augmentent. Maintenant si on conjugue les deux notions de vitesse et de gravitation, plus on s’éloigne de la terre, et plus la fréquence augmente, car on subit de moins en moins la gravitation, mais comme la vitesse joue aussi sur l’atome, plus on va vite et plus les fréquence diminuent, et il y a donc conjugaison des deux phénomènes, car l’un augmente la fréquence, et l’autre la réduit.
    ▬Que veut dire des fréquences d’atomes dilatées ou même contractées !!!
    ▬Une fréquence dilatée veut dire que le battement des atomes (structure fine ou hyperfine) par périodes est moindre, ainsi le temps dont on dit qui bat la mesure est faux, car le temps ne bat aucune mesure, ce sont des mécanismes cycliques réguliers et perpétuels qui battent la mesure, et donnent des fréquences pour pouvoir mesurer le temps. Mais justement les mécanismes réguliers que l’on utilise, par le biais de l’atome, pour mesurer le temps, peuvent se dérégler en battant moins ou plus vite par leur fréquence habituelle suivant les référentiels utilisés. Donc on se fie à l’atome pour mesurer le temps, mais ces atomes peuvent changer de fréquences suivant les référentiels. On est donc obligé de réadapter des fréquences que l’on croyait immuables fonction d’autres référentiels. Notre référentiel sur terre, est un référentiel comme tous les autres, mais spécifique à notre environnement de masse de la terre et de sa rotation comme de sa révolution, et aussi des astres autour, et c’est à partir de cela, que l’on fixe des valeurs et même des constantes dites universelles, mais en montant en altitude de quelques mètres, notre référentiel de référence, n’est déjà plus le même. On comprend alors les difficultés à définir des constantes que l’on dit universelles et fiables, car en réalité certaines constantes sont faussées, car c’est l’environnement qui doit être reproduit et respecté pour avoir une définition du temps. Peu importe les matériaux utilisés et leurs fréquences, car le vrai problème est de définir les caractéristiques de l’environnement définissant un référentiel de référence. En réalité il n’y a pas de référentiel spécifique pour calculer le temps, car chaque référentiel possède ses fréquences d’atomes et donc son temps. Je pense que les organismes des poids et mesures ont du pain sur la planche, car cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz du césium 133, qui est un beau nombre entier, n’est valable que dans des conditions particulières sur terre. Donc de fixer une fréquence de référence n’est pas suffisant, car il faille fixer aussi son environnement. En montant en altitude par rapport à la surface de la terre, la fréquence de ce césium 133 devrait battre plus rapidement, car on échappe à la gravitation de la terre, mais il faut tenir compte aussi de la vitesse d’échappement qui elle réduit la fréquence de ce même matériau. Les satellites géostationnaires à une certaine altitude, le césium 133 devrait battre plus rapidement, car même si la vitesse de rotation est plus grande qu’à la surface de la terre, il y a aussi une diminution de la gravitation qui est plus importante que la vitesse. Quand je dis que le temps n’est qu’un mécanisme cyclique simple et régulier, on comprend facilement que la simplicité n’y est pas du tout, car il faille des tas de paramètres pour évaluer d’autres fréquences suivant d’autres référentiels, comme ces simples satellites autour de la terre. Si on peut comprendre que le temps est une notion très simple à comprendre par des mécanismes cycliques réguliers, l’ajuster est d’une grandeur extrême.
    ▬Conséquences de ce petit concept de déformation des fréquences d’atomes.
    ▬Ce petit concept remet plus de choses en cause que l’on croit, car ces beaux instruments que sont les interféromètres, ne mesurent pas vraiment le temps comme les longueurs, mais la fréquence des atomes par le biais de la lumière. Cela est quand même assez curieux, de construire des instruments très sophistiqués et performants pour mesurer les ondes gravitationnelles, et de nous montrer des déformations de longueurs sur des objets imaginaires, alors que les dimensions seront exactement les mêmes, car ces instruments destinés à mesurer les déformations du temps et aussi de longueurs, mesurent en réalité les fréquences des atomes dont ils sont constitués. Bien sûr on pourrait dire que le temps est quand même déformé, mais cela est une totale erreur, car ce qui se déforme ce sont bien les fréquences des atomes donnant la mesure du temps. Donc pour généraliser, la mesure du temps est propre à chaque référentiel, c’est ce qui est donné par les relativités de Einstein, mais il faille attribuer des modifications de fréquences d’atomes adaptés à la définition de la seconde. Cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée pour le césium 133, n’est valable que dans notre référentiel sur terre, car si nous étions sur une autre planète du système solaire, cette fréquence ne serait plus la même à quelques périodes près. Ce que j’aime dans ces définitions de constantes, est qu’elles sont universelles, et là je trouve cela poussé comme termes, car cette fréquence de césium 133, n’a aucun rapport avec l’univers, car cette constante n’est valable que pour notre référentiel sur terre, et encore, car un écart d’altitude d’un mètre, donne un référentiel différent. On s’aperçoit que de mesurer le temps, n’est pas une chose facile, car chaque référentiel à son temps propre, mais en réalité à ces fréquences propres. Donc de définir une constante de fréquence de ce césium 133, n’a rien d’universel, car pour utiliser sa fréquence, il faut être dans des conditions très spéciales, où la fréquence sera de 9 192 631 770 Hz. On peut dire que de ce baser sur l’atome pour mesurer le temps, n’est pas plus fiable, que de voir tourner des objets célestes ayant une rotation ou révolution régulière, car cela dépend du référentiel qui regarde ces objets. Ici la notion de relativité prend tout son sens, car suivant notre référentiel et notre regard sur d’autres référentiels différents, les rotations et révolution d’objets célestes ont une certaine fréquence, mais si nous adoptions un autre référentiel, le regard sur ces mêmes objets célestes serait différent. On est même en droit de se poser la question à savoir si il existe un référentiel absolu.... Mais ils existe des endroits dans le cosmos où ces référentiels absolus sont vrais, mais sont hors de nos portées, car il faille sortir des galaxies, et même plus, car il faille sortir des filaments de galaxies qui forment des bulles de vide sans matière, où entre ces filaments ou dans ces bulles, les masses ne perturbent pas le vide qu’est l’éther qui correspond à une gravitation pure sans modification de densité du vide par des masses.
    ▬Autres conséquences des variations de fréquences d’atomes.
    ▬Le paradoxe de Langevin ne devient plus un paradoxe et donc s’envole, car effectivement la réalité nous montre déjà que le vieillissement peut être ralenti, simplement en changeant notre métabolisme. Les tortues terrestres s’enfouissant dans la terre pendant quelque mois, changent leur métabolisme au niveau de leur horloge biologique interne, et ce sans utiliser la relativité restreinte ou générale de Einstein. Quand elles se réveillent et sortent de leur trou, on peut dire qu’elles sont dans le futur, car elles ont subit le temps différemment au ralenti que celles qui ne se sont pas enfoui. ▬Pour des projets de longues durée dans l’espace, la notion d’être au ralenti n’est pas une gageure et n’est pas de la science fiction, car si on peut ralentir notre horloge biologique, le vieillissement se trouvera forcément au ralentit, ceci veut dire aussi que l’on peut aller dans le futur, mais jamais son contraire, c’est à dire d’aller dans le passé, car aller dans le futur c’est simplement de ralentir son métabolisme et ses horloges internes du vivant, ce qui revient à voir les autres vieillirent plus rapidement que vous qui êtes dans des conditions particulières, ou les fréquences des atomes sont freinées.
    ▬On peut dire que l’atome est vivant, car il vibre à une certaine fréquence suivant les types d’atomes, mais tout être vivant subit ces fréquences d’atomes, et comme la vitesse ou les masses ralentissent les fréquences des atomes, l’horloge biologique interne change forcément, et vieillir moins vite est une réalité, car c’est ce que font déjà certains animaux sans les relativités.
    ▬Conclusions avancées
    ▬Ce petit concept de réduction ou augmentation des fréquences des atomes des structures fines ou hyperfines, lié aux référentiels qui ne sont pas le notre défini par Einstein, est que cela fait un vrai pont entre la physique quantique, et les relativités de Einstein. Le temps comme les longueurs ne changent pas, mais les fréquences des atomes par le biais des électrons changent de fréquence suivant les relativités de Einstein liées aux référentiels, et changent forcément les mesures du temps. Les fréquences des atomes appartiennent à la physique quantique, et les relativités de Einstein appartiennent à une autre physique. Ce n’est pas la quantique qui définie les relativités de Einstein, mais ce sont bien les relativités de Einstein qui agissent sur les particules quantiques. D’essayer de trouver des lois communes entre ces deux physiques, me parait difficile, mais un pont est franchi, car ce sont les relativités de Einstein qui modifient les valeurs du quantique et non l’inverse. Ce qui reste à trouver ce n’est même pas au niveau quantique, mais au niveau encore inférieur du subquantique, c’est à dire aux échelles encore inférieures aux particules, car les particules définissent une certaine échelle, mais l’éther qui est ce vide plein de l’espace est encore autre chose et à une échelle encore plus petite et agit sur les particules. Je pense totalement le contraire de ce que disait Einstein à propos du vide de l’espace ou espace-temps, car pour moi cet éther est en mouvement constant venant dans toutes les directions, et donc n’est pas du tout statique comme le prédisait Einstein. Ce que font les masses, c’est de réduire la densité de ces particules inconnues (gravitons) du subquantique symbolisé par l’éther. L’univers est noyé dans un bain de petites particules en mouvement, bien plus petites que les particules connues, et c’est même ce bain qui est en réalité l’énergie du vide, qui de plus agit sur les particules pour les mettre en mouvement, mais cette notion d’électromagnétisme des particules chargées, subit cette pression de l’éther, et il y a un combat permanent entre l’éther et l’électromagnétisme, qui donne ces effets de fréquence d’atomes. Sans cet éther l’atome n’existe pas, et on peut même dire que les particules n’existent pas. L’énergie des particules vient de l’énergie du vide c’est à dire de l’éther. La portée des charges électromagnétiques est très réduite en distance, mais la portée de la différence de densité de l’éther est très grande, mais pas infinie, et c’est ce que l’on appelle le champ gravitationnel. En fait ce champ gravitationnel existe même sans les masses, mais les masses réduisent ce champ, c’est à dire que les masses réduisent la densité du champ initial, et c’est ce qui est appelé la déformation de l’espace-temps. Comme je viens de dire que le temps ne se déformait pas comme les distances d’ailleurs, ce qui se déforme est la densité de cet éther par les masses, mais il y a un retour de cet l’éther appauvrit qui agit sur les atomes et leurs fréquences. Nous sommes dans une logique sans équations, simplement parce que les équations existent déjà, mais les explications physiques n’existent pas vraiment, car on connaît les effets par les équations, et on sait les calculer, mais on ne connaît pas les causes physiques de ces effets. Chaque référentiel à ces fréquences d’atomes, ce qui veut dire que chaque référentiel possède son temps, du moins de calculer son temps, car le temps, n’est qu’un mécanisme répétitif immuable et perpétuel.... Compter la durée d’une rotation de planète, ou compter les périodes d’une fréquence d’un atome spécifique, revient au même, mais plus il y a de périodes pour une fréquence et plus la mesure est précise.
    ▬Le temps existe, mais on peut dire que c’est quand même une invention humaine...
    ▬Si la variation de fréquence d’un même atome semble être une réalité, alors les atomes de surface d’une étoile, et ceux qui sont au centre du noyau de l’étoile, ont des structures différentes, car les fréquences changent, et cela peut donner des lois différentes que l’on ne connaît pas encore.
    ▬Il est plus simple de dire et comprendre que les fréquences d’atomes se déforment, plutôt que de dire que le temps et les distances se déforment dans la relativité restreinte et générale de Einstein, car c’est une réalité !!!
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210701¦¦Bonjour. Suite à votre retour du "29 juin 13:17, par R. Paris" du même article.
    ▬Vous avez totalement raison de dire que mon concept lié au fréquences des atomes, soit original, et je dirai même plus en disant que ce concept sur les fréquences est trivial. Trivial dans le premier sens du terme qui veut dire évident, simple et banal. Seulement les choses qui semblent simples ne sont pas si banales, et de soumettre l’évidence n’est pas donnée à tout le monde, car cela fait plus d’un siècle que l’on nous parle de dilatation du temps et des contractions des longueurs, où les physiques acceptent ces notions, mais où physiquement cela ne veut rien dire. Triviale encore où la simplicité devrait être connue, mais qu’elle ne l’ai pas, car justement ce qui est simple n’est pas toujours dévoilé, car non trouvé et non réfléchit, et cela semble fou, de ne pas trouver les choses simples.
    ▬Bien sûr que dilation du temps et contraction des longueurs veulent dire quelque chose, et inversement d’ailleurs, car la raison en est très simple, car le plus important est de garder cette vitesse de la lumière constante dans tous les référentiels. Donc si on s’aperçoit que des horloges atomiques ont pris du retard lors de leur vitesse, cela veut dire que le temps se sera dilaté, mais pour garder une vitesse lumière constante, il faille par obligation diminuer les longueurs de la même façon. Inversement si le temps va plus vite, qui est le cas des satellites géostationnaires, eh bien là le temps de la seconde est réduit et donc contracter, ce qui engendre que des longueurs sont plus grandes, toujours pour garder cette vitesse lumière constante. Mais comprend t-on quelque chose physiquement dans ces notions ?
    ▬Teste t-on les longueurs ? Jamais !!! Teste t-on le temps ? Toujours !!! Alors on détermine les longueurs fonction du temps !!! Mais qu’est-ce qui peut dérégler des horloges atomiques allant vite dans l’espace, ou justement son contraire que sont les horloges atomiques géostationnaires dans des satellites un peu loin de la terre. Eh bien le vide qui est affronté par la vitesse, ou justement pour les cas des satellites où on s’éloigne de notre terre, et ce qui est affronté par la matière c’est toujours le vide. C’est le vide qui détermine les fréquences des atomes qui est soit uniforme, mais par la vitesse le rend non uniforme, soit par les masses, où ce vide ne devient non uniforme mais justement déformé. Les effets de ce vide affronté en vitesse ou de ce vide déformé par les masses, joue sur la fréquence des atomes. Ce qui se dérègle ne sont plus le temps et les longueurs, mais les fréquences des atomes, qui donnent justement les calculs de temps.
    ▬Il me semble assez curieux, que vous Monsieur Robert Paris, vous ne fassiez pas de remarque sur mon petit concept pour enfin comprendre ce que sont les relativités de Monsieur Einstein. Mais il est vrai que ce concept est tellement simple une fois trouvé et donné que cela soit une évidence que ce sont les fréquences fines ou hyper-fines des atomes, qui changent fonction des référentiels et non les dimensions ni le temps, car ce sont les fréquences qui définissent le temps, donc on prend le problème à l’envers, en prenant une référence de temps par rapport à notre référentiel.
    ▬Toutes les explications que j’ai pu lire, sur ces notions de dilatation du temps comme des contractions des longueurs, ne tiennent pas la route, car même si les explications sont bonnes, comme les calculs sont évidemment bons également, cela devient incompréhensif au niveau physique, comme quoi même les plus grands génies comme Einstein par exemple, donnait des explications un peu incompréhensives physiquement. Quoi de plus simple que de faire varier les fréquences des atomes, qui donnent par la même le temps et forcément les longueurs.
    ▬La vraie erreur vient de la notion du temps, que l’on prête à l’espace, mais cette notion abstraite du temps, ne veut rien dire, même si en physique c’est une notion est très importante. Le temps dépend des rotations des objets, comme des révolutions des objets, mais cette notion est dépassée pour prendre appuis sur l’atome dont les objets sont fait, mais seulement ces atomes changent de fréquences d’oscillations suivant les masses ou leur vitesse dans l’espace. Le lien qu’il y a entre les masses et le vide est la fréquence des atomes, car plus les masses sont grandes, plus la fréquence des atomes baisse. Quand on arrive à la vitesse maximum de la lumière, le temps disparait, et il en est de même quand la masse d’un objet atteint la densité critique d’un trou noir, et peu importe sa taille, car c’est une densité maximum, où encore le temps ne s’écoule plus, car simplement les fréquences des atomes n’existent plus.
    ▬La singularité du trou noir, est une utopie, car son centre comme sa surface, ne change en rien l’absence du temps via la densité maximum du trou noir. La théorie des boucles qui c’est transformé en nœuds et connexions, prête et donne aux trous noirs une notion réduite de temps. Eh bien je ne crois absolument pas à cette notion de temps très dilaté, car simplement le temps disparait quand on arrive à ce seuil de densité des trous noirs. Une des raisons, est que l’atome, comme les particules élémentaires constituants les atomes, ne sont plus les briques de bases fondamentales, pas plus que les particules virtuelles du quantique, car cela devient, si on peut le dire comme cela, de la poussière de particules, et où les notions de base que sont les particules élémentaires n’existent plus. La notion d’évaporation de trou noir est aussi une supercherie, car rien ne s’échappe d’un trou noir, et pire encore, il mange ce que l’on appelle le vide, qui est forcément quelque chose que l’on ne sait pas définir. Les équations de Monsieur Einstein, ne donnent que les effets que l’on sait maintenant bien calculer, mais ne donnent aucune cause à ces effets, car simplement on ne sait pas vraiment définir le vide, car on ne sait pas de quel vide on parle.
    ▬En partant d’un concept très simple qui est que la fréquence des atomes, dépendant de la vitesse et qui constitue aussi la masse, la fréquence des atomes, est la seule vraie notion physique qui en déduit le temps. Il faut donc un seul facteur de dilatation ou même de contraction de fréquence, pour justifier une notion de temps, car les doubles facteurs de Lorentz n’ont plus lieux d’être. Contracter les longueurs ne veut rien dire !!! Dilater le temps ne veut rien dire !!! C’est la matière et ses fréquences qui jouent sur ce vide de l’espace, mais le vide de l’espace joue sur la matière et les fréquences des atomes. Il y a donc échange constant entre matière et vide de l’espace, ce qui veut dire que le vide est vraiment quelque chose, mais que l’on ne sait pas définir, car quand on parle du vide, et même du vide quantique, ce vide est toujours proche de la matière, même si on considère que nous sommes loin de toutes matières et donc de masses. Le problème du vide quantique est que ce dernier, ne teste que les notions d’électricité et de magnétisme, car ce vide quantique est toujours proche de la matière, et c’est avec cette matière que l’on définit le vide quantique. Cela me semble assez simplet de faire des multiplications à partir d’un échantillonnage proche de la matière, car le vide intergalactique n’a rien à voir avec le vide quantique, car ce dernier se trouve ou la matière se trouve. On peut même dire que si le vide quantique n’existait pas, eh bien la matière n’existerait pas. Ainsi ce vide quantique suit forcément et systématiquement la matière, mais ce vide quantique ne rempli pas l’univers. Quand on parle du vide, on ne sait pas de quel vide on parle, car pour la quantique c’est celui proche de la matière, et quand on parle de relativités c’est celui de l’espace entre les masses, donc du vide intergalactique, ou de l’espace-temps de Einstein.
    ▬Pourquoi la physique quantique ne résoudra jamais les relativités de Einstein ? C’est relativement très simple, car la physique quantique ne s’occupe que de l’électromagnétisme, et ignore tout des effets de la gravitation qui ne peuvent pas être testés à cette échelle, et inversement les relativités de Einstein ne s’occupent que des vitesses et des masses. Le vrai problème est l’électromagnétisme de la physique quantique, car ces forces sont beaucoup plus fortes à ces échelles très petites, et masquent totalement la gravitation que l’on ne peut pas déduire et tester. Pourtant la gravitation est le cœur de ce qui vient encore en dessous des particules élémentaires, et même des particules virtuelles, car c’est cette gravitation d’une échelle inférieure au quantique, qui anime tout, du moins qui contrarie l’électromagnétisme. Le vide qui est non celui de la physique quantique, mais celui de la gravitation, est une vraie force, qui s’oppose et anime même cette plus grande force électromagnétique, mais à très petites distances. Le vrai lien entre quantique et relativité est le minimum d’action, qui est le quantum de Planck, et qui est sans rapport ou presque avec l’électromagnétisme, car l’action minimum vient du vide qui n’est pas celui du vide quantique, mais celui de la gravitation. La fréquence des atomes est justement la limite d’échange et de contradiction entre électromagnétisme et relativité, et c’est ces variations de niveaux d’électron, ou même de partie d’électron où se trouvent les solutions. La fréquence des atomes est une clef pour relier ces physiques extrêmes des échelles, car c’est une limite vibratoire où les forces se contrarient et s’opposent mutuellement.
    ▬Pouvez-vous mon cher Robert Paris de développer d’avantage de ce que j’avance, car d’être original est assez maigre comme réflexions. Je dirai que le temps dépend toujours d’un référentiel, et même où il n’y a pas de masse déformant l’espace-temps, cela est aussi un référentiel comme un autre, mais ce référentiel au repos et loin de toutes masses est la base ou même pire encore car c’est le référentielle absolu qui devrait être la référence. Merci d’avance.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210702¦¦Bonjour. Merci d’avoir répondu et de donner vos recommandations de lire ou d’écouter certains sites, j’ai donc commencé par écouter ce site : https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/grand-entretien-avec-lee-smolin
    ▬C’est une séquence-conférence audio de Lee Smolin par France-Culture qui dure environ une heure au 21/11/2019.
    ▬Grand entretien avec Lee Smolin sur France Culture (21/11/2019) par Nicolas Martin.
    ▬Gravité quantique à boucles.
    ▬Voici les quelques phrases retenues de cet entretien :

    ▬Pas de mot compliqué, pas d’équation, pas de vocabulaire compliqué et spécialisé, c’est plus dur à faire, mais plus stimulant pour le public.
    ▬Les lois de la nature évolueraient, et les théories doivent être évolutionnaires. Pour que la science reste vivante, il faut que les jeunes puissent choisir entre différentes théories, et ne pas prendre les plus grandes théories qui ont fait leurs preuves.
    ▬Lee Smolin condamne les amateurs qui n’ont pas fait d’études physiques, et ne possèdent pas de doctorat, et ne parle qu’à des professionnels, ces gens amateurs n’ont aucun espoir de révolutionner la physique. Moi je parle à gens formés qui ont fait des études universitaires, et qui doivent avoir la liberté scientifique.
    ▬Les graines de théorie quantique à boucles :
    1) Formule HTK
    2) Concevoir les champs comme des boucles de champs électriques
    3) Apport de Carlo Rovelli
    4) La théorie des twister physique asymétrique.
    ▬Pourquoi la théorie quantique à boucles est supérieure à l’autre grande théorie des cordes :
    ▬L’idée de base de la gravité quantique à boucles est une idée conservatrice de reprendre la relativité générale posée par Einstein, et on applique une hypothèse de la physique des particules, à savoir que si vous ajouté ...
    ▬Il y a des atomes de géométrie qui sont des structures atomiques de l’espace.
    ▬La manière de trouver cette structure de l’espace-temps n’a pas encore été vérifié.
    ▬La mécanique quantique n’est pas erronée mais incomplète.
    ▬Camp des réalistes (Einstein) et camp des anti-réaliste ().
    ▬Repartir de la page blanche, c’est à dire de repartir de rien. Nous sommes là pour ne pas faire étalage de notre virtuosité, mais nous sommes là pour nous mettre dans la situation inconfortable au plan créatif intellectuelle, pour pouvoir dire et reprendre à notre compte le manque de clarté du monde scientifique dans lequel je travail.

    ▬Il y a comme une totale contraction par cette personne de Lee Smolin, car il ne reconnaît que les vrais scientifiques, et ne donne pas accès aux sciences aux amateurs, et en même temps il veut que les descriptions des sciences soient pour un plus grand public, il veut des mots les plus simples et non compliqués. On se demande bien pourquoi les sciences seraient réservées aux pros, d’autant que ces pros ne trouvent pas grand chose et ils ont peu d’idée.
    ▬C’est assez stupéfiant d’entendre de tels propos, et de dire que les sciences soient réservées aux élites ayant des bagages et diplômes. En gros il y a les pros, puis les cons. Ce reportage audio n’apporte pas grand chose aux idées communes avec d’autres pros avec lesquels il a travaillé. Les sujets scientifiques importants ne sont pas vraiment abordés. Ce que l’on comprend de cette personne est qu’il reconnaît avant tout Einstein par les lois de la gravitation, et comme c’est un physicien qui touche aussi le quantique, l’approche de ces atomes de géométrie de l’espace, que sont ces boucles, est de définir un espace granulaire où il y des liens entre grains ou atome de géométrie de l’espace-temps. Une heure d’écoute par ce physicien, pour aboutir à pas grand chose, et où les questions posées sont mieux données que les réponses attendues.
    ▬Pour ma part, ces atomes d’espace-temps, je n’y crois pas du tout, car c’est une belle solution de représentation de la gravitation, mais ne reste qu’une représentation, qui change ce que l’on voit partout, qui est un beau drap blanc élastique et quadrillé, où une masse au milieu de ce drap déforme celui-ci. Être un vrai professionnel scientifique, pour trouvé une nouvelle représentation de la gravitation, est plus que léger, d’autant que l’on ne trouvera jamais ces atomes géométriques du plus bas niveau. C’est une très belle idée, mais une idée de représentation de la gravitation, et de là on en conclus même des choses fausses, car pour moi ces atomes géométriques de l’espace-temps ne rentrent absolument pas dans ces objets spéciaux que sont les trous noirs. Les boucles sont externes aux objets, mais aussi internes aux objets, et c’est là une super idée, seulement pour moi les trous noirs sont une exception au même titre que la vitesse de la lumière, qui nous donne une limite de vitesse, et bien les trous noirs sont aussi une limite de densité maximum, et ces boucles ne peuvent pas rentrer dans ces objets de trous noirs. Par contre ce qui est évoqué dans ce reportage audio, c’est l’horizon des trous noirs, qui n’a aucun rapport avec son contenu. Ce reportage audio n’apporte rien de scientifique, mais seulement du parcours de Lee Smolin, de ses sentiments et un peu de sa vie privée. Il doit sûrement mieux écrire qu’il ne parle, car l’interlocuteur posant des questions, sont mieux données que les réponse du pro.
    ▬Je n’ai pas entendu ce Lee Smolin parler du temps dans ce reportage audio, car il ne parle que de l’espace-temps sans donner grand chose d’ailleurs !!!
    ▬Une petite remarque sur la deuxième phrase retenue, qui est que la nature évolue, et donc que les lois évoluent également. Petite phrase insignifiante, mais qui veut dire que son atome de géométrie de l’espace-temps évoluerait aussi, ce qui veut dire aussi que l’atome le plus simple qui est l’hydrogène aurait aussi évolué , donc le proton comme l’électron auraient aussi évolués !!! Eh bien nous sommes d’accord sur ce point, ce qui veut dire aussi que la datation de la naissance de l’univers est à remettre en cause... Ce qui est dommage c’est que de lancer un tel propos, on s’attend après à des explications plus fournies, mais rien....
    ▬Je conclus qu’il aurait été préférable que note les questions de l’animateur de France-Culture Nicolas Martin, que de noter les quelques phrases réponses de Lee Smolin, car souvent les journalistes scientifiques sont assez mauvais, mais ce Nicolas Martin me semble très bon en questionnant ce physicien.
    ▬Je continue sur les autres sites préconisés, dont l’un est un article de votre site que je connais déjà, mais il faut relire et relire ce que peuvent dire et écrire les autres, surtout en parlant de cette notion du temps, car les philosophes grecs de l’ancien temps en parlait déjà, et quelques fois, cela était mieux ciblé et perçu que les physiciens de notre époque. Ces anciens étaient eux des vrais pros, car la philosophie était de rigueur et accompagnait les idées...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210705¦¦Bonjour. Avant de lire et de décortiquer vos 3 autres pages internets recommandées, sur le temps, je commencerais en donnant mon avis sur ce que je pense et comprendre du temps.
    ▬Personnellement pour moi, le temps n’est pas un objet, ni même une action ou un évènement, car le temps dans un référentiel quelconque, est un simple phénomène qui se répète régulièrement et normalement perpétuellement. Le temps est donc une notion imaginaire créé par les humains.
    ▬Si on prend notre terre qui tourne sur elle-même, le cycle semble régulier et perpétuel, mais pour repérer un tour complet, il faille se repérer à quelque chose pour savoir si nous avons fait un tour complet, et c’est ce que nous faisons, car notre repère est le soleil et forcément notre repère sur terre, c’est à dire à notre position. Ces jours et nuits répétés sont aussi utilisés par la plupart des organismes vivants, comme les animaux, les plantes, et autres. Il n’en reste pas moins que de faire un tour complet pour notre terre, n’est lié qu’a deux repères qui est celui du soleil, et celui où nous nous trouvons sur la surface de cette terre. Que nous vivions plus la nuit plus que le jour, cela ne change en rien que la durée d’un tour complet nous fasse faire des veillées comme des repos, et ce indépendamment du soleil. Par rapport à ce cycle régulier de rotation de la terre, notre organisme à besoin de repos, et ce repos n’est pas le même pour toutes les personnes, ainsi nous nous adoptons fonction de ce cycle de jour et nuit donnant ce cycle, mais la durée du repos n’est pas la même pour tous les humains, comme pour le reste du vivant. Il y a seulement des conventions établies, mais si ce soleil ne donnait plus de lumière, se repérer à quelque chose serait alors une obligation, pour donner un ordre inventé. La terre en plus de tourner sur elle-même, tourne en révolution autour de notre soleil. Cela permet d’avoir des saisons, car son axe de rotation n’est pas perpendiculaire par rapport à sa révolution.
    ▬Maintenant imaginons que ce soleil soit remplacé par une étoile beaucoup plus massive que le soleil, et que la durée de rotation de la terre comme sa révolution autour de cette nouvelle étoile soient les mêmes durées, que se parait-il alors ? Bien que la seconde soit une division de 86 400 parties égales d’un jour complet, cette seconde ne dépend plus du tout de la rotation et de la révolution de la terre, mais maintenant de l’atome lui-même, qui dépend forcément d’autres choses. La seconde actuelle dépend pour certaines horloges atomiques du césium 133. Pourquoi ? Notre référentiel sur terre nous donne un nombre de périodes de 9 192 631 770 Hz pour ce matériau, et la raison d’avoir choisi ce matériau est que le nombre de périodes est un nombre entier, car d’autres matériaux ont des fréquences plus élevées, mais ne tombent pas juste, et donnent forcément des nombres avec des décimales. Donc ce nombre de périodes est vrai sur terre, dans des conditions particulières, mais si on remplace ce soleil par une masse beaucoup plus grande, la durée de la seconde en nombre de périodes ne sera plus le même, car le nombre de périodes aura diminué. Nous sommes dans cette image de pensée correspondant à la relativité restreinte, où les vitesses font changer les fréquences d’atomes, et donc le temps se dilater. La raison par ce changement d’étoile est que la distance à parcourir une révolution autour de cette nouvelle étoile beaucoup plus massive serait forcément plus grande, car nous serions plus loin de loin de l’étoile, et donc notre terre en révolution serait plus rapide dans l’espace, car forcément nous serions plus loin de cette étoile, et forcément la vitesse relative de révolution serait supérieure. Mais qu’est-ce que cela change si la durée du jour comme de l’année sont les mêmes avec le soleil ou cette nouvelle étoile plus massive ?
    ▬Le problème de nos temps modernes est que le temps soit décliné en rapport des fréquences des atomes, et ce sont même ces fréquences qui donnent la réalité de la rotation de la terre, car on ne s’amuse plus à prendre des mesures par rapport au soleil pour définir le temps qui est le jour puis la seconde, comme l’année d’ailleurs, car c’est l’atome et les fréquences qui définissent le temps.
    Mais comme déjà dit, le temps ne se dilate pas, car physiquement ce sont les fréquences qui réduisent, et comme on se base sur les fréquences d’atomes pour calculer la seconde, et bien c’est le nombre de périodes qui donne la notion de temps, mais le temps n’est toujours qu’imaginaire, car on utilise un processus régulier, qui est les vibrations des atomes, mais si ces vibrations se trouvent en grande vitesse, les vibrations vont freiner et réduire. Le temps n’est donc qu’une notion abstraite et relative, car le temps est dépendant des fréquences d’atomes, et comme ces fréquences sont dépendantes de la vitesse des atomes, alors la notion du temps change, du moins le nombre de périodes d’oscillation change. Le temps n’est qu’une notion inventée pour se repérer et dont certaines équations ont besoin, mais ce temps est relatif au référentiel dont il dépend, car le temps précis d’aujourd’hui s’appuie sur les fréquences d’atomes, pour avoir des précisions plus rigoureuses, mais on voit que le temps n’est qu’une notion relative au référentiel, car le temps n’a aucune valeur générale, le temps dépend des atomes et leurs fréquences, et comme ces atomes peuvent être dans des conditions différentes, comme utilisant la vitesse ou d’être proche de masses importantes, ce qui revient à la relativité restreinte, puis la relativité générale, les fréquences des atomes changeront du nombre de périodes, et donc de leur cycle. Ainsi le temps ne se déforme jamais ni les longueurs, mais ce sont les fréquences des atomes qui se déforment en ralentissant en général. Le facteur à appliqué n’est ni celui sur le temps, ni celui des longueurs, mais le facteur à appliquer est celui simplement sur les fréquences, et le facteur inverse ne sert à rien (Lorentz) !!!
    ▬Physiquement il me semble plus simple de dire que les fréquences des atomes changent suivant les référentiels, plutôt que de dire que le temps et les longueurs changent, car déjà le temps est une notion abstraite. Vieillir moins vite ou même plus vite est une réalité, car la plupart des organismes vivants se basent sur ces fréquences d’atomes, et si les fréquences des atomes sont réduites, eh bien le temps semble être dilaté, ce qui donne une espérance de vie plus longue. C’est comme si le vivant avait un quota de vibrations alloué à vie, et donc peu importance le ralentissement des atomes, ou au contraire une augmentation de fréquence des atomes, le quanta de vie pour chaque espèce est alloué au départ. Le paradoxe des jumeaux de Langevin, n’a plus lieu d’être, car il n’y a aucun paradoxe. La vie est un quanta de vibrations donné, et ce indépendamment, si on peut ralentir les vibrations ou justement les augmenter. De ce petit principe ridicule, on comprend alors pourquoi les horloges atomiques embarquées dans des fusées allant à une vitesse plus grande que l’on connaît sur terre, ont ralenti leur fréquence, et donc ont pris du retard, et donne cette fausse notion de temps dilaté.
    ▬Le facteur à utiliser pour les fréquences des atomes est celui des longueurs de Lorentz, c’est à dire que si on considère que les longueurs rétrécissent, et donc que le temps s’allonge, eh bien les fréquences d’atomes feront de même que les longueurs en oscillant moins vite, c’est donc un facteur plus petit que 1. Avec la relativité générale sans même bouger mais proche de masses importante, cela revient au même que d’aller vite, car dans ce cas le changement de gravitation par les masses ont les mêmes effets que les vitesses, et d’être proche de masses importante allongera le temps, donc ralentira les fréquences d’atomes. Dans les deux cas de relativité restreinte et générale, c’est le vide de l’espace qui joue sur les fréquences des atomes, mais ce vide n’est pas celui du quantique avec ses particules virtuelles, car c’est un vide cosmologique sans particules virtuelles, car ces dernières existent toujours autour de la matière, mais n’épouse et ne rempli pas l’univers. Le vide quantique est plus ou moins la matière, mais ce vide quantique ne rempli par l’univers, car il se trouve ou la matière se trouve.
    ▬Autre incidence sur ce petit concept sur les fréquences d’atomes, car les instruments dit interféromètres, ne mesurent en rien les distances ou longueurs ou même le temps, mais mesurent les fréquences d’atomes qui subissent des rotations rapides, et donc donnent des référentiels différents. Les interféromètres fixes et statiques sur terre, pour essayer de mesurer les ondes gravitationnelles, ne mesureront pas vraiment des longueurs ou de temps, mais subiront ces vagues d’ondes venant du vide par l’intermédiaire des atomes constituants ces instruments, et ce sont les atomes des instruments qui varieront en fréquence d’oscillation. Il me semble curieux de construire des instruments sophistiqués, pour mesurer des notions de temps et de distance, alors que les notions mesurées ne sont pas celles voulues.
    ▬Autre sujet sur le temps : Le temps absolu est une réalité, car ce temps se trouve où les masses sont absentes, en gros hors des filaments de galaxies, comme dans ces bulles de vide sans matière. Le temps comme la gravitation est à son apogée, car rien ne fausse ces espaces par les masses, et où la fréquence si il y avait un instrument pour mesurer, cela deviendrait ce temps absolu, où les fréquences des atomes seraient les plus grandes, ainsi ce beau césium 133 ne vibrerait plus de la même façon, et que sûrement son nombre de périodes ne donnerait plus une valeur entière. Je n’invente rien au niveau du sens du temps absolu, car Monsieur Einstein en parlait, mais ce temps, ces longueurs, ces fréquences sont inaccessibles, car simplement nous avons pris nos références sur la surface de la terre, mais notre référentiel et ses valeurs, n’ont rien d’absolu. C’est dans ces endroits de l’espace cosmique où la matière est totalement absente, qui donnent des valeurs absolues, ainsi les fréquences des atomes en grande vitesse où proche de masses, ne feraient que ralentir ces fréquences, mais ne pourraient jamais augmenter ces fréquences, car ces lieux sans matière est une vraie limite de valeur. Dans ces endroits de vide cosmique sans masse, le temps est absolu, car les fréquences des atomes sont à leur plus grand régime de fréquence, car il n’y rien au dessus. Les trous noirs sont à l’opposé de ces endroits, car à l’intérieur de ces objets, simplement le temps n’existe plus, car les fréquences des atomes n’existent plus.
    ▬Les fréquences des atomes donnent aussi une sorte de pont entre les relativités et la physique quantique, et vous m’avez dit que Monsieur Lee Smolin dit que la clef des physiques est le temps, et bien je dirais que la vraie clef sont les fréquences d’atome, qui elles mêmes donnent cette notion de temps physique, car le temps n’est rien d’autre qu’un mécanisme régulier quelconque, et les fréquences sont de vrais mécanismes physiques, mais en disant cela je me trompe, car la vraie clef est le compromis de deux forces qui s’opposent que sont électromagnétique et la force de gravitation, car la gravitation est une vraie force que l’on ne comprend pas, et les vibrations de structures fines ou hyper-fines des atomes, ne sont qu’un combat constant entre électricité et la force de poussée qu’est la gravitation. En fait deux forces s’opposent, et donnent ces vibrations d’atome, car le combat est constant et régulier et sert de cycle de mesure, mais chaque type d’atome à sa fréquence, et les relativités dérèglent ces fréquences. La vraie clef est donc le combat de ces forces, le temps n’est qu’un sous-produit qui n’est qu’une notion abstraite.
    ▬L’électromagnétisme est porté par la matière et est une vraie force, mais la gravitation n’est pas de la matière mais est aussi une vraie force, et n’est pas les particules virtuelles du vide quantique, car elles mêmes sont animées par le vrai vide cosmologique qui est la gravitation, dont on ne sait le définir. Les sauts quantiques ne sont que les effets de la force de gravitation, et la gravitation n’est pas de la matière, mais une notion non statique, qui vient à une échelle encore inférieure au vide quantique. Les effets étranges du vide quantique, vient de la force de gravitation....
    ▬Je continue ma quête du savoir, par vos recommandations de lire sur le temps, mais je pense que mes idées sont assez arrêtées comme les vôtres, sans être obtus, car chacun fait des choix de voir et d’imaginer son univers...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210729¦¦Bonjour. J’ai plus ou moins décortiquer le site que vous recommandiez qui est celui-ci :
    https://www.google.fr/books/edition/La_renaissance_du_Temps/-dehDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=lee+smolin+le+temps&pg=PT278&printsec=frontcover
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    Cette page internet de Google Books recommandée par votre site, ne donne que l’avant propos et un prologue du livre de Lee Smolin "La renaissance du temps. Pour en finir avec la crise de la physique.". Il y a aussi les notes de fin de chapitres. Tout ceci est mieux que rien, mais difficile de juger un livre et son auteur que par des extraits, néanmoins, on comprend que Lee Smolin croit fermement au temps réel, car pour lui c’est la clef des sciences.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    ▬Quelques phrases retenues et recopier à main levée (LS_=Lee Smolin et JF_=Jean-François) :
    ▬AVANT-PROPOS :
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    ▬LS_01) Certains de nos penseurs les plus illustres affirment la non-réalité du temps. Platon, le plus grand des philosophes du monde antique, et Einstein, le plus grand des physiciens du monde moderne, nous ont l’un et l’autre enseigné une vision de la nature dans laquelle le réel est intemporel.
    ▬JF_01) Eh bien je pense et je crois quelques fois, que les plus grands ont parfois raison, car pourquoi vouloir penser le temps comme une notion essentielle à la nature, même si il est indispensable et incontournable pour mesurer et dater. Le problème du temps est qu’il ne soit pas un objet, ni même un événement ou une action, mais un simple mécanisme régulier et répétitif perpétuellement (normalement). La physique sans la notion de temps est impensable, car on a besoin de durée pour évaluer, et on ne sait pas faire autrement, sans cette notion de temps. Le temps est tellement indispensable que pour mesurer des distances en cosmologie, le temps en devient une distance. Le vrai problème est que nous ne savons pas nous passer du temps, car tout est réguler et ordonné par le temps, comme les lois physiques, les heures de travail comme de repos, tout notre quotidien a besoin de se repérer et se positionner dans le temps. L’humain et ses règles ne sait pas ne pas utiliser le temps, et dans tous les domaines, car le temps est indispensable aux humains. Donc l’humain est une chose et la nature en est une autre, mais qu’est-ce que l’on entend par la notion de nature, car sujet trop vaste ne voulant rien dire, car la nature sut terre est un genre de nature, mais dés que l’on parle d’étoiles de galaxies, de particules élémentaires, cela devient une autre nature, que les les insectes et les plantes...
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    ▬LS_02) J’en suis venu à penser que le temps est la clef du sens de la théorie quantique et son éventuelle unification avec l’espace, le temps, la gravité et la cosmologie. Plus important encore, je crois que pour rendre intelligible la vision de l’univers que les observations cosmologiques nous donnent, nous devons appréhender la réalité du temps d’une façon nouvelle. C’est ce que j’entends par renaissance du temps.
    ▬JF_02) La réalité du temps est une gageure et un leurre et n’est surtout pas une clef, car on confond la nécessité et la réalité, car nous ne savons rien exprimer et expliquer et mesurer sans le temps. C’est comme si nous devions faire des mots et des phrases sans les lettres. Impossible, car le langage est avant tout l’alphabet, mais c’est simplement parce que nous sommes humain !!! Même si la plupart du vivant se sert du cycle de la rotation de la terre, avec ses jours et ses nuits, d’autres organismes ne tiennent pas compte de ce cycle, comme les champignons, les cellules, les bactéries et
    autres. On dira que certains organismes vivants ont besoin de cycle du jour/nuit, ou s’adaptent à ce cycle, et d’autres organismes vivants non pas besoin, du moins non réglés par les jours et les nuits. L’être humain a fait du temps, une obligation pour nous cultiver, pour nous nourrir, et simplement pour tout ce que nous croyons indispensable, et les physiques en font partie, car des physiques sans temps n’existent pas.
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    ▬LS_03) Je ne crois plus que le temps est irréel.
    ▬JF_03) Je ne crois pas que le temps soit une réalité, car le temps est une invention humaine qui est indispensable, et donc une nécessité et la réalité sont deux domaines différents. Le problème de la notion du temps, est que nous ne savons pas du tout le définir, car que veut dire le temps pour une galaxie, et même cet objet insolite qu’est le trou noir ? Que veut dire le temps pour une bactérie, une cellule ? Que veut dire le temps pour ce vide de l’espace cosmologique ? La problématique est que nous mesurerons tout avec le temps, car l’histoire est une mesure du temps, l’évolution est une mesure du temps, bien que cette mesure soit fausse. Tout ce que nous voyons est une mesure du temps. Mais l’éléphant avec le quel vous avez eu des conflits, se rappellera de vous, et peu importe si c’est un jours, 10 ans ou même 100 ans !!! Une image marquée en mémoire n’a pas de temps, car l’image sont de sentiments intemporels.
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    ▬LS_04) Non seulement le temps est réel, mais rien de ce dont nous faisons l’expérience ou avons connaissance, ne saurait s’approcher plus près du cœur de la nature que la réalité du temps...
    ▬JF_04) Je pense que le temps que décrit Monsieur Lee Smolin, est un temps de sentiments, un temps des événements heureux, un temps d’Amour, un temps et des durées qui sont des repères dans le passé, et aussi un temps pour les sciences. En fait son temps sont des repères pour sa mémoire, mais est-ce que la mémoire retient le temps ? J’en doute !!! Le temps est imaginaire mais pourtant on s’en sert de repères dans le temps passé et on se sert même à évaluer des durées. Mais ces repères du passé et ces durées, ne sont liés que par notre horloge biologique, et quand je dis notre horloge biologique, eh bien cela n’est même pas vrai, car nous sommes constitué de tas d’horloges biologiques, et toutes ces horloges sont calées suivant les fréquences d’atomes, où chaque type d’atome à sa propre fréquence, ce qui donne une complexité d’arrangement des fréquences, car une molécule est constituée d’atomes différents et donc de fréquence différentes, et forcément de temps différents.
    ▬JF_04) La recherche dans notre esprit est intemporel, car vous excluez tout ce qu’il y a autour de vous, et votre cerveau ne voit pas le temps passé. Quand vous cherchez une solution à un problème que vous vous êtes posé, cela peut durer des minutes, des heures, des jours, et même des mois, mais cela sera fractionné, car vous aurez essayez de vous vous faire des images, des représentations, des mécanismes, qui n’aboutiront pas forcément, alors vous recommencerez en essayant de trouver d’autres images, d’autres représentations, autre chose. Le jour ou vous trouvez quelque chose d’intéressant, la somme du temps de recherche n’existe plus, car vous savez que vous avez commencé à telle date à chercher une solution, mais il vous est incapable de savoir la durée pendant laquelle vous avez cherché et réfléchit. Et puis réfléchir, chercher une solution, votre état n’est ni celui éveillé, ni celui du sommeil, c’est un état à part entre les deux, où les secondes, les minutes et même les heures ne comptent pas, car les repères du temps s’évaporent et donc n’existent plus. C’est donc notre conscience qui fait que l’on utilise le temps.
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    ▬LS_05) J’en suis venu à penser que le temps est la clef du sens de la théorie quantique et de son éventuelle unification, avec l’espace, le temps, la gravité et la la cosmologie. Plus important encore, je crois pour rendre intelligible la vision de l’univers que les observations cosmologiques nous donnent, nous devons appréhender la réalité du temps d’une façon nouvelles. C’est ce que j’entends par renaissance du temps.
    ▬JF_05) Le temps n’est pas la clef principale pour comprendre comment fonctionne l’univers, ni la mécanique quantique, car déjà le temps change fonction des référentiels utilisés, Le temps dépend des fréquences d’atomes qui est bien plus physique qu’un temps imaginaire, car le temps d’aujourd’hui est justement calculé sur les fréquences des atomes, mais même ces fréquences d’atomes ne sont pas la vraie clef réelle dont a besoin, car ces fréquences sont attribuées fonction des contextes et donc des référentiels dont elles font partis, car d’un référentiel à un autre les fréquences d’atomes changent, et par la même forcément le temps. Comme le temps est une notion de cycles, ce temps ne peut être qu’imaginaire et inventé, car les cycles répétitifs et réguliers qui semblent éternels, ne le sont pas d’une part, et d’autre part et sont toujours relatif. Il suffit d’aller vite et d’avoir un certain type de temps, mais le fait de se mouvoir, finira par aborder les masses des objets dans l’espace comme les galaxies ou les étoiles, et plus on s’approchera de ces objets, plus le temps changera, sans pour autant changer de vitesse. Comment prendre le temps comme clef principale pour expliquer les physiques, car le temps est relatif à la vitesse comme relatif aux masses. Le temps n’est pas la clef principale, car le temps est dépendant des fréquences des atomes, qui eux mêmes sont dépendant des vitesses comme des masses, mais surtout du vide cosmologique qui l’entoure. C’est ce vide cosmologique mélangé au vide quantique entourant les objets de matière, qui est la vraie clef des physiques, et la matière comme les particules virtuelles portent des charges électriques, et c’est parle biais du vide cosmologique que cette matière et les particules virtuelles s’animent. Seules les charges ne donneraient pas vraiment des vibrations de l’atome. Le maître de tous les mécanismes réguliers infiniment ou infiniment petit, est le vide de l’espace cosmologique. Ce vide cosmologique est une force dynamique qui agit contre les forces électromagnétiques et les masses réduisent la densité de ce vide dynamique cosmologique. Le temps appartient à ce vide dynamique de l’espace mais se mesure que d’après les orbitales d’électron, et donc de la matière, car on ne sait pas mesurer le temps sans matière, et pourtant le temps imaginaire existe bien, car les entités de ce vide dynamique cosmologique donnent cette notion de temps virtuel et absolu sans matière. Le temps mesuré est avant tout une fréquence spécifique d’un type d’atome, mais ces fréquences d’atome ne sont que le produit de la fréquence du vide dynamique cosmologique.
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    ▬LS_06) Même si vous n’avez jamais réalisé sa signification , votre réflexion - le langage même qui exprime vos pensée - est colorée par des idées métaphysique très anciennes.
    ▬JF_ 06) Lee Smolin croit à un temps réel, car simplement il en a besoin pour vivre et se repérer, mais il n’est pas le seul, car comment se repère et savoir qui nous sommes, car nos origines sont en nous, et si ce temps est absent nous perdons toutes nos origines. Le temps est une nécessité mais non une réalité, et est pourtant bien imaginaire, sauf que l’on se base sur des cycles qui nous donnent des repères. Nous savons évaluer ce que représente 30 jours en durée, qui est en gros le mois de l’année, mais l’évaluation est quand même assez très mal réalisée si on n’a pas de repère. Nous savons aussi évaluer un seul jour, comme encore une minute, et même plus petit qui est la seconde, car nous avons appris ou nous nous sommes habitué à ces notions de durées, mais si les états d’âme ne sont pas au beau fixe, eh bien ces durées de nos évaluations apprises, seront complètement bousculées et changées, car nous vivons avec des événements et des sentiments, sans toujours pouvoir les contrôler et les maîtriser. Il suffit de boire un coup de trop comme on dit, et nos sens sur le temps seront remis en cause, et pourtant nous avons toujours nos mêmes horloges biologiques !!! Il suffit d’avoir peur, pour retenir et retracer tout ce qui s’est passé juste avant cette peur, et reconstruire un présent avec une très bonne chronologie des événements et des durées, et des détails non importants ; du moins à de petits événements qui sont normalement sans intérêts. Je pense que notre cerveau ne retient pas le temps, et encore moins les durées, mais retient des événements qui sont classés différemment suivant leurs forces d’impression. On retient ce qui nous marque, et peu importe ce que c’est, mais la notion de temps, n’est pas enregistré dans notre cerveau, sauf qu’il y a une mémoire à part que sont les derniers événements reçus, et ne correspond pas à la mémoire générale. On sait en gros, ce que l’on à pu faire hier et dans les heures qui suivent notre présent, mais beaucoup moins il y a 2 jours, et se rappeler les jours encore précédant est d’une difficulté plus grande car on doit se rapporter par rapport à un calendrier des jours de la semaine, car le weekend n’est pas comme la semaine, et les habitudes donnent aussi des repères. Mais ce sont nos habitudes qui nous donnent une notion de temps, mais pas le temps lui-même. On se repère à des jours de la semaine, et des habitudes, et un événement nous marque plus que d’autres, on mettra un lien de date et d’heure à cet événement, mais notre cerveau ne fait pas de dichotomie sur la chronologie du temps, il se sert d’autres notions que le temps, qui sont des liens entre événements
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    Suite au pochain envoi, car mon texte est trop long...

  • ▬JFP¦¦20210729¦¦Suite du précédent envoi, car mon texte est trop long...
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    ▬LS_07) Adopter le temps signifie que nos hypothèses de base sur la façon dont fonctionne l’univers au niveau le plus fondamental sont incomplètes. Quand dans ces pages qui vient, j’affirmerai que le temps est réel, ce que je dis c’est que :
    Tout ce qui est réel dans notre univers est réel à un instant, qui est un parmi une succession d’instants.
    ▬JF_07) Mais comment imaginer le temps quand on se représente d’être une galaxie, comment adopter le temps comme on se croit un électron ? Comment adopter le temps quand on se croit être le vide cosmologique sans matière ? A notre niveau d’échelle humaine, le temps ne sont que des notions d’habitudes et de règlements comme de repères. D’être enfermé pendant quelques semaines dans une grotte et ayant les moyen de survivre en groupe, a déjà été testé, mais ces personnes qui se prêtent à ces expériences, ont des montres qui sont les seuls repères de cadence du temps de notre échelle sur terre. Sans ces montres ou horloges, notre façon de consommer le temps serait différents, malgré avoir des horloges biologiques bien en nous qui sont calées sur l’atome. Le temps est justement un leurre et n’est pas une réalité, mais on se créer des repères pour justement se repérer dans le temps qui passe mais qui est imaginaire. Les cloches des églises dans les campagnes et dans l’ancien temps, étaient là pour rappeler qu’il était midi, car quand on est démuni de repère, on est obligé de s’en créer. Le matin comme le soir, sont des ressentis, car la fraîcheur du matin nous donne des indices, et soir avant la tombée de la nuit, au contraire la fraîcheur a disparu et fait place à la continuité de la chaleur de l’air.
    ▬JF_07) Ce qui est réel à un instant ne l’est plus à l’instant suivant, et quand on sait que le plus petit instant possible est celui de Planck de 5,391247e-44 seconde, le présent est alors à nos yeux d’êtres humains à chaque seconde, une représentation de 1/ 5,391247e-44=1,8548584399861479171701834473546e+43≈2e43 instants. Ce qui fait que le présent à nos yeux n’est qu’une illusion de faux instants, car on ne peux pas ressentir de ce qu’il y a de plus petit !!!
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    ▬LS_08) Rien ne transcende le temps, pas même les lois de la nature. Les lois ne sont pas intemporelles. Comme tout le reste, elles sont des attributs du présent, et elles peuvent évoluer dans la durée.
    ▬JF_08) Si les lois évolues dans la durée, c’est d’une part par une meilleurs connaissance de l’univers et de ce qui le compose, mais c’est aussi des conditions différentes qui changent et font évoluer l’univers. Le temps ne fait pas évoluer la matière, mais c’est son contexte qui évolue, c’est à dire le vide cosmologique dont il est plein. Le temps n’est qu’une notion imaginaire suivant des actions répétitives, mais la répétition des actions donne aussi des variations, ce qui veut dire que l’évolution n’est pas que celles des lois, mais aussi celle de la nature, par se complexifiant.
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    ▬LS_09) Les propriétés des atomes eux-mêmes sont éternelles. Toute propriété du monde à venir est calculable à partir de la configuration du présent.
    ▬JF_09) Monsieur Lee Smolin dit que "Les propriétés des atomes eux-mêmes sont éternelles". Je ne suis absolument pas d’accord avec cette petite phrase, car je pense que l’atome d’hydrogène juste après le big-bang n’avait pas les mêmes propriétés que l’atome d’hydrogène d’aujourd’hui, et je dirai simplement que l’atome vieillit, car les briques élémentaires changent de structure au fil du temps, mais cela est un temps indirect, car ce n’est pas le temps qui fait changer la structure des briques, mais les entités composant le vide cosmologique qui est aussi la gravitation, c’est à dire que le vide cosmologique qui n’est pas celui du vide quantique. Une sorte de preuve est que les premières étoiles de notre univers étaient beaucoup plus grosses et massives que les étoiles suivantes, et donc comment expliquer cela, et donc comment expliquer que les premières naissances d’étoiles différent de celles qui viennent après ? Les étoiles qui naissent maintenant ont une structure différente des premières étoiles de l’univers. Pourquoi ? Les durées de vie de ces premières étoiles étaient moindre que les étoiles suivantes, et pourtant le nombre d’atomes les constituant était bien supérieur. Il n’y a que le vide cosmologique qui puisse donner des explications à ces anormalités, changeant aussi la structure des atomes, mais aussi le vide quantique et ses particules virtuelles entourant ces premiers atomes concentrés.
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    ▬LS_10) Le principe central est que le temps doit être réel et que les lois physiques doivent évoluer dans ce temps réel.
    ▬JF_10) La réalité est que justement le temps est une fabrication de l’esprit donnant des repères, et donc n’est qu’une notion imaginaire, mais cela n’empêche en rien que les lois évolues, et mieux encore, le temps même imaginaire depuis la naissance de notre univers a évolué, comment alors évaluer l’age de l’univers ? L’age de l’univers n’est qu’une approximation d’après des lois établies et fonction de notre présent, donc si on ne peut pas se fier au temps imaginaire qui est un vrai repère, on ne peut alors pas plus se fier à la vitesse de la lumière !!! Le comble de ce temps imaginaire qui est défini d’après les fréquences d’atomes, et qu’il sert à définir les longueurs, comme les distances. En cosmologie on ne sait définir des distances que d’après le temps, et les luminosités des objets. Les artisans ou sociétés de construction de bâtiments et même de maisons individuelles, ces personnes utilisent des appareils sophistiqués pour mesurer les dimensions d’une pièce, et ce par la fréquence des atomes, et on en arrive même à ne plus prendre une duplication d’étalon de longueurs pour mesurer les longueurs, mais d’utiliser la vitesse lumière, et les fréquences d’atomes. Quand on voit des géomètres et leurs assistants, les appareils utilisés ne sont plus des longueurs d’étalons, mais aussi des instruments utilisant les fréquences d’atome et la vitesse lumière, mais cette vitesse inclus les fréquences.
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    PROLOGUE
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    ▬LS_11) La masse d’arguments scientifiques en faveur d’un temps illusoire est colossale. C’est pourquoi, si l’on adopte la vision que le temps est réel, les conséquences sont révolutionnaires.
    ▬JF_11) Le vrai problème sur la notion de temps, c’est que l’on ne sait pas le définir. Donc comment croire à ce qui n’est pas définit ? Actuellement la plus grande précision sur le temps est réalisée par le biais des fréquences des atomes, c’est à dire un nombre de périodes des atomes en une seconde. La drôlerie est que la seconde est les atomes, où on dit que tel atome à telle fréquence, mais pour définir la seconde on utilise le même procédé, ce qui fait que l’on se mort la queue. Le temps est imaginaire, car dans des référentiels différents, cette seconde sera différente, du moins le nombre de périodes d’un même atome sera différent. Donc chaque référentiel à son propre temps, comment dire alors que le temps existe, car il varie suivant les référentiels !!! Le temps est obligation d’être évaluer, car on ne sait pas s’en passer dans tous les domaines, mais le temps n’est pas une réalité, il est seulement un outil virtuel et même imaginaire. Pourquoi le temps varie suivant les référentiels ? Eh bien ce sont les fréquences d’atomes qui varient, suivant la vitesse ou les masses proches. Alors pourquoi les fréquences d’atomes varient suivant les référentiels ? Les fréquences des atomes varient en fréquence, car c’est le vide de l’espace cosmologique qui est pris en compte, ainsi pour les vitesses il y a déséquilibre entre le vide de l’espace perçu dans la direction où l’on va, et la direction opposée. Pour les masses, c’est un peu différent, car ce sont les masses qui font changer la densité du vide de l’espace.
    ▬LS_12) Comme je l’expliquerai au chapitre 3, il s’ensuit du grand principe de Leibniz qu’il ne peut pas exister de temps absolu qui fasse tic tac aveuglément quoiqu’il arrive dans le monde. Le temps doit être une conséquence du changement ;
    ▬JF_12) Eh bien ce grand Monsieur Leibniz à totalement tord à mes yeux, car le temps existe dans le vide de l’espace où rien n’existe, car le temps est déjà simplement des cycles, et dans le vide de l’espace sans matière ces cycles existent. Donc le vide de l’espace cosmologique fait tic tac, et même le plus rapidement que quand on est proche de masses, ou quand nous prenons de la vitesse. Donc il existe bien un temps absolu sans même utiliser la matière, mais on ne sait pas l’utiliser et même le définir. Actuellement on ne sait définir le temps que par le biais de la matière et donc par les cycles de vibrations des atomes, mais ces cycles sont dépendant de deux choses ou deux forces, que sont la force électromagnétique de la matière, et l’autre force est celle du vide cosmologique liée à la gravitation. Si un élection change d’orbital constamment, ce n’est pas pour se dégourdir les jambes, mais il y a un compromis entre le noyau qui l’attire et le repousse en même temps, et l’extérieur qui est le vide cosmologique qui agit sur cet électron pour le pousser vers son noyau. Il y a donc un équilibre entre deux forces, mais cet équilibre est instable car il donne des vibrations régulières où sans cesse une force prend le dessus puis est repris par l’autre force. Mais pour revenir au temps absolu, celui-ci existe forcément même sans matière, mais ce temps est encore une notion de sorte de vibration du vide de l’espace, car le vide cosmologique est dynamique... Pour reprendre cette phrase " Le temps doit être une conséquence du changement", mais au sein même du vide cosmologique, il y changement, car simplement ce vide est dynamique !!! Quand il y a une dynamique et peu importe ce qu’elle est, il y a forcément du changement.
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    ▬LS_13) Ou si le temps n’a pas de début, toutes les causes sont repoussées dans un passé infini ?
    ▬JF_13) Eh pourquoi pas, d’un non vrai début de l’univers, car si on considère que notre univers est recyclable, alors il n’y a ni début ni fin. Et à une fin d’univers recommencera un nouvel univers. L’univers est sans doute aussi un cycle perpétuel, mais avec une entropie, mais là le temps ne se compte plus en milliards d’années, mais beaucoup plus. Nous ne savons pas pourquoi cette naissance d’univers, mais je pense que cette naissance est un renouveau, et donc notre univers ne part pas de rien comme par magie, mais part d’un ancien univers anéantit pour donner une nouvelle naissance. L’univers est cyclique indépendamment de sa taille, car là encore nous n’avons aucune idée de la vraie taille de notre univers, et ce n’est pas la portion que nous détectons qui puisse donner une taille, sachant que l’univers n’est pas infini.
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    ▬LS_14) J’ai argumenté que tout ce qui est réel et vrai est dans un moment qui est un parmi une successions d’instants. Mais qu(est-ce qui est réel !, De quelle substance sont faits ces instants et les processus qui les connectent ?
    ▬JF_14) Il faudrait d’abord définir l’instant avant d’en faire une succession. La réalité n’est qu’apparente à certaines échelles, car plus on descend en échelle, plus cette réalité est changeante, ce qui veut dire que l’on ne sait plus ce qui est réel, comme on ne sait plus que les entités que l’on teste, sont de fausses entités, car elles se traduisent par un champ. L’électron n’est pas un, mais une multitude d’entités indéterminées. Donc si l’électron n’est pas un, quand on teste un champ proche d’un électron, qu’est-ce que l’on teste ? En fait la physique des particules s’arrête à une échelle, déjà compliquée, mais ce qu’il y a en dessous, est une autre réalité, et donc le réel n’est qu’une non compréhension.
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    ▬LS_15) Quelle est la substance du monde ? Nous pensons la matière comme étant simple et inerte, mais nous ne savons rien de ce qu’est la matière. Nous savons seulement comment la matière interagit.
    ▬JF_15) La substance du monde est de la poudre de particule. La matière n’a rien de simple et n’est surtout pas inerte car l’atome vibre, et ce n’est même pas l’atome qui vibre mais l’électron, et effectivement nous ne savons pas grand chose de la matière, car dire que nous savons comment la matière interagit est assez faux, car avec le vide qu’elles sont les interactions ? Nous avons vu trois bidules de quarks dans le proton et neutron, mais savons nous vraiment pourquoi trois et pas plus !!!! Nous arrivons à un seuil de la technologie à décortiquer ce que l’on appelle l’atome, mais nous sommes loin d’une vérité de connaissance, car le simple électron reste un vrai mystère, comme mes photons d’ailleurs....
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    CHAPITRE 6. RELATIVITÉ ET INTERMPORALITÉ
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    ▬LS_16) 6. Considérons deux horloges en mouvement qui se croisent lorsque l’une et l’autre indiquent midi, puis se séparent. L’une d’elle accélère et fait marche arrière, croisant l’autre de nouveau lorsque celle-ci indique 12h01. L’horloge en accélération indiquera un temps différents. Mais l’important est que tous les observateurs seront d’accord sur le nombre de tic-tac d’une horloge en particulier entre les événements. L’horloge qui bat le plus de fois entre deux événements est celle qui est en chute libre - et comme le temps mesuré par l’horloge en chute libre se distingue ainsi, on l’appelle le temps propre.
    ▬JF_16) L’accélération doit être prise comme une succession de vitesses de plus en plus plus grandes. Ce n’est pas la notion de l’accélération à mettre en cause dans cette mécanique, car si une horloge passe à deux fois sa vitesse sans accélération progressive, les résultats seraient encore plus significatifs, et cette accélération ne serait pas la cause des décalages de l’horloge ayant pris d’un seul coup une double vitesse. Un photon emprisonné puis libéré, prend sa vitesse de croisière sans accélération, ce qui semble très curieux, car de passer de 0 à la vitesse lumière semble étrange !!!
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    ▬LS_17) 11. Les géodésiques de l’espace-temps, par opposition à celles de l’espace, sont des chemins qui suivent au plus serré le temps propre, au lieu d’emprunter la plus courte. Ceci est une bizarrerie de la matière, dont on formule la géométrie de l’espace-temps ; une horloge en chute libre bat plus vite et donc plus souvent que toute autre horloge voyageant entre deux événements. Ceci conduit à un bon conseil : si vous voulez rester jeune, accélérez.
    ▬JF_17) Encore une fois l’accélération n’est pas la cause des battements du temps ou des fréquences des atomes mais c’est la vitesse. Les géodésiques ne sont que la déformation du vide de l’espace, c’est à dire simplement de la densité de ce vide, c’est à dire plus on s’approche de masse et plus la densité du vide devient plus faible. La chute libre devrait au contraire faire ralentir les horloges, car la chute est liée à la gravitation, et plus on s’approche d’une masse qui semble attirer, et plus la fréquence diminue, ce qui veut dire que le battement du temps bat moins rapidement. On se plante assez souvent en disant exactement le contraire....
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    CHAPITRE 11. LES LOIS ÉVOLUTIVES
    ▬LS_18) 10. Roger Penrose m’a objecté que les singularités des trous noirs ont une géométrie très différentes de la singularité cosmologique initiale, rendant improbable qu’un trou noir put être la source de notre univers comme de tout autre. C’est un point de préoccupation, mais la question ne serait pas insurmontable si les effets quantiques jouaient un grand rôle dans l’élimination de la singularité.
    ▬JF_18) Pour Roger Penrose et pour tous les autres, la singularité du trou noir est une invention humaine liée aux mathématiques, et la singularité cosmologique est de même, les math ne résolvent pas tout...
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    ▬LS_19) 11. Remarquez que l’idée de loi en évolution ne requiert pas, en elle-même, de simultanéité globale. Un changement dans les lois pourrait survenir à un événement qui n’influence les événements que dans le futur causal. Comme expliqué au chapitre 6, l’organisation causale est cohérente avec la relativité de la simultanéité. Mais la sélection naturelle à besoin d’un temps global pour signifier quelque chose - et ceci, en revanche, entre vraiment en conflit avec la relativité de la simultanéité.
    ▬JF_19) La relativité de la simultanéité qu’est-ce que cela veut dire ?
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    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦20210729¦¦Bonjour. Je vous remercie d’avoir publier mes messages et donc de mon petit concept sur les fréquences d’atomes, afin de mieux comprendre ce que sont les relativités de Einstein. En utilisant les fréquences d’atomes, les notions de dilatation du temps et des contractions des longueurs disparaissent totalement, car la simplicité des fréquences d’atomes remplace ces notions discutables et difficilement compréhensives physiquement.
    ▬Il y a cependant un manque dans vos retours, car vous ne faites aucune observation de ce que j’avance, et qui est très simple pourtant. Il serait bon que vous donniez votre avis sur ce concept de fréquence, car cela remet en cause des milliers de lignes écrites sur ces notions de temps dilaté et de contraction des longueurs.
    ▬Le temps est bien une invention humaine, même si on le subit sur terre, où nos horloges biologiques sont calées avec ce temps de ce référentiel, car sur une autre planète le temps serait forcément autre, et nos horloges biologiques seraient fonction de ce temps de cette planète. Le vivant subit donc le temps, mais s’adapte. D’avoir dit que le vivant à un quota de vibration, n’est pas si idiot que cela, ainsi dans un référentiel où le temps serait soit disant dilaté, et bien les fréquences d’atome seraient au ralentis, jouant avec nos horloges biologiques qui s’adapteraient à ces nouvelles cadences ou de nouveaux rythmes, et la vie du vivant y serait forcément prolongée. J’aimerai avoir des remarques de votre part.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦20210731¦¦Bonjour. Je vous remercie encore de votre petit retour, mais qui me laisse très pensif.
    Le verbe Polémiquer que vous avez utilisé dans votre retour, veut dire quoi exactement ? Car est-ce une petite guerre entre nous, où vous ne voulez pas échanger, car vous avez des idées différentes et contraires ? La simplicité que j’avance, est peut-être fausse, mais aussi peut-être vraie !!! Pourquoi vous ne me dites pas que je fasse fausse route, ou son contraire, ou même que cela demande réflexion ? Est-ce la simplicité de ce concept qui vous dérange ? Je ne cherche pour ma part, aucune polémique, mais un simple dialogue, pour savoir si je dis vrai ou faux. Polémiquer veut dire de ne pas être du même avis, et quand vous dites ceci : "Je ne polémique pas trop avec vous", et bien sur ce sujet des relativités de Einstein, où je trouve un petit concept pour résoudre la compréhension de ces relativités, il n’y a aucun échange, sauf de la courtoisie. Le problème est que je soulève des tas de choses, à partir de ce petit concept, ainsi je fais une distinction entre le vide quantique, et le vide cosmologique, où sans doute que vous n’êtes pas d’accord sur l’image que je présente des différents vides, car sans doute que pour vous, il n’y a qu’un vide quantique, et dans le plus bas niveau ou échelle de ce vide quantique qui devient du fait, un vide subquantique, devient pour moi le vide cosmologique qui est aussi celui de la gravitation de Einstein, qui est son espace-temps, et pour moi l’éther tant je suis accroché aux vielles notions et vieux mots qui étaient plus clairs. Je pense que le vrai problème est que j’expose trop de choses en même temps, car la fréquences des atomes variant suivant la relativité restreinte et générale est une chose, mais j’associe à ce concept de fréquences d’atomes, d’autres choses, comme les ondes gravitationnelles et ce qu’elles sont, comme les appareils pour les détecter, où je dis que ces appareils que sont les interféromètres mesurent autre chose que ce que l’on pense. En fait il y a beaucoup de dérives de ma part, car si je ne m’étais pas étendu, la compression ou non de ce concept de fréquences d’atomes variant suivant les vitesses, ou les masses proches aurait été plus simple...
    Je réitère donc ma question sans dérive, qui est : que pensez vous des variations des vibrations fines ou hyper-fines des atomes, quand ces derniers sont sujet aux vitesses, comme aux masses importantes ? Merci d’avance.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦2021080(¦¦Bonjour. Merci de votre retour et des deux adresses page préconisées suite à mon petit concept sur les variations des fréquences des atomes. Les lois utilisant les fréquences, sont en général celles liées aux photons, mais je ne connais pas de lois liées aux fréquences des atomes, et je ne sais pas si cela existe. Il y a sans doute des lois liées au fréquences des atomes, mais ces lois distinguent la structure fine et hyper-fine des atomes, mais parler de variation de ces fréquences d’atomes, je ne pense pas que cela existe, car déjà vous êtes plus féru que moi en physique, et vous m’auriez dit certaines choses que je ne connaissais pas.
    ▬J’avais écrit en vous posant la question suivante : « que pensez vous des variations des vibrations fines ou hyper-fines des atomes ». Vous me répondez « qu’elles existent très certainement ». Cette petite trouvaille de variations de vibrations des atomes est liée aux relativités d’Einstein, et on comprend que c’est le vide traversé par les objets à des vitesses inhabituelles qui déséquilibre les fréquences des atomes, car plus on va vite, plus les fréquences baissent, car il n’y a plus homogénéité du vide, et ceci est lié à la relativité restreinte. Pour la relativité générale, ce sont les masses qui agissent sur ce vide de l’espace, le rendant moins dense si on peut le dire comme cela, et en contre partie, le vide amoindri par les masses, agit sur les fréquences des atomes en réduisant aussi les fréquences. Dans les deux cas, c’est le vide qui est responsable des variations des fréquences d’atomes.
    ▬Les lois utilisant les fréquences, sont en général celles des photons, mais je ne connais pas de lois liées aux fréquences des atomes, et surtout pas de lois liées aux variations de fréquences des atomes.
    ▬La notion de temps est devenue une affaire de nombre de périodes pour chaque type d’atome, c’est à dire de fréquence, le temps calculé et vérifié est donc dépendant des atomes, et le pourquoi les horloges atomiques embarquées à grandes vitesses ont pris du retard en prenant des des vitesses inhabituelles, s’explique très facilement avec mon concept, car simplement la vitesse de ces horloges, a fait vibrées moins vite les atomes, et le temps dilaté n’est qu’une interprétation faussée, car ce qui change physiquement dans ce parcours de ces ’horloges atomiques embarquées dans l’espace, ce sont les fréquences des atomes qui ont ralenties, qui sont ceux des horloges atomiques. Votre réponse, en me disant que cela est très certainement... "possible", et est pour moi une certitude, car qui peut expliquer la dilation du temps ? Eh bien je pense que personne ne sais expliquer, pourquoi ces horloges embarquées on pris du retard, car ce sont des constats et des vérifications, et une confirmation par les équations de Monsieur Einstein, mais on ne sait pas expliquer physiquement, pourquoi ces horloges ont pris du retard. Je dis simplement que le milieu traversé, qui est le vide, à fait que les fréquences des atomes ralentissent, c’est aussi simple que cela, et ce fier à la cadence des fréquences des atomes, n’est qu’une référence de notre référentiel sur terre, mais si on change de référentiel, les fréquences des atomes changent aussi. On sait maintenant que le vide de l’espace n’est pas vide, car simplement les rétro-fusées des engins envoyés dans l’espace, utilisent la projection de gaz pour modifier leurs trajectoires et s’orienter, et si le vide était vraiment vide, et bien ces rétro-fusées n’auraient aucun effet, car pour pouvoir changer de direction, les poussées de gaz envoyées par rapport aux engins, s’appuient forcément sur le vide, et ce sans même expliquer ce qu’est le vide, le vide est forcément quelque chose. Donc le vide de l’espace est bien quelque chose, et le traverser à vive allure, ne rend plus homogène ce vide, vu via les objets qui le traversent, et a des effets sur la matière, et ces effets sont la diminution des fréquences des atomes.
    ▬J’ai lu les deux sites que vous donnez en recommandés, et malheureusement je n’ai pas vu de lien entre ce que j’avance, et ces deux très longs et bels articles, avec la variation des fréquences des atomes, suivant les relativités de Einstein.
    ▬Dans le premier article recommandé qui a pour adresse page : https://www.matierevolution.fr/spip.php?article710 et pour titre ; "Qu’est-ce que l’atome ? Qu’est-ce que la particule ? Qu’est-ce que l’électron ?", je ne vois pas de lien dans cet article sur ce que j’ai avancé, qui est que les vibrations des atomes par leur structures fines ou hyper-fines sont dépendant du vide, et varient de fréquences, car dans le cas de la relativité restreinte, c’est un déséquilibre du vide perçu par l’atome qui est lié à la vitesse, et donc les vibrations d’atomes ralentissent, et dans l’autre cas qui est la relativité général, le vide est appauvri par les masses, et donc les vibrations des atomes sont encore aussi moindre. Quand je parle de vide, c’est du vide intergalactique ou cosmologique dont je parle qui est aussi celui dont Monsieur Einstein qui ce sert du concept de l’espace-temps et qui n’est pas le vide quantique. Ce vide quantique est une interface entre le vide cosmologique et la matière, car ce vide quantique suit toujours la matière, et est un vide spécial entourant toujours la matière, comme l’atome, comme les particules, mais ce vide quantique ne s’étale pas dans tout l’espace, il est dépendant de la matière et suit la matière, rendant flou cette matière, mais pas sur des distances énormes, car ce vide quantique est restreint par rapport à la matière, et le vide cosmologique ne possède pas de vide quantique.
    ▬Le deuxième article recommandé est l’adresse : http://www.matierevolution.fr/spip.php?article16 ayant comme titre : "Le quanta ou la mort programmée du continu en physique"
    J’ai retenu plusieurs choses sur ce grand et bel article, dont la différence d’évaluation de l’énergie du vide selon la physique relativiste, et la physique quantique. Comme je l’ai déjà dit, le vide quantique n’épouse pas l’univers, car il se trouve où la matière est présente, et comme dans l’univers il y a peu de matière par rapport à son volume, on comprend alors l’erreur de la physique quantique, qui met des particules virtuelles et autres dans tout le volume de l’univers, qui pour ma part n’est pas le cas. Même en se mettant dans ce vide cosmologique et donc sans particule virtuelle, le simple fait de mettre un instrument quelconque de mesure, faussera la mesure, car la matière de l’instrument oblige que le vide quantique suive cette matière. Le vide quantique est un tampon servant d’échange entre matière et virtuel, comme si tous les objets étaient flous, comme si encore l’atome possédait un nuage ne pouvant se séparer de lui. Peu importe à quelle vitesse va la matière, le nuage virtuel quantique suit toujours cette matière. Cela fait que l’on ne sait pas tester le vide cosmologique, car on n’en a pas accès, car le vide quantique est toujours présent par rapport aux instruments. Donc on ne peut pas considérer que la matière est sans vide quantique, c’est presque un complément obligatoire à la matière, où des échanges se font entre ce vide quantique et la matière. On ne sait pas isoler la matière, l’atome, la particule de ce vide quantique, car il fait partie intégrante de ces entités. Le vide quantique est pour moi des résidus de matière, ne pouvant former de la nouvelle matière ou d’aggloméré à la matière existante, mais la matière échange constamment des parties d’elle-même avec ce vide, et on peut dire que la matière est constituée de vide quantique.
    ▬Même la particule que l’on croit être un, est en fait aussi discontinue, car c’est un assemblage de ce vide quantique, où il y a des seuils maximums d’assemblages. Ainsi un électron par exemple, n’est ni un corpuscule, ni une onde, ou les deux, mais est une structure de vide quantique condensé, pouvant se déformer et prendre des géométries différentes. Les sauts quantiques dont vous parlez souvent, ne s’adressent pas directement à la particule comme l’électron, mais à des parties de l’électron. Comme l’électron n’est plus une entité entière, on comprend facilement, qu’il se déforme, et échange des parties de lui même avec ce qui l’entoure qui est ce vide quantique. Sa charge n’est pas unifiée sur l’ensemble de sa structure constituée d’entités inférieures, correspondant à des probabilités de présence, car sa charge moins n’est donc pas homogène sur ce qu’il représente, ce qui est exactement l’opposé de la charge du proton.
    ▬La relativité de Galilée reprise par Einstein, dit que les lois physiques ne changent pas suivant les référentiels, mais ces lois ne parlent pas des variations de fréquences d’atome !!! Einstein adapte les facteurs de Lorentz, pour garder la notion d’une vitesse lumière constante, mais en fait ces facteurs rétablissent les lois, car si on n’utiliserait pas ces facteurs, les lois changeraient. Ces facteurs de Lorentz qui étaient même ceux d’un certain Larmor, reviennent strictement au même que d’utiliser un seul facteur sur les fréquences d’atome, car en fait le temps détermine aussi les longueurs, et il n’y a pas besoin de facteurs inverses sur les longueurs à partir du facteur sur le temps, ou l’inverse. En utilisant un seul facteur sur la fréquence des atomes, vous obtenez la notion de temps, car le temps est mesuré par la fréquence des atomes dans notre référentiel de référence, et donc dans un autre référentiel, cette belle fréquence du césium 133, ne sera plus une valeur entière, mais forcément un nombre avec des décimales... Il est assez rigolo d’avoir choisi certaines matériaux pour leur fréquences de valeur entière, car à quelques mètres au dessus du niveau de la mer, les fréquences changent déjà.
    Comme on est limité par la quantité de caractères envoyée, je découpe donc mon message en deux parties.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210805¦¦RE Bonjour. Suite du message précédent, qui a été obligé d’être découpé, car cela ne passait pas à l’envoi.
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    ▬Les phrases retenues de l’article : "Le quanta ou la mort programmée du continu en physique"
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    ▬"Le quanta ou la mort programmée du continu en physique"
    ▬JFP : J’aurai dit : Le quantum ou la mort programmée du continu en physique, ou encore Les quanta ou la mort programmée du continu en physique. Le quantum est l’unité de base et est le singulier de quanta au pluriel, mais ce quantum est déjà une certaine quantité et donc un paquet de plusieurs choses. Les quanta sont des paquets de paquets. Donc le quantum d’action minimum est déjà un paquet correspondant à une certaine quantité. Cela veut dire aussi que le h de Planck est un minimum, mais ce minimum est déjà une certaine quantité, ce qui veut dire aussi qu’il y a des notions plus petites que le quantum justement pour le former, mais que les divisions du quantum ne déclenchent rien !!!
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    ▬"Ni la relativité restreinte ni la relativité générale n’y changent rien : en physique classique, les interactions relèvent entièrement du continu. or le quantum d’action est fondamentalement un quantum d’interaction : il n’y a pas d’interaction que si est mise en jeu une action au moins égale au quantum d’action."
    ▬JFP : J’aurai dit : Il n’y a d’interaction que si est mise en jeu une action au moins égale au quantum d’action. Nous sommes d’accord pour dire dire que tout est discontinu, et le continu n’est alors qu’une illusion. Cela veut dire aussi que les lois qui semblent continues, ne reflètent pas la réalité, mais à une certaine échelle au dessus du quantique, a t-on vraiment besoin de découper la réalité en petit bout, si bien sûr le flux des actions se répète !!! Donc à Monsieur Cohen-Tannoudji dirigé par Étienne Klein et Michel Spiro, ce qui nous fait 3 personnes, et ce qui n’est pas assez comme quantité ou quantum pour soulever des fautes de grammaire... Je m’efface.
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    ▬"La discontinuité va-t-elle régner sur l’univers physique et son triomphe est-il définitif ?"
    ▬JFP : Ceci est la conclusion de Henri Poincaré. Le vrai problème n’est plus de savoir ce qui peut être encore discontinu, mais justement ce qui peut être continu !!! Une particule élémentaire est-elle continue ? Je dirais que tout est discontinu, même la composition des trous noirs qui est l’objet extrême de l’univers, et qui n’est ni constitué de particules et encore moins d’atomes. Peut être que même le graviton, dont la physique ne sert jamais est sans doute discontinu !!!
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    ▬"L’électron n’a pas une position fixe : sa charge tremble, sa masse saute d’un point à un autre, son nuage de polarisation interagit avec le voisinage.... Cela définit diverses "dimensions" de l’électron. S’il est capté, il est ponctuel. Sa masse est ponctuelle. Sa charge est ponctuelle. S’il interagit, il est considéré par l’autre objet comme une zone de dimension non nulle. les divers es dimensions ont entre elles un rapport égal à la constante de structure fine alpha. Voilà les résultats de la physique quantique sur la "particule élémentaire"."
    ▬JFP : Une description juste qui va dans le sens de ma conception à voir les particules élémentaires, qui ne le sont pas, car elles sont constituées d’autre entités inférieures. Quand l’électron est isolé, il est dit ponctuel, mais cela est très exagéré, car le point matériel n’existe pas en physique, et donc il devient un petit volume, mais n’est pas un point. Quand l’électron est en relation avec son noyau atomique, je vois alors sa forme comme si il était aplatit épousant une forme sphérique mais sur une petite portion, mais étant quand même un volume, mais l’électron n’a pas de forme privilégiée, car elle change constamment, et sans savoir si l’électron à une sorte de trajectoire courbe autour de son noyau. Pourtant on peut dire que l’électron vibre, et c’est justement par ces vibrations que l’on calcule la fréquence de l’atome.
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    ▬"Le vide, avec ses divers niveaux hiérarchiques, est donc le constituant de base de l’univers matière/lumière."
    ▬JFP : Il semble certain que le vide soit le constituant de la matière et de la lumière, mais de quel vide parle t-on ? Le vide proche de la matière n’est pas le même vide que celui du cosmos, et nous arrivons avec mal à connaître ce vide proche de la matière, que sont particules virtuelles polarisée et autres. Le vide entre les galaxies et même entre les étoiles n’est pas ce vide proche de la matière, car ce vide cosmologique ne peut pas être testé, car le vide quantique l’empêche et sert d’interface entre matière et vide cosmologique. Le vide quantique est un nuage polarisé entre le vide cosmologique et la matière, car ce vide quantique est toujours rattaché à la matière, et on ne sait pas éliminer ce vide quantique pour tester le vide cosmologique. Tous les échanges qui ce font, sont liés entre particules dites réelles et le vide quantique, mais pas directement, car le vide cosmologique agit sur le vide quantique et aussi sur la matière. Le virtuel de virtuel, est en fait un vide subquantique, qui est simplement le vide cosmologique lié à la gravitation, et donc est l’espace-temps. Le vide quantique est sans rapport avec ce vide cosmologique, qui sont les relativités de Einstein. Il semble difficile de trouver un lien , un pont entre la physique relativiste de Einstein et ce vide quantique, car le vide relativiste est l’espace-temps, et dans cet espace-temps le virtuel n’y est pas, et ce n’est pas le vide quantique qui pourra résoudre la gravitation, car ce vide quantique subit ce vide cosmologique. Pourquoi classer en physique quantique, différents niveaux, car on suppose que le dernier niveau du vide quantique, n’est plus quantique, mais forcément autre chose. Ce vide quantique essaie donc de s’attribuer des phénomènes qui ne sont pas quantiques, car ce vide quantique est animé par le vide subquantique qui est simplement l’espace-temps et qui est la gravitation.!!!
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    ▬"Le caractère probabiliste de l’électron provient du fait qu’il n’est pas un seul objet mais un ensemble de niveaux emboîtés fondés sur l’agitation du vide."
    ▬JFP : Je confirme cette phrase, en disant que l’électron n’est pas un, mais constitué d’entités inférieures, et de dire que l’électron peut être onde et corpuscule à la fois, est en réalité une erreur, car il n’est ni l’un ni l’autre. Une structure parsemée d’entités inférieures change de forme, change de volume, change de concept, mais ne change pas de polarité. Comme il y a échange de parties d’électron avec le vide quantique, cela veut dire que sa charge effective et résultante, n’est pas que du même signe de polarité, car l’électron possède les polarités opposées, mais un surplus toujours de polarité négative. Cela change la donne, car des entités du virtuel de charge plus peuvent être inter-changées avec des parties de l’électron, mais il y a une constante fondamentale, qui est sa charge négative, mais cette charge est résultante d’une association avec les deux types de charges, et donc l’électron n’est pas un, mas un ensemble de charges opposées, et la charge de l’électron n’est pas moins pour l’ensemble de ses entités qui le compose, mais une charge négative résultante sur l’ensemble des charges. On se doute que ce n’est pas l’électron lui-même qui change de forme, ou de volume, car simplement il subit le vide cosmologique indirectement, par le biais des particules virtuelles qui sont elles-mêmes animées par le vide cosmologique. En fait l’électron est un objet flou, changeant constamment des parties de lui-même, mais ce ne sont pas les particules virtuelles qui ont cette énergie d’apparaître ou de disparaître et s’échangeant avec l’électron, car ces particules virtuelles sont animées par le subquantique, qui est simplement les entités formant le vide cosmologique et donc l’espace-temps qui est le vide cosmologique. Pour les fentes de Young, l’électron traverse bien les deux fentes, et non le corpuscule par une fente et son onde par les deux fentes, car l’électron est une structure qui peut se diviser, mais qui redeviendra un ensemble, pour former une particule élémentaire, ; et d’ailleurs les particules dites élémentaires, ne sont plus élémentaires, car elles sont toutes composées d’entités inférieures.
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    ▬"Par contre, dès que le corpuscule est capté, dans un temps extrêmement court, le nuage disparaît. En effet, au niveau où se situent les particules virtuelles, la limite de vitesse de la lumière n’a plus cours."
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    ▬"« Tout ce qui reste de ceci (des travaux de Abraham, Lorentz, Poincaré, Einstein… sur l’auto-énergie de électron), c’est que nous ne comprenons toujours pas ce problème. » "
    ▬JFP : Eh bien le petit JFP le comprend, car toutes ces actions de changements de parties de particules, de sauts quantiques, sont liées au vide cosmologique qui est la vrai force de la gravitation, mais cette force est une force de poussée sans avoir de charge dédiée, et donc faire faire des sauts à des entités chargées, donne forcément des conflits avec l’entourage, car cet entourage est polarisé. Il y a donc sans cesse des réagencements au niveau des charges, aussi bien des particules élémentaires que des particules virtuelles. Parler de l’auto-énergie de l’électron est faux, car il se réarrange fonction de ses différentes charges, qui ont été déplacées par le vide cosmologique. En fait c’est un combat constant et permanent entre la force de gravitation, qui fait faire des sauts quantiques sur des parties de la particule, et les charges qui se réarrangent pour rester cohérentes. L’électron n’a pas d’énergie propre, sauf sa polarité. L’interface entre matière et vide cosmologique, est ce vide quantique qui subit aussi ces poussées du vide cosmologique, et les échanges qui se font entre matière et vide quantique, n’est lié que par la poussée du vide cosmologique.
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    ▬"Par exemple, l’électron ne suit pas une trajectoire, mais saute d’une position à une autre."
    ▬JFP : Ce n’est même pas l’électron qui saute d’une position à une autre mais des parties de lui-même, c’est pour cela qu’il ne faut pas voir l’électron comme une sphère, mais ayant une géométrie quelconque qui se déforme constamment. Bien sûr si c’est un électron libre ne dépendant plus de son noyau, ce dernier épouse la forme de sphère, mais toujours une sphère floue, car les limites sont constamment changées, par les particules virtuelles où se font des échanges, mais par le biais de la poussée du vide cosmologique
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    ▬" Le nuage de polarisation qui entoure l’électron est constitué d’éléments d’un monde inférieur qui est le monde des particules virtuelles caractérisées par deux propriétés liées entre elles : pas de masse et pas d’espace-temps tel que nous le connaissons à notre échelle macroscopique ni tel qu’il existe (localement) dans l’environnement d’une masse."
    ▬JFP : Je dirais que tous types de particules à une masse, mais si les masses sont insignifiantes, elles ne peuvent pas être mesurées, et il en va aussi pour les photons. Tout type d’entité à une masse, et qui est intrinsèque à l’entité, mais ces masses ne peuvent pas être mesurées, car même avec notre technologie avancée, cela ne peut se faire. Je vais donc à l’opposé de la physique des particules, qui attribue des masses via un boson qui donne cette propriété de masse. Sur la notion du temps, que la physique quantique ne prend pas en compte, je suis aussi contre, car le temps existe au niveau des particules, comme celles dites virtuelles, mais ce temps est tellement bouleversé, qu’il ne correspond plus à ce que nous connaissons. D’ailleurs on nous dit que ces sauts quantiques sont quasi instantanés, et bien on peut mettre de côté ce quasi qui ne sert à rien, car dans le vide cosmologique l’instantané existe et est une réalité, mais sur des distances très courtes.
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    ▬"Rappelons une fois de plus que les particules dites virtuelles sont tout aussi réelles que celles dites réelles mais sont situées à un autre niveau de réalité. Elles ne sont pas les seules puisque existent à un niveau encore inférieur le « virtuel de virtuel »"
    ▬JFP : Appeler le "virtuel de virtuel", n’a que peu d’intérêt, pour exprimer ce qui il y de plus bas en échelle, car à ce niveau subquantique, cela est simplement le vide cosmologique qui est sans rapport avec les entités virtuelles de différents niveaux.Ce vide cosmologique est sans rapport avec les entités virtuelles du quantique, mais ce vide cosmologique agit sur ces entités virtuelles du quantiques, comme sur les particules réelles. Toutes les animations de particules, les changements, l’énergie, des sauts quantiques des particules réelles au virtuelles, ne sont pas de l’énergie implicite de ces entités, mais cette énergie vient de ce vide cosmologique, car c’est lui qui anime tout.
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    ▬"Quel est donc le support de ces ondes, quel est le milieu dont la vibration constitue la vibration lumineuse ?"
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    ▬Pour trouver une forme générale de sa théorie, Planck a dû renoncer à l’hypothèse primitive des quanta d’énergie et lui substituer l’hypothèse des quanta d’action (produit d’une énergie par un temps ou d’une quantité de mouvement par une longueur)
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    ▬La transmission instantanée d’information n’existe pas.
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    ▬Un électron ne tourne pas autour du noyau atomique mais se situe en des points du nuage atomique, en sautant brutalement d’un point à un autre, dans un mouvement quasi instantané.
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    ▬Pour la physique relativiste, l’existence du continuum d’espace temps courbé nécessite une densité d’énergie de 2x10-29 g/cm3 de densité d’énergie totale (total de la masse gravitationnelle et des autres formes d’énergie). Pour la physique quantique, l’énergie du vide, à lui seul du fait des fluctuations d’énergie des particules virtuelles, donne déjà 10 92 g/cm3 de densité d’énergie de l’univers.
    ▬JFP : L’erreur de la physique quantique, est que celle-ci teste des conditions proche de la matière, car elle ne sait pas faire autrement. Tester le virtuel sans matière est impossible, et donc elle cumule même les erreurs, car ces particules virtuelles sont polarisées, alors que le vide cosmologique ne l’est pas. Prendre ce qui se passe proche de la matière en évaluant un petit volume, et faire la multiplication est une erreur grossière, car le vide proche de la matière n’est pas celui hors matière. La matière et le virtuel forme un tout indissociable, et mesurer la partie non matière, est en fait mesurer une partie de la matière. Comme déjà dit la matière est floue, car toujours accompagnée de virtuel, qui est ce nuage polarisé, comme le sont les particules réelles. On additionne donc des forces électromagnétiques qui n’existent pas dans le vide sans matière, et qui est le vide cosmologique. De ne pas faire la distinction entre vide proche de la matière et celui qui ne l’est pas, est une grosse erreur, et il n’est pas étonnant que les énergies évaluées diffèrent totalement. Quand on calcule la force de gravitation, on utilise des masses, mais la plus grande force de gravitation est justement sans les masses, car ce que l’on calcule c’est la force amoindrie par les masses. La force de gravitation est une poussée, mais les masses réduisent cette poussée, et donc plus les champs sont déformés, plus les masses sont grandes, et inversement la poussée de la gravitation est réduite. Là encore, on ne sait pas calculer la force de gravitation sans les masses, car ce que l’on calcule c’est la déformation de cette force de gravitation par les masses. On prend donc le problème à l’envers, mais on ne sait pas faire autrement.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • « je ne connais pas de lois liées aux fréquences des atomes, et je ne sais pas si cela existe. » écrivez-vous.

    Mais la physique quantique est justement partie de la loi de Broglie liée à la fréquence des atomes...

    https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/physique-physique-chronologie-grandes-etapes-1614/page/9/

  • ▬JFP¦¦20210810¦¦Bonsoir. Connaître l’histoire des sciences ou des physiques est sûrement un bien fait pour soi-même, mais l’histoire n’appartient à personne ou à tout le monde, car cela dépend de celui qui la conte. Pour un même événement l’histoire peut être conté différemment. Le candide que je suis survole, non pas des événements, mais des concepts, et peu importe si il ont eus lieu à la préhistoire, avant JC., ou encore récemment, car l’important est de les connaître, et je ne les connais pas forcément. Ce grand Monsieur De Broglie, je ne le connais pas, bien que j’ai vu dans vos articles plusieurs fois son nom. De ne pas connaître ces grands personnages, empêche même de savoir ce qu’ils ont fait pour faire avancer les sciences, mais ce que je crois savoir, c’est que cette notion de variation de fréquences des atomes, n’a pas été émise, sinon vous auriez aussitôt bondit, car me dire que ces variation de fréquences d’atomes : "Mais qu’elles existent très certainement !", veut bien dire que c’est une sorte de nouveauté. Même si plein de choses sont dites, et même approuvées au niveau scientifique, il n’empêche que de trouver des concepts simples, même pour un candide est encore possible, et la raison en est assez simple. Faire des rapprochements avec les relativités de Monsieur Einstein avec les physiques de niveau bien au dessous, comme la physique des particules, ou encore la physique quantique, semble impossible, sauf pour ceux qui se complique la tête, avec la théorie des cordes, mais la simplicité existe encore et aussi sans équation. La naïveté du candide permet justement de pouvoir émettre des notions évidentes non pensées, car le candide ne connaît pas l’histoire et ses dérivés, le candide fait des rapprochements sans même savoir si cela a déjà été donné, car il part de pas grand chose avec ses survols. Quand on se pose des questions en étant enfant, et que bien des décennies après vous n’avez pas les réponses, et bien vous chercher vous même, comme si vous étiez un savant. Il arrive parfois tellement vous réfléchissez, que vous trouviez quelque chose d’intéressant et hors norme, et que cela à déjà été trouvé, et la satisfaction est que même si cela avait été trouvé, et que c’est c’est vous aussi qui avait trouvé seul, ainsi des choses proposées il y a déjà 3 siècles qui ont été refusées, et vous trouvez vous même ces choses. Vous continuerez donc sur la branche de vos trouvailles, et vous regarderez pourquoi ces choses trouvées de vous-même et par d’autres ont été refusées, et vous comprendrez que même les plus grands scientifiques, disent parfois de grosses bêtises. Ma question initiale avant de trouver des concepts, était : Pourquoi presque tous les objets du cosmos sont sphériques ? Un mathématicien vous répondra, c’est parce que la sphère tient moins de surface pour un volume donné. Mais est-ce une réponse physique pour autant ? Eh bien non, car les mathématiques ne sont pas de la physique !!!
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    ▬Eh bien si la physique quantique a pris les notions de bases de De Broglie, ce dernier n’a pas pris en compte les variations de fréquences de ces atomes via les relativités d’Einstein. Il est vrai aussi que chaque discipline ou domaine est particulier, et est tellement particulier que l’on ne sait pas faire le lien entre la physique des particules, comme la quantique et les relativités de Einstein. Un lien existe pourtant, qui est la variation de fréquence des atomes, et ces fréquences sont liées au vide, qui soit perçu non homogène quand on est en vitesse, et qui est la relativité restreinte, ou qu’il soit l’autre relativité générale, où les masses agissent sur ce vide, le rendant moins dense, si on peut le dire comme cela. Dans les deux cas, c’est le vide qui fait varier les fréquences des atomes, et qui même sans variation, donne ces fréquences, qui sont conjuguées avec la force électromagnétique, car pourquoi ces atomes vibrent ? Eth bien c’est un combat permanent entre deux forces. Une force que tous physiciens quantique connaît, qui est la force électromagnétique, mais l’autre à laquelle on ne l’attend pas est celle de la gravitation liée au vide dynamique de l’espace, qui est une force si faible à l’échelle de l’atome, que l’on croit qu’elle ne compte pas. La force électromagnétique à une certaine portée assez faible, pas la force de gravitation, car depuis ce concept de variation des fréquences d’atomes, la gravitation est bien une vraie force. Plus les masses sont importantes, et plus ces masses affaiblissent cette force de gravitation impalpable.
    ▬Si Monsieur Einstein était contre la physique quantique, bien qu’il était l’un des fondateurs, la donnant comme incomplète, c’est sûrement qu’il avait compris que son vide qui est l’espace-temps était encore plus fin que les particules et même celles du virtuel ; et qu’il ne pouvait pas vraiment décrire cette échelle de subquantique, mais avait sûrement compris que ce vide cosmologique qui est aussi l’espace-temps, agissait sur tout ce qui existe et était le moteur même de la physique quantique. La relativité restreinte comme la relativité générale, ne sont pas liées au monde virtuel, mais à un niveau inférieur encore en dessous, et anime ce virtuel comme le réel à l’échelle atomique. Même le quantum de Planck est lié au vide de l’espace, car c’est ce vide de l’espace-temps qui anime les actions minimums. Si ce vide cosmologique n’existait pas, la matière n’existerait pas, et le vide quantique ne serait pas plus vrai. Ce n’est pas la physique quantique qui donne des interactions, de l’énergie, du mouvement, mais le vide cosmologique que l’on peut appeler le vide cosmologique, ou comme vous le définissez comme virtuel de virtuel du quantique, mais à ce niveau d’échelle, le virtuel est sans rapport. La gravitation n’est pas le neutrino, la gravitation n’est pas ce boson de Higgs, la gravitation est le graviton, ne servant strictement à rien dans ces physiques opposées, mais pourtant l’animation de tout ce qui existe du plus petit au plus grand, est ce graviton dynamique qui ne vient pas de la physique quantique.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • « Si Monsieur Einstein était contre la physique quantique, bien qu’il était l’un des fondateurs, la donnant comme incomplète, c’est sûrement qu’il avait compris que son vide qui est l’espace-temps était encore plus fin que les particules et même celles du virtuel ; et qu’il ne pouvait pas vraiment décrire cette échelle de subquantique, mais avait sûrement compris que ce vide cosmologique qui est aussi l’espace-temps, agissait sur tout ce qui existe et était le moteur même de la physique quantique. » dites vous.

    Sur cette question, lire aussi :

    Einstein expose lui-même pourquoi il critiquait les limites de la physique quantique qu’il avait largement contribué à fonder…

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4424

    Vide quantique et relativité d’Einstein sont-ils contradictoires ?

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5176

    Le couplage de la relativité et de la quantique, produit de la rétroaction de l’expansion de l’espace et de la création-annihilation de matière au sein du vide quantique et relativiste

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3698

    Pourquoi les premières interprétations de la physique quantique ne sont pas complètes et nécessitent de passer à la physique du vide quantique ?

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6027

  • ▬JFP¦¦20210927¦¦RE Bonjour. Je reformule ma question car j’ai oublié un JE dan une phrase. Question qui parait très simplette, mais qui a une très grande importance :
    ▬Quand je suis en mouvement dans l’espace et même très rapide, la vitesse de la lumière que je perçois dans toutes les directions devrait être la même. Est-ce vrai ? C’est le principe de Galilée enfermé dan sa cabine de bateau...
    ▬La réponse à donner est donc OUI ou NON ! Merci d’avance.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen

  • Oui !
    Mais ce n’est pas la vitesse d’un objet au sens de l’ancienne mécanique.

  • ▬JFP¦¦20210928¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. Ce OUI de votre réponse est magnifique, et votre réponse est sublime, et je la connaissais déjà, je comprends enfin que presque personne ne comprend rien, même les plus grands physiciens, car cette vitesse lumière qui est la célérité dans le vide, comme pour les neutrinos et leur vitesse identique, comme encore, pour la vitesse des électrons fournissant du courant passant dans un conducteur, eh bien toutes ces vitesses sont identiques, et le CLOU est que ce ne sont absolument pas des vitesses !!! On accorde une vitesse à une distance effectuée pour un temps donné normalisé, mais ces trois notions que je viens d’énumérer ne sont pas des vitesses, bien que la notion de distance et de temps soient bien là et présent.
    ▬Il faut sûrement être FOU pour dire que la célérité n’est pas une vitesse, mais c’est pourtant une réalité, car les photons, les neutrinos, les électrons passant dans un conducteur, ne se mouvent pas en continus, qui sont exactement comme ces sauts quantiques qui est une quatrième notion identique, et du même principe. Et pour enfoncer le CLOU d’avantage, le continu dans l’Univers n’existe pas, ainsi les particules élémentaires n’existent pas plus, car elles sont composées d’autres entités. Le boson de Higgs existe bien, mais il n’est que le quantum du champ de Higgs, et ce qui saute c’est une partie du champ et non un seul boson.
    ▬Nous sommes au moins d’accord sur ce point que la célérité est constante dans tous les référentiels et dans le vide, et est indépendante des mouvements des objets et instruments. Si j’approche de la vitesse de la lumière, et que dans toutes les directions cette vitesse lumière est constante et est la même, cela veut bien dire que ce n’est pas une vitesse.
    ▬En fait cette célérité des ondes électromagnétiques dans le vide de l’espace, est un vrai paradoxe, car on associe cette célérité à une vitesse continue alors que ce n’est pas une vitesse, mais une pseudo-vitesse, qui est une fausse vitesse discontinue. Il est très facile d’imaginer ce qu’est cette pseudo-vitesse lumière discontinue, car c’est l’inverse pour l’utilisation du temps, car il ne compte pas en mouvement mais seulement au repos...
    ▬Le vrai problème qui se pose, c’est que cette notion de pseudo-vitesse est actionnée par autre chose qui est commun...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Citons nos propos précédents :

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1688

    « La « vitesse de la lumière » qu’il ne faut pas concevoir comme une vitesse cinématique mais comme un rapport seuil d’un phénomène… »

    « La vitesse de la lumière, aussi, n’est pas une vitesse cinématique de déplacement. Le photon, lui aussi, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent. Le photon est un phénomène périodique dans lequel le cycle consiste dans la transformation : couple virtuel donne photon, puis redonne couple virtuel. Ce phénomène n’est durable que s’il correspond à un certain rapport entre espace et temps. C’est cela qui est appelé « vitesse de la lumière ». La signification de ce rapport distance sur temps est qu’il faut une certaine quantité de vide autour pour effectuer la transformation du cycle entre virtuel et photon avec suffisamment d’énergie. Dans ce sens, la lumière est, comme la matière, une forme d’organisation du vide inorganisé (ou moins organisé), qui permet une transmission durable de l’énergie alors qu’à la base les couples virtuels ne sont pas durables. La différence avec la durabilité de la matière (des particules), c’est que l’énergie est utilisée pour séparer durablement la particule de son antiparticule à laquelle elle restait attachée dans le vide. Cela se réalise par le fait que la particule réelle s’apparie avec une antiparticule proche au sein de son nuage (et devient ainsi virtuelle) et libère ainsi une autre particule qui passe ainsi de virtuelle à réelle. Le dipôle a été cassé par l’apport d’énergie appelé boson de Higgs.
    Les corpuscules réels, qu’il s’agisse de photons ou de particules de masse, ne sont justement pas des objets vraiment réels, des « choses ». Ce qui est durable, c’est une structure, un phénomène et ses caractéristiques. Ce n’est pas le même corpuscule qui se contenterait de se déplacer. Le déplacement provient du fait que la propriété (et non un objet) saute d’une particule virtuelle à une autre ou d’un couple virtuel à un autre. Le fait que le phénomène dit « réel » (matière et lumière durables) soit modifié à petite échelle par les interférences du vide explique l’essentiel des étrangetés de la physique quantique. »

    Ou encore :

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article934

    Les calculs de Richard Feynman montrent que sur de longues distances seuls les quanta qui se déplacent à la vitesse de la lumière parviennent à demeurer en phase les uns avec les autres et sont donc observables (sont « réels » au sens donné par les spécialistes). C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide. Mais cette restriction ne s’applique pas sur de courtes distances, à l’échelle interne de l’atome par exemple.

    La question que nous nous posons est :

    « Pourquoi ce mouvement de matière dans le vide atteint-il une limite de vitesse appelée vitesse de la lumière qui est le maximum de vitesse d’interaction entre deux masses ? Quel lien le vide établit-il ainsi entre vitesse du déplacement d’une masse et vitesse du déplacement d’un photon lumineux sans masse ? »

    Notre réponse :

    « La « masse » de la particule provient du temps nécessaire au vide pour reconstruire sans cesse la structure « matière » (durable). Il en découle l’apparence de résistance au déplacement du phénomène. Pourquoi y aurait-il une résistance de la particule au mouvement – une masse -, s’il n’y a pas de vrai mouvement ? La propriété du phénomène de la masse durable se déplace réellement en passant d’une particule virtuelle à une autre. Elle ne se déplace pas instantanément mais elle le fait à la vitesse de la lumière. Ce n’est donc pas d’elle que vient la vitesse limitée de déplacement de la particule. Mais, pour exister, la particule doit casser une liaison particule/antiparticule virtuelle en se rapprochant d’une antiparticule. Cela met du temps. Et ce temps doit être comparé au temps précédemment cité : le déplacement de la propriété de masse d’une particule virtuelle à une autre. En effet, pourquoi l’effort serait-il de plus en plus grand lorsque la particule réelle se déplace à plus grande vitesse, comme le prévoit la relativité ? Pourquoi la masse serait-elle infinie à la « vitesse de la lumière » ? Parce que le temps de parcours du phénomène approche du temps de déplacement du phénomène, alors qu’ordinairement il est bien plus petit. Un temps court supposant une plus grande énergie, il faudrait une énergie infinie pour qu’une particule se déplace à vitesse proche de la vitesse de la lumière. Plus la matière contient d’énergie, c’est-à-dire de couples virtuels contenant plus de quanta de temps, plus elle se déplace lentement parce que le temps s’écoule plus vite. »

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1688

    « Richard Feynman a montré que la ligne droite n’était qu’une probabilité moyenne obtenue par une infinité de parcours possibles autour de cette trajectoire apparemment en ligne droite. La vitesse de la lumière n’est pas constante dans ces parcours multiples. Elle peut être dépassée sur de petites distances par un petit nombre de photons lumineux (voir l’ouvrage « Lumière et matière » de Richard Feynman). La vitesse d’un photon lors d’un parcours n’est pas bloquée sur une constante dont la nature bloque par avance la valeur. Cette vitesse se réalise comme la résultante de multiples parcours autour de ligne droite. Cela signifie que la vitesse est obtenue comme produit d’un processus naturel, à chaque instant et dans chaque lieu. Il n’existe pas dans la nature de vitesse constante de la lumière inscrite dans le marbre. Ce mode de fonctionnement comprend de nombreuses interactions au hasard dont cette « constante » n’est que la résultante. La raison de ceci est que le photon lui-même n’est indépendant du milieu. Il n’est pas seulement un objet qui se déplace mais en même temps une réalité qui se transforme et se construit. Cela est dû au fait que le photon lumineux doit à son interaction avec le milieu d’être une horloge marquant un rythme et c’est ce rythme qui détermine son mouvement dans le temps et dans l’espace.
    Ce n’est pas seulement la vitesse de la lumière qui perd son statut de grandeur préétablie. Ce sont toutes les grandeurs qu’on disait invariables : la masse d’une particule ou sa charge, etc... Ces quantités ne sont pas préexistantes mais sans cesse reconstruites et détruites. Les scientifiques ne le pensaient pas. Comme nous verrons, ce sont des expériences dérangeantes de l’étude des particules et de la lumière qui les ont contraint à ces révisions déchirantes. La physique a été amenée à une nouvelle approche scientifique. Les lois, les valeurs des constantes sont le produit du changement permanent et non de la fixité. Elles sont sans cesse reconstruites par le fonctionnement réel et non établies par avance. La nature est dynamique. Elle ne peut être interprétée avec des images statiques comme la vitesse constante, la masse constante, la charge constante ou l’électron égal à lui-même. Les fameuses « lois de conservation » découlent en fait de lois de transformation [14] fondées sur des interactions multiples au hasard Pour en donner une image, il convient plutôt de comparer à la manière dont l’agitation des molécules au hasard établit les lois de la thermodynamique. Ludwig Boltzmann et Willard Gibbs ont en effet montré que la thermodynamique statistique qui détermine température et pression dans les gaz est fondée sur une agitation désordonnée et aléatoire. Le désordre des chocs entre molécules et parois d’un espace de volume fixé produit un ordre, la température et la pression moyens du gaz. C’est ce que font remarquer les physiciens Banesh Hoffman et Michel Paty dans « L’étrange histoire des quanta » rappelant que Louis de Broglie parlait déjà de « thermodynamique cachée des particules » : « La température est l’effet moyen des énergies en jeu (des molécules) , la pression résulte des forces d’impact des molécules sur les parois, etc. De même, selon cette conception, les quantités calculées par la théorie quantique –fonctions d’onde, observables, etc – seraient des effets moyens résultant de mouvements internes des systèmes, plus fins que les phénomènes quantiques observés. » Ces auteurs faisaient également remarquer que cela nécessitait une autre révision déchirante concernant la séparabilité de la particule. Et une troisième concernant l’existence de la particule dans le temps et dans l’espace. Ces modifications de l’image du monde matériel consistaient à considérer que ce sont les particules qui produisent le temps et l’espace dans lequel elles évoluent. D’autre part, cela signifie un changement considérable concernant la relation de la matière et du vide. Loin d’être antinomiques les deux seraient interpénétrés à l’infini, constructifs et destructifs à l’infini, pas des boucles de rétroaction. Ils poursuivent : « Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...) Si l’espace et le temps ne sont pas les matériaux de base de l’univers, mais simplement des effets moyens statistiques, d’une multitude d’entités plus fondamentales et plus profondes, il ne paraît plus du tout étrange que ces entités fondamentales, lorsqu’on imagine leur existence dans l’espace et le temps, exhibent des caractéristiques aussi peu appropriées que celle de l’onde ou de la particule. (...) Cette notion d’effets moyens qui n’appartiennent pas à l’individuel n’est pas nouvelle pour la science. La température si réelle et précise que nous pouvons la lire sur un thermomètre ordinaire, n’est qu’un effet statistique des mouvements moléculaires désordonnés. »

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article38

    Résumons :

    1) Les particules sautent d’un niveau d’organisation à un autre en recevant ou émettant de l’énergie. Le « réel » et le « virtuel » comme le « virtuel de virtuel » sont des niveaux d’organisation des particules.
    2) Les antiparticules sont des particules qui « remontent le temps » c’est-à-dire qu’elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules mais perçoivent le temps en sens inverse.
    3) Tout l’Univers est peuplé de couples constitués d’une particule et d’une antiparticule.
    4) Le fait d’être en couple leur donne une énergie double qui leur permet d’exister à l’échelon supérieur.
    5) Un couple ne peut durer qu’un temps infime puisque l’antiparticule circule en sens inverse du temps.
    6) Lorsque le couple se sépare, il perd cette énergie, et les deux particules descendent d’un échelon de niveau du vide. On dit qu’elles « disparaissent » comme on avit dit qu’elles « apparaissent » quand le couple s’est formé.
    7) Ces « apparitions » et ces « disparitions » ne sont rien d’autre que des passages d’un niveau à un autre du vide quantique. Ainsi, une particule virtuelle qui a reçu une énergie double de la sienne devient une particule réelle tut comme une particule virtuelle de virtuel qui reçu une énergie double de la sienne devient une particule virtuelle.
    8) L’énergie et le temps sont des inséparables. Par exemple l’énergie de formation d’un couple particule-antiparticule correspond à un temps. Leur relation est énergie fois temps égale constante de Planck.
    9) Un couple particule-antiparticule définit donc un temps.
    10) Dans le vide quantique existent donc des particules et des couples de particules. Les premiers donnent les fermions et les seconds les bosons. Cela signifie que les particules ont tendance à s’écarter les unes des autres et les couples ont tendance à s’agglomérer.
    11) Les particules sont chargées électriquement et ont toutes la même charge, les antiparticules ayant la charge opposée, les couples sont neutres.
    12) Ces charges électriques amènent un ballet permanent des particules et antiparticules. Elles forment ainsi un nuage autour d’une particule dite réelle. C’est le nuage de polarisation.
    13) Aucune particule n’est durablement « réelle » car elle ne peut conserver une telle énergie que de manière éphémère. Cette énergie passe alors à une particule virtuelle proche au sein du nuage et cette dernière devient réelle.
    14) La lumière est un transport d’énergie donc un couple particule-antiparticule. Il correspond donc à une énergie de couplage et donc à un temps. Il est donc lié aussi à une fréquence.
    15) Les particules émettent et reçoivent de l’énergie de la manière suivant : un couple particule-antiparticule (virtuels) est proche d’une particule réelle. Quand la particule réelle émet son énergie et la donne à la particule virtuelle du couple, la particule réelle devient virtuelle et s’accouple avec l’antiparticule. Voilà comment l’énergie se transmet à la matière. Il faut un temps pour le réaliser et il y a un espace entre la particule virtuelle et la particule réelle. Le rapport de cet espace et de ce temps a la même dimension qu’une vitesse mais ce n’est le paramètre décrivant le déplacement d’un objet mais celui d’une énergie.

  • ▬JFP¦¦20211008¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. J’ai relu plusieurs fois votre réponse du 20210928 30 septembre du même article, pour être sûr de bien comprendre votre philosophie et vos concepts, qui vont en partie dans le sens du modèle standard, disant que c’est ce boson de Higgs qui donne une masse aux particules élémentaires. Vous rajoutez que ce n’est pas la particule qui saute par ces sauts quantiques, mais le boson de Higgs qui passe sans cesse d’une particule élémentaire devenue réelle à une particule virtuelle la rendant réelle, et ce qu’il quitte devient virtuelle. Cela va aussi dans le sens que ce boson de Higgs casse les couples de particules virtuelles entourant la particule de masse....
    ▬On peut lire dans différents articles que, la somme des masses des 3 quarks composant proton/neutron, est largement inférieure à la masse totale du proton/neutron. La majorité de la masse d’un proton vient de l’énergie des liaisons entre les quarks où ce boson de Higgs n’intervient pas. Cela veut dire que la logique du modèle standard tient compte d’une nouvelle particule spéciale essentiellement pour les particules élémentaires, car imaginée depuis 50 ans avant cette date de 2012, où maintenant depuis près de 10 ans, les recherches sont axées sur cette particule imaginée et non plus imaginaire, mais dire que l’on connaît tout de ce boson, est largement prématuré, et puis vous offrez une mécanique qui n’est pas celle du modèle standard, car dans ce dernier il n’y en a pas vraiment.
    ▬Voici des phrases retenues de votre réponse, où j’ai des réflexions :
    ▬RP : "Le photon, lui aussi, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent."
    ♠JFP¦¦Le modèle que vous défendez pour la notion du photon, est votre version ou concept, car nous ne savons pas ce qu’est un photon. On le dit sans masse, mais on n’en sait strictement rien. Pour ma part l’énergie pure n’existe pas, et attribuer une énergie à une entité comme le photon, c’est en fait attribuer un mouvement cinétique sur lui-même à une entité ayant forcément une masse ,mais indécelable. Nous sommes en désaccord pour ce vide quantique, car pour vous il remplit l’espace de l’univers, et non pour moi, car dans ma version, il se situe où la matière se trouve, donc le photon n’a rien à voir avec le vide quantique, mais le photon est dépendant d’un autre vide sans particule virtuelle ou de couples virtuels, et a un rapport avec ce que vous appelez le "virtuel du virtuel", mais pour cette notion, rien n’est décrit, on sait que c’est un niveau inférieur au vide quantique, mais sans définir quoi que ce soit. Pour ma part le photon est un assemblage de couples virtuels calibrés selon les fréquences de ces ondes électromagnétiques, mais sa structure n’est pas celle des particules élémentaires, bien que les couples se retrouvent dans le photon comme dans les particules élémentaires. Pour ma part un couple virtuel de charges opposées, est l’élément clé pour toutes les particules élémentaires, et c’est le nombre de ces couples qui fait la différence entre les particules de et masse sans masse.
    ▬RP : "Dans ce sens, la lumière est, comme la matière, une forme d’organisation du vide inorganisé (ou moins organisé), qui permet une transmission durable de l’énergie alors qu’à la base les couples virtuels ne sont pas durables."
    ▬RP : "Le dipôle a été cassé par l’apport d’énergie appelé boson de Higgs."
    ▬RP : "Le déplacement provient du fait que la propriété (et non un objet) saute d’une particule virtuelle à une autre ou d’un couple virtuel à un autre.."
    ♠JFP¦¦La durabilité d’un couple virtuel, n’est à mettre en cause, car ce sont les sauts quantiques qui transporte ailleurs ces couples. Je ne crois pas vraiment à CE boson de Higgs, car il suit une logique attendue depuis 50 ans, et à l’issue de collisions proton-proton, on arrive même à produire des paires de boson de Higgs qu se désintègrent. Je pense que ce que l’on trouve n’est pas LE boson de Higgs ou une paire de de Higgs, mais des paquets de Higgs faisant partie d’un champ de Higgs. Les descriptions récentes de ces productions de Higgs, est assez anormales, car on nous dit que les particules de protons par les collisions se désintègrent, mais que veut dire cette désintégration ? A la suite de ces désintégrations, suit le Higgs ou même la paire de Higgs qui se désintègre lui-même ou elle-même, et donne naissance à des particules dites de masse comme les quartz ou autres. Ces descriptions sont pour moi surréalistes, car une entité qui se désintègre, redonne son contenu à l’espace, sous forme d’une grande quantité de couples de particules virtuelles, dont on ne parle pas, car les entités ne se créer ou ne se détruise pas spontanément, il y a toujours de la poussière de particules réelles qui sont pour moi ces couples de charges opposées, qui se recombinent en autre chose. Rien ne se perd tout se transforme, et la transformation n’est que la combinaison restructurée de ce qui existe, c’est à dire des couples de charges opposées qui se restructurent entre eux, avec reste de couples qui n’a pas été pris en compte.
    ♠JFP¦¦On nous parle constamment de destructions et de reconstructions pour ces sauts quantiques, mais pour ma part rien ne se détruit et rien ne se reconstruit, car ce sont des déplacements à une vitesse infinie, et donc de l’instantané. C’est la durée d’exposition qui est réelle mais très courte, c’est une pose ou une restructuration, mais la durée du trajet n’existe pas, car c’est comme la téléportation, où le temps ne compte que pendant l’apparition mais est supprimé lors des sauts. Cela donne qu’il n’y a pas de destruction, pas de reconstruction, mais que des apparitions pendant une durée courte, et donc la disparition pour apparaître ailleurs ne possède pas de temps, ce qui veut dire que c’est le même couple qui subit des sauts quantiques, avec restructuration. Les entités seules ou en couple, changent instantanément de position sans que le temps soit comptée, mais ce qui est compté c’est le temps d’exposition, qui est un temps de repos ou de réorganisation mais très court.
    ♠JFP¦¦ Pour ma part, ce qui est échangé entre particules de masse et le vide, sont des couples de particules virtuelles du vide et aussi des couples de charges opposée du même type faisant partie de la particule réelle, et donc les échanges se font d’un couple du vide à un couple de la particule dite de masse, car une particule de masse, est un assemblage de ces couples virtuels avec en plus une unité seule non couplée, donnant une charge apparente à la particule de masse. La matière, les particules de masses, ne sont que des assemblages en grande quantité de ces couples virtuels, où il existe des seuils d’assemblages stables. Comme tout n’est pas assemblé, forcément il y a un reste, et ce reste sont les particules virtuelles couplées, qui sont ces nuages polarisés autour des particules de masse. La particule n’est pas un point, la particule n’est pas un tout, la particule n’est pas un corpuscule, la particule est une structure et un centre chargé et où autour de ce centre les couples neutres apparent de la particule s’organisent fonction de ce centre, mais ce centre n’est pas le centre de la particule, mais un centre chargé, et le reste de la particule de masse sont des couples qui s’organisent fonction de ce centre, donnant ainsi une structure à la particule chargée par ce centre, où cette structure est malléable et jamais la même à cause des échanges de couples entre vide et et parties de particule de masse. Nous avons des choix différents, car pour vous c’est le boson de Higgs qui saute d’une particule de masse à une particule virtuelle du vide via ce boson de Higgs. Tout repose sur un boson qui saute sans cesse sur des particules virtuelles. Ce qui veut dire que c’est le boson qui saute et non la particule. Donc pour vous la masse de l’univers ne serait que le nombre de bosons de Higgs, où chaque boson serait associé à une particule quelconque. Si ce boson sert pour la masse, il ne peut pas servir pour la charge, et donc ce boson ne peut sauter que d’une particule à une autre ayant la même charge. Le boson doit donc faire un choix sur la prochaine particule où celle-ci doit-être de même charge que celle qui quittera, même si pour vous, ce boson casse un couple virtuel, il doit prendre la même charge qu’il quittait, la même masse qu’il quittait et cela me semble curieux, car toutes les particules élémentaires n’ont pas la même masse. Cette logique me parait curieuse, et le modèle standard dit la même chose. Le boson de Higgs comme est est dit partout, n’est pas du tout ce LE majuscule, car c’est un paquet du champ de Higgs, agissant que sur les couples virtuels de la particule élémentaire. Ces paquets de Higgs ne sont pas en nombre égaux car chaque partie du paquet agit que sur un couple de la particule élémentaire, ainsi cela permet de comprendre que des particules élémentaires peuvent avoir des masses différentes. Les sauts quantiques ne se font pas forcément par l’ensemble du paquet, il y a donc des moments où la particule élémentaire, n’a pas complètement sautée via ces bosons faisant partie d’un paquet de Higgs. Pour ma part la mécanique n’est la même de ce qui est dit, car LE boson est un regroupement de ce champ de Higgs fonction de la particule élémentaire initiale, Le boson de Higgs se construit donc en paquet de Higgs fonction de la particule élémentaire, avec laquelle il y aura des échanges, mais ces échanges ne se font que par les couples virtuels du vide et les couples virtuels de la particule élémentaire. Avant que les sauts quantiques n’agissent que sur les couples, le paquet se construit fonction de la particule élémentaire et du champ présent de Higgs. Dans cette vision la particule élémentaire vibre, tremble par des parties d’elle-même qui sautent via les Higgs du paquet de Higgs, mais la particule ne se déplace pas, car il faut voir que ce qui a sauté reviendra à l’état précédant, donc de sens inverse. Le boson de Higgs n’est donc pas une vraie particule car il se construit en paquet par son champ fonction de ce qui doit sauter. Le boson de Higgs est donc variable, c’est l’unité de ce champ que l’on appelle aussi boson de Higgs qui est invariable !!!
    ▬RP : "La propriété du phénomène de la masse durable se déplace réellement en passant d’une particule virtuelle à une autre. Elle ne se déplace pas instantanément mais elle le fait à la vitesse de la lumière. Ce n’est donc pas d’elle que vient la vitesse limitée de déplacement de la particule. Mais, pour exister, la particule doit casser une liaison particule/antiparticule virtuelle en se rapprochant d’une antiparticule. Cela met du temps."
    ♠JFP¦¦Je dirai le contraire, en disant que le déplacement du phénomène est un instantané, mais que le phénomène, une fois télé-translaté, fait une pose courte, et donc les déplacements n’ont pas de durée, mais les poses en ont. Ce sont les les poses qu’il faille cumuler et non les déplacements, ce qui est l’inverse d’une vitesse, car on compte les temps de pose et non ceux des placements, car ils n’existent pas. Ce qui fait que les photons, les neutrinos, les électrons dans un conducteur ont le même procédé ou rythme, et donc la cadence que l’on associe à une vitesse est une pseudo-vitesse. Le saut quantique est une réalité, mais dans le trajet ou parcours, le temps est absent, et ne reste que les laps de temps de repos ou réorganisation. La trajectoire dune particule ne sont que des points de pose à des positions différentes sans mouvement réel, ce sont des sauts quantiques, ou l’infini en vitesse est une réalité dans la translation entre chaque pose et ou le temps est forcément absent. La mécanique de déplacement pour les notions que je viens d’évoquer ne peut être que la même, car le hasard est à proscrire pour ces vitesses c identiques, et il ne peut y avoir qu’une mécanique identique. Comme la base de ce vide quantique sont pour la plupart les paires de particules virtuels, les bosons de Higgs agissent forcément sur ces paires réels ou virtuels par sauts. Ceci à l’avantage de garder la charge initiale de la particule élémentaire, car on ne compte pas les couples de la particules élémentaires pour la charge, mais seulement la particule excédante qui n’est pas en couple et qui donne la charge apparente à la particule élémentaire. La charge est sans rapport avec la masse...
    ▬RP : " Plus la matière contient d’énergie, c’est-à-dire de couples virtuels contenant plus de quanta de temps, plus elle se déplace lentement parce que le temps s’écoule plus vite. »"
    ♠JFP¦¦Phrase difficile à comprendre.
    ▬FEYNMAN : "La raison de ceci est que le photon lui-même n’est indépendant du milieu"
    ♠JFP¦¦La négation est incomplète, mais on peut comprendre qu’il n’est pas d’accord avec Einstein.
    ▬FEYNMAN : "Cela est dû au fait que le photon lumineux doit à son interaction avec le milieu d’être une horloge marquant un rythme et c’est ce rythme qui détermine son mouvement dans le temps et dans l’espace.
    Ce n’est pas seulement la vitesse de la lumière qui perd son statut de grandeur préétablie.
    Ce sont toutes les grandeurs qu’on disait invariables : la masse d’une particule ou sa charge, etc... Ces quantités ne sont pas préexistantes mais sans cesse reconstruites et détruites."
    ♠JFP¦¦ Belle phrase de Feynman, mais le milieu qui est le vide, on ne le connaît pas vraiment !!! D’après cette phrase c’est donc le milieu qui est le vide, qui donne un rythme au photon, et pourquoi pas aussi son faux mouvement, ce qui serait exactement l’inverse de ce que disait Einstein... Par contre pourquoi reconstruire ce qui existait déjà, car personnellement il n’y a pas de destruction et de reconstruction, c’est toujours la même chose qui saute instantanément. Donc la destruction dont on parle n’est qu’un saut. Rien ne se détruit, rien ne se construit, mais toutes les notions de trajets sont des sauts que l’on ne peut pas suivre, car c’est de l’instantané. Donc le saut à un temps nul, mais le repos ou l’apparition et même la réorganisation à une certaine durée qui est toujours la même. Je pense que la charge ne change jamais, et c’est justement la seule donnée qui ne varie pas.
    ▬FEYNMAN : "La nature est dynamique."
    ♠JFP¦¦ Si la nature est dynamique, alors le graviton l’est aussi, et n’a pas besoin des particules virtuelles seules ou en couple, pour que cette dynamique existe, ce qui est pour vous le "virtuel de virtuel", et pour moi les gravitons dynamiques qui est l’énergie élémentaire de ces sauts
    ▬FEYNMAN : "La température est l’effet moyen des énergies en jeu (des molécules) , la pression résulte des forces d’impact des molécules sur les parois, etc. De même, selon cette conception, les quantités calculées par la théorie quantique –fonctions d’onde, observables, etc – seraient des effets moyens résultant de mouvements internes des systèmes, plus fins que les phénomènes quantiques observés."
    ▬FEYNMAN : "Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...)"
    ▬FEYNMAN : "La température si réelle et précise que nous pouvons la lire sur un thermomètre ordinaire, n’est qu’un effet statistique des mouvements moléculaires désordonnés.’"
    ♠JFP¦¦ La température n’est pas issue que des molécules, et laissons les gaz de côté , car systématiquement quand on parle de température on nous ramène toujours à ces gaz. Le plus important dans cette phrase de Feynman, est que l’on comprenne que le quantique est une chose, mais qu’en dessous de cette chose il y a plus fin comme il est dit, et la phrase la plus importante de cette extrait, est bien qu’il existe des systèmes plus fins que la physique quantique.
    ▬FEYNMAN : "Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...)"
    ♠JFP¦¦ Pour cette phrase de Feynman, je pense que c’est de la divagation totale, l’espace entre les galaxies n’existerait pas d’après ce Feynman, ce qui ne veut rien dire. Il a des phrases avant-gardistes et d’autres totalement incohérentes.
    La suite vent dan un deuxième message.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Cher monsieur Pouliquen, vous écrivez :

    « vous offrez une mécanique qui n’est pas celle du modèle standard ».

    C’est à la fois exact et faux.

    En fait, on pourrait résumer ma thèse à Physique quantique des champs fondée sur... des corpuscules !

    Au lieu de physique quantique des champs fondée sur des ondes.

  • ▬JFP¦¦20211010¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. J’ai recherché des articles récents sur ce Boson de Higgs, où la recherche continue belle et bien après cette découverte en 2012 qui était attendue depuis 50 ans. Personnellement parmi tous ces articles rien n’est clair, et c’est à ne rien comprendre, car ce fameux boson de Higgs intervient dans deux domaines différentes, car il est en même temps le quantum du champ de Higgs, et est aussi la particule miracle qui donne une masse aux particules élémentaires. Comme les particules élémentaires n’ont pas toutes la même masse, cela pose alors un problème, car ce même boson ne peut pas servir à toutes les particules élémentaires, et donc il y a plusieurs solutions possibles. Soit ce sont des bosons différents adaptés pour chaque particule avec laquelle il donne une masse, mais cette solution me parait curieuse et non fiable et complexe, soit une autre solution plus simple est que ce boson dont on parle tout le temps, n’est pas une seule particule, mais un paquet de bosons quantum venant du champ de Higgs. C’est à dire que le boson qui permet de donner des masses différentes suivant les particules élémentaires, est en réalité une adaptation d’un paquet des ces quantum du champ de Higgs fonction de la particule qui va être liée a ce paquet, Donc pour chaque particule un paquet de Higgs se construit à partir du champ de Higgs. Le boson n’est plus une seule particule mais devient un paquet de bosons adaptés pour chaque particule élémentaire.
    ▬Je crois personnellement que ce boson de base qui est le quantum du champ de Higgs n’agit que sur un couple de particules virtuelles quand celui ci fait un saut quantique. Ceci veut dire que la particule élémentaire est composée de couples de charges opposées comme les couples de particules virtuelles du vide. Il n’y a donc pas un seule saut pour la particule de masse, mais plusieurs sauts et dans des directions différentes. Ainsi la particule élémentaire garde toujours sa masse via ces bosons, mais la particule élémentaire est légèrement éclatée ou agrandit, mais sur de courtes distances, les prochains sauts viendront remettre plus ou moins l’organisation de la particule élémentaire. Cela oblige à croire que la particule élémentaire est constituée d’un tas de couples de charges opposées, comme exactement les couples virtuels du vide. Ce n’est donc pas toute la particule élémentaire qui saute, mais des portions d’elle via sa constitution en couples de particules de charges opposées et naturellement lié aux bosons qui se fixent aux alentours, mais qui reviendront dans les prochain sauts. Et ce qui saute vraiment sont les bosons de Higgs du paquet de bosons lié à la particule initiale. La particule virtuelle non couplée, ne saute jamais, et c’est elle qui donne la charge apparente à la particule élémentaire. L’avantage de ce concept est que toutes les particules élémentaires peuvent avoir une masse sans changer leur autres attributs initiaux, ainsi la charge résultante de la particule ne saute jamais, et si cette particule chargée saute, cela ne sera pas lié à un boson de Higgs mais via un autre procédé. Il faut imaginé une particule élémentaire comme un essaim de couples de particules virtuelles, et où le centre de cet essaim est la particule virtuelle seule faisant partie de la particule élémentaire et donnant cette charge apparente. Une particule élémentaire chargée est toujours un nombre impair de particules virtuelles, mais dans ce nombre il faille retrancher UN pour ensuite compter les couples. Dans cette vision on respecte donc les masses différentes de particules élémentaires, car c’est le paquet de bosons venant du champ de Higgs qui est adapté à la particule élémentaire, et donc plus la particule élémentaire est lourde, plus le paquet de bosons de Higgs est grand.
    ▬Dire que la matière/lumière vient du vide quantique, est une certitude, mais ce vide quantique et ses particules virtuelles comme ces couples, n’épousent pas tout l’univers, car simplement i y a eu des concentrations de virtuel à certains endroits de l’espace, et où il y a eu transformation, mais ces transformation se sont produites qu’au début de l’univers, et non après, ce qui veut dire que la matière ne se créer plus spontanément à partir du vide quantique.
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    ♠JFP¦¦ Le Higgs n’est qu’un quantum du champ de Higgs, Et donc un seul boson ne donne pas une masse à une particule de masse. C’est donc le paquet de bosons de Higgs qui donne une masse aux différentes particules élémentaires, mais pas le quantum de ce champ de Higgs. Le boson de Higgs est alors un raccourci pour parler de paquet de Higgs. Cette vison permet d’avoir des masses différentes suivant les particule de masse, et avoir quand même ce boson de Higgs mais en tant que quantum du champs de Higgs. Plus la masse d’une particule est importante, plus le paquet de Higgs contient de quantum. C’est relativement très simple, car ce que l’on a trouvé est un paquet ou un double paquet de Higgs fonction des masses des 2 protons se cognant et se désintégrant soit-disant, mais nous n’avons pas trouvé LE boson en tant que tel, car nous avons trouvé un paquet ou de deux paquets de Higgs d’un certaine énergie se désintégrant et donnant naissance à d’autres particules élémentaires de masse.
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    https://cms.cern/news/cms-sees-evidence-higgs-boson-decaying-muons
    ▬SEL : "Bien que nous sachions que le champ de Higgs donne une masse aux particules, nous ne comprenons pas pourquoi il donne à différentes particules une masse différente."
    ▬SEL : "Pour le dire différemment, pourquoi la force de couplage du champ de Higgs est différente pour chaque particule est encore un mystère et n’est pas expliqué par le modèle standard. Ce puzzle est particulièrement pertinent car les électrons, les quarks, les neutrinos, etc., dans le modèle standard peuvent être classés en fonction de leur masse en trois groupes, appelés générations. La raison pour laquelle il y a trois générations n’est pas non plus connue. Il est donc vital de mesurer la différence entre les différentes générations et de tester si le modèle standard décrit bien le comportement de ces particules. "
    ▬SEL : "Les mesures effectuées jusqu’à présent ont porté sur les interactions du boson de Higgs avec les particules les plus massives, comme les bosons W et Z, et uniquement avec des particules de la génération la plus massive, les quarks top et bottom et le lepton tau. L’interaction du boson de Higgs avec la grande étendue de particules plus légères n’a pas encore été testée expérimentalement. "
    ♠JFP¦¦ La règle générale donnant une masse aux particules élémentaires par le boson de Higgs, n’est pas prouvée, car on utilise des particules lourdes de masse qui n’est pas la majorité de ce que l’on trouve dans l’univers. On est loin de prouver que la masse de l’électron soit un couplage temporaire avec ce boson ou paquet de Higgs.
    ♠JFP¦¦ Le problème est que l’on a voulu que cette particule soit unique, mais elle ne peut pas l’être, car Le boson de Higgs dont on parle est un ensemble de bosons de Higgs formant un paquet fonction de la particule réelle, ainsi pour telle particule élémentaire il y aura tel paquet, et pour une autre particules élémentaire, il y aura un autre paquet adapté a la particule. Ce n’est donc plus le Boson qui donne la masse mais l’ensemble du paquet de Higgs, et chaque paquet de Higgs est différents suivant la particule élémentaire auquel il s’attaque, ou se lie.
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    https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Boson-de-Higgs.html
    ▬SEL : "Le boson de Higgs est une particule élémentaire dont l’existence a été proposée en 1964 par Gerry Guralnik, C.R. Hagen, et Tom Kibble ; Robert Brout et François Englert (et nommé « boson scalaire massif » par ceux-ci) ainsi que par Peter Higgs pour expliquer la brisure de l’interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l’intermédiaire du mécanisme de Higgs. Il serait aussi le quantum du champ de Higgs. "
    ♠JFP¦¦Je pense qu’ici on inverse les notion, car si le boson de Higgs est un quantum, et bien il n’agit que sur une paire de particules de charges opposées, venant soit du vide soit de la particule de masse, et les échanges ce font à l’unité de boson mais aussi en partie de paquet de Higgs.
    ▬SEL : "Quel mécanisme, dans lat héorie électrofaible, génère la masse des bosons W+, W-et Z° ? Pourquoi le photon n’acquiert-il pas de masse ? Les masses des fermions sont-elles reliées à ce mécanisme ? Pourquoi les masses des quarks sont-elles si différentes les unes des autres ? Pour tenter de répondre à ces questions, on introduit la notion de symétrie, et de sa brisure, dans la théorie électrofaible. Les régularités dans le comportement des particules sont appelées symétries et elles sont étroitement reliées aux lois de conservation. La symétrie est aussi reliée au concept de l’invariance : si un changement effectué dans un système physique ne produit aucun effet observable, le système est dit invariant au changement, impliquant une symétrie (voir théorème de Noether).
    L’unification électrofaible est fondée sur le concept que les forces sont générées par l’échange de bosons. Lorsqu’on dit qu’il existe une force entre deux fermions (spin 1/2), c’est aussi dire qu’ils sont en train d’échanger des bosons. Il faut maintenant comprendre comment les bosons transmetteurs des forces fondamentales acquièrent une masse. Dans le cas de l’unification électrofaible, comment les bosons W± et Z° acquièrent-ils une masse alors que ce n’est pas le cas pour le photon ?
    Les particules (bosons, fermions) acquièrent une masse à cause du champ de Higgs, mais pourquoi chaque particule acquiert-elle une masse différente, ou n’acquiert-elle pas de masse du tout comme dans le cas du photon ? Pourquoi la force de l’affinité des particules avec le champ de Higgs, ce qu’on appelle le couplage, est-elle si différente d’une particule à l’autre, et donc comment expliquer cette hiérarchie des masses ? Aujourd’hui, on ne connaît pas les réponses à ces questions."
    ♠JFP¦¦La réponse est relativement simple, car c’est la quantité de boson de base qui est le quantum du champ, qui donne des variations de masses à des particules différentes. Le champ se regroupe en paquet fonction de la particule avec laquelle il va se coupler et interagir. Donc le paquet de Higgs est fonction de la particule élémentaire à laquelle il s’attaque, et pour une autre particule élémentaire la quantité du paquet sera forcément différente. Chaque boson du paquet de Higgs se lie avec un couple neutre en charge de la particule élémentaire. Mais ces couples peuvent sauter par des sauts quantiques, mais la masse de la particule élémentaire sera toujours la même. Ce qui saute est le boson de Higgs s’appuyant sur un nouveau couple virtuel du vide, et rendant le couple de la particule élémentaire virtuel, mais par d’autres sauts ce couple de la particule élémentaire redeviendra un couple de masse de la particule élémentaire. Dans cette vision cela donne une sorte de vibration à la particule élémentaire.
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    https://www.nextinpact.com/article/30442/109213-grand-collisionneur-hadrons-rare-desintegration-boson-higgs-en-deux-muons
    ▬SEL : "Le boson de Higgs se désintègre donc en plusieurs particules (les scientifiques du CERN en ont observé plusieurs) et, en mesurant le taux de chacune elles, les physiciens peuvent déduire la force de l’interaction de celles-ci avec le champ de Higgs : « plus le taux de désintégration en une particule donnée est élevé, plus l’interaction avec le champ est forte »."
    ▬SEL : "Pour l’instant, ATLAS et CMS ont observé la désintégration du boson de Higgs en différents types de bosons, comme le W et le Z, en fermions lourds (leptons tau), en quarks lourds (top et bottom) et donc en muons. Ces derniers sont, en comparaison, « beaucoup plus légers et interagissent plus faiblement avec le champ de Higgs. Ainsi, aucune interaction entre le boson de Higgs et les muons n’avait encore été observée au LHC »."
    ♠JFP¦¦ Dans ces remarques on parle au moins de champs, mais le champ de Higgs n’est qu’un réservoir pour construire des paquets de Higgs adaptés à la particules élémentaire avec lequel il se lie puis se sépare.
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    https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2018/09/la-desintegration-du-boson-de-higgs-enfin-ete-observee
    ▬SEL : ""De la même manière, le boson de Higgs représente un paquet extrait du champ de Higgs. "
    ♠JFP¦¦ Voilà enfin une vérité ou une possibilité de voir autrement de ce qu’est le boson de Higgs. Il est fascinant de retrouver son idée ou concept par un boute de phrase d’un article. Toute la non compréhension de cette particule de boson de Higgs, c’est qu’il est en même temps le quantum du champs de Higgs, et aussi la particule qui donne la masse aux particules élémentaires, et donc il a une double fonction, un double usage, qui ne peut pas fonctionner pour être cohérent, sauf si on l’on dit que c’est un paquet de bosons venant du champ de Higgs fonction de la particule réelle. Dans ce cas le boson et plus exactement le paquet de boson s’adapte fonction de la particule élémentaire, avec laquelle il va donné des propriétés de masse. Et chaque boson du paquet va agir sur un couple de charges opposées de la particule élémentaire, et il n’est même pas sûr que les sauts quantiques soient valables pour l’ensemble du paquet, car ces sauts peuvent être fait en plusieurs fois, mais à la finale, la particule élémentaire s’éparpillant légèrement redeviendra à son état normal avec ces couples virtuels de charges opposées rassemblés et avec son paquet de bosons. Les écarts de la particule élémentaire, ne sont que des écarts de parties de la particule, ce n’est pas toute la particule qui saute, et ces écarts ne vont pas forcément dans la même direction.
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    https://home.cern/fr/news/press-release/physics/cern-experiments-announce-first-indications-rare-higgs-boson-process
    ▬SEL : "Le boson de Higgs est la manifestation quantique du champ de Higgs, qui donne leur masse aux particules élémentaires avec lesquelles il interagit, via le mécanisme de Brout-Englert-Higgs. "
    ♠JFP¦¦Il n’y a pas de mécanisme de Brout-Englert-Higgs, mais seulement de la prose et des équations, mais aucune mécanique donnée. En fait la mécanique est de dire que les particules élémentaires n’ont pas de masses, mais c’est avec un champ de Higgs que ces particules élémentaires acquièrent une masse. La difficulté de comprendre est que dans certains articles on parle de champ de Higgs avec parfois l’utilisation du boson de Higgs, et dans d’autres articles on ne parle que du boson de Higgs. Comme le boson de Higgs est aussi le quantum du champ de Higgs, il me semble préférable de parler de paquet de Higgs, car pour chaque particule élémentaire correspond un paquet de Higgs adéquat venant du champ de Higgs. C’est la particule élémentaire qui définit le paquet de bosons de Higgs, et chaque Higgs ou quantum agit sur un couple de particule de charges opposées. Ces couples pouvant être des couples virtuels du vide ou des couples du même genre de la particule élémentaire. Cela sous-entend que la particule élémentaire, n’est plus élémentaire mais devient composite par ces couples. Naturellement plus la particule élémentaire est lourde plus son paquet de Higgs est grand et contient plus de couples...
    Pour le redire encore une fois, les sauts quantiques ne s’adressent pas à la particule entière et encore moins à l’atome, mais seulement à des parties de la particule élémentaire. De plus ce que l’on a trouvé n’est pas du tout le boson de Higgs mais un paquet de Higgs voir deux paquets de Higgs fonction des collisions proton/proton à grande vitesse.
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    https://www.nextinpact.com/article/30442/109213-grand-collisionneur-hadrons-rare-desintegration-boson-higgs-en-deux-muons
    ▬SEL : "Et voici le mécanisme de Brout-Englert-Higgs"
    ▬SEL : "C’est là que la théorie des trois physiciens fait son entrée : le « mécanisme de Brout-Englert-Higgs donne une masse au W et au Z lorsqu’ils interagissent avec un champ invisible, dit « champ de Higgs », présent dans tout l’Univers ». D’où vient-il ? « Juste après le Big Bang, le champ de Higgs était nul, mais, lorsque l’Univers a commencé à se refroidir, et que la température est tombée en dessous d’une certaine valeur critique, le champ s’est développé spontanément, si bien que toutes les particules interagissant avec ce champ ont acquis une masse. Plus une particule interagit avec ce champ, plus elle est massive ». L’air de rien, on en revient à l’exploration de milliards d’années d’expansion de l’Univers."
    ♠JFP¦¦C’est un mécanisme, mais il manque la mécanique pour expliquer les rouages. ...
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    La suite vient dans un troisième message.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • « Le temps n’est pas associé à une entité ou deux entités du couple virtuel, car le temps est indépendant de ces associations. Je ne pense pas que tout l’univers soit rempli de ces couples, mais que ces couples virtuels n’existent que dans le voisinage de la matière ».

    Voilà ce qu’écrit Mr Pouliquen et voilà le point principal de divergence. Les couples virtuels de particule et antiparticule virtuels sont la seule mesure réelle du temps que nous connaissons au niveau fondamental.

  • ▬JFP¦¦25102026¦¦Bonjour. La seule mesure précise du temps que nous avons actuellement, n’est que la vibration des atomes et suivant les types d’atomes donnant des fréquences différentes mais très régulières et précises. Comment voulez-vous mesurer le temps avec des particules et anti-particules virtuelles du vide quantique, car elles ne sont pas décelables mais seulement imaginaires. ▬Je n’ai jamais écris ceci : "Le temps n’est pas associé à une entité ou deux entités du couple virtuel, car le temps est indépendant de ces associations." ▬Pour ma part et pour le redire encore, le temps n’est qu’un mécanisme régulier à très grande fréquence par rapport à notre échelle humaine, et bien sûr ce temps existe dans tout l’univers, même aux endroits où le vide quantique est absent, car en dessous de cette échelle du vide quantique, il y a encore un autre vide pour justement animer le quantique et son vide. Ces sauts quantiques font partie de l’animation de phénomènes d’une échelle encore inférieure au vide quantique. Je ne crois absolument pas à certains diagrammes de Feynman où il y a un axe du temps, et où cet axe permet de remonter le temps. Le temps ne peut que s’écouler, car il n’est qu’un mécanisme à une échelle encore inférieure au vide quantique. D’ailleurs ce grand Feynman a dit aussi d’autres bêtises, car recevoir plus de gouttes d’eau sur le visage que par derrière quand on cours sous la pluie pour dénoncer la théorie de Le Sage et son mécanisme pour expliquer la gravitation, est incompréhensif, car je vous ai posé la question pour un objet fixe ou en mouvement, si il voyait la vitesse de la lumière identique dans toutes les directions, et vous m’avez répondu OUI, car je le redis la vitesse de la lumière n’est pas une vraie vitesse. Pour aller à la vitesse de la lumière, il faudrait utiliser le même mécanisme qui n’est pas une vraie vitesse, et c’est ce que font certaines autres particules comme les neutrinos. Réfuter une théorie en utilisant une physique classique pour démontrer que cela ne peut pas fonctionner, est assez léger pour un grand physicien comme Feynman et d’autres. La vitesse de la lumière n’appartient pas à la physique classique, et pas plus à la physique quantique, mais faut-il se pencher sur les relativités de Einstein, pour comprendre que certains physiciens même renommés, disent de grosses âneries. Ces sauts quantiques spontanées sortent de quel chapeau de magicien ? L’énergie du vide n’appartient pas à la physique quantique !!! Amicalement. JFP Jean-François Pouliquen jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Cher Mr Pouliquen, vous écrivez « même aux endroits où le vide quantique est absent ». Auriez-vous connaissance de la localisation de tels endroits ?

  • ▬JFP¦¦26102021¦¦RE Bonjour. Savoir où se trouve la matière dans l’univers est relativement très simple, car elle est alignée sur les plus grandes structures de l’univers, en forme de filaments contenant les galaxies. Ces filaments donne une géométrie du boules ou bulles qui ne renferment pas du vide quantique. Et ces filaments de galaxies ou matière et de vide quantique forment des bulles de vide sans matière. Hors ces filaments, le vide quantique n’existe pas, car il se trouve dans ces filament où naturellement se trouve la matière. Quand on regarde la distribution de la matière à très grande échelle, celle-ci est regroupée en fils ou en filaments, et en dehors de ces fils et filaments la matière est absente. Le vide quantique et toutes ces particules imaginaires ou réelles est aussi présent dans ces filaments, et en dehors de ces filament à très grande structures, c’est un autre vide qui n’est pas celui du quantique, mais ce vide renferme autre chose que le virtuel du vide quantique. Toutes ces apparitions ou disparitions de particules ou de couples quantiques font parti de ces filaments de matières, où des croisements possibles de ces filaments donnent des amas de galaxies. Il faut donc imaginer que le vide quantique suit ces filaments, et pour le dire plus simplement le vide quantique ce trouve où la matière se trouve, et n’épouse pas pas tout l’univers. Maintenant dissocier ce vide quantique de la matière est impossible, car il se trouve toujours ou la matière se situe. Les galaxies qui sont donc de la matière, ne sont pas éparpillées au hasard de l’espace, rendant cet espace homogène et régulier mais sont structurées en filaments où en dehors de ces fils, le vide quantique est absent. Seulement ce qui remplit tout l’univers est ce que vous appelez le virtuel du virtuel, qui lui anime le vide quantique proche de la matière. Si on prend comme exemple la terre, celle-ci possède une atmosphère que l’on ne voit pas, et ce volume est assez important par rapport à la taille de la terre. Plus on s’éloigne de la terre et plus cette atmosphère se raréfie, et il faut prendre comme image pour le vide quantique cette atmosphère entourant la terre, mais bien sûr cela n’est qu’une image de pensée, car il existe d’autres planètes sans atmosphère. ▬Le vide quantique est aussi absent de ces objets que sont les trous noirs, car un trou noir n’ai pas composé de particules et encore moins d’atomes, et sa constitution est donc la composition des particules élémentaires que sont les particules et couples virtuels du quantique, à la différence près que ces entités sont tellement confinées, que la notion du vide quantique n’a plus lieu d’être, et le pire est que le virtuel du virtuel est aussi absent de ces objets. Amicalement. JFP Jean-François Pouliquen jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • pourriez-vous, cher Mr Pouliquen, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il n’y a pas de vide quantique quelque part dans l’Univers ?

  • ▬JFP¦¦26102021¦¦RE Bonjour. Je ne connais pas de phénomène prouvant que l’univers n’est pas rempli de vide quantique, mais c’est simplement une de mes logiques qui permet de le dire. Ainsi si le vide de l’univers était rempli de vide quantique, les images que l’on voit des plus lointaines galaxies, seraient forcément déformées par ce vide quantique, car la lumière interagirait forcément avec ce vide quantique par de très grandes distances. Comme ce vide quantique est très dense en particules virtuelles, ils y aurait forcément des interactions avec la lumière, et les autres ondes électromagnétiques, et les images reçues par ces lointaines galaxies seraient forcément déformées. Il n’est même pas besoin de voir aussi loin dans l’espace, car la distance soleil terre est suffisante pour dire que l’espace entre ces deux objets n’est pas du le vide quantique et qu’il est forcément absent. C’est simplement une philosophie et une logique mais non un phénomène réel. Mais je peux vous renvoyer la balle, en disant prouvez moi que ce vide quantique rempli l’univers. On ne sait pas tester ce vide quantique sans matière, et cela est la même chose pour la gravitation, car ce que l’on teste de cette gravitation est sa déformation par les masses, mais sans masse la gravitation est à son comble, car justement non déformée par les masses. Ce ne sont pas les masses qui donnent cette gravitation, car elle existe indépendamment des masses. Pour le vide quantique, c’est exactement le contraire, car ce vide quantique existe que par l’intermédiaire des masses. Ainsi tout objet dans l’espace à son vide quantique bien à lui et personnel ne pouvant pas être exclut de la masse ou autre de l’objet. Je considère que le vide quantique est un résidus d’organisation de la matière, mais ce vide quantique échange avec la matière, et cela n’est pas pour autant que ce vide quantique soit présent dans tout l’univers, au même titre que pourquoi à des endroits de l’espace la matière est présente et à d’autres endroits non présente. La structure de la matière à grande échelle nous montre bien que la matière est confinée sur des fils ou filaments et qu’autour de ces filaments il n’y a rien !!! Pourquoi cet agencement et pas un autre ? A force de faire des testes avec la matière, on en déduit forcément que des particules autres existent, mais cela n’est que par la matière que l’on teste. Tester le vide général sans matière est impossible, car l’accès à ce vide quantique n’est lié qu’à la matière environnante. Vous avez des idées et des concepts bien à vous, et bien j’en ai d’autres, sans que vous ou moi pouvons prouver, et donc cela devient plus une philosophie de voir un ensemble ou des ensembles. Pour cela il suffit de voir les interprétations de ce fameux boson de Higgs, pour comprendre que les articules spécifiques sur cette particule spécifique sont en désaccord total, car un coup ce boson est pris comme le quantum d’un champ de Higgs, mais est pris aussi comme un ensemble de Higgs qui devient un paquet de Higgs. Dans le mécanisme de ce boson de Higgs donnant une masse à une particule élémentaire, il n’y a pas de comportement de vraie mécanique, ce sont après les physiciens qui se débrouillent à inventer des mécaniques possibles... mais rien n’est réglé !!!
    Pour sourire un peu, prouvez moi mon cher Robert Paris que le vide quantique est dans tout l’univers...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Citer "un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers" me mettez-vous au défi !

    Eh bien, la propagation des photons dans l’espace. On ne la connait que dans le vide quantique...

  • ▬JFP¦¦28102021¦¦Bonjour Je ne vous mets pas du tout en défi, mais je n’ai jamais rien lu de telles choses sur la propagation des photons. Je suppose que ce que vous avancez et affirmez est un de vos concepts, comme pour la gravitation quantique où vous avez aussi une thèse. Je ne réfute pas vos thèses, mais avez vous des sites web ou articles où on peut lire, ce que vous donnez ? Bien sûr sans que cela soit vos articles de votre site.
    ▬Personnellement le photon reste toujours un interrogation scientifique sur ce qu’est cette particule, car plus de 100 ans de recherche sans vraiment avoir des avancées décisives, et il en est de même pour l’électron. Je comprends parfaitement que je vous dérange, car pour vous le vide quantique, vous sert de support des ondes et même des mécanismes pour la gravitation. Mais je considère qu’il ne faut pas mélanger ces particules virtuelles qui se trouvent dans un certain vide proche de la matière, et le vide général entre les objets massiques. Pouvez-vous me donner des articles ou sites autres que les vôtres, où on peut lire ce que vous avancez ?
    ▬Je ne suis qu’un amateur, mais je ne prends pas tout en bloc de ce qui est donné comme scientifique, car souvent ce sont des reprises en prose changeante, sans même que ces articles soient fondés sur de vrais tests scientifiques. Tout le monde ou presque devient journaliste scientifique, mettant à chaque fois son grain de sel différent de ce qui est vraiment. Cela devient même de la désinformation, car n’importe qui peut créer un site et dire ce qu’il veut sur les sciences ou autres. Monde soit disant ouvert qui vous enferme dans la tricherie de l’information...
    Amicalement.
    ▬Le mauvais chasseur y tire, mais bof, y tire. Mais le bon chausseur y tire, mais c’est un bon chasseur (Les inconnus).
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

    • Vous écrivez : "Je considère qu’il ne faut pas mélanger ces particules virtuelles qui se trouvent dans un certain vide proche de la matière, et le vide général entre les objets massiques".

      Connaissez-vous une seule expérience qui vous contraigne de penser que les particules virtuelles proches de la matière dite réelle ne sont pas les mêmes que celles loin de la matière.

      Je vous ai donné l’exemple de la lumière telle que nous la connaissons qui se comporte de même dans l’ensemble que loin de la matière. or son mécanisme a absolument besoin du vide quantique.

      Même si j’étais le seul à le penser, cet argument suffirait.

  • Vous me demandez des scientifiques et des sites qui appuient cette thèse. J’ai cité dans mes textes les articles scientifiques sur lesquels je m’appuie. Mais vous-mêmes me dites qu’on ne peut pas savoir si un scientifique a raison ou pas et si un site est fiable ou pas. Ce qu’on peut savoir en sciences, c’est si une thèse est cohérente, explique l’ensemble des faits et s’il y a d’autres thèses qui expliquent l’ensemble des faits en étant cohérente.

  • ▬JFP¦¦28102021¦¦Bonsoir. Ce n’est même pas gênant ce que je suis par rapport à vous Mr Paris, mais c’est carrément même très nuisible, car cela casse vos concepts, mais ceci est involontaire de ma part, mais je ne cherche pas à vous contrecarrer, car j’ai simplement d’autres idées et concepts, qui ne vont pas du tout dans le sens des vôtres, et c’est bien dommage. C’est sans doute pour cela que vous ne me comprenez pas, et que vous ne voulez pas vraiment utiliser des dialogues d’échanges normaux, car sur des points fondamentaux, nous divergeons complètement. ▬Je vous demandais où je pouvais trouver des articles autres que les vôtres, sur ce que vous affirmez, mais cela est inutile et impossible, car ce sont vos concepts et non ceux d’autres personnes. ▬Pour continuer ce faux dialogue, il en va aussi pour ce boson de Higgs qui remplit soit disant aussi tout l’univers, d’après ce que j’ai lu, mais comment prouver le contraire de cette façon de voir les choses ? En fait les physiciens cherchaient ce boson, et il a été trouvé quelque chose en utilisant des collisions de particules composées lourdes comme les protons et anti-protons, mais a t-on des résultats avec des collisions d’électrons ? NON !!! Ceci est une chose, mais a t-on le droit de dire que ce champ de Higgs épouse tout l’espace de l’univers ? Absolument pas, car ce sont des idées émises non prouvées, et il en va aussi de ce vide quantique, où en partant d’indices et de testes avec la matière, que ce vide quantique épouse tout l’univers, mais là encore qu’en savons nous, et pouvez-vous le prouver ? ▬Je vous retournerai la question, en vous disant, pourriez-vous, cher Mr Paris, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers, même sans utiliser la matière ? ▬Je pense que vous ne pourriez pas répondre, car ce vide quantique est déduit des phénomènes liés à la matière, et quand la matière est absente, et bien on ne sait rien prouver, et c’est bien le problème de cette physique, où beaucoup de notions sont données comme si c’était la normalité et donc une évidence, mais il n’y a aucune évidence... Amicalement. JFP Jean-François Pouliquen jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Désaccord certes !
    Vous écrivez à nouveau :

    « pourriez-vous, cher Mr Paris, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers, même sans utiliser la matière ? »

    Il me semblait vous avoir déjà répondu à cette question, à savoir que la propagation de la lumière sur des distances phénoménales de l’Univers sans rencontrer de matière prouve que le vide quantique est partout étant donné que nous ne connaissons aucune manière de la lumière de se propager ainsi sauf das le vide quantique, c’est-à-dire en se servant des couples particule/antiparticule virtuels du vide quantique.

  • L’existence ou pas de scientifiques qui soutiennent mes thèses vous importe peu puisque vous doutez de l’existence de bosons de Higgs alors que cette thèse est généralement reconnue de la plupart des physiciens.

  • ▬JFP¦¦20210929¦¦Je ne doute pas du tout que ce boson de Higgs existe, mais il pose des problèmes de compréhension, dont la façon où les différents physiciens le décrivent, car un coup c’est le quantum du champ de Higgs, puis c’est aussi LE boson valable pour toutes les particules élémentaires.
    ▬Je ne suis pas physicien, et de plus je ne fais pas partie de la plus part des personnes qui reconnaissent la façon dont ce boson de Higgs trouvé, fonctionne, car il pose des problèmes de compréhension pour des particules élémentaires de masses différentes. D’après vos explications le boson de Higgs casse un couple virtuel, prend la particule virtuelle qui porte la bonne charge, et l’autre particule du couple va se coupler avec la particule qu’il quitte. C’est un mécanisme comme un autre qui peut fonctionner, mais seulement les particules élémentaires n’ont pas toute la même masse. Donc généraliser CE boson de Higgs adapté à une particule élémentaire réelle, oblige que CE boson de Higgs donne la bonne masse suivant la particule qu’il quitte, et comme dans votre mécanisme il casse un couple virtuel, cela donne soit que ces couples virtuels sont adaptés aux bosons qui viendra casser ces couples, soit que le boson lui-même est typé, comme si il était différent suivant la particule où il donne une masse temporaire, ce qui amène à avoir DES bosons différents adaptés, et nommer LE boson de Higgs me parait exagérer, car forcément il doit donner une masse spécifique à la particule qu’il quitte pour redonner cette masse à une nouvelle particule. Donc il n’y a pas LE boson de Higgs, mais DES bosons de Higgs différents correspondant à chaque type de particules élémentaires. D’ailleurs mes remarques ne viennent pas de moi, mais d’articles où l’on parle du boson de Higgs, et mes réflexions ne sont pas vraiment les miennes, mais celles de différents physiciens. Je ne mets pas en cause votre façon de voir, que ces bosons ne restent pas indéfiniment accrochés à une particule, mais ce que je mets en cause, ce sont les explications différentes de ces physiciens. Dire que la particule élémentaire ne possède pas de masse réelle, mais que c’est un boson de Higgs qui lui donne une masse, est une chose que je ne réfute pas, mais le boson attendu et trouvé me parait complètement faux, car aucune mécanique n’est donnée, et comme les particules élémentaires ont des masses différentes, il faudrait expliquer comment cela fonctionne, ce qui n’est pas le cas...
    ▬Pas facile à vous suivre dans les messages du forum, car certains messages envoyés se retrouvent sur d’autres articles, et je pense que c’est sûrement un jeux, mais je ne connais pas encore les règles, mais il est fort possible que je me plante moi-même, car je rédige avant d’envoyé, et donc je fais sûrement des erreurs d’articles.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Ce n’est pas le boson de Higgs qui est différent mais les particules (et antiparticules) virtuelles et réelles qui le sont. Il y a dans les couples du vide quantique tous les types de particules. Le champ de Higgs agit comme une action de freinage : plus grande sur certaines particules que sur d’autres.

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