Ce qui serait dangereux en Côte d’Ivoire pour les classes dirigeantes, ce n’est pas en soi une crise politique du régime ni de la présidence ni du gouvernement. Les deux qui s’opposaient hier, s’affirment aujourd’hui ensemble pour gouverner. Guillaume Soro gouverne pendant que Laurent Gbagbo préside. les bandits ennemis deviennent alliés, pour un temps.
Le vrai danger pour les classes dirigeantes existait quand elles étaient toutes menacées par la mobilisation populaire. Voir les deux textes indexés au début de celui-ci ...
C’est-à-dire en 1988-90 et en 1999-2000.
Cela ne veut pas dire que ce soit fichu en Côte d’Ivoire pour les opprimés. mais seulement qu’il n’ont rien à attendre des oppositions politiques ou militaires qui prétendent les représenter.
mais seulement à compter sur leurs luttes et à étudier comment celles-ci ont été détournées autrefois pour ne pas tomber dans le même piège. D’où la nécessité d’étudier les luttes de classes des années 80 et 90.+
Ce qui serait dangereux en Côte d’Ivoire pour les classes dirigeantes, ce n’est pas en soi une crise politique du régime ni de la présidence ni du gouvernement. Les deux qui s’opposaient hier, s’affirment aujourd’hui ensemble pour gouverner. Guillaume Soro gouverne pendant que Laurent Gbagbo préside. les bandits ennemis deviennent alliés, pour un temps.
Le vrai danger pour les classes dirigeantes existait quand elles étaient toutes menacées par la mobilisation populaire. Voir les deux textes indexés au début de celui-ci ...
C’est-à-dire en 1988-90 et en 1999-2000.
Cela ne veut pas dire que ce soit fichu en Côte d’Ivoire pour les opprimés. mais seulement qu’il n’ont rien à attendre des oppositions politiques ou militaires qui prétendent les représenter.
mais seulement à compter sur leurs luttes et à étudier comment celles-ci ont été détournées autrefois pour ne pas tomber dans le même piège. D’où la nécessité d’étudier les luttes de classes des années 80 et 90.+
Robert Paris