Quiconque s’intéresse à l’activité des masses exploitées et opprimées sera frappé justement par une première chose : la discontinuité de leur intervention.
Au lieu d’assister à une montée ou une descente ou une stabilité des manifestations et des luttes des travailleurs et des exploités, on assiste au contraire à une passivité suivie d’éruptions volcaniques plus ou moins intenses.
C’est dire qu’il n’y a aucune raison d’y voir un mode de fonctionnement philosophiquement différent de celui des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, des différencitions des espèces vivantes, etc...
Quiconque s’intéresse à l’activité des masses exploitées et opprimées sera frappé justement par une première chose : la discontinuité de leur intervention.
Au lieu d’assister à une montée ou une descente ou une stabilité des manifestations et des luttes des travailleurs et des exploités, on assiste au contraire à une passivité suivie d’éruptions volcaniques plus ou moins intenses.
C’est dire qu’il n’y a aucune raison d’y voir un mode de fonctionnement philosophiquement différent de celui des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, des différencitions des espèces vivantes, etc...