Accueil > ... > Forum 34381

39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

14 mars 2016, 17:50, par Vidovic

LA PERFECTION INFLUENCANT L’IMPARFAIT

Les structures matériels dont est fait le cerveau humain ne peuvent pas
lui donner ce qu’elles ne possèdent pas - la conscience immuable.

Le sens ultime de l’unicité dans la verticalité des structures, à commencer de la prime particule émanant de la protomatière exclut à priori toute alternative ou ’copie conforme’ de cette émanation. L’UN est constitué d’une possibilité incalculable des Uns.

A la lisière entre la protomatière et la matière naissante se forment les ’essaims’ dans l’interaction de la double gravitation qui rend possible et stable les primes structures des structures en formation - censées compléter le milieu en perpetuelle verticalisation de l’épaisseur de la matière.

On peut se poser la question, par exemple, comment s’est formée le tout premier ’essaim’ parfaitement incomplet pour se perpétuer dans le dédoublement ou, comme dans tout stade de la formation des unicités dans la verticalité, et de ce fait etre différente de l’unicité de la ’matière morte’ qui assure sa stabilité par sa matérialité grace à la gravitation.

La différence entre unicités structurées et maintenues évolutivement stables par la gravitation, les structures parfaitement imparfaites (organiques) pour assurer la permanence se multiplient en se dédoublant voire redoublant (le ’double’ n’est pas la ’copie conforme’ de ’l’unicité mère’) dans l’identité imparfaite, comme est imparfait le cercle qui en est la logique intrinsèque : ce sens de dédoublement imparfait a chaque unicité nouvelle a une ’personnalité’ dont la structure se fait à la base de la part de la protomatière exempte de gravitation, c’est à dire faisant chaine cohérente dans l’alignement de l’unicité de chaque formation ’imparfaite’ prise à part (ce qui fait ’grandir’ le spécimen).

A l’instar de l’imperfection qui se dédouble grace à la permanence de la protomatière faisant liein entre chaque unicité, on peut se demander si les tout premiers ’etres vivants’ ont eu cette amorce et l’essor que nous interpretons comme - message génétique propre à chaque espèce de la flore et de la faune. A cela s’ajoute une ’question rhetorique’ : est-ce de cette anomalie de la ’crèation imparfaite’ (germe de la vie d’une série du dédoublement de la structure maintenue en cohérence par la présence de la protomatière qui ne remplace pas la gravitation, mais rend possible et assure la permanence de cette unicité imparfaite qui se dédouble pour assurer la permanence de sa structure presque éphémère qu’on appelle - ’espèce vivante’. NOTA Cela peut expliquer aussi la rapidité de l’évolution des structures des espèces par rapport à la permanence de l’unicité de la ’matière dite morte’.

LE PROBLEME LE PLUS DIFFICILE A CERNER est l’effort de la pensée humaine dans la non opposition entre réel et virtuel (opticité et notion) de comprendre l’essor des unicités dans la verticalisation des ’unicités des essaims’ les plus divers en prenant en considération leur unicité qui vient de la toute première émanation de la particule mère imparfaite (tendant vers ’l’équilibre évolutif’ ) qui génère les particules de l’unicité suivantes etc. sans alterner les ’essaims’ contenus et maintenu en mouvement pour assurer la cohérence - par le double jeu de la gravitation, sans laquelle les formes ne pourraient pas etre dans leur stabilité évolutive.

Rien que pour comprendre en application du principe de l’unicité dans la verticalisation jusqu’au niveau de l’atome du platine dans la stabilité de monocristal du platine, il faudrait armer un ordinateur puissant. Mais - à condition de résoudre au préalable - dans quelle logique programmer ce calcul quasiment indéfinissable, car toutes les unicités changent constamment afin de rendre possible l’équilibre évolutif de cette masse quasiment indénombrable et à chaque stade de l’unicité - changeante dans la nature de rendre possible le processus qui rend possible la compréhension de l’épaisseur de la matière.

Cela étant dit : le haut sens de l’unicité dans l’équilibre évolutif, ne justifie pas l’idée de dérivé de la vérticalisation des unicitée à tous les stades de l’épanouissement d’un bout à l’autre de l’épaisseur de la matière - encore moins de la vivante que de la morte. Pour chaque origine afin de concevoir son essor - il est indispensable d’en concevoir l’origine de la phase ’zero’ de la matière structurée - c’est à dire à partir de la protomatière qui en aucun cas n’est mesurable en application du principe de base valable pour la matière - espace et temps - qui ne vaut que pour l’ensemble des structures de la protomatière amorcée et devenue permanence pour chaque unicité prise à part. On s’y perd si l’on ne progresse que l’unicité après l’unicité mère.

Donc, tous les organismes de la ’matière vivante’ ont lit leur essor dans une amorce propre qui, de par son imperfection - maintenus par la présence permanente de la protomatière - ont et leur amorce i leur verticalitsation que l’imperfection de cohérence ou la gravitation est supplée par la présence de la protomatière rend possible la compréhension leur tendance à se répéter et à chaque fois dans une structure de primes particules adoptée par le facteur de la présence de la protomatière - à un ensembles des essaims de la matière environnante (morte ou vivante pour se surelever grace au ’projet’ incitial que nous appelons le ’code génétique’. BREF : Toute espèce est amorcée à partir de l’unicité de son propre programme du système de verticalisation.

LE CONSTANT DANS L’INCONSTANT

LE CERVEAU :

Tout etre vivant se maintient dans la vie grace à un organe qui lui permet de s’orienter dans son environnement naturel en fonction de la spécificité de son organisme doué de possibilité d’assurer sa permanence en transmettant son héritage génétique de multiples façons. Toutes les structures d’un organisme sont coordonnées à un certain niveau, chez les membres de la faune ce centre de coordination des fonctions physiques est - le cerveau ou quelque chose de comparable au système sensoriel fonctionnel.

Les professionnels de l’anatomie des etres faisant partie de la faune savent comment fonctionne le cerveau d’un etre qui en possède un comme aboutissement de tout le système nerveux - mais pour ce qui est de l’etre humain - subsiste une grande question - comment se fait-il que le conscient humain - comme chez les primates par exemple - est, en plus du centre auquel les sens apportent sans cesse des informations instinctives soient doué d’un pouvoir immuable qui interprète et juge toutes ces informations instinctives avec un haut sens de l’exactude, en les situant dans la vérité. Plus encore - comment se fait-il que la conscience non seulement ne dépend point des informations instinctives, mais dans sa permanence immuable elle les juge avec précision et en cohérence ? Plus encore : comment se fait-il que chaque etre et non seulement de la faune aie ses instincts très individualisés alors que la conscience - donnée équitablement à chaque etre humain soit strictement la meme chez tous les hommes ?

En reprenant cette question de l’unicité de chaque etre vivant et le caractère trés personnel des sensations instinctives, on pourrait comprendre que seule la conscience humaine est la seule verticalité inchangeable dans l’organisme humain qui, dès sa conception et tout au long de la vie est une présence de la protomatière qu’en matière de religion on appelle - Esprit Saint dont la permanence se manifeste dans l’ame des etres humains qui ont la conscience - chez certains ouverte et épanouie.
A titre de l’anecdote, citons ici Leopardi : ’Domandato il tale qual cosa al mondo fosse piu rara, rispose : Quella ch’è di tutti, cioè il senso commune.)

LEE FLUX ET LE REFLUX DE L’ABOUTISSEMENT PSYCHO SOMATIQUE

Le problème, sans doute des plus complexes est le fonctionnement du cerveau humain qui, pour etre pleinement fonctionnel, nécessite une grande affluence de l’énergie qu’est la protomatière qui alimente et maintient en fonction les ’neurones’ dans la très grande complexité des interactions amenant au niveau du conscient des données mises en cohérence virtuelle de la réalité perçue et jugée par le pouvoir intuitif de la conscience humaine.

Certains observateurs de ce processus, fort complexe, estiment que les ’neurones’ apparaissent et s’estompent sans arret et cela en un grand nombre.

Le système de connection des neurones fait qu’ils fonctionnent normalement s’ils sont en tension constante d’énergie. C’est à croire que l’afflu de l’énergie suscite des ramifications et des connexions des neurons qui s’estompent si cette énergie créative est insuffisante. C’est là que la matière, ’boustée’ par la protomatière, rend ’sensible’ cette addition dans le conscient pour s’ajouter à la mémoire durable comme un fait nouveau unique et complémentaire, comme, à titre d’anecdote, chaque pierre ayant sa propre forme le fait dans un mur bien solidarisé et compact.

Cette synthèse des données instinctives éclairée par l’intuition se fait logique dans la correspondance entre le réel vécu et le virtuel cerné et mémorisé. Ce processus est d’autant plus spécifique chez l’homme c’est à dire différent par rapport au processus du conscient retenu tel quel sans un renvoi à la valorisation logique car les autres membres de la faune ne sont pas doués du pouvoir intuitif - ayant une gamme génétique faite entièrement en automatisme programmée : perception - réaction.

La conscience humaine en pulsion de la protomatière qui vient du réseau ininterrompu (omniprésence de la protomatière) se maintient dans la conscience pour régulariser les impulsions instinctives et leur donner un sens commun. C’est cette ’assistance’ de la protomatière aux courants de perception qui controlent les neurones s’ajoutant à la memoire de façon d’autant plus durable que sa symétrie avec la réalité ambiante et bien cernée. Une bonne mémorisation règle notre jugement conscient et marque la stabilité de chaque personne humaine à part gràce à la spécificité de la perception faisant l’effet de l’unicité de chaque individu.

Ainsi est réglé notre conscient dans l’unicité de chaque individualité et l’accord du conscient de tout un chacun est du à l’impact de l’intuition venant de la conscience.

La logique devient un facteur important dans la formulation de la pensée créative que les individus dans toute leur spécificité instinctive se comprennent - capables des efforts communs censés etre sensés.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.