Quand le PCF, par la voix de Maurice Thorez, savait comment "terminer une grève" avant qu’elle ne renverse la bourgeoisie
12 septembre 2009, 17:47, par MOSHE
Le 11 juin 1936, dans un discours à Paris, Thorez dit qu’ " Il n’est pas question de prendre le pouvoir actuellement ", et qu’ " il faut savoir terminer [une grève] dès que satisfaction a été obtenue. Il faut même savoir consentir au compromis si toutes les revendications n’ont pas encore été acceptées mais que l’on a obtenu la victoire sur les plus essentielles revendications".
Le 12 juin, le lendemain de l’intervention de Thorez pour briser la grève, Léon Blum déclara à la Chambre :
« Il est vrai que depuis hier la surface des choses a pris une autre apparence ; il est vrai qu’on a le sentiment de groupements suspects et étrangers à l’organisation syndicale. Ce que le gouvernement peut et doit dire, c’est qu’il est parfaitement résolu à assurer l’ordre de la rue. »
Le 11 juin 1936, dans un discours à Paris, Thorez dit qu’ " Il n’est pas question de prendre le pouvoir actuellement ", et qu’ " il faut savoir terminer [une grève] dès que satisfaction a été obtenue. Il faut même savoir consentir au compromis si toutes les revendications n’ont pas encore été acceptées mais que l’on a obtenu la victoire sur les plus essentielles revendications".
Le 12 juin, le lendemain de l’intervention de Thorez pour briser la grève, Léon Blum déclara à la Chambre :
« Il est vrai que depuis hier la surface des choses a pris une autre apparence ; il est vrai qu’on a le sentiment de groupements suspects et étrangers à l’organisation syndicale. Ce que le gouvernement peut et doit dire, c’est qu’il est parfaitement résolu à assurer l’ordre de la rue. »