La question de la discontinuité, par exemple, ne s’est pas posée à eux seulement comme un problème de calcul ou de mesure, mais comme un problème de vision fondamentale du monde.
Les problèmes qui taraudaient les physiciens quantiques étaient ceux de la réalité et de l’observation, de la possibilté d’apparition et de disparition de matière, de l’impossibilité de suivre une particule comme un objet individuel, etc...
« Les particules ne sont pas des objets identifiables. (...) elles pourraient être considérées comme des événements de nature explosive (...) On ne peut pas arriver – ni dans le cas de la lumière ni dans celui des rayons cathodiques - à comprendre ces phénomènes au moyen du concept de corpuscule isolé, individuel doué d’une existence permanente. » expose le physicien Erwin Schrödinger dans « Physique quantique et représentation du monde ».
La question de la discontinuité, par exemple, ne s’est pas posée à eux seulement comme un problème de calcul ou de mesure, mais comme un problème de vision fondamentale du monde.
Les problèmes qui taraudaient les physiciens quantiques étaient ceux de la réalité et de l’observation, de la possibilté d’apparition et de disparition de matière, de l’impossibilité de suivre une particule comme un objet individuel, etc...
« Les particules ne sont pas des objets identifiables. (...) elles pourraient être considérées comme des événements de nature explosive (...) On ne peut pas arriver – ni dans le cas de la lumière ni dans celui des rayons cathodiques - à comprendre ces phénomènes au moyen du concept de corpuscule isolé, individuel doué d’une existence permanente. » expose le physicien Erwin Schrödinger dans « Physique quantique et représentation du monde ».