« Il n’y a pas de but dans l’évolution du vivant. Aucun de nos attributs physiques n’a été voulu et n’est apparu en fonction d’un but ou d’une utilité. Quelle nécessité pour les ongles de nos pieds, pour notre cinquième doigt, ou pour le petit lobe de notre oreille ? A part le fait que nous descendons d’un ancêtre qui les possédait ? La plupart de nos attributs sont hérités d’ancêtres qui en faisaient souvent un usage tout autre. Par exemple, notre oreille fonctionne grâce à trois osselets qui étaient les trois derniers éléments de la mâchoire d’un poisson. »
La société humaine dans son évolution n’a a priori pas de but, non plus. Les révolutionnaires lui assignent pour sa prochaine étape la fin de l’exploitation. Un choix rationnel parmi toutes les potentialités que la société bourgeoise a fait naître de manières tout à fait aléatoire.
« Il n’y a pas de but dans l’évolution du vivant. Aucun de nos attributs physiques n’a été voulu et n’est apparu en fonction d’un but ou d’une utilité. Quelle nécessité pour les ongles de nos pieds, pour notre cinquième doigt, ou pour le petit lobe de notre oreille ? A part le fait que nous descendons d’un ancêtre qui les possédait ? La plupart de nos attributs sont hérités d’ancêtres qui en faisaient souvent un usage tout autre. Par exemple, notre oreille fonctionne grâce à trois osselets qui étaient les trois derniers éléments de la mâchoire d’un poisson. »
La société humaine dans son évolution n’a a priori pas de but, non plus. Les révolutionnaires lui assignent pour sa prochaine étape la fin de l’exploitation. Un choix rationnel parmi toutes les potentialités que la société bourgeoise a fait naître de manières tout à fait aléatoire.