Le travail de Freud ne devient fructueux qu’au prix d’une rupture héroïque avec toute sorte de conventions. Le grand psychanalyste est impitoyable. Quand il se met à l’œuvre, il est comme un chirurgien, presque comme un boucher, les manches retroussées. Prenez-le comme vous voudrez, mais il n’y a même pas un centième de diplomatie dans sa technique. Freud ne se soucie nullement du prestige de son malade ou de considérations de forme, ou de quelque autre espèce de fausses notes ou de fioritures. Et c’est pour cette raison qu’il ne peut mener son dialogue que face à face, sans secrétaire ou sténographe, derrière des portes calfeutrées.
Le travail de Freud ne devient fructueux qu’au prix d’une rupture héroïque avec toute sorte de conventions. Le grand psychanalyste est impitoyable. Quand il se met à l’œuvre, il est comme un chirurgien, presque comme un boucher, les manches retroussées. Prenez-le comme vous voudrez, mais il n’y a même pas un centième de diplomatie dans sa technique. Freud ne se soucie nullement du prestige de son malade ou de considérations de forme, ou de quelque autre espèce de fausses notes ou de fioritures. Et c’est pour cette raison qu’il ne peut mener son dialogue que face à face, sans secrétaire ou sténographe, derrière des portes calfeutrées.