« Les partis socialiste et communiste français continuent leur fatale besogne : ils poussent leur opposition jusqu’à la limite pleinement suffisante pour l’exaspération de la bourgeoisie, pour la mobilisation des forces de la réaction, pour l’armement complémentaire des détachements fascistes ; mais parfaitement insuffisante pour le ralliement révolutionnaire du prolétariat. C’est provoquer comme à plaisir l’ennemi de classe, sans rien donner à sa propre classe. C’est un sûr chemin, et le plus court, vers la ruine. »
« Les partis socialiste et communiste français continuent leur fatale besogne : ils poussent leur opposition jusqu’à la limite pleinement suffisante pour l’exaspération de la bourgeoisie, pour la mobilisation des forces de la réaction, pour l’armement complémentaire des détachements fascistes ; mais parfaitement insuffisante pour le ralliement révolutionnaire du prolétariat. C’est provoquer comme à plaisir l’ennemi de classe, sans rien donner à sa propre classe. C’est un sûr chemin, et le plus court, vers la ruine. »
Trotsky, avril 1935