Chronologie syndicale de la trahison des luttes ouvrières en France et dans le monde
23 février 2010, 12:18, par Jak
Les syndicats, avec 3 millions de personnes dans la rue le 19 mars et 75 % de la population qui soutenait le mouvement social, n’ont , sous prétexte d’unité syndicale, rien fait.
Les conditions étaient pourtant très favorables pour développer le mouvement et aller vers un rapport de forces en faveur des salariés.
Les directions syndicales, au contraire , n’ont eu qu’un objectif : dégonfler la colère des travailleurs, localiser les luttes, repousser les randonnées pédestres suivantes au 1er mai et au 13 juin, avec le succès que l’on connaît...
Il n’est donc pas étonnant que face à la loi sur la mobilité des fonctionnaires, qui remet en cause tout le statut de la fonction publique, l’absence de prise de responsabilité et d’information des directions syndicales ainsi que leur inertie pour éviter tout mouvement de contestation fassent d’elles les alliés les plus fidèles, les plus efficaces et les plus zélés de Sarkozy.
Il ne s’agit plus d’accompagnement social, mais de collaboration sociale avec le pouvoir. Et ça, c’est trahir l’intérêt des travailleurs !
Les syndicats, avec 3 millions de personnes dans la rue le 19 mars et 75 % de la population qui soutenait le mouvement social, n’ont , sous prétexte d’unité syndicale, rien fait.
Les conditions étaient pourtant très favorables pour développer le mouvement et aller vers un rapport de forces en faveur des salariés.
Les directions syndicales, au contraire , n’ont eu qu’un objectif : dégonfler la colère des travailleurs, localiser les luttes, repousser les randonnées pédestres suivantes au 1er mai et au 13 juin, avec le succès que l’on connaît...
Il n’est donc pas étonnant que face à la loi sur la mobilité des fonctionnaires, qui remet en cause tout le statut de la fonction publique, l’absence de prise de responsabilité et d’information des directions syndicales ainsi que leur inertie pour éviter tout mouvement de contestation fassent d’elles les alliés les plus fidèles, les plus efficaces et les plus zélés de Sarkozy.
Il ne s’agit plus d’accompagnement social, mais de collaboration sociale avec le pouvoir. Et ça, c’est trahir l’intérêt des travailleurs !