Qui préparera notre avenir et celui de nos enfants... à notre place ?
20 mars 2010, 21:13, par Toto
La bourgeoisie avait à peine annoncé au monde, impressionné, que le communisme était mort avec la chute du mur de Berlin, la fin de l’URSS et le développement capitaliste de la Chine maoïste, que la chute de Wall Street de 2008 annonçait la défaite du vainqueur de la veille. S’il n’avait fait qu’une bouchée des régimes staliniens, le système capitaliste se retrouve seul face au prolétariat et il ne dispose plus, comme avec le stalinisme, d’un repoussoir servant aussi de piège. Pour le capitalisme, l’ennemi n’est pas mort car l’ennemi n’était pas la bureaucratie stalinienne mais le prolétariat… La lutte pour le communisme, qui n’est autre que la lutte pour que l’humanité ne finisse pas avec la fin du capitalisme, ne fait donc que de commencer.
La bourgeoisie avait à peine annoncé au monde, impressionné, que le communisme était mort avec la chute du mur de Berlin, la fin de l’URSS et le développement capitaliste de la Chine maoïste, que la chute de Wall Street de 2008 annonçait la défaite du vainqueur de la veille. S’il n’avait fait qu’une bouchée des régimes staliniens, le système capitaliste se retrouve seul face au prolétariat et il ne dispose plus, comme avec le stalinisme, d’un repoussoir servant aussi de piège. Pour le capitalisme, l’ennemi n’est pas mort car l’ennemi n’était pas la bureaucratie stalinienne mais le prolétariat… La lutte pour le communisme, qui n’est autre que la lutte pour que l’humanité ne finisse pas avec la fin du capitalisme, ne fait donc que de commencer.