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Quel lien entre espace, temps, matière, lumière et vide quantique ?

4 novembre 2019, 11:46, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦04112019¦¦Merci de vos retours et des possibilités de lire plus logiquement vos articles sur des thèmes spécifiques,
▬Dans toutes vos explications nous comprenons et concluons qu’il y ait deux types de particules virtuelles bien distinctes, qui sont celles que l’on pourrait dire de base ou simples qui sont les particules virtuelles couplées de charge MOINS et PLUS et les particules virtuelles complexes qui sont une copie des particules dit du réel et où c’est ce boson de Higgs qui saute d’une particule virtuelle complexe à une autre, donnant une propriété de masse éphémère, et où il faut comprendre qu’en fait c’est cette propriété de masse qui saute d’une particule virtuelle complexe à une autre donnant l’illusion d’une masse continue de ce monde macroscopique. Ces deux types de particules simples et complexes apparaissent et disparaissent spontanément sans que l’on sache pourquoi ni comment, et donc qu’il y a bien quelque chose qui déclenche ces états de faits, mais qui n’est pas abordés et encore moins expliqués. C’est comme si on avait une guirlande de noël qui clignotait et quand cela est éteint toutes les particules virtuelles sont absentes et quand c’est allumé toutes ces particules virtuelles existent très brièvement. Nous ne savons pas d’ailleurs si cette représentation imagée de guirlande de noël clignotante correspond à vos descriptions, car cette même guirlande pourrait être vu différemment où cela n’est pas l’ensemble qui s’allume et qui s’éteint, mais par une non simultanéité. Nous n’avons pas trouvé d’explication sur cette simultanéité ou son contraire pour ces particules virtuelles qui apparaissent et disparaissent, et on est en droit de se poser simplement la question.
▬[distances par des photons et des temps par des photons virtuels.]
▬Pourquoi les photons réels ne définiraient que les distances, et les photons virtuels que le temps Ɂ
▬[Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul :]
▬Pourquoi vouloir considérer que l’électron soit un corpuscule avant le passage des fentes de Young Ɂ Pour nous un électron est toujours dans ce mode ou état particulier d’onde stationnaire, malgré que l’on n’aime pas du tout cette expression, et considérer donc que cet électron soit toujours un non corpuscule, et que c’est seulement quand cet électron s’écrase sur une plaque de détection, qu’il devienne corpuscule. Si cet électron se déforme constamment et même changeant de volume très variable, il ne peut pas être un corpuscule compressé mais justement une structure non figée et molle qui s’étale dans l’espace changeant sans cesse de forme. Ainsi avant, pendant et après passage des fentes de Young l’électron reste une structure molle, où après passage sa géométrie définie une nouvelle forme particulière correspondant à deux géométries temporaires donnant du coup une sorte de résonance que l’on appelle interférence, et c’est seulement quand il arrive sur une plaque de détection, qu’il se construit en corpuscule, rassemblant du coup ses géométries. Si la plaque de détection était placée beaucoup plus loin des fentes de Young, nous pensons que les franges disparaîtraient, mais nous ne savons pas si ce type d’expérience à été réalisée. Cette façon de voir les choses en deux géométries ne va pas à l’encontre de vos concepts de disparition et de réapparition sur d’autres particules virtuelles complexes, mais cela sous-entend déjà que ces particules virtuelles complexes donnent encore plus de possibilité, et on peut même se demander si ce n’est pas ce boson de Higgs qui saute ne regroupe pas lui-même un ensemble de particules virtuelles couplé de base pour en faire l’équivalent de cet électron ou d’une partie de cet électron. On peut avoir cette vision où ces particules virtuelles complexes ne pré-existent pas, mais sont créées par regroupement via ce boson de Higgs. Ainsi la panoplie de toutes ces particules réelles ne se retrouvent pas directement dans ce vide en tant que particules virtuelles complexes, mais ce sont les bosons de Higgs qui font ce travail de regroupement à partir de particules virtuelles de base ou simples qui sont couplées, et cette façon de voir est beaucoup plus simple que d’avoir toute la panoplie des particules dites réelles en virtuelles. La complexité du virtuel pourrait ne plus pré-exister, il se créer suivant les besoins, et cela enlève du coup cette répartition inconnue de ces particules virtuelles complexes pré-existantes. Dans le cas de cette division de géométrie initiale de l’électron passant par deux fentes de Young, ce qui est important de souligner, c’est que la charge totale initiale est négative, ne peut pas être conservée en deux charges négatives, mais qu’une division de l’électron aura une charge négative et l’autre division sera obligatoirement neutre, exactement comme les particules virtuelles couplées. De là on peut même dire que l’électron est un assemblage de ces particules virtuelles de base, où un grain positif est absent, et rendant cet électron en charge négative, et que pour le positron qui est son anti, ce simple grain de déséquilibre est lui de charge positive. Avec cette façon de voir les choses nous retombons sur ce que nous avions déjà exposé, à savoir que tout est grains de base, où vos particules virtuelles de base ou simples, sont en réalité deux grains de charge opposées. Ce n’est pas que nous refusons vos concepts de particules réelles en virtuelles, mais cela oblige d’avoir toute la panoplie de toutes les particules virtuelles complexe sous la main et en permanence. Il nous sommes plus simple d’avoir une base très simple de ces particules virtuelles couplées disponible presque tout le temps et prêtent à l’emploi, et que c’est ce boson qui oblige en sautant, à regrouper cette base pour en faire une virtualité plus complexe. Nous ne voulons absolument pas imposer nos idées, mais nous émettons seulement des possibilités non données. Ce nuage de polarisation autour de particules au moment où elles sont dites réelles, est en fait un nuage constitué que de particules virtuelles couplées simples et c’est seulement quand ce boson saute qu’il regroupe lui même les bases nécessaires pour en faire une notion plus complexe. Même si cette façon de voir est fausse, elle est pour autant beaucoup plus simple en compréhension, et nous pensons que pour d’autres personnes, la nature est aussi plus simple. Cela permet aussi de comprendre que ce neutron totalement instable quand il est isolé, ne l’est plus quand il fait partie du noyau atomique, et ceci pourrait s’expliquer qu’une particule virtuelle la plus simple possible sans être couplée par paire avec son opposée en charge, passe du neutron au proton, trans formant du coup ce neutron en proton, et le proton récepteur en neutron, et où ce jeux est un va-et-vient sans cesse donnant du coup un équilibre constant de vie à ces particules, et non d’une durée de vie courte. La règle serait que la stabilité en durée de vie des particules n’est liée qu’à un déséquilibre en charge, rendant soit une particule positive ou alors soit négative, c’est à dire que les charges neutres ne sont que des apparences et sont instables, et que cette neutralité soit un équilibre en charge négative et positive.
▬Nous avons d’autres remarques sur votre article, mais pour ne pas tout mélanger, une première remarque sur cet électron qui pour nous est toujours en mode non corpusculaire remettant en cause cette dualité, où celle-ci n’existe que quand l’électron meurt et donc qu’il s’écrase rendant au vide sa constitution. Et la deuxième remarque est que la pré-existence de particules virtuelles complexes n’existe pas vraiment mais se construit suivant les besoins, et c’est donc ce boson qui rassemble le nécessaire à partir de particules virtuelles couplées de base, pour pouvoir donner une masse temporaire à un ensemble de particules virtuelles de base, mais tout ceci ne sont que des suggestions, mais néanmoins cela permet de rendre plus simple cette virtualité du vide quantique. Quand ce boson quitte la particules devenue réelle, celle-ci devient virtuelle complexe, mais cela se décompose alors en particules virtuelles couplées de base rendant au vide ce qu’il est à l’origine. Ces particules virtuelles complexes existent bien mais sont encore plus qu’éphémère quand ce boson quitte ces ensembles et que ces mêmes ensembles se décomposeront à nouveau en particules virtuelles couplées de base, qui est donc la base de se vide quantique. En espérant que vous ne prendrez pas mal nos idées qui ne sont que des suggestions, mais qui peuvent néanmoins fonctionner. Votre site est bien pour ce fait d’avoir des confrontations d’idées différentes et pouvoir exprimer d’autres façons de voir les choses. Nous continuons sur ce même article très riche en concepts et en explications...
▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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