Accueil > ... > Forum 47298

Quel lien entre espace, temps, matière, lumière et vide quantique ?

11 novembre 2019, 08:42, par Robert Paris

Petite synthèse de vos explications sur le réel et le virtuel. Si on classe par niveau ce réel et ces virtuels, on peut considérer que le niveau N0 soit le niveau du réel et les N1 et N2 des niveaux du virtuel. Ce niveau N0 est le niveau macroscopique des objets vu en permanence, où les atomes semblent totalement fixes sans vibration, sans changement, mais ceci n’est qu’une apparence, car ce qui défini les atomes, sont les particules élémentaires qui sont en agitation permanente et sont d’un autre niveau dit microscopique sans être virtuel pour autant, mais c’est ce dernier qui change. ▬Le niveau N1 est celui des particules virtuelles complexes qui est une copie conforme à toutes les particules du réel microscopique, mais n’appartenant pas à notre réalité, et ce faute d’énergie insuffisante. C’est par ce boson de Higgs s’accolant à une particule N1 que se transforme une particule N1 en particule N0, passant du coup du virtuel au réel et où cette énergie est donnée. Ce boson de Higgs saute de particule N0 à une particule N1, rendant N1 en N0 et laissant cet ancienne N0 en N1. C’est donc ce boson en s’accouplant provisoirement par sauts successifs qui change l’état des particules, et c’est donc lui qui nous fait voir notre réalité, mais une réalité instable à ce niveau. C’est donc une réalité fugitive éphémère et instable que nous constatons et qui n’est qu’une illusion fixe des objets, car en fait, ces mêmes objets se renouvellent constamment par sauts successifs de ces bosons donnant cette illusion d’avoir des objets fixes et étant les mêmes objets. L’atome n’est donc qu’une apparence trompeuse de ce qui se passe en dessous. Ces bosons de Higgs sautant sans cesse de particules N0 à N1 nous donnent donc ces micro-touches de réalité qui ne sont jamais les mêmes particules, mais toujours les mêmes caractéristiques, comme la masse par exemple, et on peut considérer que ce sont les attributs du réel qui sont gardés mais jamais les mêmes particules portant ces attributs. Donc la vision de l’atome ou d’autres particules du réel N0, nous donnant des caractéristiques précises sont en fait des caractéristiques venant de ces bosons portées par des particules provisoires et éphémères et jamais les mêmes, constituant un ensemble comme l’atome. Les photons donc les bosons font de même, mais ne s’adressent pas à ces particules complexes N1 mais d’un autre niveau. ▬Le niveau virtuel N2 est constitué de particules associées en couple ou paire et de charges opposées PLUS/MOINS. Ces particules du N2 dit virtuel du virtuel, constituent des nuages de polarisation, où ces mêmes nuages entourent les particules N0 comme N1. Chaque nuage accompagne une particule N0 ou N1 comme encore les photons qui sont des bosons. Donc particules N0 (réel) et particules N1 (virtuel) comme encore les bosons sont toujours accompagnés d’un nuage de polarisation constitué par ces couples de particules N2 de charges opposées PLUS/MOINS. Chaque photon réel est un couple de particules N2 de charges opposées ayant reçu une énergie suffisante pour ne plus rester virtuel et garder cette énergie constamment. On pourrait même dire que ces photons réels ont reçu un autre type de boson de Higgs spécial, au même titre que les particules N0 qui étaient des particules N1, car il y a une très grande similitude. Chaque nuage est organisé fonction de la charge de la particule N0/N1 centrale du nuage électrisé, ainsi ce sont les couples qui s’orientent et se placent dans le sens de la particule centrale où il y aura opposition de charge, ainsi si la particule centrale est de charge négative, les couples s’orientent de telle façon que le PLUS soit plus proche de ce centre négatif, et que l’autre particule du couple N2 soit à l’opposé et donc externe. Cet arrangement fait que la particule centrale N0 ou N1 définit des couches électrisées successives négatives/positives donnant une structure d’oignon avec des couches de charge PLUS et des couches de charge MOINS. Dans le cas du photon réel nous ne savons pas comment se fait cette organisation du nuage de ces particules N2 du nuage de polarisation, si toutes fois il y a une vraie organisation. On peut donc supposer que les couches de charge deviennent des demies couches car une partie de demie-couche négative et l’autre demie-couche positive, et ce sans savoir si ce couple N2 central du photon soit toujours orienté de la même façon dans l’espace. Il est dit aussi que ce nuage forme un champ électromagnétique, et donc qu’entre deux couples N2 du nuage de polarisation ce champ existe. Ce nuage de polarisation suit aussi bien les particules N0 ou N1 et même photon réels de couples N2, mais ces mouvements sont en réalité des successions de sauts du boson de Higgs pour les fermions avec passage de N0 à N1, et aussi les mêmes successions de sauts pour les photons où la transmission des caractéristiques du photon utilise directement les particules N2 et non N1 comme les fermions. Dans les deux cas il y a transfert d’énergie, et la particule support de notre réalité n’est jamais la même où est portée cette énergie. Ces particules virtuelles N1 comme N2 suivent la particule en mouvement, mais ce qu’il faut comprendre c’est que le mouvement ce fait en réalité par sauts via les transferts de caractéristiques d’une particule à une autre, où ce n’est pas l’objet qui se déplace mais ses caractéristiques. La fréquence du photon, toujours d’après les explications, est la fréquence du cycle de l’éloignement et de rapprochement des deux particules N2 constituant le photon. On peut donc dire que ce couple de particules N2 vibre ou oscille, et donc plus la fréquence du photon est grande, plus le cycle de vibration est court en temps, et forcément inversement plus la fréquence du photon est faible plus la durée du cycle de vibration est longue. Dans cette approche de concept, il y a deux formes d’énergie, car cette énergie donnant le mouvement qui est celle de la vitesse de la lumière indépendamment de la fréquence du photon, et la deuxième énergie est celle de la vibration ou oscillation du photon par ses deux particules vibrantes et oscillantes du couple N2, et ceci fait que tous les photons sont constitués de la même façon, et seule la fréquence change. ▬Pour synthétiser, le réel n’est qu’une succession de transmissions d’énergie passant par des particules N1 pour les fermions et N2 pour les bosons où en fait les particules du réel ne sont jamais les mêmes, mais où les caractéristiques de ce réel sont transmises par sauts par les particules N1 ou N2 réceptrices, et comme il y a transmission la particule émettrice perd ses facultés d’être réelle pour les fermions et redevient une particule N1, et pour les photons N2. Ceci est donc un petite synthèse pensant avoir compris vos explications sur les différents niveaux du virtuel N1 et N2 et sur ce réel N0 qui n’est qu’une illusion ou apparence fixe à notre échelle du macroscopique où on peut voir les objets, mais non fixe au niveau inférieur qui est celui du microscopique et où il y a des changements permanents utilisant les N1/N2. ▬RÉFLEXIONS¦¦ C’est ce boson de Higgs qui défini notre réalité, et si ce boson de Higgs était absent, il n’y aurait pas de réalité ni matière comme on la connaît, et par opposition si il y avait plus de boson de Higgs il y aurait forcément plus de matière, car les particule N1 sont là en attente d’être bien réelles, et on peut largement se poser des questions philosophiques sur des surplus de matière à n’en plus finir, et même de ne plus avoir ces particules éphémères N1 du virtuel ne pouvant plus être utilisées comme transfert de caractéristiques de support... Il y a bien matière à philosopher à avoir moins ou plus de matière dans ces extrêmes de possibilités, et donc que ces bosons de Higgs sont une clé. Une autre réflexion moins philosophique est qu’il existe un champ quantique entre deux couples de particule N2, et cela sous-entend qu’il puisse y avoir un troisième type de virtuel qui serait un niveau encore inférieur comme étant N3. Et ce champs quantique n’est pas la seule raison à concevoir ce nouveau niveau N3 du virtuel, car si ce nuage de polarisation est organisé c’est qu’il y a échange entre ces mêmes particules N2 qui sont des couples de charges opposées, car pour que ces couples s’organisent et s’orientent, il faut bien des particules d’interactions ou faisant des liens et donc communiquant avec ces particules N2 de ce nuage de polarisation. Pour le dire autrement un nuage de polarisation ne s’organise pas tout seul car il faut des liens entre ces couples de particules N2, et ce n’est pas le vrai vide sans strictement rien correspondant au néant qui puisse être ce lien entre couples de particules N2, car il y a forcément quelque chose qui permet cette organisation et ces directions et orientations de ces couples de particules N2. Il y a donc comme un niveau supplémentaire de virtuel implicite, encore plus petit que le niveau N2 que sont les couples de charges opposées de ce virtuel de virtuel, car ces mêmes couples communiquent forcément entre eux par quelque chose de non défini dans l’exposé de cet article. Nous ne cherchons pas la petite bête, mais elle manque forcément. ▬Une autre réflexion est de dire que ces particules virtuelles complexes N1 n’existent que où existe la matière, ainsi ces particules complexes de niveau N1 n’existent pas dans ces espaces interstellaires ou intergalactiques et la raison que nous avions émise est que les photons venant de galaxies lointaines seraient forcément déviés par ces particules N1. Comme la mécanique de propagation des photons est décrite comme étant aussi une succession de sauts passant de N2 à d’autres N2, cela ne gène en rien à notre réflexion, car ces particule complexes N1 sont des obstacles à ces N2 se propageant avec l’énergie des photons. On voit mal dans cette représentation imagée que les particules complexes N1 s’écartent du passage du nuage de polarisation des photons. Et puis comme ces particules complexes N1 pourraient apparaître dans les nuages de polarisation accompagnant les photons car ces particules N1 apparaissent et disparaissent sans prévenir, et que forcément si ces particules N1 sont éphémères elle ont une durée de vie pouvant faire obstacle à ces photons sautant de N2 à N2. ▬Comme vous considérez les photons comme étant initialement un couple de particule N2 ayant reçu une certaine énergie durable, on peut très bien imaginer que ces particules simples du niveau N2 soient constituées de particules de niveau N3, comme on peut aussi imaginer que les particules complexes N1 soit aussi constituées de particules N2. Il y a donc comme une même substance définissant différentes particules virtuelles, mais ceci est une réflexion qui n’apporte rien au niveau des mécanismes. En fait notre réflexion est fausse, car on peut considérer l’espace rempli de ce niveau N3 non plus virtuel, et que ces couples de particules N2 se créer suivant les besoins et utilisent cette fausse substance de N3. Il en va de même pour ces particules virtuelles complexes N1 qui elles aussi se créer suivant les besoins de ces bosons de Higgs utilisant du coup ces particules de niveau inférieur N2 pour se construire en N1. Il y a ainsi des emboîtements de constitution partant d’un même niveau de faux virtuel qui devient une réalité indétectable, car ce nouveau niveau N3 est permanent et ne se détruit pas et ne se reconstruit pas, et devient du coup une sorte de substance de l’espace servant à des constructions temporaires et éphémères de niveau supérieur.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.