Ce sont les exactions de l’armée qui ont radicalisé les jeunes anglophones contre qui elle combat. Si Yaoundé n’avait pas commencé à tuer des gens, ils auraient désamorcé la crise anglophone et ils n’ont fait que l’attiser, d’abord par le mépris du pouvoir puis avec les crimes des militaires.
Ce sont les exactions de l’armée qui ont radicalisé les jeunes anglophones contre qui elle combat. Si Yaoundé n’avait pas commencé à tuer des gens, ils auraient désamorcé la crise anglophone et ils n’ont fait que l’attiser, d’abord par le mépris du pouvoir puis avec les crimes des militaires.