L’Association maritime du Pacifique (PMA), qui représente les transporteurs de fret, les opérateurs de terminaux et les entreprises d’arrimage, a imposé un lockout de quatre jours aux 20.000 travailleurs de 29 ports de la côte Ouest des Etats-Unis. Les docks étaient fermés jeudi et le seront à nouveau samedi, dimanche et lundi ; un lockout similaire avait déjà eu lieu le weekend dernier.
La PMA a pris cette mesure punitive, qui coûtera aux travailleurs des centaines sinon des milliers de dollars en pertes de salaires de base et heures supplémentaires, en représailles à une présumée grève du zèle organisée par l’ILWU (syndicat international des dockers).
« Les membres de la PMA ont conclu qu’ils ne mèneraient pas d’opérations sur les navires ces jours-là, car ils auraient à payer des rémunérations très élevées à des équipes entières de travailleurs de l’ILWU pour une productivité sévèrement diminuée, tandis que s’accumule le retard du fret sur les ports de la côte Ouest, » dit une déclaration de la PMA.
« Ceci est une tentative de la part des employeurs d’imposer une pression économique sur nos membres pour mieux peser sur les négociations de contrats », a dit le président de l’ILWU Robert McEllrath. « Le syndicat se tient prêt à négocier, comme c’est le cas depuis plusieurs jours ».
L’Association maritime du Pacifique (PMA), qui représente les transporteurs de fret, les opérateurs de terminaux et les entreprises d’arrimage, a imposé un lockout de quatre jours aux 20.000 travailleurs de 29 ports de la côte Ouest des Etats-Unis. Les docks étaient fermés jeudi et le seront à nouveau samedi, dimanche et lundi ; un lockout similaire avait déjà eu lieu le weekend dernier.
La PMA a pris cette mesure punitive, qui coûtera aux travailleurs des centaines sinon des milliers de dollars en pertes de salaires de base et heures supplémentaires, en représailles à une présumée grève du zèle organisée par l’ILWU (syndicat international des dockers).
« Les membres de la PMA ont conclu qu’ils ne mèneraient pas d’opérations sur les navires ces jours-là, car ils auraient à payer des rémunérations très élevées à des équipes entières de travailleurs de l’ILWU pour une productivité sévèrement diminuée, tandis que s’accumule le retard du fret sur les ports de la côte Ouest, » dit une déclaration de la PMA.
« Ceci est une tentative de la part des employeurs d’imposer une pression économique sur nos membres pour mieux peser sur les négociations de contrats », a dit le président de l’ILWU Robert McEllrath. « Le syndicat se tient prêt à négocier, comme c’est le cas depuis plusieurs jours ».