Editorial 8 janvier 2011 - Vive la révolte sociale en Algérie et en Tunisie ! A bas la dictature de l’oligarchie des profiteurs !
10 janvier 2011, 14:43, par saïd
Les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre ont repris aujourd’hui dans le centre-ouest du pays, alors qu’un homme blessé dimanche par balles a succombé lors de son hospitalisation, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois localités - Kasserine, Thala et Regueb - étaient en proie à des violences aujourd’hui, signe de la poursuite des émeutes contre le chômage qui secouent la Tunisie depuis la mi-décembre. Ces violences ont fait au moins 14 morts selon le gouvernement, et plus de 20 selon des sources de l’opposition.
A Kasserine, un homme atteint de plusieurs balles et admis à l’hôpital hier, Abdelbasset Kasmi, a succombé à sa blessure ce matin, selon Sadok Mahmoudi, membre du bureau exécutif de l’union régionale des travailleurs tunisiens (UGTT, centrale syndicale).
Mahmoudi a également fait état d’"grand nombre" de personnes blessées qui se trouvaient en réanimation à l’hôpital de Kasserine, placé sous contrôle de l’armée. Selon des sources médicales et syndicales, l’établissement manquait lundi de sang pour traiter les blessés.
Les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre ont repris aujourd’hui dans le centre-ouest du pays, alors qu’un homme blessé dimanche par balles a succombé lors de son hospitalisation, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois localités - Kasserine, Thala et Regueb - étaient en proie à des violences aujourd’hui, signe de la poursuite des émeutes contre le chômage qui secouent la Tunisie depuis la mi-décembre. Ces violences ont fait au moins 14 morts selon le gouvernement, et plus de 20 selon des sources de l’opposition.
A Kasserine, un homme atteint de plusieurs balles et admis à l’hôpital hier, Abdelbasset Kasmi, a succombé à sa blessure ce matin, selon Sadok Mahmoudi, membre du bureau exécutif de l’union régionale des travailleurs tunisiens (UGTT, centrale syndicale).
Mahmoudi a également fait état d’"grand nombre" de personnes blessées qui se trouvaient en réanimation à l’hôpital de Kasserine, placé sous contrôle de l’armée. Selon des sources médicales et syndicales, l’établissement manquait lundi de sang pour traiter les blessés.