Algérie, Maroc, Egypte, Syrie, Yémen et Tunisie : la révolution n’a connu encore que sa première phase
29 mai 2011, 21:28, par Robert Paris
Tu as raison, il existe mille moyens pour qu’une révolution échappe à ses acteurs, les travailleurs, les jeunes et les milieux populaires.
Et d’abord la fin du règne d’un dictateur n’est pas la fin d’un régime et encore moins la fin du système.
En effet, même quand la personne du dictateur est devenus synonyme d’oppression, celle-ci peut prendre d’autres formes et même la même forme avec d’autres acteurs...
Les masses populaires sont courageuses pour se battre, se révolter. Il est plus difficile de trouver des travailleurs, des jeunes et ceux qui sont à leurs côtés qui soient capables d’étudier et de travailler à l’avance pour la libération des opprimes.
Tu as raison, il existe mille moyens pour qu’une révolution échappe à ses acteurs, les travailleurs, les jeunes et les milieux populaires.
Et d’abord la fin du règne d’un dictateur n’est pas la fin d’un régime et encore moins la fin du système.
En effet, même quand la personne du dictateur est devenus synonyme d’oppression, celle-ci peut prendre d’autres formes et même la même forme avec d’autres acteurs...
Les masses populaires sont courageuses pour se battre, se révolter. Il est plus difficile de trouver des travailleurs, des jeunes et ceux qui sont à leurs côtés qui soient capables d’étudier et de travailler à l’avance pour la libération des opprimes.