Le procès de Socrate, la condamnation d’un homme qui demeure mystérieux, puisqu’il n’a laissé aucun écrit lui-même, et suscite pourtant toujours autant de passion et d’admiration plus de 2000 ans après sa mort. Le trouble que suscite la condamnation à mort paraissant aujourd’hui incompréhensible, dans un système dit démocratique, d’un philosophe hors norme et n’ayant commis aucun crime au sens contemporain, si ce n’est se comporter en homme libre. Un questionnement qui continue de nous tarauder et nous interroger sur les ressorts de notre système de pouvoir, que l’on a l’habitude pourtant d’ériger ici comme étant " le moins mauvais des systèmes".
Le procès de Socrate, la condamnation d’un homme qui demeure mystérieux, puisqu’il n’a laissé aucun écrit lui-même, et suscite pourtant toujours autant de passion et d’admiration plus de 2000 ans après sa mort. Le trouble que suscite la condamnation à mort paraissant aujourd’hui incompréhensible, dans un système dit démocratique, d’un philosophe hors norme et n’ayant commis aucun crime au sens contemporain, si ce n’est se comporter en homme libre. Un questionnement qui continue de nous tarauder et nous interroger sur les ressorts de notre système de pouvoir, que l’on a l’habitude pourtant d’ériger ici comme étant " le moins mauvais des systèmes".
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