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Y a-t-il des sciences exactes ?

27 septembre 2019, 16:47, par Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

(...) Pour nous c’est la matière qui défini les différentes fréquences de photon, mais cela n’est qu’une idée ressente, car c’est en lisant tes articles et écoutant et regardant les vidéos que nous nous orientons dans ce concept. C’est aussi pour cela qu’une infinité de fréquences de lumière n’existe pas et ces fréquences sont forcément limitées. Même si la matière est très diversifiée, et que même des matières étrangères que nous connaissons même pas d’ailleurs, est à l’origine des fréquences des photons, cela veut dire que les fréquences des photons sont limitées, car la complexité de la matière est forcément limitée. Mais il peut y avoir plus de fréquences de photons que de types d’atome, car certains types d’atomes sont instables et donc certaines matières ne sont qu’éphémères, mais pas les photons émis des matières éphémères.

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Pour nous, dire que les photons sont de l’énergie sans masse, ne veut strictement rien dire, car l’énergie pure n’existe pas dans nos conceptions. L’énergie est forcément le résultat d’une masse et d’une vitesse, et comme la vitesse de la lumière est soit disant toujours la même, cela veut donc dire que la masse des photons change fonction de leur fréquence. Il y a donc une équivalence entre masse de photon et fréquence de photon, mais à la finesse de ces masses de photon, il est impossible de pouvoir mesurer ces masses, car notre technologie ne peut pas le faire. Quand un photon est absorbé par la matière, cela veut dire que la matière augmente en masse, mais cette nouvelle masse est instable par rapport à l’espace, et donc qu’il y a rejet de cette excédent. Cela va dans le sens où certaines particules que l’on créer artificiellement sont éphémères pendant une très courte durée et se désintègre, pour reformer autre chose. Le photon absorbé temporairement par la matière, n’est pas une énergie supplémentaire, mais une vraie masse supplémentaire remettant en cause une organisation de l’existant, et comme il y une instabilité, il y a donc rejet de cette masse supplémentaire, redevenant photon. Ce n’est pas parce-que nous accordons des masses aux photons que cela sert à comprendre que des photons peuvent être déviés de leurs trajectoire par des masses importantes, car les géodésiques que décrivent les photons sont sans rapport avec leur masse interne. ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ▬Réflexions sur ton message du 25092019 08:03 du même article en disant non à la dichotomie pour la matière et la lumière, car effectivement pas de dichotomie car ces notions sont complètement différentes. Voici tes affirmations¦¦ ▬1° Deux matières qui se choquent avec une énergie suffisante se transforment entièrement en lumière ! ▬2° Deux matière ne se connaissent mutuellement que par la lumière !!! ▬3° De la lumière peut également se transformer en matière. ▬4° Tous deux, ainsi que le vide, ne sont que des... quanta !!! ▬Pour l’affirmation 1° nous aimerions trouver des articles de pages du net parlant de ces transformations totales, car nous ne connaissons pas cette façon de voir ces chocs de matière/atome où tout s’évapore. Ces chocs à très hautes énergie de particules engendrent d’autres particules mais non une transformation totale en lumière de photons. Il en va également pour l’affirmation 3° qui est de pouvoir créer de la matière à partir de photons, et nous ne connaissons pas des sites internet où cela est expliqué et testé, car est-ce de la théorie ou de réels tests effectués ?

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La dichotomie est pour nous une division par deux d’une même chose. On se sert en informatique de cette notion pour rechercher plus rapidement des données. Il faut se représenter un arbre avec un tronc qui est le départ, puis deux branches partant du tronc, où il faut choisir entre ces 2 branches suivant un critère de recherche. Quand une branche est choisie, cette même branche se divise à nouveau en deux, et de nouveau il faux choisir, et cela se répète jusqu’à trouver les données d’une fin de branches où il n’y plus de division de branches. Les branches ne sont pas les données, car les données se trouvent au bout des branches où il n’y a plus de division. En fait chaque branche possède quand même une petite donnée qui peut être un nombre par exemple. L’ordonnancement des données peut être mélangée, et c’est justement par ce procédé où il faut choisir une branche plutôt qu’une autre et qu’il y a plus de rapidité à chercher un bloc de données associé à un nombre ; plutôt que de parcours les données et de s’arrêter à la bonne portant le bon numéro. La dichotomie est une sorte d’index indirecte ou justement il y une recherche dichotomique par division pas deux. Pour être encore plus clair et donner un exemple, prenons un cahier avec des pages et où chaque page représente des blocs de donnée comme une page internet par exemple. Chaque page est numérotée. Mais il faut concevoir que l’ensemble de ces pages numérotées ne sont pas dans un ordre régulier mais justement mélangée, donc une sorte de cahier ou classeur où il y a des tas de pages mais non classées. En dehors de l’ensemble de ces données correspondant au classeur qui sont un ensemble de pages numérotées, il existe un index de recherche par page, mais cet index ne nous donne pas directement la position où se trouve la page recherchée par son numéro de page, car il faut interroger les branches pour trouver la page recherchée. Si notre classeur mal classé renferme 1000 pages de données, pour rechercher la page 774 par exemple, on demandera à la premier division en deux de branche, quelle est la branche à choisir sachant qu’une branche nous donnera les 500 premières pages et l’autre branche donnera les pages de 501 à 1000. Prenant la deuxième branche celle-ci se divise encore en deux, car d’un coté les pages de 501 à 775 et l’autre branche donnant accès aux pages de 776 à 1000. C’est donc dans la premier division où se trouve la page à rechercher, car 774 se trouve entre 501 et 775, et cette tranche de page se divisera encore à nouveau en deux pour donner la branche de 501 à 638 et l’autre de 639 à 775, et ainsi de suite. Dans ce procédé on divise en fait de deux fois et à chaque fois la quantité de pages à consulter, et on arrive à trouver la page en quelques interrogations au niveau des divisions de branches. Pourquoi maintenant les données ne sont pas continues et d’accès directe ? Et bien un bloc de données correspondant à une page peut être variable en quantité de données. Ainsi des pages de données peuvent être faible en données et d’autres pages au contraire très grandes. La notion de page est donc virtuelle et ne correspondant pas du tout à un cahier avec des pages de mêmes dimensions. Un arbre généalogique est plus ou moins formé par dichotomie, car en recherchant ses ancêtres, on retrouve par la même les descendants de ces ancêtres, et donc le nombre de pages augmente, car en recherchant des racines, on recherche par la même les ascendants. Prenez une page de papier, puis la diviser en deux, et rediviser en deux à chaque fois que cela soit possible et pouvant quand même mettre une petite donnée sur une division de page qui serait un numéro de 4 chiffres. Il arrive à un moment donné où on ne peut plus diviser les morceaux de page car on ne peut plus écrire un nombre, et donc cela s’arrête. Il faut alors considérer que le petit morceau de papier possédant un numéro de page donne accès à un bloc de donnée, et pour rechercher ce bloc de donnée, il faudra à partir de la page initiale retrouver quel sont les morceaux qui ont été divisés par deux. En fait il faut considérer que justement les données ne sont pas sur des pages séparées, mais dans un même bloc contenant toutes les données et définissant des blocs différents en taille. Bien sûr il pourrait y avoir un index nous donnant directement la position d’un sous bloc de donnée dans l’ensemble des blocs. Mais si un sous bloc change taille en augmentant es données ou même un sous est supprimé, il faudrait remettre en cause tout l’index pour recalculer les positions des sous-blocs... Maintenant si on reprend le sujet de matière et lumière, ces deux notions sont différentes et contradictoires comme complémentaires, mais contradictoire ou complémentaire ne veut pas dire dichotomie. ▬Continuons sur cette notion de dichotomie. Imaginons un bloc de texte de 16 phrases où chaque phrase à un nombre de mots différents. Si j veux me positionner sur la 2e phrase, je suis obligé de parcourir la 1e phrase en recherchant le point final de la 1e phrase me donnant du coup un positionnement sur la deuxième phase. Maintenant si je veux me positionner sur la 10e phrase, je suis obligé de lire les 9 premières phases et rechercher les points de fin de ces phrases pour me positionner au début de la 10e phrase. Forcément le temps d’accès de la 10e phrase de recherche est plus longue que la 2e phrase. En dichotomie vous auriez au départ 2 branche l’une de la 1e à la 8e phrase, et l’autre branche de la 9e à la 16e. Comme on cherche la 10e phrase c’est sur la 2e branche et celle-ci se dive encore en 2 comme étant de la 9e à la 12e phrases et de la 13e à la 16e phrase. Comme nous cherchons la 10e phrase c’est donc la 1e branche. Puis cette branche se divise encore en 2 donnant la 9e à la 10e et pour l’autre branche de la 11e à la 12e phrase. C’est donc la 1e branche à utiliser. Sur cette dernière branche nous avons le choix d’aller à la 9e ou à la 10e phrase et on plus sur une division de branche et nous irons donc sur la 10e phrase qui sera notre recherche. Ceci parait compliqué à expliquer, mais en fait on ne fait que se diriger par division par 2 pour aller sur la bonne branche et en finalité sur la phrase choisie.

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Ta phrase¦¦[A propos, ce n’est pas seulement les étoiles qui envoient des photons, toute matière chauffée le fait.] ▬Si la matière chaude envoie des photons, notre petite terre au départ de sa création devait être très chaude, et ne reste qu’actuellement que son noyau très chaud pour émettre des photons. Ce qui voudrait dire que la matière rayonne par son refroidissent intérieur et cela va à l’encontre de la conservation de l"énergie par cette science qui est la thermodynamique. L’énergie se garde pendant des périodes assez courtes mais perd sur de grandes périodes... Dire que les photons traversent la terre nous semble quand même excessif, car des photons sont absorbés et réémis, mais les directions d’émission sont forcément différentes de leur absorption et donc non dans le sens contraire de leur absorption. Cela veut dire que c’est un rayonnement et non une traversée directe. Des photons extérieurs à la terre et absorbés par celle-ci mettrons sans doute un temps assez long avant d’être réémis dans l’espace, car ces photons seront absorbés et réémis par un nombre très grand d’atomes, et cela fait penser aussi au mouvement brownien désordonné.

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De dire que les photons ont la signature de leur atome nous semble faux, car justement dans ces horloges atomiques, ont fabrique des photons à des fréquence bien précises pour exciter ce césium. Ce césium ne sert alors que comme étalon à s’aligner sur sa fréquence de rémission, mais la fabrication des photons ne sont pas issus du césium. On peut donc fabriquer des photons avec des énergies différentes ne venant pas des atomes correspondant à ces énergies. Ceci nous semble tellement vrai de pouvoir fabriquer des photons ne correspondant à aucun type d’atome, que les communications par les ondes, tels que téléphones mobiles, radios, télé, GPS et même pour l’armée par exemple, que les photons fabriqués par l’homme n’ont plus rien avoir avec les atomes. Dans cet esprit nous allons contre nature.

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Pour les sociétés qui veulent faire de l’argent facilement, voici une proposition afin de rechercher des métaux rares comme l’or le platine ou autre. Émettre en grande quantité des photons calés sur la résonance de ces métaux rares et réceptionner les ondes retours pour savoir si il y a résonance de retour. Si c’est le cas vous trouvez l’or recherché, et vous deviendrez forcément riche. Cette réflexion simpliste vient de ce que l’on déduit des explications sur les résonances de l’atome, car si chaque type d’atome à sa propre fréquence, on peut alors émettre ces fréquences et savoir si il y a des retours pour des métaux rares... Une vraie question¦¦ Que se passe t-il sur la résonance des molécules ? Si on comprend que un ou plusieurs électrons peuvent faire des sauts en changeant de couche en absorbant des photons calibrés, et réémettant ceux-ci par rapport à des atomes précis, par contre pour les molécules changeant ainsi leur structure, est ce cela à une incidence sur la matière que représente ces molécules ? Une molécule à forcément un équilibre stable, mais si des atomes de cette molécule absorbe des photons calibrés, que se passe t-il ??

▬Amicalement.

Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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