La chasse aux sorcières à la fin du Moyen-Âge : une vraie guerre de type fasciste pour démolir les droits des femmes
1er janvier 2018, 08:09, par Robert Paris
L’explication est là : ce sont essentiellement des femmes qui ont été condamnées au bûcher !
« L’unique médecin du peuple, pendant mille ans, fut la Sorcière… »
Sprenger dit (avant 1500) : « Il faut dire l’hérésie des sorcières, et non des sorciers ; ceux-ci sont peu de chose. » — Et un autre sous Louis XIII : « Pour un sorcier, dix mille sorcières. »
Wier s’apitoie sur les sorcières ; il les appelle pauvresses, petites vieilles, petites femmes malheureuses (misellae, anicalae, mulierculae, vetulae), et il apostrophe vigoureusement, avec une indignation généreuse, leurs juges, qu’il appelle bourreaux.
L’explication est là : ce sont essentiellement des femmes qui ont été condamnées au bûcher !
« L’unique médecin du peuple, pendant mille ans, fut la Sorcière… »
Sprenger dit (avant 1500) : « Il faut dire l’hérésie des sorcières, et non des sorciers ; ceux-ci sont peu de chose. » — Et un autre sous Louis XIII : « Pour un sorcier, dix mille sorcières. »
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Wier s’apitoie sur les sorcières ; il les appelle pauvresses, petites vieilles, petites femmes malheureuses (misellae, anicalae, mulierculae, vetulae), et il apostrophe vigoureusement, avec une indignation généreuse, leurs juges, qu’il appelle bourreaux.
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