En pratique, Ryad n’a pas les moyens techniques de mener ses frappes aériennes sans le concours des Américains, qui, eux, possèdent des satellites et fournissent aux Saoudiens des « targets ». Pour qu’un avion frappe, il faut qu’un satellite prenne une photo précise d’une cible, cible qui doit ensuite être téléguidée par laser, ce qui implique, pour que la frappe soit chirurgicale, que toute l’action se fasse en temps réel. Il « suffit », que la bombe tombe 15 ou 20 mètres à côté de la target, et on obtient un massacre.
En pratique, Ryad n’a pas les moyens techniques de mener ses frappes aériennes sans le concours des Américains, qui, eux, possèdent des satellites et fournissent aux Saoudiens des « targets ». Pour qu’un avion frappe, il faut qu’un satellite prenne une photo précise d’une cible, cible qui doit ensuite être téléguidée par laser, ce qui implique, pour que la frappe soit chirurgicale, que toute l’action se fasse en temps réel. Il « suffit », que la bombe tombe 15 ou 20 mètres à côté de la target, et on obtient un massacre.