La révolte des peuples d’Afrique abandonnés aux mains d’Ebola et des dictatures
7 juin 2015, 09:20
A Kamsar, préfecture de Boké, "des bâtiments publics ont été endommagés. A Tanéné (préfecture de Dubréka), une ambulance de la Direction préfectorale de la Santé (DPS) a été brûlée. Dans la préfecture de Fria, des partenaires de la réponse à Ebola ont été attaqués, entraînant l’intervention de la police", a-t-il précisé.
Le déploiement des personnels engagés dans la lutte contre l’épidémie "doit s’accompagner d’une bonne communication afin de s’assurer que la population est préparée pour leurs interventions et pour éviter toute stigmatisation des cas déclarés", a-t-il souligné.
Des trois pays les plus touchés (Guinée, Liberia, Sierra Leone), c’est en Guinée - d’où est partie l’épidémie en décembre 2013 - que les réactions à la lutte anti-Ebola sont les plus violentes, en particulier dans le sud, théâtre de vives tensions entre communautés et avec le pouvoir central.
A Kamsar, préfecture de Boké, "des bâtiments publics ont été endommagés. A Tanéné (préfecture de Dubréka), une ambulance de la Direction préfectorale de la Santé (DPS) a été brûlée. Dans la préfecture de Fria, des partenaires de la réponse à Ebola ont été attaqués, entraînant l’intervention de la police", a-t-il précisé.
Le déploiement des personnels engagés dans la lutte contre l’épidémie "doit s’accompagner d’une bonne communication afin de s’assurer que la population est préparée pour leurs interventions et pour éviter toute stigmatisation des cas déclarés", a-t-il souligné.
Des trois pays les plus touchés (Guinée, Liberia, Sierra Leone), c’est en Guinée - d’où est partie l’épidémie en décembre 2013 - que les réactions à la lutte anti-Ebola sont les plus violentes, en particulier dans le sud, théâtre de vives tensions entre communautés et avec le pouvoir central.