Krach historique" titrait la presse après l’annonce brutale, jeudi 16 janvier, de la Banque nationale suisse (BNS) d’abolir le cours du taux plancher de 1,20 CHF pour 1 €, "vache sacrée" du pays depuis septembre 2011. Surprise, panique, secousse, onde de choc : face à "l’insoutenable légèreté du franc", jolie formule de la presse suisse italophone, les termes alarmistes pleuvent depuis hier sur une Confédération stupéfaite. Incrédules et furieux, les industriels, économistes, politiques se relaient suite à "la gifle" pour dénoncer "une catastrophe pour l’économie" et critiquer une BNS dont l’image est écornée : "naïve" , "agenouillée devant les spéculateurs" ou "minée dans sa crédibilité" suite aux garanties données lundi dernier par son numéro deux, répétant que "le taux plancher doit rester le pilier de la politique monétaire" , une vidéo relayée avec ironie sur Investir.ch ou Twitter.
Krach historique" titrait la presse après l’annonce brutale, jeudi 16 janvier, de la Banque nationale suisse (BNS) d’abolir le cours du taux plancher de 1,20 CHF pour 1 €, "vache sacrée" du pays depuis septembre 2011. Surprise, panique, secousse, onde de choc : face à "l’insoutenable légèreté du franc", jolie formule de la presse suisse italophone, les termes alarmistes pleuvent depuis hier sur une Confédération stupéfaite. Incrédules et furieux, les industriels, économistes, politiques se relaient suite à "la gifle" pour dénoncer "une catastrophe pour l’économie" et critiquer une BNS dont l’image est écornée : "naïve" , "agenouillée devant les spéculateurs" ou "minée dans sa crédibilité" suite aux garanties données lundi dernier par son numéro deux, répétant que "le taux plancher doit rester le pilier de la politique monétaire" , une vidéo relayée avec ironie sur Investir.ch ou Twitter.