Au micro de RTL, un facteur en CDD depuis mai dernier raconte ses difficultés liées à sa tournée, qu’il ne pouvait boucler sans réaliser au moins quatre heures supplémentaires non rémunérées. « Je n’ai jamais fini à l’heure. Sur cette tournée, il y a souvent des colis pour les entreprises. Donc on vous envoyait dans des hôpitaux, des centres médicaux et j’avais des dédales de couloirs à parcourir. J’avais 40, 50 voire 80 noms de médecins. C’est titanesque. Je sortais de cet enfer, il était midi et je savais que je n’avais pas encore fait le quart de ma tournée. Et donc vous pleurez », raconte ce postier qui vient d’être mis en arrêt maladie pour burn-out.
Au micro de RTL, un facteur en CDD depuis mai dernier raconte ses difficultés liées à sa tournée, qu’il ne pouvait boucler sans réaliser au moins quatre heures supplémentaires non rémunérées. « Je n’ai jamais fini à l’heure. Sur cette tournée, il y a souvent des colis pour les entreprises. Donc on vous envoyait dans des hôpitaux, des centres médicaux et j’avais des dédales de couloirs à parcourir. J’avais 40, 50 voire 80 noms de médecins. C’est titanesque. Je sortais de cet enfer, il était midi et je savais que je n’avais pas encore fait le quart de ma tournée. Et donc vous pleurez », raconte ce postier qui vient d’être mis en arrêt maladie pour burn-out.