Le gouvernement Tsipras aura fort à faire pour amadouer l’opinion publique, à laquelle il avait promis de rompre avec l’austérité et les "diktats" des bailleurs de fonds. Pour beaucoup de Grecs ce dénouement avait un goût amer. Et les premières fissures dans son parti Syriza sont déjà patentes. Le député Dimitris Kodelas a annoncé sa démission du groupe parlementaire après le vote mercredi lors duquel il n’approuvera pas les nouvelles mesures.
Et le ministre adjoint aux Affaires européennes, élu de Syriza, Nikos Chountis, a déjà démissionné lundi pour aller remplacer l’eurodéputé Manolis Glezos, figure emblématique de la Résistance grecque et doyen du Parlement.
Le gouvernement Tsipras aura fort à faire pour amadouer l’opinion publique, à laquelle il avait promis de rompre avec l’austérité et les "diktats" des bailleurs de fonds. Pour beaucoup de Grecs ce dénouement avait un goût amer. Et les premières fissures dans son parti Syriza sont déjà patentes. Le député Dimitris Kodelas a annoncé sa démission du groupe parlementaire après le vote mercredi lors duquel il n’approuvera pas les nouvelles mesures.
Et le ministre adjoint aux Affaires européennes, élu de Syriza, Nikos Chountis, a déjà démissionné lundi pour aller remplacer l’eurodéputé Manolis Glezos, figure emblématique de la Résistance grecque et doyen du Parlement.