Hiroshima et Nagasaki : contre la révolution prolétarienne
6 août 2015, 14:03, par Robert Paris
Une étude des services secrets américains de 1945, publiée par le New York Times en 1989, révèle que : “Conscient de la défaite, l’empereur du Japon avait décidé dès le 20 juin 1945 de cesser toute hostilité et d’entamer à partir du 11 juillet des pourparlers en vue de la cessation des hostilités”.
Les USA ne voulaient pas terroriser le Japon, ni leurs alliés russes, ni les autres régimes de la planète.
Non, ils voulaient terroriser la classe ouvrière et les peuples car ils savaient que la fin de la guerre sonnait aussi le début des révoltes et révolutions.
Une étude des services secrets américains de 1945, publiée par le New York Times en 1989, révèle que : “Conscient de la défaite, l’empereur du Japon avait décidé dès le 20 juin 1945 de cesser toute hostilité et d’entamer à partir du 11 juillet des pourparlers en vue de la cessation des hostilités”.
Les USA ne voulaient pas terroriser le Japon, ni leurs alliés russes, ni les autres régimes de la planète.
Non, ils voulaient terroriser la classe ouvrière et les peuples car ils savaient que la fin de la guerre sonnait aussi le début des révoltes et révolutions.