Est-on en danger en vivant à proximité des centrales nucléaires françaises ?
4 mars 2018, 05:22
La préfecture de la Meuse avait interdit « toute manifestation » samedi et dimanche. Trois cents personnes se sont toutefois réunies.
Après de brèves échauffourées avec les gendarmes, quelque 300 opposants au projet de Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) d’enfouissement de déchets radioactifs ont dû remballer, samedi 3 mars, leur « vigie » en kit. Ils comptaient l’ériger à Mandres-en-Barrois (Meuse) dans un champ proche du site dit de Bure pour « surveiller » les activités menées par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
C’est à cet endroit que l’Andra doit en effet procéder à des forages exploratoires avant de déposer une demande d’autorisation formelle de création du site de stockage pour enfouir, dans le sous-sol argileux du village de Bure, des déchets nucléaires français.
Manifestation interdite ? A cause du terrorisme ? Hé hé !!!
La préfecture de la Meuse avait interdit « toute manifestation » samedi et dimanche. Trois cents personnes se sont toutefois réunies.
Après de brèves échauffourées avec les gendarmes, quelque 300 opposants au projet de Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) d’enfouissement de déchets radioactifs ont dû remballer, samedi 3 mars, leur « vigie » en kit. Ils comptaient l’ériger à Mandres-en-Barrois (Meuse) dans un champ proche du site dit de Bure pour « surveiller » les activités menées par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
C’est à cet endroit que l’Andra doit en effet procéder à des forages exploratoires avant de déposer une demande d’autorisation formelle de création du site de stockage pour enfouir, dans le sous-sol argileux du village de Bure, des déchets nucléaires français.
Manifestation interdite ? A cause du terrorisme ? Hé hé !!!