Après avoir détruit le camp de Calais et affirmé pendant des années qu’il n’était pas question d’en reconstruire un, le gouvernement français, qui a traité les migrants comme des chiens qu’on jette dehors, prétend agir dans l’intérêt des migrants en reconstruisant un nouveau camp. Son souci de l’humanitaire prêterait à rire si la situation des migrants n’était pas aussi dramatique. Les peuples n’ont pas à s’y tromper : les Etats sont capables de traiter demain tous les peuples de la même manière, y compris leur propre population nationale. Ce n’est pas la solidarité des gouvernants qui sauvera les migrants ni aucun peuple mais la lutte internationale du prolétariat !
Après avoir détruit le camp de Calais et affirmé pendant des années qu’il n’était pas question d’en reconstruire un, le gouvernement français, qui a traité les migrants comme des chiens qu’on jette dehors, prétend agir dans l’intérêt des migrants en reconstruisant un nouveau camp. Son souci de l’humanitaire prêterait à rire si la situation des migrants n’était pas aussi dramatique. Les peuples n’ont pas à s’y tromper : les Etats sont capables de traiter demain tous les peuples de la même manière, y compris leur propre population nationale. Ce n’est pas la solidarité des gouvernants qui sauvera les migrants ni aucun peuple mais la lutte internationale du prolétariat !