Les salariés du plus grand hôpital public du Congo ont poursuivi mercredi une “grève illimitée” avec service minimum à Brazzaville, pour réclamer deux mois d’arriérés de salaire dans ce pays pétrolier en crise dont la dette explose, a constaté un journaliste de l’AFP.
La grève a commencé mardi. “Face à l’indifférence et au mépris : grève illimitée des travailleurs du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville à compter du 1er août 2017 avec service minimum”, lit-on sur une note à l’entrée de l’hôpital.
“Nous revendiquons notamment deux mois d’arriérés de salaires, puis ce que nous appelons l’aide sociale, c’est-à-dire les indemnités de fin de carrière, les allocations familiales”, a expliqué à l’AFP le Dr Albert Ngatsé-Oko, de l’Intersyndicale des travailleurs du CHU à l’origine de la grève.
Les salariés du plus grand hôpital public du Congo ont poursuivi mercredi une “grève illimitée” avec service minimum à Brazzaville, pour réclamer deux mois d’arriérés de salaire dans ce pays pétrolier en crise dont la dette explose, a constaté un journaliste de l’AFP.
La grève a commencé mardi. “Face à l’indifférence et au mépris : grève illimitée des travailleurs du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville à compter du 1er août 2017 avec service minimum”, lit-on sur une note à l’entrée de l’hôpital.
“Nous revendiquons notamment deux mois d’arriérés de salaires, puis ce que nous appelons l’aide sociale, c’est-à-dire les indemnités de fin de carrière, les allocations familiales”, a expliqué à l’AFP le Dr Albert Ngatsé-Oko, de l’Intersyndicale des travailleurs du CHU à l’origine de la grève.