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04- Le vide, … pas si vide

2 mai 2017, 00:36, par thierry marino

Ce n’est pas encore parfaitement au point mais cela commence à se préciser.

On a une particule universelle capable d’adopter un potentiel variable et qui se définie comme étant un point, le vide n’existe pas dans cette théorie, il faut donc combler tous les espaces avec ça.
Mais les propriétés particulières de cette particule nous donnent de nombreuses possibilités.
Dans un système géométrique classique on travaille avec des droites, des courbes, des volumes, chacun étant constitué d’une infinité de points, mais ici on travaille directement avec des points, des points qui de plus sont mobiles et de dimensions variables, cela change radicalement la perception de l’espace.

Si je visualise une seule particule je ne vois pas de raison de privilégier une direction à une autre, donc j’imagine une sphère. Si je veux en visualiser deux maintenant l’erreur serait d’imaginer deux sphères côte-à-côte, une particule ne peut apparaître comme une sphère que de son propre point de vue, celui qu’elle a sur les autres est dicté par les interactions physiques qu’elle a avec elle, ainsi une particule voisine semblera épouser la forme arrondie et former une épaisse couche sur tout un coté, si on adopte le point de vue de la seconde les positions seront inversées, un point de vue extérieur aux deux est plus compliqué à comprendre surtout si on y ajoute le mécanisme de diffraction spatiale du aux différences de quantas de temps.

Je considère une particule que j’encadre de deux autres mais cela ne suffit pas à combler tout l’espace, pour y parvenir je dois les étirer dans une direction précise pour un résultat final qui fera penser à une balle de tennis, cet étirement est la cause de la différence de potentiel entre la particule centrale et les deux qui l’entourent, et c’est là que je pense faire le lien, il y a là une loi mathématique bien précise qui se déduit de considérations géométriques que je maîtrise hélas encore mal.

Du point de vue de la première la seconde s’est étirée d’un bord à l’autre, si on le matérialisait par un trait il serait plus long que le diamètre de la sphère, par contre du point de vue de la seconde ce serait le contraire, il serait plus court mais le rapport serait le même, alors que c’est le même fragment, et si on se place de son point de vue à lui en disant qu’il vaut d, on a : d/d1=d2/d => d2=d²/d1.
d1 et d2 correspondant au point de vue sur les deux particules depuis un point d’équilibre à la frontière des deux.

Mais je soupçonne le temps de nous jouer un tour ici, je n’arrive pas à me résoudre à le traiter de la même manière, pas à ce niveau en tout cas, ce n’est pas cohérent, dans ce proton je ne vois pas deux types de quarks différents mais trois particules identiques dotées du même quantum de temps, seules la position et les mouvements relatifs font une différence, et si l’électron que l’on trouve dans la couche suivante à une masse à ce point inférieure c’est parce que lui est sur un quantum de temps supérieur et je pense qu’il est du double.
Les qwarks u couvrent un seul qwark d et leur quantum de temps est le même mais l’électron de la couche suivante qui couvre les parties extérieures des quarks u est à plus grande distance du centre et en couvre deux.
Le niveau suivant est ce que l’on appelle communément le vide mais qui ici est composé du même genre de particule, la différence se faisant sur le quantum d’espace-temps.
Tous les électrons ont le même quantum de temps mais ils peuvent être plus ou moins nombreux, les particules composant le milieu "vide" doivent avoir un quantum de temps suffisant pour couvrir tous les électrons et si ce n’est pas le cas ceux-ci établiront des liaisons entre eux, c’est un changement d’état.

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