La Bible a copié les sumériens et les babyloniens…
28 juillet 2021, 14:36
Lorsque les hébreux ont été déportés à Babylone, outre la souffrance de cet exil forcé, ils ont été confrontés à de grands périls "existentiels".
Ils étaient peu nombreux et le risque d’acculturation était grand. Pour eux comme pour tout peuple en souffrance, resserrer les liens et préserver leur identité étaient capital à la survie de leur culture.
Peut-être que certains des déportés ont réussi à "faire leur trou" à Babylone en s’intégrant à la communauté locale, en intégrant les us et coutumes, en adhérant à la religion mésopotamienne. Ce qui aurait abouti à la "dissolution" de la culture hébraïque.
Peut-être que l’émergence des prophètes et prédicateurs hébreux de la Bible est une réaction à cela, une intervention légitime des plus lettrés, des plus fervents pour provoquer un rassemblement identitaire qu’il convenait de ne pas perdre.
Dans ces conditions, ils se sont servi de textes découverts sur place (et connus de leur compatriotes en voie d’acculturation) pour en faire un remanié à l’image de leurs mentalité qui soit propre à les distinguer des Babyloniens.
Ils ont crée des textes exclusifs à vocation centripète afin de ne pas permettre la dispersion des individus dans une société qui n’était pas la leur, et afin d’empêcher la dissolution de leur culture.
Certes, cela place toutes les religions monothéiste "débitrices" d’Akkad et de Sumer...mais, est-ce vraiment grave ? Après tout si Dieu existe, il a bien eu le droit de "parler" à qui il voulait quand il le voulait. Et si les religions se sont "passé le mot",
tant mieux !
Dommage que les hommes n’aient pas compris que Dieu est comme l’amour d’une mère : "chacun en a sa part et tous l’ont en entier." (Victor Hugo).
...car tant que les hommes étaient polythéistes, ils ne s’entretuaient pas au nom d’un Seul.
Lorsque les hébreux ont été déportés à Babylone, outre la souffrance de cet exil forcé, ils ont été confrontés à de grands périls "existentiels".
Ils étaient peu nombreux et le risque d’acculturation était grand. Pour eux comme pour tout peuple en souffrance, resserrer les liens et préserver leur identité étaient capital à la survie de leur culture.
Peut-être que certains des déportés ont réussi à "faire leur trou" à Babylone en s’intégrant à la communauté locale, en intégrant les us et coutumes, en adhérant à la religion mésopotamienne. Ce qui aurait abouti à la "dissolution" de la culture hébraïque.
Peut-être que l’émergence des prophètes et prédicateurs hébreux de la Bible est une réaction à cela, une intervention légitime des plus lettrés, des plus fervents pour provoquer un rassemblement identitaire qu’il convenait de ne pas perdre.
Dans ces conditions, ils se sont servi de textes découverts sur place (et connus de leur compatriotes en voie d’acculturation) pour en faire un remanié à l’image de leurs mentalité qui soit propre à les distinguer des Babyloniens.
Ils ont crée des textes exclusifs à vocation centripète afin de ne pas permettre la dispersion des individus dans une société qui n’était pas la leur, et afin d’empêcher la dissolution de leur culture.
Certes, cela place toutes les religions monothéiste "débitrices" d’Akkad et de Sumer...mais, est-ce vraiment grave ? Après tout si Dieu existe, il a bien eu le droit de "parler" à qui il voulait quand il le voulait. Et si les religions se sont "passé le mot",
tant mieux !
Dommage que les hommes n’aient pas compris que Dieu est comme l’amour d’une mère : "chacun en a sa part et tous l’ont en entier." (Victor Hugo).
...car tant que les hommes étaient polythéistes, ils ne s’entretuaient pas au nom d’un Seul.