Environ 15.000 infirmières étaient en grève lundi dernier, dans les hôpitaux publics, afin d’obtenir de meilleures conditions salariales et de travail.
Ils protestaient aussi contre le sous-équipement et le manque de médicaments.
Mardi, le vice-président du Zimbabwe, Constantino Chiwenga, avait annoncé leur licenciement, les accusant d’être "politiquement motivées".
L’Association des infirmières du Zimbabwe a dit avoir pris connaissance de la décision de M. Chiwenga tout en soulignant que ses membres restaient en grève.
"Pour préparer la réouverture de négociations et assurer la protection des travailleurs, nous avons décidé d’arrêter notre mouvement social", ont écrit ses responsables dans un communiqué.
L’Association des infirmières du Zimbabwe a appelé ses membres à la reprise du travail à partir de lundi.
Environ 15.000 infirmières étaient en grève lundi dernier, dans les hôpitaux publics, afin d’obtenir de meilleures conditions salariales et de travail.
Ils protestaient aussi contre le sous-équipement et le manque de médicaments.
Mardi, le vice-président du Zimbabwe, Constantino Chiwenga, avait annoncé leur licenciement, les accusant d’être "politiquement motivées".
L’Association des infirmières du Zimbabwe a dit avoir pris connaissance de la décision de M. Chiwenga tout en soulignant que ses membres restaient en grève.
"Pour préparer la réouverture de négociations et assurer la protection des travailleurs, nous avons décidé d’arrêter notre mouvement social", ont écrit ses responsables dans un communiqué.
L’Association des infirmières du Zimbabwe a appelé ses membres à la reprise du travail à partir de lundi.