LUCRÈCE, continuateur d’Epicure dans les recherches scientifiques, dans son « De Rerum Natura » détruit tout concept d’un Dieu créateur :
« Le principe que nous poserons au-dessus de tout est que rien ne naît du néant grâce à un pouvoir divin (ex nihilo nihil). La crainte qui domine tous les mortels et qui les rend succubes des religions, dépend du fait qu’ils voient s’accomplir sur la Terre des phénomènes qu’ils attribuent, n’en connaissant pas la cause, à la puissance d’entités surnaturelles qu’ils appellent dieux. C’est seulement en suivant la conviction qui nous porte à affirmer que rien ne peut se créer du néant que nous pourrons découvrir l’objet de nos recherches dont le résultat, une fois atteint, démontrera de quelle façon tout s’accomplit sans l’intervention de Dieu ».
LUCRÈCE, continuateur d’Epicure dans les recherches scientifiques, dans son « De Rerum Natura » détruit tout concept d’un Dieu créateur :
« Le principe que nous poserons au-dessus de tout est que rien ne naît du néant grâce à un pouvoir divin (ex nihilo nihil). La crainte qui domine tous les mortels et qui les rend succubes des religions, dépend du fait qu’ils voient s’accomplir sur la Terre des phénomènes qu’ils attribuent, n’en connaissant pas la cause, à la puissance d’entités surnaturelles qu’ils appellent dieux. C’est seulement en suivant la conviction qui nous porte à affirmer que rien ne peut se créer du néant que nous pourrons découvrir l’objet de nos recherches dont le résultat, une fois atteint, démontrera de quelle façon tout s’accomplit sans l’intervention de Dieu ».