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10- Les bulles de vide et la matière

29 janvier 2019, 07:23, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

Bonjour.

___Avant de continuer mes remarques sur ces bulles de vide sans matière, quelle est votre thèse concernant la gravitation, et quels sont les différents articles où vous parlez de votre thèse. Merci d’avance.

___En m’imaginant ces bulles de vide sans matière, cela ne correspond pas à une très grande quantité de bulles dans une direction donnée, car seulement 150 bulles, ce qui correspond à une règle de 15cm graduée en 1mm d’intervalle, ce qui est très représentable dans notre échelle, car une règle fait en moyenne plus de 20cm, et bien qu’est-ce qu’il peut arriver après cette extrémité de 150mm ?? En gros est-ce que notre monde visible est limité par la portée de notre vision et donc est-ce que notre vrai monde est-il plus grand ?? Et bien forcément que OUI que notre vrai monde est beaucoup plus grand que ce que nous pouvons en voir, car on voit très mal pourquoi ces bulles s’arrêteraient à une frontière de notre visibilité du plus lointain que nous pouvons observer. Maintenant est-ce que la règle fait 1.5m, 15m 150m 1,5km 15km 150km 1500km 15|000 ou même plus... Si je prend ce dernier nombre évoqué de 15000km par rapport à 1mm cela nous donne comme rapport 1,5×10E10 ce qui n’est pas si énorme mais correspond bien à cette notion imagée d’une goutte d’eau par rapport à un océan, comme je l’ai déjà évoqué sur un autre article. Maintenant est-ce que cette structure de bulles de vide sans matière se prolonge de la même façon après notre limite de visibilité ?? Et bien je pense que oui, mais je crois aussi qu’elle s’atténue, et où les bulles sont de plus en plus petites, jusqu’à disparaître. Ce qui veut dire aussi que les constantes que nous avons dans notre vision limitée ne sont pas les mêmes plus on s’éloigne de cette fausse frontière qui est notre monde visible ou détectable. Ce qui est important de comprendre est que notre monde n’est absolument pas notre visibilité réduite. De plus on peut imaginer que dans la direction opposée de la règle, que ces bulles grossissent au lieu de rétrécir, et elles finiront par rétrécir, ce qui veut dire aussi que notre position dans cet océan n’est absolument pas le centre, mais une position que nous pourrons jamais connaître.

___Le fait de donner une taille imaginaire à notre vrai monde qui n’est pas celle de notre bulle de temps de 15 milliards d’années lumière de rayon, cela permet d’ouvrir un champ beaucoup grand qui est même celui de l’infini, car si notre océan est limité en dimension, cela veut dire aussi qu’il puisse y avoir d’autres mondes et donc d’autres océans de toutes tailles dans cet infini. Pour moi l’espace n’est rien qu’un contenant et il est infini, et n’a nul besoin de création, et dans cet espace sans fin, figure des zones non vide, pour ne pas dire ce que ces zones recèlent, et on peut donc considérer qu’il ait une infinité de mondes, mais ne communiquant pas entre eux. Le big-bang si on l’accepte n’est qu’une touche de matière et d’énergie se trouvant dans un volume réduit dans un espace infini où d’autres mondes existent. Notre vrai monde est une structure floue exactement comme une particule qui est un champ-objet ou une structure-champ composée de grains plus élémentaire que la particule élémentaire..

___De voir très grand c’est aussi voir très petit, ainsi l’Éther de notre monde est flou car il se dilue plus nous nous éloignons du centre de notre vrai monde, et cet Éther est aussi celui utilisé par la quantique donnant cette énergie. Si les masses très importantes déforment cet Éther localement, cet Éther se déforme de lui même plus nous éloignons du centre de notre vrai monde. Il est comme un essaim où les frontières n’existent pas, au même titre qu’une particule qui est aussi un champ local. On ne peut plus considérer qu’une particules soit un corpuscule, comme il ne faut pas non plus considérer qu’une particule soit une onde, car l’onde mécanique, comme l’onde photon, ne sont pas des ondes stationnaires, mais justement des ondes se déplaçant, des ondes toujours en mouvement rectiligne ; épousant bien sûr les géodésiques des déformations. L’onde stationnaire n’existe pas, car c’est même un abus de langage, et il faut remplacer cette notion d’onde stationnaire par un champ d’éléments et donc une structure-champ malléable se déformant et sans vraies frontière. Cette notion de structure-champ définie un objet particule comme un objet monde, car cette structure est malléable et donc non figée, et de plus possède un cœur, où simplement la densité d’éléments est plus grande vers le centre, et plus nous nous éloignons du centre plus la densité en éléments devient faible, et aussi plus nous sommes vers le centre d’une structure-champ et plus cela est ralenti.

___Quand je lisais certains petits articles sur les mondes ou univers parallèles, et bien je ne comprenais rien, car je ne comprenais pas où cela pouvait nous amener, mais comme les limites de notre portion de monde ne sont que des limites de visibilité à grandes portées, ces limites ne sont que virtuelles, c’est à dire des frontières n’existent pas réellement, et que forcément cela continue derrière ces frontières obstacles infranchissables sans détection possible, mais non par l’imagination et même par la logique et le raisonnement. On voit mal pourquoi par rapport à nous le centre, dans une direction donnée il n’y aurait que 150 bulles de vide ans matière, et dans la direction opposée la même chose, et que cela soit l’enveloppe de notre monde, car pourquoi 150 et non plus ?? Ceci est comme la quantique que l’on ne peut pas voir et détecter, et bien dans l’échelle du très grand cela est pareil, nous sommes limité dans les détections, mais nous devons imaginer une continuité dans les deux infinis.

___Faire des rapprochements par homothétie entre le très petit et le très grand n’est pas une bonne démarche, car les lois sont différentes, même si il peut y avoir des ressemblances au niveau des regroupements, car ce sont bien les assemblages qui donnent cette notion d’existence.

___En revenant sur votre article en début de celui-ci la phrase : : [On peut dire que la gravitation est responsable de cette tendance à "groupir" de la matière ou, inversement, interpréter la matière comme le produit d’une pression du vide.]


et bien ce mot de "groupir" mis entre double guillemets je ne le comprends pas et de plus non trouvé sur internet en recherchant comme mots clef : : "définition groupir". Même si mon langage est rudimentaire, j’essaie de rechercher ce que je ne connais pas sur internet, et apparemment je dois être aussi nul pour la recherche pour ce mot. Mais je dois avoir un cerveau lent, car je pense après coup, que c’est une erreur de frappe et que c’est grouper tout simplement...
Amicalement.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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