Des associations de protection de l’environnement ont déploré jeudi une décision de la cour d’appel de Bastia condamnant le propriétaire de deux villas appartenant à Pierre Ferracci, construites sur un site protégé de la baie de Rondinara, près de Bonifacio (Corse-du-Sud), à une amende d’un million d’euros mais épargnant les bâtiments.
« C’est un endroit totalement vierge, en plein espace remarquable, qui a une des plus fortes protections. Le terrain est maintenant ravagé », a regretté Lisandru Plasenzotti, membre de l’association environnementale U Levante, partie civile, avec l’Association bonifacienne comprendre et défendre l’environnement (ABCDE), à l’origine de l’appel dans ce dossier.
Des associations de protection de l’environnement ont déploré jeudi une décision de la cour d’appel de Bastia condamnant le propriétaire de deux villas appartenant à Pierre Ferracci, construites sur un site protégé de la baie de Rondinara, près de Bonifacio (Corse-du-Sud), à une amende d’un million d’euros mais épargnant les bâtiments.
« C’est un endroit totalement vierge, en plein espace remarquable, qui a une des plus fortes protections. Le terrain est maintenant ravagé », a regretté Lisandru Plasenzotti, membre de l’association environnementale U Levante, partie civile, avec l’Association bonifacienne comprendre et défendre l’environnement (ABCDE), à l’origine de l’appel dans ce dossier.