Une étude publiée ce lundi montre que 40 % des erreurs médicales sont évitables grâce à une simple concertation des avis de médecins urgentistes.
L’étude a été menée dans six services d’accueil des urgences en France, cinq de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP : Avicenne, Lariboisière, Hôpital européen Georges-Pompidou, Saint-Antoine et Tenon) et celui du CHU de Grenoble.
Sauf que les médecins urgentistes n’ont matériellement pas le temps, déjà débordés de tâches et en manque d’effectifs...
Une étude publiée ce lundi montre que 40 % des erreurs médicales sont évitables grâce à une simple concertation des avis de médecins urgentistes.
L’étude a été menée dans six services d’accueil des urgences en France, cinq de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP : Avicenne, Lariboisière, Hôpital européen Georges-Pompidou, Saint-Antoine et Tenon) et celui du CHU de Grenoble.
Sauf que les médecins urgentistes n’ont matériellement pas le temps, déjà débordés de tâches et en manque d’effectifs...