Le principal argument des adversaires de l’article d’Einstein sur la relativité est qu’il est écrit en même temps qu’une série d’autres sur d’autres thèmes aussi cruciaux comme la thermodynamique, le nombre d’Avogadro, la chaleur des corps, l’émission du corps noir, l’effet photoélectrique, ce qui semble à tous ces braves gens totalement impossible pour un chercheur qui n’est pas alors reconnu, qui n’a aucune place de chercheur ni d’enseignant, d’aucune université ni labo de recherche, qui a été refusé partout et a dû, pour gagner sa vie, accepter l’aide d’un ami qui l’a pistonné comme employé de bureau au service suisse des brevets !!!
Voilà ce qui leur déplait mais la suite de la vie d’Einstein, en dehors de la période 1904-1905 a pleinement démontré qu’Einstein pouvait ainsi toucher à tous les domaines de la physique !!!
D’ailleurs on possède des documents sur des recherches d’Einstein discutées avec Mileva, notamment sur la relativité, dès la fin des années 1890 !!! Cela faisait donc belle lurette qu’il réfléchissait à la question...
Le principal argument des adversaires de l’article d’Einstein sur la relativité est qu’il est écrit en même temps qu’une série d’autres sur d’autres thèmes aussi cruciaux comme la thermodynamique, le nombre d’Avogadro, la chaleur des corps, l’émission du corps noir, l’effet photoélectrique, ce qui semble à tous ces braves gens totalement impossible pour un chercheur qui n’est pas alors reconnu, qui n’a aucune place de chercheur ni d’enseignant, d’aucune université ni labo de recherche, qui a été refusé partout et a dû, pour gagner sa vie, accepter l’aide d’un ami qui l’a pistonné comme employé de bureau au service suisse des brevets !!!
Voilà ce qui leur déplait mais la suite de la vie d’Einstein, en dehors de la période 1904-1905 a pleinement démontré qu’Einstein pouvait ainsi toucher à tous les domaines de la physique !!!
D’ailleurs on possède des documents sur des recherches d’Einstein discutées avec Mileva, notamment sur la relativité, dès la fin des années 1890 !!! Cela faisait donc belle lurette qu’il réfléchissait à la question...