Finies, dépassées, impossibles, les révolutions sociales, disiez-vous ?!!!
4 décembre 2018, 07:22
Avec Martinez, secrétaire général de la CGT, tous les prétextes sont bons pour ne pas joindre la CGT aux gilets jaunes :
« Il y a des possibilités de faire des choses ensemble, évidemment s’ils sont d’accord parce qu’on n’est pas là pour récupérer leur mouvement. Mais il y a des choses possibles. »
« On a un plan de travail qui était déjà dans le paysage avant que les gilets jaunes ne soient sur les ronds points. On l’a un peu renforcé. »
« Je suis sûr que parmi les gilets jaunes, dans les 85% que j’imagine avoir de bonnes intentions, ils devaient nous critiquer lorsqu’on a bloqué des raffineries et des ronds-points pendant la loi El Khomri. »
« Il y a des endroits où ça n’est pas possible parce qu’il y a des actes racistes, d’autres endroits où on n’est pas les bienvenus. »
« C’est bien d’occuper les ronds-points mais pour être efficace, c’est bien d’occuper les usines et les services. »
Alors pourquoi il n’y appelle pas ?
« La grève est indispensable sauf qu’il ne suffit pas que Martinez le dise devant une caméra pour que ça marche. »
« Il faut une généralisation des grèves. »
Mais la CGT appelle aux grèves catégorielles : « Il y a, par profession, des grèves qui sont prévues, notamment dans l’énergie. »
« Notre responsabilité, c’est de mettre tout le monde en grève malgré des statuts et des préoccupations immédiates ou lointaines qui ne sont pas tout à fait les mêmes. »
Et alors, il le fait ?
« Le slogan magique n’existe pas même si l’on voit que l’on peut fédérer autour des questions de salaires. »
Avec Martinez, secrétaire général de la CGT, tous les prétextes sont bons pour ne pas joindre la CGT aux gilets jaunes :
« Il y a des possibilités de faire des choses ensemble, évidemment s’ils sont d’accord parce qu’on n’est pas là pour récupérer leur mouvement. Mais il y a des choses possibles. »
« On a un plan de travail qui était déjà dans le paysage avant que les gilets jaunes ne soient sur les ronds points. On l’a un peu renforcé. »
« Je suis sûr que parmi les gilets jaunes, dans les 85% que j’imagine avoir de bonnes intentions, ils devaient nous critiquer lorsqu’on a bloqué des raffineries et des ronds-points pendant la loi El Khomri. »
« Il y a des endroits où ça n’est pas possible parce qu’il y a des actes racistes, d’autres endroits où on n’est pas les bienvenus. »
« C’est bien d’occuper les ronds-points mais pour être efficace, c’est bien d’occuper les usines et les services. »
Alors pourquoi il n’y appelle pas ?
« La grève est indispensable sauf qu’il ne suffit pas que Martinez le dise devant une caméra pour que ça marche. »
« Il faut une généralisation des grèves. »
Mais la CGT appelle aux grèves catégorielles : « Il y a, par profession, des grèves qui sont prévues, notamment dans l’énergie. »
« Notre responsabilité, c’est de mettre tout le monde en grève malgré des statuts et des préoccupations immédiates ou lointaines qui ne sont pas tout à fait les mêmes. »
Et alors, il le fait ?
« Le slogan magique n’existe pas même si l’on voit que l’on peut fédérer autour des questions de salaires. »
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