Quand les femmes s’insurgent, en tête des exploités et des opprimés
8 juin 2019, 07:20
L’homme qui a conduit la répression contre les manifestants soudanais à Khartoum, lundi 3 juin, est sans doute l’un des plus dangereux d’un pays peu avare en chefs de guerre. Muhammad Hamdan Daglo, dit « Hemeti », a lancé ses hommes sur les civils qui campaient aux abords du QG de l’armée, comme il a appris à le faire au Darfour où il a été le bras armé du pouvoir soudanais dès 2003. Bilan de la répression de lundi : 108 morts, selon le comité des médecins, proche du mouvement de contestation.
Cet ancien chef de guerre au Darfour est celui qui a commandé la répression de l’opposition soudanaise, lundi 3 juin. C’est l’un des hommes clés du prétendu "pouvoir de transition".
L’homme qui a conduit la répression contre les manifestants soudanais à Khartoum, lundi 3 juin, est sans doute l’un des plus dangereux d’un pays peu avare en chefs de guerre. Muhammad Hamdan Daglo, dit « Hemeti », a lancé ses hommes sur les civils qui campaient aux abords du QG de l’armée, comme il a appris à le faire au Darfour où il a été le bras armé du pouvoir soudanais dès 2003. Bilan de la répression de lundi : 108 morts, selon le comité des médecins, proche du mouvement de contestation.
Cet ancien chef de guerre au Darfour est celui qui a commandé la répression de l’opposition soudanaise, lundi 3 juin. C’est l’un des hommes clés du prétendu "pouvoir de transition".
Une transition vers la barbarie ?!!!