Les propositions des réformistes face à la pandémie et à l’effondrement capitaliste
26 mai 2020, 08:47, par R.
Une vingtaine de syndicats et associations dévoilent ce mardi des propositions pour poser les bases du « monde d’après ».
La dénomination même interroge : après quoi, après le covid, après la pollution, après la révolution sociale ou après la capitalisme ?
L’initiative réunit une vingtaine d’organisations dont le spectre s’étend de la CGT à Alternatiba en passant par Solidaires, la FSU, Greenpeace France, Oxfam France, les Amis de la Terre, l’Unef ou encore Attac, soit quelque chose qui commence à ressembler à une convergence concrète entre le social et l’écologie, ce doux rêve de gauche.
Florilège : pas de salaires « en dessous de 1 700 euros nets » ; un temps de travail de référence de 32 heures hebdomadaires ; pas de licenciements qui ne seraient pas « justifiés par des difficultés économiques graves et immédiates » ; revalorisation massive de « l’ensemble des minimas sociaux et des aides sociales » ; suppression de la dette des pays pauvres et « rachat de dette publique en lui donnant le statut de dette perpétuelle avec un taux d’intérêt nul » pour ce qui concerne la France ; soutien à la transition écologique en permettant « aux paysan·nes de développer les protéines végétales et prairies, lier l’élevage au sol, gérer durablement l’eau, lutter contre la déforestation importée, s’affranchir à terme des pesticides et engrais de synthèse et des multinationales qui les fabriquent »…
Donc on y constate qu’il n’est nullement question de supprimer les causes mêmes de l’effondrement actuel et encore moins d’en reconnaitre les causes : la propriété privée des capitaux et la propriété par ces propriétaires de capitaux de l’Etat !!
C’est donc une tentative de faire croire à une "solution de gauche" à la chute inexorable du capitalisme !!!
Une vingtaine de syndicats et associations dévoilent ce mardi des propositions pour poser les bases du « monde d’après ».
La dénomination même interroge : après quoi, après le covid, après la pollution, après la révolution sociale ou après la capitalisme ?
L’initiative réunit une vingtaine d’organisations dont le spectre s’étend de la CGT à Alternatiba en passant par Solidaires, la FSU, Greenpeace France, Oxfam France, les Amis de la Terre, l’Unef ou encore Attac, soit quelque chose qui commence à ressembler à une convergence concrète entre le social et l’écologie, ce doux rêve de gauche.
Florilège : pas de salaires « en dessous de 1 700 euros nets » ; un temps de travail de référence de 32 heures hebdomadaires ; pas de licenciements qui ne seraient pas « justifiés par des difficultés économiques graves et immédiates » ; revalorisation massive de « l’ensemble des minimas sociaux et des aides sociales » ; suppression de la dette des pays pauvres et « rachat de dette publique en lui donnant le statut de dette perpétuelle avec un taux d’intérêt nul » pour ce qui concerne la France ; soutien à la transition écologique en permettant « aux paysan·nes de développer les protéines végétales et prairies, lier l’élevage au sol, gérer durablement l’eau, lutter contre la déforestation importée, s’affranchir à terme des pesticides et engrais de synthèse et des multinationales qui les fabriquent »…
Donc on y constate qu’il n’est nullement question de supprimer les causes mêmes de l’effondrement actuel et encore moins d’en reconnaitre les causes : la propriété privée des capitaux et la propriété par ces propriétaires de capitaux de l’Etat !!
C’est donc une tentative de faire croire à une "solution de gauche" à la chute inexorable du capitalisme !!!