C’est une petite succession d’acides aminés qui interroge. Un morceau du génome du Sars-CoV-2, appelé « site de clivage à la furine », qui lui confère sa grande capacité à infecter les cellules humaines. « Concrètement, le site de clivage va permettre la coupure de la protéine Spike ce qui lui permet de mieux reconnaître les cellules humaines afin d’y entrer », explique Étienne Decroly, virologue à l’université d’Aix-Marseille. De telles dispositions sont connues chez plusieurs virus, particulièrement les virus grippaux. Mais la littérature scientifique ne recense pas de virus de la famille du Sars-CoV-2 avec un tel site.
Sa présence est tellement remarquable que de nombreux scientifiques y voient une raison suffisante pour accréditer la thèse d’une fuite de laboratoire…
Vous avez dit bizarre ?
C’est une petite succession d’acides aminés qui interroge. Un morceau du génome du Sars-CoV-2, appelé « site de clivage à la furine », qui lui confère sa grande capacité à infecter les cellules humaines. « Concrètement, le site de clivage va permettre la coupure de la protéine Spike ce qui lui permet de mieux reconnaître les cellules humaines afin d’y entrer », explique Étienne Decroly, virologue à l’université d’Aix-Marseille. De telles dispositions sont connues chez plusieurs virus, particulièrement les virus grippaux. Mais la littérature scientifique ne recense pas de virus de la famille du Sars-CoV-2 avec un tel site.
Sa présence est tellement remarquable que de nombreux scientifiques y voient une raison suffisante pour accréditer la thèse d’une fuite de laboratoire…
https://www.lefigaro.fr/sciences/sars-cov-2-la-bizarrerie-genetique-qui-alimente-le-soupcon-20211001