Sur Covid-19, les gouvernants mentent sans arrêt, ils manipulent, ils trafiquent. Oui mais pourquoi ?
4 octobre 2020, 07:58, par WSWS
Mercredi, le journaliste du Washington Post et initié de l’establishment, Bob Woodward, a publié des enregistrements d’appels téléphoniques avec le président américain, Donald Trump. Ces entretiens indiquent clairement que la Maison-Blanche, malgré ses efforts publics pour minimiser la menace de COVID-19, était pleinement consciente en janvier du danger massif posé par cette nouvelle maladie mortelle.
Les enregistrements établissent que le gouvernement Trump a menti au public au sujet de la menace alors qu’il a délibérément mis en œuvre une politique qui a entraîné la mort de plus de 200.000 personnes.
Pendant la période critique de janvier à mars on aurait pu prendre des mesures et des actions opportunes, similaires à celles prises en Chine, qui auraient permis de sauver des centaines de milliers de vies aux États-Unis et dans le monde. Mais la Maison-Blanche a pris la décision de sang-froid de mentir au public, dans un crime sans précédent.
C’était un complot contre le peuple américain et le monde entier.
Le 7 février, Trump a déclaré à Woodward qu’il venait de s’entretenir avec le président chinois Xi Xinping, qui avait fourni au président américain une évaluation claire et nette des dangers posés par la pandémie. « C’est une affaire mortelle », a déclaré Trump. « C’est aussi plus mortel que… la grippe la plus intense… c’est cinq pour cent [taux de mortalité] contre un pour cent voire moins d’un pour cent ».
Ces affirmations étaient en contradiction flagrante avec les déclarations que Trump a faites en public au cours des semaines et des mois suivants. Dans ses interventions, il assimilait la pandémie à la grippe saisonnière, promettait qu’elle « disparaîtrait » et affirmait que les cas « diminuaient ».
Échappant à la démagogie antiscientifique de ses déclarations publiques, Trump a fait preuve d’une compréhension claire et précise de la propagation de la maladie dans sa discussion avec Woodward. « Ça passe par l’air, Bob. C’est plus difficile que le simple toucher », a déclaré Trump, une appréciation tout à fait conforme au consensus scientifique actuel.
Le 28 janvier, son conseiller pour la sécurité nationale, Robert C. O’Brien, a informé Trump : « Ce sera la plus grande menace pour la sécurité nationale à laquelle vous serez confronté pendant votre présidence… Ce sera la chose la plus dure à laquelle vous serez confronté », selon le récit de Woodward.
Mercredi, le journaliste du Washington Post et initié de l’establishment, Bob Woodward, a publié des enregistrements d’appels téléphoniques avec le président américain, Donald Trump. Ces entretiens indiquent clairement que la Maison-Blanche, malgré ses efforts publics pour minimiser la menace de COVID-19, était pleinement consciente en janvier du danger massif posé par cette nouvelle maladie mortelle.
Les enregistrements établissent que le gouvernement Trump a menti au public au sujet de la menace alors qu’il a délibérément mis en œuvre une politique qui a entraîné la mort de plus de 200.000 personnes.
Pendant la période critique de janvier à mars on aurait pu prendre des mesures et des actions opportunes, similaires à celles prises en Chine, qui auraient permis de sauver des centaines de milliers de vies aux États-Unis et dans le monde. Mais la Maison-Blanche a pris la décision de sang-froid de mentir au public, dans un crime sans précédent.
C’était un complot contre le peuple américain et le monde entier.
Le 7 février, Trump a déclaré à Woodward qu’il venait de s’entretenir avec le président chinois Xi Xinping, qui avait fourni au président américain une évaluation claire et nette des dangers posés par la pandémie. « C’est une affaire mortelle », a déclaré Trump. « C’est aussi plus mortel que… la grippe la plus intense… c’est cinq pour cent [taux de mortalité] contre un pour cent voire moins d’un pour cent ».
Ces affirmations étaient en contradiction flagrante avec les déclarations que Trump a faites en public au cours des semaines et des mois suivants. Dans ses interventions, il assimilait la pandémie à la grippe saisonnière, promettait qu’elle « disparaîtrait » et affirmait que les cas « diminuaient ».
Échappant à la démagogie antiscientifique de ses déclarations publiques, Trump a fait preuve d’une compréhension claire et précise de la propagation de la maladie dans sa discussion avec Woodward. « Ça passe par l’air, Bob. C’est plus difficile que le simple toucher », a déclaré Trump, une appréciation tout à fait conforme au consensus scientifique actuel.
Le 28 janvier, son conseiller pour la sécurité nationale, Robert C. O’Brien, a informé Trump : « Ce sera la plus grande menace pour la sécurité nationale à laquelle vous serez confronté pendant votre présidence… Ce sera la chose la plus dure à laquelle vous serez confronté », selon le récit de Woodward.